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  • Evry: une jeune fille violée par des jeunes de 11 à 17 ans

    Les sévices décrits par la victime font froid dans le dos. Dans la ville de Manuel Valls, ce week-end, une jeune fille de 17 ans a subi un véritable calvaire. Quartier des Coquibus à Evry, elle aurait subi des viols répétés et des humiliations de la part de plusieurs agresseurs. Les enquêteurs de la PJ d’Evry ont arrêté ce lundi quatre suspects.

      

    Ils seraient âgés de seulement 17, 15, 13 et 11 ans.

    Samedi soir, alors qu’elle sortait de la gare pour rentrer chez elle, la victime est abordée par un groupe d’adolescents. Ces derniers veulent lui voler son téléphone portable. Mais selon les premiers éléments de l’enquête, les agresseurs auraient ensuite emmené de force la jeune fille vers les Coquibus. Là, à tour de rôle ils l’ont frappée, violée à plusieurs reprises. Vers 5 heures du matin, un automobiliste aurait repéré la victime et l’aurait emmenée à l’hôpital.

     

    LeParisien.fr

  • L'ORDRE ET LA FINANCE

     

    L'ORDRE ET LA FINANCE   - Manuel Valls à Matignon

     


    Manuel Valls à Matignon



    Michel Lhomme
    le 01/04/2014
    Certains s'étonnent de la nomination de Manuel Valls à Matignon, avec un gouvernement resserré et un grand ministère à Bercy. On décidera dans les premières semaines d'une réformette sociale mais on ne changera pas d'un iota la politique de la France. Qu'on ne s'y méprenne pas, Manuel Valls ne rétablira pas l'ordre citoyen des villes. Il garantira les devantures des banques. Il fichera les citoyens mais protègera les hommes d'affaires. C'est l'ordre de mission mondialiste qu'il a reçu et surtout qu'il a très bien compris.

     
    Ce n'est pas François Hollande qui préside et Manuel Valls qui gouverne mais Bruxelles. Le PS, Parti Stupéfiant, comme l’Ump auparavant, ne sont que des partis d’un même système. Le PS n'est plus de gauche. Il n'y a d'ailleurs plus de gauche en France depuis bien longtemps. Il n'y a même plus d'écologistes ''purs'' quand on voit les gesticulations déplacées, c'est le cas de le dire ,de Jean-Vincent Placé pour obtenir un maroquin. Or, il faut préparer 2017 et la vraie réalité pour le gouvernement, c'est de renflouer les caisses vidées par les gouvernements successifs. Or, le gouvernement ne peut plus prélever plus d'impôts. On vient même d'évoquer une ''pause fiscale''. Pour cela, il faut un homme lige, un homme obéissant et servile.

    Toutes les décisions prises par François Hollande, y compris le pacte de compétitivité, sont jugées timides par les économistes libéraux et elles n'ont fait que creuser le déficit du pays. Hollande n'a pas pratiqué une réelle politique d'austérité. Il n'a pas gelé ni baissé les salaires des fonctionnaires. Il n'a pas touché à la classe politique, supprimé les échelons départementaux, dégraissé la préfectorale. Or, c'est de boucler au plus vite le budget dont il est question maintenant : trouver des sous, des sous perdus dans le paiement des intérêts de la dette.
     
    Manuel Valls jouera la figure de l'ordre, mais il protègera avant tout les banques et les financiers. Lorsque les socialistes sont arrivés au pouvoir en 2012, les Français avaient sans doute pensé à leur argent. Ils n'ont pas vu les impôts venir. Les fonctionnaires ont voté socialiste pour défendre leur statut. Ironie de l'histoire, c'est sous les socialistes qu'ils perdront leur pouvoir d'achat.
     
    Manuel Valls n'est pas la main de l'ordre républicain. Il sera la main détachée de la finance. Il lui faudrait presque, pour parfaire le tout, nommer Pascal Lamy à Bercy. L'idée de prélever 8% sur nos comptes a déjà été évoquée à la Commission européenne. C'est une proposition qui fut officiellement avalisée en mars 2013 lors de la dernière réunion annuelle de la Trilatérale à Berlin dont le président de la section européenne n'était autre que Jean-Claude Trichet, ancien patron de la Banque Centrale Européenne. Or, Manuel Valls a toujours suivi les travaux de la Trilatérale, du Siècle et du groupe Bilderberg. 

    Il est bien informé et il sait, lui, pour qui il travaille. Et puis, que ce soit à Evry ou à l'Intérieur, notre prochain ministre a un défaut : il en fait toujours trop. 

     

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  • Villers-Cotterêts : plus qu’un succès électoral, une victoire politique prophétique…

    Villers-Cotterêts_statue_et_église_1.jpg


    Communiqués / 31 mars 2014

    Communiqué de Karim Ouchikh, conseiller de Marine Le Pen à la Culture, à la Francophonie et à la Liberté d’expression Président exécutif du SIEL

    Villers-Cotterêts s’est donnée hier au Front national. Située aux confins de l’Aisne, cette ville de 10 000 habitants était dirigée depuis 2008 par le socialiste Jean-Claude Pruski. Confirmant sa percée du premier tour, le candidat frontiste Franck Briffaut a remporté la mairie de haute main avec 41,53% des suffrages exprimés, contre 34,66% pour le sortant socialiste et 23,08% pour la liste menée par l’UDI Jean-Claude Gervais.

    Au-delà de ce beau succès électoral, cette victoire revêt une portée éminemment symbolique.

    Davantage que les frontières qui cernent son territoire, plus encore que les individus qui composent son peuple, la France se singularise par le rayonnement de son verbe : rien ne résume mieux l’être français que sa magnifique langue, forgée au fil des siècles, qui lui est intimement consubstantielle. Plus que toute autre cité, la commune de Villers-Cotterêts exprime la force de cette identité culturelle.

    Dans le vénérable château situé au coeur de cette localité, François Ier apposa sa signature en août 1539 au bas de la célèbre ordonnance éponyme, qui généralisa l’usage du français dans tout le royaume : avec cet acte fondateur, toujours en vigueur, le français est devenu la langue officielle de la France. En cette ville naquit aussi, le 24 juillet 1802, le célèbre écrivain Alexandre Dumas : « Je suis lié à Villers-Cotterêts, petite ville du département de l’Aisne, située sur la route de Paris à Laon, à deux cents pas de la rue de la Noue, où mourut Demoustiers, à deux lieues de la Ferté Milon, où naquit Racine, et à sept lieues de Château-Thierry, où naquit la Fontaine», écrit-il dans ses mémoires.

    Evoluant dans un espace linguistique qui abrite 220 millions de locuteurs francophones et regroupe 77 pays à travers le monde, la langue française demeure l’un des rares pare-feu qui permet encore à notre pays de se prémunir contre le nivellement culturel que lui impose la mondialisation.

    Aujourd’hui dirigée par un maire FN, Villers-Cotterêts doit être le laboratoire des ambitions culturelles de Marine Le Pen. La nouvelle municipalité frontiste doit faire du château Villers-Cotterêts, en concertation avec l’Etat, le lieu emblématique de la défense et de la promotion universelle de la langue française car en y installant demain la « Maison de la Francophonie », notre pays se doterait enfin d’un espace culturel exemplaire qui incarnerait la puissance du rayonnement linguistique de la France.

    La politique municipale du Front national et du Rassemblement Bleu Marine doit servir aussi de levier d’action, partout où cela est possible, pour défendre et valoriser localement les intérêts de la France et ceux de son peuple.

  • Charles TRENET

    Paroles et musique de Charles Trenet