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  • Carpentras: une conductrice frappée avec une barre de fer

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     Carpentras / Publié le Lundi 07/04/2014 à 20H33
     
     

    Ce matin à Carpentras, vers 8h30, un piéton a insulté et craché sur une conductrice avant de caillasser son automobile. Lorsque celle-ci est descendue de son véhicule, il s'est saisi d'une barre de fer et lui a donné un violent coup sur la tête. Il s'est ensuite introduit dans l'habitacle pour frapper le chien de la victime avant de prendre la fuite. Blessée, la dame âgée de 53 ans a été hospitalisée.

    La Provence

  • Jean-Marie Le Pen invité du Talk Orange - Le Figaro: "La France est une sous-colonie"


    Pour Jean-Marie Le Pen, la France est «une sous... par lefigaro

  • Le Conseil de sécurité refuse de condamner l’attaque turco-terroriste de Kessab

     

     
    | 5 avril 2014  
     

    La délégation russe aux Nations unies a indiqué que le Conseil de sécurité a refusé de prendre position sur l’attaque de Kessab, manifestant ainsi le soutien de plusieurs de ses membres aux actions d’Al-Qaïda.

    Le 21 mars, l’armée turque est entrée en territoire syrien pour y introduire plusieurs centaines de jihadistes, membres du Front Al-Nosra (Al-Qaïda) et de l’Armée de l’islam (pro-Saoudien). Ils ont pris la ville de Kessab, majoritairement peuplée de Syro-Arméniens descendants des survivants du massacre turc de 1915. Lorsque l’armée arabe syrienne est intervenue pour défendre la ville, l’armée turque a descendu un de ses avions d’appui. Les habitants de Kessab se sont réfugiés sous la protection de l’État syrien à Lattaquié.

    Par ailleurs, le ministère russe des Affaires étrangères a appelé les représentants de l’opposition extérieure syrienne ayant participé à la conférence de Genève 2 à s’abstenir de tout contact avec les groupes terroristes.

  • Déremboursement des consultations : de qui se moque-t-on ?

     

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    Le 7 avril 2014
    Le Premier ministre a reçu un rapport qui prévoit de dérembourser les cinq premières consultations de l’année chez le médecin généraliste.
             

    La semaine dernière, le Premier ministre a reçu un rapport qui prévoit, ni plus ni moins, de dérembourser les cinq premières consultations de l’année chez le médecin généraliste ; les suivantes, en revanche, seront couvertes.

    Les objectifs sont économiques : réduire le trou de la Sécurité sociale… On se demande, encore une fois, où est la logique : celui qui n’abuse pas des consultations est immédiatement pénalisé, à l’instar du métro, où celui qui est en règle voit sans cesse augmenter le tarif de son ticket ou de sa carte annuelle à cause de fraudeurs sans scrupules. Ne faudrait-il pas, au contraire, dérembourser à partir de la sixième consultation ?

    Finalement, ce sont toujours les mêmes qui payent pour les autres, et à quoi bon être honnête dans un pays où la malhonnêteté devient la norme ?

    Si ce rapport voit le jour, il s’agira, une fois de plus, de toucher au portefeuille de millions de Français. Se soigner en France coûte déjà très cher au contribuable, et posséder une mutuelle devient une obligation. Car, pour l’optique ou les soins dentaires par exemple, la Sécurité sociale rembourse des miettes, certains allant jusqu’à prendre un crédit pour payer leurs frais de santé !

    Le droit à la santé – droit fondamental, inscrit dans le droit international – n’est pas respecté en France. Les plus pauvres d’entre nous, faute de moyens, ne peuvent se soigner correctement. On critique les États-Unis, mais est-ce franchement mieux chez nous ?

    Dans une société qui se veut égalitariste – mariage pour tous, adoption pour tous, parité homme/femme, discrimination positive –, nous sommes encore très loin de l’égalité des soins en France.

    Réforme des retraites, réforme de la politique familiale, baisse du prix des médicaments, développement des médicaments génériques : l’État mène une guerre impitoyable pour baisser le déficit de la Sécurité sociale.

    Dans le même temps, le budget de l’Aide médicale d’État (AME), qui permet aux étrangers en situation irrégulière de bénéficier à 100 % des soins médicaux et d’hospitalisation, continue de grimper !

    Quelle injustice pour le citoyen français, qui se trouve une fois de plus lésé.

    Maximilien RICHONET

    BOULEVARD VOLTAIRE

  • Ukraine : Un journaliste et militant du parti nationaliste Svoboda retrouvé mort

     

    Un journaliste et militant du parti nationaliste ukrainien Svoboda (Liberté) a été retrouvé mort, portant des traces de tortures, un jour après avoir été enlevé, a annoncé le parti dimanche.

    Le corps de Vassili Serguïenko, un journaliste militant d’extrême droite, a été retrouvé samedi dans un bois près du village de Vygraïev, dans le centre du pays, à quelque 120 km au sud-est de Kiev, selon un communiqué du parti.

    Vassili Serguïenko présentait « des traces de tortures » et de blessures au couteau et avait « le crâne enfoncé », selon Svoboda, qui précise qu’il avait été enlevé devant chez lui vendredi soir par trois inconnus qui l’avaient fait monter de force dans une voiture.

    Le parquet local a confirmé la découverte du corps du journaliste, sans donner plus de précisions en raison de « l’enquête en cours ».

    Selon Svoboda, Vassili Serguïenko avait récemment fait état de menaces à son encontre, et son meurtre pourrait être lié à des articles qu’il avait écrits au sujet d’un puisant homme d’affaires de la région, que le parti ne nomme pas.

    Outre ses activités journalistiques, il était un militant actif de Svoboda et avait participé aux manifestations pro-européennes de Kiev qui ont débouché sur la chute du régime ukrainien pro-russe fin février.

    Sud Ouest

     

    FDesouche

  • Elections législatives en Hongrie : le JOBBIK progresse encore

     

    Gabor Vona, président du Jobbik

    Ce dimanche avaient lieu en Hongrie les élections législatives.

    Il existe là-bas un parti nationaliste et chrétien, dynamique et radical, dont nous vous donnons régulièrement des nouvelles : le Jobbik (« Mouvement pour une meilleure Hongrie »).

    Alors que le pays est gouverné depuis quelques années par la droite dure (incarnée par Viktor Orban, présenté par les médias français comme un quasi-fasciste), les pronostics officiels pariaient sur une chute ou sur un résultat médiocre du Jobbik : en effet, la droitisation continue de la politique (populaire) d’Orban et de son parti (Fidesz) coupait l’herbe sous le pied de la formation nationaliste.

    Il n’en a finalement rien été. Le Jobbik a obtenu ce dimanche 20,5 % des voix (contre 16,5% aux dernières législatives, en 2010), poursuivant sa progression.
    Le Fidesz, vainqueur de ce scrutin, en a obtenu pour sa part 44,5 % (contre 53% en 2010).

    Détails

     

    Contre-info.com

  • La République autoproclamée de Donetsk demande l'aide militaire de la Russie

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    Aujourd'hui, 16:46
      
     

    Par La Voix de la Russie | Les députés du Conseil de la région de Donetsk et les partisans de la fédéralisation de l'Ukraine ayant proclamé la création de la République populaire de Donetsk ont demandé au président Vladimir Poutine la protection de la Russie, le déploiement dans la région d'un contingent militaire provisoire.

    « A nos yeux, seule la Russie est notre défenseur du monde russe. Nous sommes prêts à lutter pour nos convictions. Mais sans la Russie, cela sera difficile pour nous seuls », a déclaré un orateur. Les assistants ont accueilli par une ovation le message adressé à Vladimir Poutine
    Lire la suite: http://french.ruvr.ru/news/2014_04_07/La-Republique-de-Donetsk-autoproclamee-a-demande-a-la-Russie-dintroduire-les-troupes-2004/

  • La phrase du jour

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    « La forêt, c'est encore un peu du paradis perdu. Dieu n'a pas voulu que le premier jardin fût effacé par le premier péché.  »

     Marcel Aymé

     

  • Comme un délicieux parfum de fin de règne

    Ecrit le 6 avr 2014 à 4:13 par François Falcon dans Poing de vue

     
     

    Comme un délicieux parfum de fin de règne

    D’habitude, on ressent de l’amertume à voir son pays s’enfoncer sans espoir apparent de retour, à voir un territoire défendu jadis au prix de millions de morts désormais ouvert aux vents les plus mauvais, à voir la richesse d’une civilisation séculaire dilapidée en quelques années, à voir des valeurs millénaires foulées aux pieds par des pédants superficiels… mais il vient toujours un temps où cette plongée dans la déchéance devient jouissive. Pour certains, c’est la jouissance du porc dans sa soue mais pour tous les autres, c’est la joie profonde de celui qui sait que ce sont là les signes annonciateurs du renouveau, l’arc-en-ciel qui résulte de la rencontre de la pluie finissante et du soleil renaissant, le drapeau LGBT qui ne flotte plus que grâce au souffle de la Manif pour Tous.

    Alors, n’hésitons plus, délectons-nous de cette valse des ministres, de ce théâtre de guignols, de cette farce hallucinante. Rions de ces journalistes aux perruques courtisanes, de ces perroquets insipides et répétitifs, de ces courtisanes devenus maires. Écoutons ravis les chants sinistres de la corneille de la place Vendôme, du cygne de Matignon et du canard boiteux de l’Élysée. Applaudissons aux crachats pyrotechniques des associations anti-je-ne-sais-quoi pour ne pas dire antidémocratiques ; courbons-nous devant les pachas de Bruxelles, les imperators de Washington et les torquemadas de la Nouvelle Bien-Pensance. Acclamons les Grandes prêtresses adoratrices des veaux d’or : fausse liberté, fausse égalité, fausse fraternité, vraie servitude.

    Oui, tout cela est enthousiasmant : ouvrez grand vos narines et enivrez-vous de ce parfum de fin de règne : il y a là un peu de l’odeur de 1958 avec tous ces clowns pathétiques sur le perron de Matignon, un peu du soufre de 1789 dans cette colère sourde et dévastatrice jaillissant des tréfonds de la nation, un peu de la myrrhe de 476 dans cet effondrement créateur. Courrez-donc aux balcons pour assister médusés à la chute de l’oligarchie, au relèvement du peuple de France, à la modeste résurrection de l’humanité.

    NOUVELLES DE FRANCE

  • Le "vivre ensemble" n'est qu'un leurre...

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    Le bobo des villes s’enorgueillit de ne pas voter pour le FN et de vivre dans une ville cosmopolite.

             

    La montée du FN confirmée par les élections municipales est la conséquence d’une crise économique et d’une crise identitaire. Si beaucoup préfèrent y voir la seule conséquence de la crise économique, l’immigration massive, l’insécurité et la perte de contrôle de nos frontières sont des facteurs importants des scores du FN. Cette réalité est illustrée par l’électorat du nord de la France, électorat de « gauche » à fibre sociale, qui choisit de voter pour le FN plutôt que pour le Front de gauche.

    Un raccourci idéologique voudrait que l’électeur FN vive souvent dans des lieux où l’immigration est très faible et vote par peur de ce qu’il ne connaît pas. Ces élections prouvent à nouveau le contraire avec les régions du Sud à fort taux d’immigration votant massivement FN. Et si, dans certaines régions périurbaines où l’immigration est faible, le FN fait toujours de bons scores, c’est en réalité parce que ces habitants ont fui les villes et les banlieues autant par contraintes économiques et foncières que par choix culturel (pour fuir une immigration massive dans les derniers quartiers populaires).

    Le bobo des villes s’enorgueillit de ne pas voter pour le FN et de vivre dans une ville cosmopolite. Croisant ses concitoyens d’origine étrangère dans le métro, il pense vivre avec eux mais le soir, il rejoint ses semblables dans son quartier. Chacun vit à côté des autres avec sa propre culture. La mixité n’existe quasiment pas dans les tribunes d’un concert de rock, de rap ou d’un match de rugby. Le vivre ensemble, l’inclusion sociale, le faire France n’existent pas sauf dans la bouche d’une élite coupée du peuple, une élite protégée des conséquences négatives de la mondialisation qui se permet en outre de distribuer elle-même des brevets de civisme. Dans ces villes boboïsées, on se vante de respecter son voisin et sa différence de mode de vie. Mais cette tolérance revendiquée n’est en réalité qu’indifférence individualiste.

    À une fracture sociale s’est ajoutée une fracture identitaire. Au sein d’une même classe sociale, les gens se séparent en raison de leurs origines. Si la France ne retrouve pas le contrôle de ses frontières, des frontières moins visibles mais réelles se multiplieront : celles qui empêchent déjà d’entrer dans des cités dites « zones de non-droit », celles qu’élèvent les classes aisées en se regroupant dans des quartiers éloignés de tout problème d’insécurité ou d’immigration. À ce petit jeu, les classes populaires sont toujours perdantes. Il est urgent de stopper l’immigration massive et de privilégier la culture française avant que le semblant de vivre ensemble qui reste ne se transforme en une société multiculturelle du « vivre à côté ».

    Edouard de PRARON

    BOULEVARD VOLTAIRE 

  • Le troisième sexe est un non-sens biologique !

     

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    Le 6 avril 2014
     
    La Haute Cour d’Australie a reconnu " qu'une personne peut être ni de sexe masculin ni de sexe féminin" .
          
             

    À propos du Parlement anglais, notamment pour expliquer sa souveraineté par rapport à la Couronne, on avait coutume de dire qu’il pouvait tout faire, sauf changer un homme en femme. Ceci demeure en partie vrai, sauf à considérer qu’en ayant autorisé, par une loi du 17 juillet 2013, le « mariage » des pairs du royaume, les chambres basse (Westminster) et haute (House of Lords) ont repoussé un peu plus les frontières de leur liberté législative. Mais force est de reconnaître la prolifique inventivité de la perfide Albion et de ses sœurs du Commonwealth qui, après la Grande Charte de 1215, l’anglicanisme et le rosbif à la gelée de groseilles, offrent au monde entier un… troisième sexe !

    C’est ainsi que, très sérieusement, la Haute Cour d’Australie (équivalent de la Cour suprême aux États-Unis) a reconnu « qu’une personne peut être ni de sexe masculin ni de sexe féminin et autorise donc l’enregistrement d’une personne comme étant d’un genre non spécifique ». En l’occurrence, l’affaire concernait une personne née de genre masculin qui avait subi une intervention chirurgicale pour changer de sexe en 1989. Celle-ci ayant échoué, le registre d’état civil de Nouvelle-Galles du Sud (l’État de Sydney) avait accepté de l’enregistrer sous la catégorie « genre non spécifique », jusqu’à ce que l’administration retire sa décision.

    L’honnêteté commande, tout de même, de reconnaître que les législateurs népalais et allemands avaient précédé le juge australien. Ainsi, en Allemagne, une loi du 1er novembre 2013 permet-elle désormais d’inscrire un enfant à l’état civil sans que soit mentionné son sexe biologique. Au Népal, la loi est intervenue fin janvier 2013. Toutefois, comme aurait dit Pascal en inversant la formule, « vérité au-delà des Pyrénées, erreur en deçà ». Le Népal, comme l’Inde voisine, ont une conception différente des Occidentaux en matière d’identité sexuelle. L’intersexualité, bien que n’étant pas la norme sociale majoritaire est, en effet, une réalité anthropologique impliquant l’appartenance à une caste particulière comme celle des « Hijras » en Inde.

    Vérité ethnologique inexistante dans les sociétés blanches occidentales et européennes qui ont entamé la longue marche de leur inexorable déclin. L’esprit public européen, frappé d’anomie durkheimienne, est corrélativement consumé par un désir hédoniste illimité et irrépressible. La quête folle et effrénée de l’individu-roi cherchant à imposer sa souveraineté à la nature est fort ancienne. Marcel Gauchet, à la suite de Louis Dumont, parlait d’une « genèse métaphysique de l’individu » remontant aux sociétés chrétiennes médiévales et dont l’épiphanie s’est accomplie, de manière éclatante, dans son « hypercontemporanéité », au XXe siècle.

    Cette reconnaissance de ce que l’on appelle abusivement « un troisième sexe », en référence au second, existentialisé par Simone de Beauvoir, est un non-sens, car il n’y aura jamais que deux sexes. Comme l’observe Sylviane Agacinski, citée par Alain de Benoist (Les Démons du bien, p. 116), « la diversité des orientations sexuelles ne supprime pas la dualité des sexes : elle la confirme au contraire ».

    Aristide LEUCATE

    BOULEVARD VOLTAIRE

  • Ukraine:des pro-russes attaquent des bâtiments officiels dans l'est 06/04/2014

       

    Ukraine:des pro-russes attaquent des bâtiments officiels dans l'est




    Des manifestants pro-russes ont attaqué dimanche des bâtiments officiels dans l'est russophone de l'Ukraine. Ils se sont emparés notamment des locaux de l'administration provinciale dans la ville de Donetsk.

    Cette région, frontalière de la Russie, est le théâtre de manifestations en faveur du rattachement à Moscou, chaque dimanche depuis la chute du régime pro-russe de Kiev fin février.

    A Donetsk, un millions d'habitants, principale ville du bassin minier du Donbass, plus de 2000 pro-russes ont manifesté près des locaux de l'administration de la province, gardés par plus de 200 policiers.

    La police quitte les lieux

    Les protestataires brandissaient drapeaux russes et panneaux avec les slogans "Donetsk, ville russe", "Donnez-nous un référendum" sur l'indépendance et le rattachement à la Russie, ou "OTAN dehors". A la fin du rassemblement, environ 150 participants se sont détachés du rassemblement pour s'en prendre au bâtiment de l'administration locale.

    Après avoir été repoussés par la police, qui avait déployé un canon à eau qu'elle n'a pas utilisé, des manifestants ont réussi à pénétrer dans les locaux. Certains ont amené le drapeau ukrainien qui flottait sur le bâtiment de dix étages et hissé à la place un drapeau russe. Une banderole "République de Donetsk" a été déployée sur le bâtiment.

    Des images diffusées sur le site "Novosti Donbassa" (Nouvelles du Donbass) montraient alternativement des manifestants devant le bâtiment, et des manifestants faisant face, sans violence, à des policiers casqués dans ce qui semblait être le hall d'entrée. Les policiers ont fini par quitter les lieux, a constaté un journaliste.

    "Ce n'est qu'un début"

    Les images diffusées ensuite sur le site montraient des manifestants dans le hall de l'immeuble, scandant "Russie! Russie!", alors que l'un d'eux, mégaphone en main, assurait "Ceci n'est pas la fin, ce n'est que le début". Le parquet de Donetsk a indiqué avoir ouvert une enquête sur la prise du bâtiment.

    sda-ats
    http://www.swissinfo.ch/fre/nouvelles_agence/international/Un_journaliste_nationaliste_a_ete_enleve_et_tue.html?cid=38328046
     
    ALTER INFO.NET