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  • 4.000 migrants secourus en 48 heures par l'Italie (ministre) 09/04/2014

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        ROME- L'Italie a secouru quelque 4.000 migrants en 48 heures et plus de 15.000 depuis le début de l'année, a déclaré mercredi le ministre italien de l'Intérieur Angelino Alfano.

    "Les débarquements ne s'arrêtent pas et l'urgence est de plus en plus criante: deux navires marchands sont en train de secourir deux bateaux avec à bord 300 et 361 personnes. Il semble qu'il y ait au moins un cadavre à bord", a ajouté le ministre au GR1, le journal de la radio publique Rai Uno.

    "L'Italie est sous une pression migratoire très forte qui arrive de Libye", a-t-il poursuivi.

    Selon lui, "entre 300 et 600.000 migrants" seraient prêts à embarquer depuis la Libye pour atteindre l'Europe. "C'est une estimation par défaut, qui a été confirmée par le commissaire (européen aux Affaires intérieures) Cecilia Malmström", a-t-il assuré.

    L'Europe "doit prendre en main la situation. Elle ne peut pas dire que, en ayant donné 80 millions d'euros à Frontex (ndlr: l'agence de surveillance des frontières européennes), elle a résolu le problème", a-t-il argué.

    L'Italie a lancé à l'automne dernier l'opération Mare Nostrum (nom donné à la Méditerranée au temps de la Rome antique), qui lui permet de porter secours aux réfugiés en détresse alors qu'ils tentent de regagner l'Europe par la mer.

    L'opération avait été lancée après deux naufrages dramatiques qui avaient fait plus de 400 morts début octobre près de la petite île sicilienne de Lampedusa et Malte.

    http://www.aps.dz/fr/monde/4285-4-000-migrants-secourus-en-48-heures-par-l-italie-ministre
     
    ALTER INFO.NET
  • C'était un 9 avril...

     


    1682 : le Normand Cavelier de la Salle, très grand explorateur français parti du lac Ontario et ayant descendu tout le cours du Mississipi, atteint le golfe du Mexique et prend possession de la Louisiane au nom de la France.

    1865 : à Appomattox, petite ville de Virginie, le général Robert Lee signe l’acte de reddition présenté par le général Ulysses Grant, qui met pratiquement fin à la Guerre de Sécession (les dernières troupes se rendent le 26 mai). Le « vieux Sud » a vécu.

    1948 : les extrémistes juifs de l’Irgoun et du groupe Stern massacrent la population du village de Deir Yassin en Palestine. 350 personnes sont assassinées méthodiquement, par balle ou par couteau… Un épisode qui favorisera l’exode palestinien.

    Contre-info.com

  • Evry (chez Manuel Valls) : 4 jeunes immigrés récidivistes violent collectivement une jeune fille car elle est française

     

    Des actes ignobles mais désormais fréquents dans la « France d’après », envahie.

    Ils ont été scolarisés, nourris, financés par les Français.
    Ils sont mineurs mais déjà délinquants récidivistes, en liberté et sur le sol français bien sûr.
    Ils trouvent le moyen de violer collectivement une jeune Française, se justifiant ensuite auprès de la police : « les Français sont tous des fils de pute ».

    « Il est des faits divers de portée générale. Celui-là en est un ; non par son atrocité car notre vie quotidienne en est hélas nourrie, mais par sa signification. Il s’est déroulé le 30 mars, peu après minuit, dans un parc d’Évry, le chef-lieu de la circonscription du premier ministre Manuel Valls. Comme cela s’est passé durant la nuit qui précédait le second tour des élections municipales, cette affaire n’a pas eu le retentissement mérité. Elle le devrait pourtant.

    Ce soir-là, une jeune fille de 18 ans descend du RER en gare d’Évry. À sa sortie, elle donne un appel de son téléphone portable. Quatre individus se jettent sur elle et l’emmènent dans un parc voisin. Ils la dépouillent de tout ce qu’elle possède, puis la déshabillent et la violent à tour de rôle. Un viol indescriptible de cruauté barbare. Les quatre vont la martyriser pendant plus de deux heures avant de l’abandonner, blessée jusqu’au sang. Un automobiliste la prend en charge, appelle les secours. Elle aura l’énergie de témoigner en portant plainte. Les policiers l’accompagnent aux urgences. On lui donnera trois mois d’arrêt de travail. La voilà choquée pour la vie.
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    Contre-info.com

  • Ce catholicisme que certains aimeraient réduire à néant…

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    Le 4 avril 2014
    C'est la religion catholique qui a façonné notre pays. En tentant coûte que coûte de la réduire à néant, la République prend un risque considérable.
     
     
             

    « On ne peut construire un pays de libertés avec le catholicisme […] il faut fonder une religion républicaine. » Vous avez sans doute déjà entendu cette phrase désormais fameuse de l’ex-ministre de l’Éducation nationale, Vincent Peillon. Aujourd’hui, le débat sur la place du catholicisme en France revient au moment où un rapport nous apprend que 250 églises sont menacées de démolition en France, que l’église Sainte-Rita (XVe) va être détruite pour laisser place à des HLM et que seuls 21 % des 18-24 ans se déclarent catholiques.

    Le ministre est parti, me direz-vous, mais l’idéologie reste, bien ancrée comme une tique à sa plaie. Depuis la Révolution française et l’instauration de la République, la France nourrit une profonde haine pour le catholique qui représente le royaliste, le réactionnaire, celui qui s’oppose au rythme immuable du progrès et à l’ordre républicain. En son temps, Gambetta disait déjà : « Le cléricalisme, voilà l’ennemi ! ». C’était il y a 130 ans, l’idéologie reste, on vous dit…

    De plus en plus de Français le pensent, et particulièrement ceux des jeunes générations dont je fais partie : le catholicisme, c’est fini. Je ne compte plus le nombre de fois ou l’on m’a dit : « Les catholiques, c’est des coincés, des réacs, des homophobes. » La République a bien fait son travail : non seulement les jeunes ne sont plus catholiques, mais ils sont « cathophobes » !

    On oublie, dès lors, que le catholicisme n’est pas synonyme de contrainte et d’oppression. Certes, l’Église a fait des erreurs, mais on préférera parler ici de religion plutôt que de l’institution… Outre les dix commandements et les valeurs de cohésion et de fraternité, le catholicisme est avant tout une morale et une raison supérieure auxquelles se vouer, des valeurs auxquelles se conformer, qui permettent, quand elles sont partagées, de créer une nation unie, plutôt qu’un pays d’individualistes, où chacun se conforme à « sa morale » au détriment des autres et où naissent les communautarismes, réponses désespérées au manque d’unité nationale et de sentiment d’appartenance à la nation.

    Mais ce que l’on risque surtout en tuant le catholicisme, c’est de voir apparaître d’autres morales, d’autres systèmes de valeurs, puisque l’homme en a besoin. Ce système concurrent aujourd’hui, c’est la religion musulmane. Dans 30 ans, les musulmans pratiquants seront plus nombreux que les catholiques pratiquants en France… Les 36.000 églises désertées que compte notre pays s’orneront-elles alors de minarets ?

    N’en déplaise à M. Peillon, c’est la religion catholique qui a façonné notre pays. En tentant coûte que coûte de la réduire à néant, la République prend un risque considérable. Comme disait Tolstoï : « Si Dieu n’existe plus, tout est permis. »

    Maxime BELACEL, étudiant

    BOULEVARD VOLTAIRE

  • Marseille : chez Stéphane Ravier (FN), un mariage gay pour commencer

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      Marseille / Publié le Mercredi 09/04/2014 à 05H22

     

    Élu maire des 13e et 14e arrondissements, le chef de file marseillais du Front national entrera officiellement dans ses fonctions vendredi matin. Avec un mariage gay pour premier acte en tant que maire.

     
    Premier maire Front national élu dans les 13e-14e, Stéphane Ravier est déjà face à un dilemne.

    Photo Cyril Sollier

     

    C'est l'histoire d'un pied de nez. D'un croc-en-jambe du destin. Élu maire des 13e et 14e arrondissements il y a dix jours, le chef de file marseillais du Front national Stéphane Ravier entrera officiellement dans ses fonctions vendredi matin, lors d'une cérémonie qui se tiendra au même moment, à 10 heures, dans les huit mairies de secteur. Une formalité. Suivie, dès l'après-midi, par un casse-tête quasi burlesque. Son premier acte en tant que maire est prévu à 15 heures. Un mariage gay. "C'est l'histoire de ma vie, rigole Stéphane Ravier. Jusque-là, tout était parfait. Je suis seul au point de penalty, je crochète le gardien, je n'ai plus qu'à pousser le ballon au fond des filets et là, le tacle par derrière", s'amuse l'inconditionnel du FC Barcelone, féru de football en général.

    De mariage homosexuel, en revanche, il "n'est pas fan. J'ai une conception très jospinienne du mariage", poursuit-il, s'appuyant sur une sortie remarquée de l'ancien Premier ministre socialiste selon laquelle : "L'humanité est structurée sur le rapport hommes - femmes." Une pirouette politique, cette fois, pour dire son opposition aux unions qui d'après lui "ne sont pas naturelles, civilisationnelles, à savoir entre un homme et une femme". Que va-t-il donc faire vendredi, sachant que les bans ont été publiés ? "Respecter la loi. Nous sommes légalistes et je ne vais pas me mettre en travers dès le premier jour. Je vais donc chercher un coéquipier", reprend-il.

    Il faut dire que le maire frontiste a un alibi en béton vendredi après-midi. Il est convoqué à 14h30 à un conseil municipal destiné à voter les délégations des adjoints de Jean-Claude Gaudin en mairie centrale. "Je ne peux pas être partout à la fois", dribble-t-il. Le matin, il aura eu le temps de désigner ses quatorze adjoints qui sont autant d'officiers d'État-civil. Habilités à célébrer un mariage. "Je trouverai un volontaire, assure-t-il. Et s'il le faut, j'en désignerai un."

    Reste que, au-delà de la boutade, la question cruciale de "convictions politiques personnelles" qui se heurtent à un volcan sociétal se posera nécessairement à nouveau. Et pas forcément dans des termes aussi détendus.

    La Provence

  • Manuel Valls intolérant… au gluten aussi.

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    Le 8 avril 2014
    Intolérance au gluten, au poisson, à l’appartement de Matignon, au lit dans lequel a dormi Claude Guéant, à Dieudonné, à Soral…
             

    Affichée sur un mur des cuisines de Matignon, la longue liste des aliments que le Premier ministre ne supporte pas se déroule comme un long jour sans « faim ». Entre autres restrictions, Manuel Valls est victime d’une intolérance au gluten, allergie galopante que certaines mauvaises langues attribuent au pesticide « Roundup » de Monsanto, multinationale par ailleurs grande promotrice des OGM, dont le candidat aux primaires socialistes affirmait être un ardent défenseur. Version culinaire de l’arroseur arrosé. On n’est jamais si bien empoisonné que par soi-même.

    Placés devant cet impératif, les cuisiniers de la rue de Varenne ne savent plus où donner de la toque. Le gluten est présent partout : pain, biscuits, gâteaux, pâtes, pizzas, couscous… Ouvrir une boîte de petits pois… Décongeler un steak haché bio… Que faire d’autre ? Dix ans d’expérience dans les plus grands palaces, une étoile au Michelin, pour en arriver là… Une bien triste fin de carrière.

    Monsieur Manuel Valls n’aime pas le poisson non plus. En cuisine, un coup de feu retentit. Le chef a mis fin à ses jours. Un commis remet les boîtes de poisson pané au congélateur, un autre appelle Pôle emploi. L’employé au téléphone le rassure : régime viande rouge et légumes verts. Et vice versa les jours de réception. Rien d’autre. Quinze minutes de préparation sur un camping gaz, RTT à volonté… Que demande le peuple ?

    Côté madame, on refuse de quitter son appartement du onzième arrondissement de Paris pour emménager à Matignon. Pour de multiples raisons… « Je ne veux pas dormir dans l’ancien lit de Claude Guéant », affirmait déjà Anne Gravoin lorsqu’il était question de s’installer place Beauvau. Là aussi, un matelas pneumatique de camping, posé à même le sol de la chambre eût été la solution permettant d’éviter les morpions et autres parasites laissés par l’insalubre Guéant. Oui, mais ce n’est pas tout… D’après l’intéressée, le logement de fonction à Matignon n’est pas adapté au travail du violon. Longueur de l’archet : 4,50 m. À moins d’ouvrir les fenêtres, ça ne passe pas. Hypothèse crédible.

    « Nous continuerons à vivre chez nous. Anne a beaucoup de travail, elle est évidemment à mes côtés et moi à ses côtés. Elle a un concert important à Pleyel, c’est très important pour nous », confie le mari de la musicienne. Selon toute vraisemblance, le Premier ministre tourne les pages de la partition… Un travail très prenant. Réduire le chômage entre deux concertos se conçoit exclusivement à partir du domicile.

    Intolérance au gluten, au poisson, à l’appartement de Matignon, au lit dans lequel a dormi Claude Guéant, à Dieudonné, à Soral… Sur les murs de la ville, la liste des intolérances se déroule comme un long jour sans fin…

    Jany Leroy

    BOULEVARD VOLTAIRE

  • Procureur Chauvelot : acquittement pour insultes à Marine, prison et amende pour critique de l’islam

    http://ripostelaique.com/procureur-chauvelot-acquittement-pour-insultes-a-marine-prison-et-amende-pour-critique-de-lislam.html

  • Gouvernement Valls : sionisme et mondialisme aux commandes de l’État français

     

    Le (très sarkozyste) député des Français de l’étranger Frédéric Lefebvre n’a pas exclu de voter la confiance à Manuel Valls. On pourrait s’étonner de ce soutien pour le moins inattendu, mais ce serait oublier que les vrais clivages politiques n’épousent pas nécessairement les oppositions partisanes. Oublier aussi que Nicolas Sarkozy lui a proposé à plusieurs reprises d’être ministre du gouvernement Fillon, le jugeant ainsi « sarko-compatible ». Appartenant à deux formations politiques rivales, Manuel Valls et Frédéric Lefebvre ont en commun un atlantisme à toute épreuve et un attachement inconditionnel à Israël qu’ils revendiquent haut et fort. Quoi de plus banal ? Après des décennies de (relative) indépendance politique et géostratégique, la vie politique française s’organise désormais exclusivement sur le socle idéologique du sionisme.

    « Véritable ami des juifs et d’Israël » selon le CRIF, qui le lui rend bien, Frédéric Lefebvre n’a pas hésité à apporter publiquement son soutien à l’État hébreu au moment de l’affaire dite de « la Flottille », à celui de l’opération « Plomb durci »… ou à tenter de récupérer a des fins politiciennes l’émotion suscitée par la « tuerie de Toulouse ». « Son amitié et son engagement pour Israël ne datent pas d’hier », commente William Abbou, membre du Bureau de l’Union des patrons et professionnels juifs de France (UPJF), qui précise que le Secrétaire d’État « n’a jamais varié dans son soutien ou ses prises de position ». Encore en juillet dernier, il demandait au ministère de l’Intérieur de saisir le Conseil national du numérique (CNNum) pour faire des propositions qui, « tout en respectant la neutralité du Net, permettent d’éradiquer la propagande antisémite, antisioniste qui se retrouve aujourd’hui (sur les réseaux sociaux) ». Sans surprise, son vœu a été exaucé par son ami de 20 ans, Manuel Valls, ce qui a notamment valu à la France d’être désormais au premier rang de la censure de tweets. On n’en attendait pas moins de celui qui a fait de la mise au ban d’un humoriste une priorité nationale et pour qui les juifs de France sont « à l’avant-garde de la République ».

    On devine facilement les cibles du « gouvernement de combat » qu’il vient de former – Dieudonné et Alain Soral, dont la mise au ban est élevée au rang de priorité nationale... – et ses ambitions également : mettre la France aux normes du mondialisme, la soumettre aux exigences de la troïka qui l’a placée il y a un mois sous surveillance renforcée pour son manque de compétitivité et pour le niveau élevé de sa dette, et l’arrimer au bloc USA-Israël. Pour cela, il se dit prêt à user de l’arme pénale pour faire taire toute voix dissidente. Son discours au Trocadéro en dit long : pour lui, comme pour ceux qui lui ont succédé à la tribune, l’antisionisme (la critique à l’égard de l’expansionnisme d’Israël) relève de l’antisémitisme. Il ne fait d’ailleurs que copier les déclarations du président du CRIF lui-même :

    « L’antisionisme est aujourd’hui la forme la plus commune de l’antisémitisme : il stigmatise de façon très injuste l’État d’Israël d’un opprobre auquel échappent tous les autres pays quel que soit leur comportement. Les médias ont malheureusement eux-mêmes diffusé malencontreusement à plusieurs reprises des documents de propagande attribuant faussement à Israël des assassinats d’enfants, qui alimentent cette éducation à la haine qui est l’un des obstacles majeurs, sinon l’obstacle majeur, à la paix. »

    Cette interdiction formelle de toute critique contre la politique de l’État d’Israël ou contre l’emprise du sionisme en France justifie et officialise la domination d’une minorité prétendument élue sur une majorité déclarée subalterne. Dans un éclair de lucidité, le président de la LICRA l’a d’ailleurs avoué : être antisystème c’est en réalité être antisémite. Ce qui en dit long sur la nature du dit système…

    Au-delà de ses déclarations martiales de mise au pas de la dissidence et de la brutalité affichée de sa politique – justement dénoncée – se cache une soumission étroite au mondialisme. Membre du Siècle et du groupe Bilderberg, Manuel Valls est l’homme de main de la finance internationale. Il est aussi pour l’hyperclasse mondialisée l’homme de la situation, qui exige de la France, par la voix de la troïka, une nouvelle économie de 50 milliards de dépense publique d’ici à la fin du quinquennat. Sans surprise, elle se réalisera quasi-exclusivement sur le dos des travailleurs sous couvert de baisse du « coût du travail » (voir ici les principales annonces de sa déclaration de politique générale) et signifiera concrètement l’accélération du démantèlement du modèle social hérité du Conseil national de la Résistance, conséquence du désengagement annoncé de l’État. En cela, il ne fait que poursuivre, tout en l’aggravant, la politique suivie par ses prédécesseurs dictée par la finance mondialisée.

     

    VIDEO: Le discours de politique générale de Manuel Valls le 8 avril 2014 à l’Assemblée nationale 

    E&R

  • Patrick Bruel Benguigui refuse de chanter dans les villes Front national

     

    Patrick Bruel est le parrain du Téléthon 2013
     

    Dans une interview au magazine "Technikart", le chanteur confie "ne pas vouloir se produire devant une institution dont [il] méprise l'idéologie".

    Le Front national a conquis plusieurs mairies lors des dernières élections municipales. Hénin-Beaumont, Fréjus, Béziers : ces désormais bastions FN n'accueilleront plus Patrick Bruel en concert. Le chanteur, actuellement en tournée, a affirmé ne plus vouloir se produire devant des institutions d'extrême-droite.

    Dans une interview au magazine Technikart, le chanteur évoque l'affaire Dieudonné et revient sur les dangers du FN. 

    "Des électeurs désespérés"

    "Même si je peux comprendre que des électeurs désespérés répondent à un discours populiste, je ne veux pas me produire devant une institution dont je méprise l'idéologie". 

    En 1995, Patrick Bruel avait annulé ses concerts dans des villes comme Toulon ou Orange, devenues frontistes, pour marquer son opposition à ce parti "xénophobe et raciste".

    "Un nouveau mouvement s'impose"

    Artiste engagé et ancien parrain de SOS Racisme, il penche pour la création d'une nouvelle organisation contre le racisme. "Un nouveau mouvement s'impose pour résister au scandale de l'immonde Jour de colère (un collectif d'extrême-droite) qui renvoie aux heures les plus sombres de notre histoire", a-t-il indiqué dans le magazine Technikart, cité par ChartsinFrance.

    Et d'ajouter : "Je crois surtout que le salut doit venir de l'école, du refus du repli sur soi proposé par les discours populistes".

    RTL.FR

  • La phrase du jpur

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    « Si les roses, qui ne durent qu'un jour faisaient des histoires... elles diraient : "Nous avons toujours vu le même jardinier ; de mémoire de rose on n'a vu que lui... Assurément il ne meurt point comme nous, il ne change seulement pas.  »

     Bernard le Bouyer de Fontenelle  (1657-1757)

    Extrait des Entretiens sur la pluralité des mondes