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  • Il y a 40 ans disparaissait Charles Lindbergh, aviateur, inventeur, écrivain et... « antisémite »

     

    Charles Lindbergh, décédé le 26 août 1974, fut un personnage central de l’histoire de l’aviation et une grande figure populaire américaine. Il est aussi connu pour ses engagements, en particulier contre la guerre, qui lui valurent d’être qualifié de « nazi », ou d’« antisémite ». Une ombre sur la postérité immense de cet aviateur, inventeur, scientifique reconnu et auteur prolifique qui nous ramène finalement à une certaine constante dans les limites de la liberté d’opinion.

     

    Le parcours de l’ « aigle solitaire »

    Ingénieur en mécanique de formation, pilote pour une compagnie aérienne livrant du courrier, Charles Lindbergh entre subitement dans l’Histoire lorsqu’il réussit la première traversée de l’Atlantique sans escale et en solitaire, les 20 et 21 mai 1927 à bord du Spirit of Saint Louis. « L’aigle solitaire » sera couvert de reconnaissances officielles. On lui décerne la Medal of Honor et la Distinguished Flying Cross aux États-Unis, ou encore la Légion d’honneur en France (1931). En Angleterre, il est reçu par le Roi en personne et reçoit l’Air Force Cross en 1927. Il sera aussi élu « Man of the Year  » par le Times magazine en 1928. Au niveau du grand public, l’ovation est aussi notable : des centaines de milliers de personnes l’accueillent à son arrivée à Paris le fameux 21 mai, et il est adulé comme un héros national à son retour outre-Atlantique. Son ouvrage We, publié deux mois après la traversée, se vendra dans le monde à plus de 650 000 exemplaires.

     

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    Arrivée de Lindbergh au Bourget, le 21 mai 1927

     

    Lindbergh passera les années suivantes à faire fructifier cette notoriété. Il deviendra ainsi un porte-voix et un promoteur de l’aviation, et il multipliera les visites officielles à l’étranger.

    Au cours des années 30, il s’intéressera aussi à la chirurgie et en particulier à la circulation extracorporelle. Ses travaux sur le cœur artificiel aux côtés du français Alexis Carrel sont résumés dans un ouvrage intitulé The Culture of Organs, publié en 1938.

    En 1934, le kidnapping de son fils génère un véritable ouragan politico-médiatique. La nation entière s’émeut, les journaux s’affolent, les autorités déploient des efforts considérables dans la recherche de l’enfant. Malgré le versement d’une caution, ce dernier est retrouvé mort. Cet événement et l’agitation populaire et médiatique qui l’ont accompagné touchent durement Lindbergh, qui s’exile avec sa femme et ses enfants en Europe de 1936 à 1938. C’est durant cette période qu’il se rendra plusieurs fois en Allemagne pour le compte de l’US Air Force. Le IIIème Reich lui décernera la grande croix de l’ordre de l’Aigle allemand de la part d’Adolf Hitler, de la main de Goering.

    Pendant la guerre, Lindbergh réalise de nombreuses missions en tant que civil pour l’US Air Force dans le Pacifique, d’abord en tant que conseiller, puis en action. Après la guerre, il sera consultant auprès du chef d’état-major de l’US Air Force et auprès de la Panamerican Airways. En 1954, Eisenhower lui redonne un titre militaire (brigadier general). Il reçoit cette même année le prix Pulitzer pour son ouvrage The Spirit of Saint Louis.

    Vers la fin de sa vie, Lindbergh se concentre sur la défense de l’environnement et des espèces marines en voie de disparition. Il s’immerge aussi au sein de tribus indigènes aux Philippines et en Afrique. Il meurt en 1974 à l’âge de 72 ans sur l’île hawaïenne de Maui où il s’était retiré. Son ultime ouvrage, aux accents très autobiographiques, dans lequel Lindbergh émet des doutes quant aux bienfaits de la modernité technique et politique, est publié en 1978 à titre posthume [1].

     

    Un engagement public controversé

    Dès 1938 Lindbergh avait invité les forces occidentales à ne pas rompre l’accord de Munich et à ne pas rentrer en guerre contre l’Allemagne. Lors de son retour aux États-Unis en 1939, Lindbergh s’engage au sein de l’America First Commitee, une organisation plurielle regroupant un large panel de tendances politiques autour de l’opposition à l’engagement américain dans la guerre.

    Comme tous les mouvements populaires ou intellectuels isolationnistes de l’époque, l’organisation connaît, de 1940 à 1941 en particulier, un très grand engouement (elle comptera jusqu’à 800 000 membres). Sa position est très représentative de l’opinion majoritaire, qui s’entête à refuser l’implication dans le conflit malgré la propagande intense de la part des lobbies dans les arts, la littérature ou les médias, cherchant à jeter l’opprobre sur l’Allemagne dès 1933, et ouvertement entraîner les États-Unis dans le conflit dès 1940.

    Les meneurs des mouvements isolationnistes sont ainsi systématiquement et de façon plus ou moins justifiable accusés d’antisémitisme et de sympathie avec le régime nazi. Charles Lindbergh n’échappe pas à la règle et pour l’accuser des péchés ultimes, les groupes belliqueux ne manquent pas d’arguments : Lindbergh est en effet proche d’Henri Ford, il a aussi toujours porté un intérêt particulier à l’eugénisme (ce qui n’est pas sans lien avec son amitié avec Alexis Carrel) et il refuse de rendre sa décoration allemande.

     

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    Lindbergh à la tribune de l’America First,
    en 1941

     

    Pourtant, Lindbergh ressemble davantage à une célébrité faisant part de ses constats d’expérience qu’à un idéologue sournois aux intentions extrémistes. D’ailleurs, si l’on se penche sur le contenu intégral de son discours du 11 septembre 1941, très souvent cité car il y désigne les « juifs, les britanniques et l’administration Roosevelt » comme des « agitateurs », on retrouve, comme dans l’ensemble de ses déclarations, beaucoup de tempérance, du bon sens et une volonté assez simplement exposée de ne pas voir le peuple américain entrer dans une guerre au nom d’intérêts qui ne sont pas les siens [2]. L’America First Commitee, pour sa part, fut accusé d’être infesté de pro-nazis antisémites, et enchaîna les communiqués cherchant à clarifier ces questions. L’organisation demanda en outre à ses détracteurs hystériques de « cesser d’injecter la question raciale dans une question de guerre ou de paix » [3]. En vain.

    Comme de nombreux américains de l’époque, Lindbergh estimait que les États-Unis devaient s’en tenir à leur Constitution, et qu’il était vital pour l’Europe de trouver par elle-même les solutions à ses déséquilibres. En cela, il était résolument convaincu que l’intervention américaine était illégitime.

    Comme en témoignent ses engagements à la fin de sa vie, Lindbergh s’est toujours placé en défenseur des particularités identitaires et du droit à l’autodétermination. Une position honorable qu’on peut certes observer avec retenue, compte tenu de l’admiration forte qu’a voué l’aviateur à la puissance technique et technologique de l’Occident pendant une grande partie de sa vie, couplée à des considérations d’ordres racial et génétique parfois un peu étroites. Il faut cependant rappeler qu’il s’agissait là surtout de remarques éparses plutôt que de travaux théoriques construits.

    De même, comme l’indique son biographe A. S. Berg, sa relative sympathie pour le IIIème Reich (qu’il reniera d’ailleurs après-guerre à la vue des camps de concentration) s’explique surtout par le fait qu’il voyait l’Allemagne comme le seul rempart possible contre le bolchevisme. De par ses expériences pratiques au sein des milieux de pouvoir et des affaires, il adhérait assez peu au dogme guerrier de la grandeur de la démocratie devant faire obstacle aux odieux fascismes [4]. À ses yeux, une Europe dominée par la France, par les Britanniques ou par l’Allemagne, resterait l’Europe. Il voyait cependant le bolchevisme comme l’horreur absolue, la mort physique des identités européennes [5]. La dualité essentielle était donc pour Lindbergh au niveau de la civilisation (Europe ou URSS) et non du politique (démocratie ou fascisme). Il considérait que le rôle de la nation-sœur américaine vis-à-vis de l’antique Europe n’était certainement pas d’intervenir dans les affaires de cette dernière et d’entretenir ses querelles. L’Amérique devait au contraire se concentrer sur elle-même et construire son indépendance vis-à-vis de l’Europe, avec qui elle composerait en quelque sorte les deux visages d’un unique ensemble ainsi équilibré : l’Occident.

    On pourrait donc même deviner chez l’aviateur une vision plus complète, plus profonde que le simple isolationnisme constitutionnaliste de l’époque. C’est peut-être d’ailleurs cette recherche de liens aussi charnels que complexes entre les États-Unis et l’Europe qui coûtera à Lindbergh d’être aussi violemment caricaturé.

    Il est en tout cas intéressant de constater que pendant l’entre-deux-guerres comme à notre époque, ceux qui osent citer une certaine communauté pour s’opposer à ses ardeurs bellicistes sont hâtivement et à jamais marqués du sceau grossier, réducteur et disqualifiant de l’ « antisémitisme ». Ceci permet de mettre sur la touche tout opposant, quelles que soient la nuance et la qualité de son propos, sa notoriété auprès de masses populaires ou encore la richesse de son parcours.

  • Immigration et crise économique: la vérité interdite

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    « Je considère que l’immigration économique dans un contexte de croissance ralentie doit être limitée. Il y aura un débat au Parlement chaque année pour savoir quel est le volume de l’immigration. Aujourd’hui, quelques secteurs seulement sont en demande » (François Hollande en mars 2012.) (*)

    Une des causes –pas la seule – de la récession économique française est le coût énorme de l’immigration, avec toutes ses conséquences financières et autres. Malheureusement, à cause de l’interdiction dans notre régime «démocratique», de publier des statistiques chiffrées sur ce sujet, et du fait aussi de l’idéologie politiquement correcte qui paralyse les médias, la vérité est dissimulée.


    Tout d’abord, la France est à la fois le pays européen qui accueille proportionnellement la plus grande population extra-européenne et celui qui est décrit comme « l’homme malade de l’Europe », à cause du niveau de la dette, des déficits budgétaires, des records de chômage en hausse, etc. Étrange coïncidence.

    Ensuite, des économistes libéraux nous expliquent que le marasme économique français est dû à la social-démocratie, à l ‘État providence, au gouvernement de Hollande, au fiscalisme qui paralyse les entreprises et plombe leur compétitivité, au poids d’une fonction publique éléphantesque et privilégiée, de dépenses publiques improductives, etc. La liste est longue. Tout cela est absolument vrai. (1) Mais il y aussi un facteur essentiel dont personne n’ose parler : l’immigration débridée depuis 40 ans. Passons en revue les causes pour lesquelles elle a contribué à plomber l’économie française. Ces causes ne sont pas seulement économiques et financières, mais, indirectement, sociologiques.

    Il faut d’abord préciser qu’avant le catastrophique «regroupement familial» Giscard-Chirac de 1974, c’est le patronat qui avait organisé l’immigration de travailleurs, non pas par manque de main d’œuvre mais pour faire baisser le coût du travail. A l’époque d’ailleurs, le PC s’opposait lucidement à l’immigration. Les deux premiers inconvénients de cette politique d’appel à la main d’œuvre étrangère non qualifiée furent d’une part qu’elle inaugura la montée du chômage des autochtones et, d’autre part, qu’elle fut un frein à l’innovation. Aujourd’hui, l’immigration n’a plus rien à voir avec ce schéma ; il ne s’agit plus d’arrivées de travailleurs, mais de clandestins, de faux demandeurs d’asiles, de réfugiés, de bénéficiaires des regroupements familiaux. Bref, d’une population plus assistée que productive qui ne fait pas augmenter mais décroître la richesse par tête (PIB/habitant) et qui, quand elle travaille (minoritairement) apporte peu de valeur ajoutée.

    Voici en quoi l’immigration de peuplement est un boulet économique et pèse sur tous les comptes publics et donc alourdit la fiscalité des particuliers et des entreprises. Analysons successivement et brièvement 1) les coûts directs ; 2) les coûts indirects ; 3) les coûts globaux.

    Les coûts directs

    1/ Le coût des prestations et aides multiples aux immigrés anciens ou récents, y compris clandestins : allocations familiales, allocations chômage, AME (aide médicale d’État, réservée au clandestins de manière privilégiée et anticonstitutionnelle), coût d’entretien et d’hébergement des (faux) demandeurs d’asile, dépenses médicales et hospitalières. La majorité ne travaille pas. Assistanat généralisé. Ceux qui travaillent ne le font qu’à un bas niveau, pas rentable pour les rentrées fiscales et les cotisations. Les immigrés dans les créneaux de l’encadrement et des hautes qualifications ne sont qu’une infime minorité. Cela n’a rien à voir avec l’exclusion et la discrimination, puisqu’il existe au contraire des lois de discrimination positive en faveur de la «diversité» ! Ce coût des aides et prestations offertes à une population, globalement inefficace et assistée, supporté par l’État, la Sécurité sociale et toutes les collectivités locales, se fait aux frais des classes moyennes et des PME et à leur détriment. Ce qui plombe à la fois le pouvoir d’achat et d’investissement des forces vives.

    Globalement, le niveau, devenu insupportable, des prélèvements et des dépenses publiques (57% du PIB, record mondial et plus haut niveau dans toute l’histoire de France) est dû pour une large part à l’immigration. La profitabilité générale de cette dernière est une illusion économique, entretenue par la propagande immigrationniste.

    2) La «politique de la ville» euphémisme comique, est extrêmement coûteuse pour les municipalités et les départements, mais totalement inefficace. Les plus endettés sont, comme par hasard, ceux où la population immigrée est la plus forte. C’est pourquoi d’ailleurs, il est mensonger de parler de populations ou de zones «défavorisées», puisqu’elles reçoivent (en pure perte) le plus d’investissements. Elles sont au contraire surprotégées et privilégiées, mais toujours victimisées – souvent pour éviter, en vain, les émeutes. Alors qu’au contraire, les départements et les zones semi-rurales périphériques où vivent ou bien se réfugient les autochtones déclassés, les «invisibles» sont délaissés par les aides et transferts publics.

    Le «budget social de la Nation» est plombé par les prestations de toute nature versées à ces populations, primo arrivants ou nés sur le sol français. Aux flux d’entrées incontrôlés s’ajoute la forte natalité des immigrés, qui aggrave l’équation. Le ratio investissement social/ revenu marchand national est largement négatif.

    Les coûts indirects

    La notion de déséconomies externes concernant l’immigration n’a jamais été prise en compte. Il s’agit de coûts indirects, encore plus lourds que les charges comptables immédiates, mais qui se font sentir à plus long terme.

    1) Les énormes coûts de la criminalité et de la délinquance (dont l’origine est connue). L’économie de la «sécurité» demande de très importants investissements, publics et privés, qui sont autant d’argent en moins consacrés à des secteurs productifs et innovants. Les budgets de la justice, de la police et de la gendarmerie, sans parler de l’administration pénitentiaire, sont très alourdis par la délinquance d’origine immigrée. De plus, l’atmosphère d’insécurité et de dégradation du cadre de vie provoque des nuisances indirectes qui bloquent le dynamisme économique dans des domaines tels que le tourisme, la vie nocturne, le petit commerce, etc.

    2) La baisse du niveau scolaire dans l’école publique (primaire et secondaire) est davantage due à la présence d’immigrés de multiples origines à l’école – situation ingérable – qu’à la catastrophique doctrine pédagogiste et antisélective issue de Mai 68. Les deux se cumulent. À terme, on fabrique des générations en situation de décompétence.

    3) La discrimination positive, illégale, contraire au principe d’égalité, mais largement pratiquée au nom du dogme de la «diversité», oblige les grandes entreprises et les administrations à recruter prioritairement, selon des quotas, des personnels issus d‘une certaine origine. Cette pratique nuit à la compétence comme à la rentabilité et augmente le chômage des autochtones. Les effets, presque indolores, ne se feront sentir que progressivement.

    4) Les effets de l’économie souterraine et criminelle ne sont pas négligeables. Les coûts induits, dans tous les secteurs, du trafic de stupéfiants, en hausse constante, en fait très mollement puni et dissuadé, trafic qui est à 100% entre les mains d’acteurs d’origine immigrée, n’ont jamais été sérieusement évalués mais sont très élevés. Le trafic des stupéfiants augmente le volume de l’économie souterraine, dont les acteurs continuent de percevoir les aides publiques sans payer aucune contribution sociale. S’ajoute à cela le travail au noir, dans maints secteurs, qui a les mêmes effets récessifs.

    Les coûts globaux

    Tous les inconvénients de l’immigration massive sont comme de multiples petits ruisseaux qui finissent par former, dans tous les domaines, un grand fleuve. L’addition des petites dépenses font les grands déficits. De plus, une atmosphère générale d’insécurité, de dégradation du cadre de vie, de désarroi culturel et identitaire, de communautarisme et de dépossession territoriale, nuit à l’optimisme et à la confiance, indispensables à l’investissement et à l’innovation. La psychologie est la base des comportements économiques. Le pessimisme collectif a toujours été synonyme de récession.

    L’immigration fonctionne donc comme un fardeau global qui plombe le dynamisme économique et augmente le chômage. À égalité avec la politique économique collectiviste et étatiste, qui en est d’ailleurs une des conséquences partielles. Cercle vicieux : tous ces phénomènes provoquent une hausse des dépenses publiques qui pèsent sur les entreprises, augmentent encore le chômage et donc les dépenses publiques. Briser le cercle vicieux ne pourrait procéder que d’un programme révolutionnaire.

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    De plus, on assiste à une nouvelle lutte de classes, qui ne dit pas son nom, entre d’une part les assistés parasitaires, les salariés privilégiés des secteurs protégés, les élites du système et, d’autre part, les classes moyennes autochtones exploitées sur lesquelles reposent le financement des autres. Jusqu’à quand ? (2)

    Le pourcentage de créateurs d’entreprises innovantes créatrices d’emplois, en pointe technologiquement, est faible chez les immigrés d’origine extra-européenne. Si l’on faisait, grâce à un calcul arithmétique basique, le rapport hors coûts entre le nombre de jeunes immigrés créateurs de richesses et le nombre d’autochtones créateurs de richesses, le ratio serait sidérant : le «jeune issu de l’immigration» crée peu, ne rapporte presque rien et coûte beaucoup. Inutile de s’étendre sur les raisons de cette évidence : elles ne sont liées à aucune discrimination mais à une cause endogène. L’économie, comme le reste, repose sur les hommes plus que sur les chiffres, sur les qualités des populations, de leur comportement et de leur travail, bien plus que sur des mécanismes comptables et abstraits.

    L’argument, défendu par toute l’idéologie dominante, selon lequel l’immigration en provenance du tiers monde serait indispensable pour compenser notre déficit démographique et notre vieillissement, outre qu’il néglige les facteurs ethniques et historiques, ne tient pas la route sur le plan strictement économique, bien qu’il soit fondé sur le réductionnisme économique. Les bénéfices objectifs de l’immigration en termes économiques sont marginaux. Ce sont des cas particuliers, que les médias mettent en valeur en les généralisant. Globalement, en terme de coûts comparatifs, les inconvénients surpassent de loin les avantages.

    Tous les pays développés qui créent des richesses sont victimes d’une immigration de populations du Sud, incapables de se développer par elles-mêmes selon le modèle occidental, qui les fascine et qui, malheureusement, s’est étendu au monde entier. Même Israël, pourtant État ethniciste et protégé, est victime d’une immigration africaine mal maîtrisée. Le Japon et les pays émergents, comme la Chine, l’Inde, etc. refusent l’immigration de masse. L’Europe et l’Amérique du Nord absorbent les surplus des autres, qui se débarrassent de leurs improductifs sur notre dos, tout en favorisant notre colonisation de peuplement. Ce qui nous affaiblit et nous handicape, et ce que nos élites refusent de comprendre.

    Une France qui aurait été pratiquement préservée de l’immigration extra-européenne depuis 40 ans, même avec une faiblesse démographique et une population nettement inférieure à celle d’aujourd’hui, aurait un dynamisme économique, un niveau de vie et de création de richesses, un ratio d’emploi, une qualité d’existence très enviables par rapport à ce que nous vivons. Si rien ne change, la situation va devenir ingérable. Que faire de ces millions de jeunes individus inassimilables  qui poseront des problèmes toujours plus insolubles ? Le choix entre l’effondrement (lent ou brutal) ou la révolution, est posé.

     Guillaume Faye
    29/08/2014

    Notes :

    (1) Il est absolument vrai qu’en Grande Bretagne, par exemple, du fait de la déconstruction de l’État Providence, on trouve des bassins de pauvreté et des zones miséreuses plus nombreuses qu’en France, de même qu’un système de soins à deux vitesses s’est installé. Oui mais…1) l’excès d’État Providence français va bientôt aboutir au même résultat par effet de faillite général du financement ; 2) l’assainissement de l’économie par la rigueur financière et les coupes dans les dépenses sociales produit à terme un retour de la richesse générale et du plein emploi.
    (2) Voir ma brochure La nouvelle lutte de classes, Éd du Lore.

    (*) Note de la rédaction :

    Voir : La France du PS : à droite sur l’immigration ?
    par Laura Handal

    Source : http://www.gfaye.com

    Correspondance Polémia – 30/08/2014

  • Lagny-sur-Marne : il fait le salut nazi pendant la commémoration de la Libération

     

     

     

    Publié le 31.08.2014, 13h08

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    Un jeune homme âgé de 19 ans, a été interpellé samedi soir pendant les cérémonies commémorant la Libération de Lagny-sur-Marne. Vers 19 heures, mécontent de la remarque d’un figurant de la reconstitution de la bataille du pont Maunoury alors qu’il passait à pied au milieu du spectacle, le jeune homme a effectué plusieurs fois le salut en prononçant « Heil Hitler ». Entendu au commissariat, le jeune homme qui souffre de troubles psychiatriques et réside à (XIIIe), a été remis à ses parents après une brève audition. <btn_noimpr>

     
     
     

    Il ne devrait pas être poursuivi.

     

     

     

     

    LeParisien.fr

  • Ukraine: Poutine veut négocier un futur Etat dans l'est de l'Ukraine

    http://www.leparisien.fr/international/ukraine-les-pro-russes-lorgnent-sur-marioupol-l-ue-hausse-le-ton-31-08-2014-4099735.php

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  • Disparition du petit Loan: les parents avouent, le corps du bébé retrouvé dans un étang

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    http://www.leparisien.fr/limousin/creuse-les-parents-de-loan-avouent-le-corps-du-bebe-retrouve-dans-un-etang-31-08-2014-4099903.php

  • Cisjordanie: Israël veut s'approprier 400 hectares de terres, une opération d'une rare ampleur

    31/08/2014 à 12:59 - Mis à jour à 14:45

    Israël a l'intention de s'approprier 400 hectares de terres situées en Cisjordanie occupée, dans le secteur de Bethléem, a indiqué dimanche l'armée.

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    © Image Globe

    Israël a l'intention de s'approprier 400 hectares de terres situées en Cisjordanie occupée, dans le secteur de Bethléem, a indiqué dimanche l'armée. Il s'agit d'une décision "sans précédent" par son ampleur depuis les années 1980, s'est alarmée l'organisation anticolonisation "La Paix maintenant".

     

    Les autorités ont annoncé le lancement de la procédure déclarant propriété de l'Etat israélien ces 400 hectares proches de la colonie de Gva'ot, a dit l'armée. Elle n'a pas fourni de justification à la décision prise par "les instances politiques" et précisé que les parties concernées avaient 45 jours pour faire appel. "La Paix maintenant" considère cette déclaration comme "la preuve que le Premier ministre (Benjamin) Netanyahu (...) continue à dresser les obstacles devant la vision de deux Etats (israélien et palestinien) et de promouvoir une solution avec un seul Etat".

  • Israël cesse le conflit à Gaza en raison des menaces de l'EI, Al Qaïda et du Hezbollah dans la région

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    31/08/2014 à 09:00 - Mis à jour à 08:59

    Le Premier ministre israélien Benjamin Netanyahu a affirmé samedi à la télévision qu'Israël avait accepté de cesser les hostilités à Gaza pour garder des ressources face à d'autres menaces régionales potentielles.

    Le Premier ministre israélien Benjamin Netanyahu © Reuters

    "Nous avons combattu 50 jours et nous aurions pu combattre 500 jours, mais nous sommes dans une situation où nous avons l'Etat islamique aux portes de la Jordanie, Al-Qaïda dans le Golan et le Hezbollah à la frontière avec le Liban", a déclaré M. Netanyahu lors d'un entretien à la télévision publique israélienne diffusé samedi soir. "Nous avons décidé de ne pas nous embourber dans Gaza, (...) nous avons décidé de nous limiter à notre objectif: ramener le calme aux citoyens d'Israël", a-t-il ajouté.

     

    Après plusieurs trêves unilatérales ou bilatérales avortées, les deux camps ont fini par s'entendre mardi sur un cessez-le-feu illimité mettant un terme à 50 jours de guerre qui ont fait 2.143 morts côté palestinien et 71 côté israélien.

     

    Benjamin Netanyahu a appelé le président palestinien Mahmoud Abbas, avec qui il affirme que les "contacts sont réguliers", à faire un choix entre des négociations de paix avec Israël ou le Hamas, avec qui il a formé un gouvernement d'union début juin. "Les Palestiniens doivent comprendre qu'ils doivent choisir entre la paix ou le Hamas", a-t-il ajouté. De nouveaux pourparlers doivent avoir lieu dans un délai d'un mois entre Israéliens et Palestiniens.

     

    Depuis sa réconciliation en avril avec l'Organisation de libération de la Palestine (OLP) dominée par le Fatah de M. Abbas, le Hamas est revenu au premier plan dans le jeu politique palestinien, provoquant la colère d'Israël qui a refusé de reconnaître la légitimité du gouvernement d'union palestinien formé début juin. "Nous n'avons aucun problème à ce que l'Autorité palestinienne prenne le contrôle de Gaza, nous avons un problème si le Hamas tente de prendre le contrôle de la Judée-Samarie (le nom donné par les Israéliens à la Cisjordanie occupée NDLR)", a déclaré le Premier ministre israélien lors d'une autre interview accordée à la deuxième chaîne de télévision et également diffusée samedi soir.

  • Les 819 derniers Juifs de Norvège quittent le pays

    http://www.tribunejuive.info/international/les-819-derniers-juifs-de-norvege-quittent-le-pays

  • Un fugitif dangereux atteint de schizophrénie aiguë est recherché dans le Doubs

     

    Un mandat d’arrêt international est lancé contre John Herbert, un Anglais mesurant 1,91 m et pesant 84 kg, considéré comme très dangereux.

     (HUGUES HUET - FRANCE 3 et FRANCE 3 FRANCE-COMTE)

    Par Francetv info

    Mis à jour le 30/08/2014 | 19:48 , publié le 30/08/2014 | 17:57

    • Un malade mental de 52 ans de nationalité anglaise s'est échappé jeudi 28 août du centre hospitalier psychiatrique de Novillars, dans le Doubs, où il se trouvait sur décision judiciaire depuis le 3 juillet 2013. John Herbert est considéré comme dangereux, voire très dangereux.

    L'homme a été condamné par la cour d'assises de Besançon le 15 juin 2010 à une peine de 18 mois d'emprisonnement assortie de 10 ans de suivi socio-judiciaire pour le viol de son ex-compagne, enceinte de six mois, en septembre 2007.

    Son co-détenu à la maison d'arrêt a eu le crâne fracassé

    Il est aussi accusé d'avoir fracassé à l'aide d'une presse de quatre kilos, le crâne d'un Savoyard de 42 ans, son co-détenu à la maison d'arrêt de Bonneville (Haute-Savoie), le 26 septembre 2011. Le motif de la dispute demeure inconnu. John Herbert, atteint de schizophrénie aiguë, est finalement déclaré pénalement irresponsable pour ce meurtre d'une sauvagerie inouïe. La chambre de l'instruction de Chambéry prend alors par sûreté une mesure d'hospitalisation d'office. Il se retrouve alors à Novillars, où son état était semble-t-il stabilisé .

    John Herbert parle bien le français, mais avec un accent anglais prononcé. D'une taille de 1,91 m pour un poids de 84 kg, il a les cheveux châtains clairs coupés court. Un mandat d'arrêt international est lancé contre lui. Un numéro vert et gratuit a été aussi ouvert : le 0 800 00 48 43.