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  • Deux journalistes, qui voulaient défendre la cause des Roms, attaquées et dépouillées !

    2 septembre 2014 par admin4 

    On ne se lasse pas de ces anecdotes savoureuses, dans lesquelles les militants du Système subissent ce qu’ils imposent aux Français…

    Selon Le Parisien, deux journalistes de TF1 qui réalisaient un sujet sur les Roms ont été agressées jeudi dernier à Vineux-sur-Seine.

    Les deux femmes, qui avaient pour but de « sensibiliser » le public sur les conditions et le mode de vie des Roms en Ile-de-France, avaient donné rendez-vous à deux membres de la communauté, gare de Lyon, pour réaliser leur reportage. Après s’être rendu avec les deux hommes en Essonne par le RER, la situation a vite dégénérée.

    Dès leur sortie du train, les deux Roms ont porté des coups de poing aux deux journalistes avant de les dépouiller de tout leur matériel, caméra et téléphones portables. Ces derniers ont ensuite pris la fuite alors que les deux femmes, légèrement blessées, sont allées déposer plainte.

    Source OJIM via T. de Chassey

    Contre-info.com

  • Esteban Morillo enfin libre !

    2 septembre 2014 par CharlotteO 

    Capture d’écran 2014-09-02 à 17.57.47Esteban Morillo vient d’être relâché des geôles des socialistes.

    Accusé d’avoir provoqué la mort d’un jeune voyou d’extrême-gauche, en se défendant contre lui et ses comparses qui l’agressaient, ce jeune patriote a passé un an et trois mois sous les verrous, de façon aussi absurde que scandaleuse.

    Mis en examen pour « violences volontaires en réunion et avec arme ayant entraîné la mort sans intention de la donner », Esteban Morillo sera soumis à un contrôle judiciaire strict qui lui interdit notamment de quitter son département de résidence, a-t-on précisé.

    Comme nous l’écrivions il y a encore quelques semaines, les textos trouvés dans le portable de Clément Méric montraient clairement le piège tendu par ces « antifas » à Estaban et ses camarades. En plus de son année perdue en prison, Esteban aura subi les conséquences d’une campagne de désinformation savamment orchestrée qui ne sera probablement jamais corrigée.

    Contre-info.com

    Nous nous en réjouissons pour ce jeune homme qui, victime d'un véritable guet-apens, a agi en état de légitime défense face à ses agresseurs.

  • Tribune d’Aymeric Chauprade : Marine Le Pen garde ses distances

     

    La présidente du FN Marine Le Pen a affirmé mardi à l’AFP que des propositions tonitruantes publiées au mois d’août par son conseiller international sur la politique internationale « n’engageaient pas le FN ».

    « Le FN n’a pas changé de position sur cette question (de politique internationale). Aymeric Chauprade a exprimé dans cette tribune sa vision personnelle de la situation, ce qui est évidemment son droit légitime mais qui n’engage pas le FN », a assuré la patronne du parti.

    M. Chauprade, député européen et conseiller spécial de Marine Le Pen sur les questions internationales, a publié le 11 août sur son site personnel une longue tribune intitulée « La France face à la question islamique : les choix crédibles pour un avenir français ».

    Il appelle notamment les services spéciaux à « éliminer les 1.000 jihadistes disposant de la nationalité française partis combattre en Syrie et en Irak » avant « qu’ils ne reviennent », et voit dans les événements du 11 septembre 2001 le résultat d’une « collusion probable entre une partie de l’État profond américain et l’État profond saoudien ».

    Évoquant les exactions commises par l’État islamique (EI) contre les chrétiens d’Irak, M. Chauprade défend un « principe de solidarité civilisationnelle » et appelle à une « préférence chrétienne » en matière d’asile.

    Surtout, il affirme que « la France n’a aujourd’hui qu’un véritable ennemi : le fondamentalisme islamique sunnite » alors qu’« Israël n’est pas l’ennemi de la France ».

    Il s’inquiète de voir le pays « menacé par le remplacement de sa population historique par une population en majorité africaine et musulmane » d’ici « une ou deux décennies ».

    Pour ce géopolitologue, « un pan entier et important de la population de nationalité française d’origine arabo-maghrébine et musulmane n’est plus seulement antisioniste, il est antisémite ».

    Ce docteur en sciences politiques renoue avec l’idée d’« inversion des “mauvais” flux migratoires », pratiquement absente du programme du FN pour la présidentielle 2012 : « Notre pays a accueilli des millions de musulmans. Une partie restera, une autre devra partir », plaide-t-il, visant ceux « nombreux qui font le choix de l’Oumma plutôt que de la France » qui « n’ont vocation ni à être ni à rester français ».

    La tribune a suscité de nombreuses réactions sur Internet dans les milieux d’extrême droite.

    Joint par l’AFP, Florian Philippot, vice-président FN chargé de la stratégie, a estimé que dans cette tribune « il y a des points identiques à la position du Front, d’autres non ». Il s’est déclaré opposé à l’élimination des jihadistes, telle que proposée par M. Chauprade. « On peut envisager une kyrielle de mesures : déchéance de nationalité, faire travailler nos services de renseignement, la justice, renforcer considérablement les peines. Mais dans le cadre de l’Etat de droit », a-t-il précisé.

    Le député européen Bruno Gollnisch, interrogé par Marianne, a lui qualifié d’« un peu angélique la manière qu’a Chauprade de reprendre le discours officiel des autorités israéliennes ».

    C’est « un texte fondamental pour l’avenir de la France », a salué Fabrice Robert, patron du Bloc identitaire sur Twitter. « Intelligent, limpide, clair », a déclaré à l’AFP Philippe Vardon, figure de proue des identitaires niçois.

    Serge Ayoub, chef du groupuscule Troisième voie dissous en juillet 2013, a évoqué lui des « errements ».

    Pour Nicolas Lebourg, historien spécialiste du FN, ce texte, « une offre idéologique cohérente », comporte une « inflexion » par rapport à la ligne actuelle du FN.

    E&R

  • Ukraine : un bataillon de volontaires israéliens aux côtés des insurgés

     

    Les rebelles (pro-russes ou venus de Russie) du Donbass, comprenant vraisemblablement des milliers de soldats russes (1), sont renforcés par des volontaires « antifascistes » venus de différents pays et attirés par les drapeaux rouges et la haine des nationalistes ukrainiens, par des Tchétchènes envoyés par Ramzan Kadyrov, ou encore par des… Israéliens !

    En effet, le « bataillon Aliya » regroupe des soldats des forces spéciales israéliennes, partis volontairement lutter contre les Ukrainiens.

     

    (1) : 3000 volontaires russes servent actuellement dans les rangs des séparatistes, a affirmé un chef des insurgés, Alexandre Zakhartchenko. La présidente du « Comité des mères de soldats russes », Valentina Melnikova, parle pour sa part carrément de quelque 15 000 militaires russes.

    Contre-info.com

     

  • Biscuits «bamboula» et «négro» : polémique autour de la «chocolaterie de la honte»

       Publié le 02.09.2014, 15h43 | Mise à jour : 17h28

     

     

                                    

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                         Une chocolaterie d'Auxerre va changer le nom de deux de ses spécialités, le «bamboula» et le «négro», vendues depuis de plusieurs années et qui mardi les protestations de deux associations antiracistes.
    | Capture d'écran/Lesvitrinesdauxerre.com

                                                                                

     

     

                                     

     

    Face au tollé suscité, une chocolaterie d'Auxerre va changer le nom de deux de ses spécialités, le «bamboula» et le «négro», vendues depuis de plusieurs années et qui ont provoqué ce mardi la colère de deux associations antiracistes.

    L'affaire a démarré lundi quand de nombreux internautes ont saisi le Conseil représentatif des associations noires de (CRAN) et Sortir du Colonialisme «à propos d'un magasin très spécial à Auxerre», selon ces associations.
     
     
     
    Le chocolatier évoque un hommage aux tirailleurs morts pour la , mais le Cran y voit du racisme pur et simple.

    «En vérité, les Noirs de se seraient bien passés d'un pareil hommage. Est-ce que la maison Féret a l'intention de vendre aussi des nougats Ratons, en hommage aux Algériens de France ? Et pourquoi pas des bonbons Youpin, en hommage aux Juifs déportés ? Utiliser ces termes racistes pour faire vendre, c'est déjà outrageant, mais affirmer qu'il s'agit d'un hommage, c'est vraiment prendre les gens pour des c***"», écrit Louis-Georges Tin, le président du Cran.

    En cause, deux produits vendus dans cette chocolaterie, du nom de «négro» (un pain d'épices praliné) et «bamboula» (un biscuit chocolaté). Face à la polémique, le commerce a expliqué sur sa page Facebook qu'il s'agissait là de spécialités auxerroises vieilles d'un siècle, conçues à l'époque pour «rendre hommage» aux tirailleurs sénégalais blessés durant la guerre et à une danse africaine.

    Les auteurs ont choisi ce Nom qui s'inspire du Rio Negro c'est-à-dire des sacs de cacao qui arrivaient de Venezuela et de Colombie à destination d'Auxerre c'est en quelque sorte une métaphore pour exprimer le courage et la volonté des Sénégalais. De plus, le Bamboula est le Nom d'une ancienne danse Africaine qui est arrivée en France, cette danse a inspiré beaucoup de gens, elle s'est répandue dans le pays et les auteurs du Bamboula ont désiré rendre hommages aux cultures que les Africains nous ont apporté en France.

    (lesvitrinesdauxerre.com)
    Face à la polémique, la chocolaterie Féret a retiré les biscuits de sa vitrine et va changer leur nom.

    Ces explications n'ont pas convaincu le CRAN et Sortir du Colonialisme, qui ont dénoncé, mardi dans un communiqué, «un revival de l'imagerie coloniale la plus nauséabonde» en exigeant que «la chocolaterie de la honte retire de la vente ces horreurs».

    De son côté, la chocolaterie Féret a précisé qu'elle vendait le «négro» et le «bamboula» depuis 2009, et que les propriétaires précédents de la boutique avaient relancé ces spécialités une douzaine d'années auparavant.

    «On a un succès fou. J'en expédie dans toute la France et je n'avais jamais eu de souci avant hier après-midi», a raconté Virginie Féret, qui évoque des «menaces» reçues par mail et par téléphone. Aussi, «pour calmer le jeu», la chocolaterie va-t-elle changer le nom de ses produits, dès que possible. Mardi, elle les avait déjà retirés de sa vitrine, craignant qu'on ne la brise.

        

    LeParisien.fr

  • Décapité depuis vingt minutes, un cobra tue un cuisinier

     

    Créé : 22-08-2014 21:01

    CHINE - Un chef cuisinier s'est fait mordre par un cobra cracheur d'Indochine auquel il avait pourtant coupé la tête 20 minutes plus tôt. L'homme a succombé à la morsure dans les minutes qui ont suivi.

     

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    Le cobra cracheur d'Indochine peut cracher son venin jusqu'à 3 mètres de distance, il vise alors les yeux pour essayer d'aveugler son agresseur. Photo : CB2/ZOB/WENN.COM/SIPA
  • Mort de Clément Méric: le principal suspect, Esteban Morillo, a été remis en liberté

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    http://www.leparisien.fr/faits-divers/mort-de-clement-meric-le-principal-suspect-esteban-morillo-remis-en-liberte-02-09-2014-4104957.php

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  • Poutine: "je peux prendre Kiev en deux semaines"

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    02/09/2014 à 11:28 - Mis à jour à 11:35

    Source: L'Express

    Le président russe a fait savoir à José Manuel Barroso que, s'il le voulait, il pouvait envahir la capitale ukrainienne en moins de deux semaines. Des déclarations qui interviennent dans la foulée d'une évocation d'un possible état indépendant dans l'est de l'Ukraine.

     

     

    Poutine © Reuters

    Selon Poutine, l'armée russe pourrait être dans les rues de Kiev en moins de deux semaines. Des propos musclés qu'il aurait tenus lors d'une conversation téléphonique et qui ont été repris par La Repubblica et De Spiegel. Barroso aurait en effet révélé la tenue de cette conversation lors du sommet européen de la semaine dernière à Bruxelles. La discussion entre les deux hommes s'engage sur le sujet de la présence militaire russe en Ukraine. Une présence fermement démentie par le président russe et qui aurait alors rétorqué à Barroso que "s'il le souhaitait, il pourrait entrer dans Kiev en moins de deux semaines".

     

    Le Kremlin trouve pour sa part que les propos de Vladimir Poutine ont été "retirés de leur contexte" et que "ce n'est pas approprié" de la part de Barroso. "Cela va au-delà des pratiques diplomatiques, si cela a été fait. Cela n'est pas du niveau d'une personnalité politique sérieuse". "Que ces mots aient été prononcés ou non, je pense que ces citations ont été retirées de leur contexte et avaient une signification totalement différente", a dénoncé M. Ouchakov du Kremlin pour les questions internationales.

     

     

    Un nouvel état en Ukraine est-il possible ?

     

    Ce n'est pas la seule déclaration-choc du président russe. Pas plus tard que dimanche, il a évoqué devant les caméras d'une télévision russe la possibilité de la création d'un État au sud-est de l'Ukraine pour mettre fin aux conflits. Jusqu'à présent la Russie s'était limitée à seulement demander davantage d'autonomie pour ces régions.

     

    Mais la Russie peut-elle vraiment faire apparaître un nouvel État dans l'est de l'Ukraine ? L'Express a interviewé un expert, Yann Kerbrat, professeur de droit international, pour savoir si cela était possible au regard du droit international. Car si l'idée d'un état a été par la suite démentie par le Kremlin, ce genre de situation fait curieusement écho à ce qu'on a pu voir en Crimée ou encore Géorgie avec l'Ossétie du Sud et l'Abkhazie.

    Pour qu'un état soit reconnu au niveau international, il faut qu'il existe au sein du pays "une organisation politique - généralement appelée gouvernement - capable d'organiser la société de manière à être respectée par un peuple." précise le professeur. Or on tombe souvent dans une zone grise où certains reconnaissent le nouvel État et d'autres pas.

     

    Et Yann Kerbrat de préciser que "Par exemple, en Géorgie, l'indépendance de l'Abkhazie est reconnue par la Russie et cinq autres Etats, mais pas par le reste de la communauté internationale. La reconnaissance ne fait naître que des obligations pour le pays qui reconnaît. Il s'inscrit alors dans une relation d'État à État et soumet ces relations au droit international: cela implique la mise en place de relations diplomatiques, le respect de la souveraineté du nouvel État...". Le professeur poursuit en stipulant qu'on ne peut considérer l'Est de l'Ukraine comme un état "parce qu'il n'y a pas de gouvernement qui puisse revendiquer l'exercice du pouvoir sur ce territoire de manière exclusive. En effet, l'État ukrainien y mène chaque jour des interventions armées." Mais aussi parce que les "russophones de l'est de l'Ukraine ne peuvent pas s'appuyer sur le droit international pour revendiquer leur indépendance. Le droit à l'autodétermination des peuples ne se confère qu'aux peuples coloniaux." Or, l'Ukraine ne peut pas être considérée comme une colonie ou un territoire occupé puisque la Russie n'est pas officiellement entrée en Ukraine.

    Toujours selon Yann Kerbrat, la reconnaissance d'un état n'a donc qu'une seule véritable limite imposée par le droit international : "il est interdit de reconnaître la naissance d'un État lorsqu'il est issu de la violation de l'interdiction du recours à la force et/ou de la violation du principe de non-intervention qui préserve l'intégrité territoriale." Une limite qui est atteinte si l'on considère que la Russie intervient militairement ou menace d'intervenir en Ukraine et qui du même coup nie la souveraineté de ce pays. De quoi rendre caduque toute velléité de la Russie de rendre l'Est de l'Ukraine indépendant.

  • La faillite libérale-libertaire

    29 août 2014 

    PS corruption

    C’est un « fait divers » d’une horreur absolue qui a bouleversé nos voisins britanniques, une abjection qui prend aussi sa source dans  la dictature du politiquement correct assurant la promotion du multiculturalisme obligatoire et du dogme de l’ antiracisme. Un drame révélé mardi  dans toute son ampleur dans un rapport rendu public. Entre 1997 et 2013, dans la ville de Rotherham (nord de l’Angleterre), 1400 mineurs ont été victimes d’exploitation sexuelle et d’autres sévices.

     Ledit rapport évoque le cas d’enfants « aspergés d’essence puis menacés d’être enflammés, menacés avec des armes,  forcés d’être témoins de viols très violents, battus et enlevés » voire « échangés » dans d’autres villes, ou encore victimes de « viols collectifs« , perpétrés notamment à de multiples reprises sur des fillettes de  11 ans… « Personne ne connaît l’ampleur de l’exploitation sexuelle qu’ont subie des enfants ici à travers les années ».

    Les services  sociaux de cette municipalité avaient été prévenus mais il semblerait que certains auraient sous-estimé  l’ampleur de cette affaire et/ou voulu l’étouffer. Pourquoi? Un des éléments réside  dans le fait, est-il expliqué, que de nombreux agents des services sociaux ont  « fait part de leur nervosité à identifier les origines ethniques des auteurs présumés » (principalement des Indo-Pakistanais), « de peur de passer pour raciste« . Tout est dit…

    Nous savons à quelles extrémités malheureuses, à quels errements et démissions tragiques  peut conduire, dans tous les domaines, la catastrophique doxa libérale-libertaire qui est l’idéologie dominante de la plupart de nos « élites » politico-médiatiques.

    Le gouvernement Valls II l’incarne parfois jusqu’à la caricature avec les nominations (provocations) de Najat Vallaud-Belkacem à la tête du ministère de l’Education et d’Emmanuel Macron, ancien conseiller économique de François Hollande, ancien banquier d’affaires au sein du groupe Rothschild, nouveau ministre de l’Economie, de l’Industrie et du numérique.

     La promotion accordée à Mme Vallaud-Belkacem, ex secrétaire nationale du PS chargée des questions de société et des droits des personnes LGBT,  parle d’elle même dans sa volonté clairement affichée de flatter la frange la plus agressive et extrémiste du lobby progressiste et des adversaires des valeurs traditionnelles.

     Nous le savons, elle est favorable à la gestation pour autrui  contenue dans le projet d’évolution sur la loi de bioéthique dont elle fut la rapporteuse, elle assura la défense  dans les médias du mariage et à l’adoption pour les couples homosexuels; elle fut également à la manœuvre pour la mise en place  des «ABCD de l’égalité»  assurant l’entrée dans nos écoles de la théorie du genre (gender). Le CV idéal pour diriger l’Education « nationale » selon MM. Hollande et Valls…

    Quant à la nomination d’Emmanuel Macron, elle est largement appréhendée comme la mise en pratique d’un euro-libéralisme qui a les faveurs du duo Hollande-Fabius, comme  un énième effort désespéré aussi,  d’échapper à la spirale de la dette qui atteindra le seuil de 100% du PIB fin 2015 si elle poursuit sur la  même trajectoire.

    Elle  intervient sur fond de croissance zéro, d’ un chômage qui frôle officiellement les 11%,  après 27 mois de hausses continues des impôts et des taxes matraquant nos entrepreneurs, commerçants, artisans,  les catégories populaires et les classes moyennes, à l’heure ou notre déficit atteint 2000 milliards d’euros.

     Sera-t-elle à même de stopper cette course vers l’abîme? L’arrivée de l’UMP compatible Emmanuel  Macron à ce poste  n’est en effet que la confirmation des orientations euromondialistes d’une gauche française soumise à Bruxelles, dont  Bruno Gollnisch estime qu’elles sont directement responsables (mais pas seulement) du déclin français.

    A l’instar de nombreuses personnalités  occupant des postes de premier plan au sein  de la nébuleuse mondialo-bruxelloise bien décidée à en finir avec la souveraineté des Etats nations, M. Macron est dans les petits papiers d’une officine comme le groupe  Bildelberg.

    Il fut un des rares invités français en juin dernier à Copenhague de cette structure » un peu occulte et mondialiste » comme l’a noté Bruno Gollnisch,  en compagnie de sa collègue Fleur Pellerin, de Pierre-André de Chalendar  (Saint-Gobain) ou encore de Natalie Nougayrède, directrice du quotidien  Le Monde de mars 2013 à sa démission le 14 mai de cette année.

    Evoquant la présidence Hollande dans  le livre à paraître intitulé « Moi président », Arnaud Montebourg, n’aurait eu de cesse d’alerter  des conséquences politiques des errements du gouvernement: » On laisse la porte ouverte au FN. On n’en peut plus, on est au bout. Cet amateurisme, ce n’est pas croyable.»

    Une chose est certaine c’est que l’énorme déficit de confiance des Français vis-à-vis  de  la gauche au pouvoir est aussi un frein puissant à une hypothétique reprise économique.

    La gauche a trop échoué, trop  menti, trop trahi. En 2006, François Hollande dans son livre « Devoirs de Vérité« , avait promis de procéder à une « vérification démocratique » à mi-mandat. Il a préféré finalement la fuite avant,  se soumettre encore plus au Parti de l’étranger.  

    Le journal allemand Der Spiegel prédisait cette semaine au bout du bout de la faillite d’une gauche française qui a succédé aux échecs des années Sarkozy un tremblement de terre politique: la révolution patriotique.  « Le prochain président pourrait être Marine Le Pen » avance-t-il. Il n’est pas le seul à le penser.

    Blog de Bruno Gollnisch

  • Cécile Kyenge demande une loi européenne interdisant les partis qu’elle estime ‘racistes’

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    13h31

    Italie – Cécile Kyenge , député européen du Parti démocrate et ancien ministre de l’Intégration, appelle à une loi pour interdire les partis, racistes selon elle, comme la Ligue du Nord et Forza Nuova. «Nous avons besoin d’une loi. Nous ne devons pas permettre qu’il y ait des partis qui prêchent la haine ou l’incitation à la haine. »

    « Nous avons besoin d’une loi qui punissent les partis qui utilisent des affiches racistes. Nous ne devons pas permettre l’existence de partis qui prêchent la haine ou l’incitation à la haine. Et dans toute l’Europe, pas seulement en Italie. Dans le cas contraire, nous acceptons que se répandent les pensées racistes et la discrimination. Nous sommes dans une démocratie et tout le monde est libre d’exprimer son opinion, mais le respect de soi commence là où commence le respect de «l’autre» ».

    Source - Merci à kit de survie

    ——– Rappels ——–

    • Cécile Kyenge, ancien ministre de l’Intégration, a reconnu avoir pénétré illégalement sur le territoire italien lors de son arrivée. Elle a créé la polémique en disant vouloir supprimer la notion d’immigration clandestine en Italie. Elle est issue d’une famille congolaise de 38 enfants nés des quatre femmes de son père

    • Relire : Kyenge : « L’Italie est un pays multi-ethnique »

    • Relire :  Cécile Kyenge veut plus d’Africains en Italie et en Europe

    FDS

  • Hélène Carrère d'Encausse : «Poutine et Porochenko ne savent plus s'arrêter»

     

     

    FIGAROVOX/EXTRAITS - Le secrétaire perpétuel de l'Académie française Hélène Carrère d'Encausse analyse le jeu dangereux auquel se livrent Vladimir Poutine et Petro Porochenko en Ukraine, et expose le rôle que l'Europe pourrait remplir pour désamorcer la crise. Extraits.

     

    Crédits photo : Paul DELORT/Le Figaro

    Hélène Carrère d'Encausse est historienne, secrétaire perpétuel de l'Académie française et spécialiste de la Russie. Elle a publié récemment «Les Romanov: une dynastie sous le règne du sang» (Fayard, mai 2013).


    LE FIGARO. - Vladimir Poutine, qui continue d'envoyer des troupes russes en Ukraine, évoque désormais la création d'un «statut étatique» pour le sud-est de l'Ukraine? Quel est réellement son plan?

    Hélène CARRÈRE D'ENCAUSSE. -Le jeu très inquiétant, auquel nous assistons, entre l'Ukraine et la Russie peut devenir une véritable catastrophe pour l'Europe.

    D'un côté, le président ukrainien, Petro Porochenko, n'a de cesse depuis son arrivée au pouvoir de vouloir reprendre par la force le contrôle de cette partie russophone de l'Ukraine, après avoir refusé d'accepter le principe d'une fédéralisation du pays. Il joue le même jeu que ceux qui ont refusé aux russophones de la région de parler leur langue, décision qui déclencha un processus de révolte de ces russophones et offrit à Vladimir Poutine la possibilité de s'emparer de la Crimée.

    De l'autre côté, Poutine, qui n'a pas selon moi de grand plan préétabli, joue au coup par coup. À la tentation de l'occidentalisation de l'ensemble du pays du président ukrainien qui se dit prêt à adhérer à l'Otan, Poutine, ulcéré par une telle perspective, répond par la provocation. S'appuyant sur les séparatistes ukrainiens, le président russe joue la carte de la déstabilisation du sud-est du pays. Cette partie du pays pourrait ainsi éventuellement devenir la zone de raccord entre la Crimée et la Russie alors que dans l'état actuel des choses la Russie est coupée de la Crimée et doit envisager, pour rendre son rattachement effectif, d'énormes et coûteux travaux de construction d'un pont de plus de 15 kilomètres au-dessus du détroit de Kertch.

    L'agitation et la rébellion de l'Ukraine du Sud-Est menace de devenir irréversible. Les habitants du sud-est du pays pourront-ils oublier qu'ils ont été traités en ennemis et vivent aujourd'hui la guerre civile? Poutine tire avantage de cette situation. Certes, les sanctions contre la Russie se multiplient. Il les sait coûteuses pour les pays qui les décident mais également pour la Russie, qui en paie le prix par des difficultés économiques réelles. Soutenir les séparatistes est sans doute contraire à l'ordre international et à la souveraineté de l'État ukrainien. Envoyer des mercenaires ou des soldats sans uniformes en Ukraine n'est pas légal. Poutine, qui le sait parfaitement mais qui est convaincu que cela est couramment pratiqué dans d'autres conflits, notamment par les États-Unis, conteste du coup les accusations portées contre la Russie sur ce point. Mais la situation de quasi-guerre civile dans cette partie de l'Europe et de l'Ukraine déchirée, incite d'autant plus Vladimir Poutine à intervenir que la Russie est exclue pour l'instant du débat sur l'avenir de l'Ukraine.

    Si cela n'était pas tragique, le conflit entre l'Ukraine et la Russie ressemblerait à une bataille de gamins qui ne savent plus s'arrêter.

    Ils sont, par ailleurs, humiliés par des sanctions prises à leur égard par l'Europe et ils considèrent que leur pays est victime de l'arrogance des pays européens et des États-Unis.

    Poutine n'est-il pas fragilisé par la mobilisation des mères de soldats russes? Bénéficie-t-il du soutien du peuple russe?

    Oui. Les Russes ont vu avec satisfaction le rattachement de la Crimée à leur pays. Ils sont, par ailleurs, humiliés par des sanctions prises à leur égard par l'Europe et ils considèrent que leur pays est victime de l'arrogance des pays européens et des États-Unis. Ils n'oublient pas que Gorbatchev a accordé au chancelier Kohl en 1990 la réunification de l'Allemagne contre l'engagement que l'Otan ne s'installerait pas aux frontières de leur pays. Pourtant, ils ont laissé les pays Baltes entrer dans l'Otan mais ceci constitue pour la Russie un cas particulier, la limite de l'acceptable. L'Ukraine est différente par ses dimensions et ses liens historiques avec la Russie.

    Quant aux mères de soldats russes, leur inquiétude est réelle mais la situation en Ukraine n'a rien à voir avec celle de la guerre d'Afghanistan, qui fut effroyablement meurtrière.

    La présidente lituanienne Dalia Grybauskaite estime que la Russie était pratiquement en guerre contre l'Europe. Le premier ministre polonais Donald Tusk vient d'être nommé président du Conseil européen. Les relations entre la Russie et l'Europe sont-elles amenées à se durcir?

    L'Europe n'a pas d'autre choix. C'est à elle d'agir : elle doit sauver l'unité de l'Ukraine, l'existence même de l'Ukraine étant menacée aujourd'hui de dislocation. Et en Europe, deux pays, la France et l'Allemagne, doivent être les puissances médiatrices de ce conflit.

    La Lituanie est membre de l'Otan et n'a donc pas à craindre la Russie. La nomination de Donald Tusk est une heureuse nouvelle car elle donne à la Pologne la place qui lui revient naturellement en Europe, celle d'un grand État historique, et Donald Tusk est un esprit pondéré capable d'agir en homme d'État et non seulement par passion. Comment oublier qu'il est allé avec Poutine à Katyn pour rendre hommage aux officiers polonais massacrés par Staline en 1940?

    L'Europe n'a pas d'autre choix. C'est à elle d'agir: elle doit sauver l'unité de l'Ukraine, l'existence même de l'Ukraine étant menacée aujourd'hui de dislocation. Et en Europe, deux pays, la France et l'Allemagne, doivent être les puissances médiatrices de ce conflit. Le jour où le président Hollande et la chancelière Merkel s'installeront en face des présidents russe et ukrainien pour leur imposer une discussion pacificatrice, l'Europe aura franchi un grand pas. Et le conflit commencera peut-être sa désescalade. La France et l'Allemagne ont une légitimité pour jouer ce rôle en raison de leurs relations historiques si longues et particulières avec la Russie. Le président Hollande peut compter sur l'autorité que la politique à l'est du général de Gaulle a conférée à la France. La crise ukrainienne peut aussi avoir pour conséquence de modifier la géographie politique du continent européen. Le raidissement antirusse des Européens a pour effet de pousser actuellement la Russie vers l'Asie et vers la Chine. La Russie est historiquement et culturellement un grand pays européen. Elle peut et elle doit être un pont entre l'Europe et l'Asie, qui devient désormais l'acteur premier de la vie internationale. Sanctionnée et critiquée par l'Europe, la Russie est tentée de glisser vers l'Asie et si elle le fait l'Europe sera amputée d'une partie d'elle-même et coupée de cette Asie où va se jouer le sort du monde. C'est pour cela aussi que c'est avec la Russie que les Européens, et d'abord la France et l'Allemagne, doivent débattre de la crise ukrainienne et la non le faire sans elle et contre elle. Sinon la Russie sera convaincue qu'elle n'a d'autre choix que de tourner le dos à l'Europe.