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  • Sarkozy sur France 2

  • Des milliers de Russes marchent pour la paix en Ukraine

    Plusieurs milliers de Russes ont pris part dimanche à des marches pour la paix en Ukraine, à Moscou et dans plusieurs autres villes de Russie, dans le cadre de la première grande campagne pacifiste dans le pays depuis le début du conflit entre Kiev et les séparatistes de l'Est. Les organisateurs de la "Marche pour la paix" attendaient plus de 50.000 participants dans les rues de Moscou, afin de dire clairement au président Vladimir Poutine: Arrêtez cette guerre. Des rassemblements étaient prévus aussi dans d'autres villes de Russie.

    "Poutine signifie guerre, il est le chef du parti de la guerre", a déclaré l'opposant Boris Nemtsov, l'un des organisateurs de ces marches pacifistes. "Si nous sommes nombreux aujourd'hui, il reculera, parce qu'il craint ses propres citoyens, et seul le peuple russe peut barrer la route à Poutine", a dit cet ancien vice-Premier ministre du temps de Boris Eltsine. Des drapeaux russes et ukrainiens flottaient au-dessus de la foule, et des banderoles avaient été déployées avec ces slogans: "Nous sommes ensemble!" "Poutine, j'en assez de tes mensonges!" et "Je ne veux pas de guerre avec l'Ukraine!". "Non à la guerre!", ont scandé les manifestants.

    Le Figaro - Reuters - 21 09 14

  • EN DIRECT. Sarkozy: "Non seulement j'ai envie, mais je n'ai pas le choix"

    http://www.leparisien.fr/politique/en-direct-suivez-l-interview-de-nicolas-sarkozy-a-20-heures-21-09-2014-4152661.php

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  • Les Flamands à la conquête de l'Angleterre

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    Salomon van Ruisdael  (vers 1602-1670)

      

    Ils avaient été des milliers à suivre Guillaume de Normandie qui avait épousé leur comtesse Mathilde de Flandre. Le rôle des Flamands, considérable dans le succès de Guillaume, est resté méconnu, ceux-ci ayant été intégrés sous le vocable général de « Normands » ou « Anglo-Normands ».

     

    Nous avons évoqué leur implantation  au sud du Pays de Galles, dans le Pembrokeshire dès le XIIe siècle. La langue flamande y sera utilisée pendant un siècle dans ce que les Guides touristiques appellent toujours « Little Flanders beyond Wales ».

     

     C'’est le rôle de tout premier plan de descendants de compagnons de Guillaume dans les guerres d’indépendance de l’Ecosse que nous avons également retracé.

     

     

    La plupart des principaux protagonistes de cette histoire sont d’origine flamande, aussi bien Robert BRUCE (descendant d’Adam de Bruges et des seigneurs de Louvain), 1er roi de l’Ecosse indépendante, que ses alliés ou ses opposants : John BALLIOL (Bailleul), John COMYN (Comines), et bien d’autres, dont nous retrouvons souvent les armoiries dans celles des grandes dynasties écossaises : Walter the Fleming, Eustache de Boulogne, Gilbert de Gand/Alost, Arnulf d’Hesdin, les seigneurs de Guînes, Béthune (Beaton), Lille, etc. D’autres grandes familles ont une origine flamande comme les Baird, Cameron, Campbell, Douglas, Fleming, Murray, Jenkins, Watkins, Cummings (Comines), etc.

     

      

    Le rôle des Flamands ne fut pas négligeable sur les plans militaire et politique, mais il fut peut-être encore plus déterminant sur le plan économique. Les historiens anglais évoquent les graves inondations que connut la Flandre au XIIe siècle et la surpopulation qui y régnait pour expliquer un fort afflux de Flamands en Angleterre, simultanément  avec la colonisation menée par Guillaume le Conquérant et ses descendants.

     

     

     

    Cependant, les relations entre la Flandre et l’Angleterre ont de tout temps existé et s’expliquent par la proximité géographique et ethnique. Avant la conquête de la Bretagne (ancien nom de l’Angleterre) par César, de nombreuses populations des Bas Pays avaient émigré en Bretagne. Avant notre ère, des colonies germano-belges (Ménapiens et Atrébates) s’étaient fixées de chaque côté du Channel, en Flandre et en Artois, mais aussi autour de Londres. Les Frisons contrôlaient la majeure partie du commerce de l’île avant les invasions des Angles et des Saxons aux Ve et VIe siècles.  Au VIIIe siècle, l’Angleterre était un centre d’érudition qui fournira de nombreux missionnaires pour évangéliser les Bas Pays où une langue très proche était en usage, les plus connus étant Saint Willibrord et Saint Boniface (de son vrai nom Winfried). Aux IXe et Xe siècles, les élites instruites d’Angleterre, dont Alcuin,  chassées par les Danois, se réfugièrent sur le continent. Dès la seconde partie du Xe siècle, le commerce extérieur de Londres annonçait déjà sa future domination mondiale. Grâce à ses relations avec les marchands de Tiel et Dordrecht, les plus grands centres commerciaux de l’époque, la prospérité anglaise augmentera considérablement.

     

     

    Au XIIe siècle, des marchands flamands et hollandais avaient leurs propres quais privés à Londres et faisaient partie de la Guildhall. Les guildes anglaises et les manufactures industrielles copieront aux XIIe et XIIIe siècles le type d’organisation  flamande, comme les seigneurs anglais avaient déjà copié sur les Flamands l’art de construire des chateaux-forts (cf. : VdL N°75).

     

     

    Grâce à l’aide flamande, après le règne d’Edouard I, l’Angleterre devint leader du travail de la laine en Europe et les manufacturiers flamands étaient prospères : « ils se nourrissaient de bœuf gras et de mouton jusqu’à se crever la panse » est-il écrit dans une chronique de l’époque. Des milliers de tisserands, artisans, tisseurs de lin, fabricants de feutre et d’horlogers s’établirent en Angleterre qui n’était alors qu’un pays rural. Les capitaux et l’esprit d’entreprise des Flamands et des Hollandais étaient recherchés. Leurs presses à imprimer  étaient réputées et la première Bible anglaise complète vint de Hollande, de même que  les techniques de commercialisation de ce livre.

     

      

    Dans le sens inverse, il convient de souligner l’implantation de nombreux réfugiés anglo-saxons à l’époque de la conquête, puis plus tard, lors de la Guerre des Roses. Des écrivains comme Chaucer, Wyclif et Thomas Moore séjournèrent quelque temps en Hollande.

     

     

    Les relations les plus étroites existaient entre l’Angleterre et la Flandre aux XVIe et XVIIe siècles.  L’Angleterre manquait de toutes sortes de manufactures et l’essentiel du commerce était entre les mains flamandes et hollandaises, y compris le marché du poisson.

     

     

    Cette intense immigration flamando-hollandaise prépara tout naturellement le terrain pour l’arrivée d’un prince hollandais sur le trône d’Angleterre.

     

     

    Pour une grande part, l’Angleterre dut sa prospérité aux effets des persécutions religieuses dans nos Pays-Bas. En 1527, alors que la population anglaise s’élevait à 5 millions d’habitants, Londres seul comptait 15 000 Flamands. En 1562, 40 000 nouveaux Flamands arrivèrent, et encore autant les années suivantes. D’un autre côté, les persécutions des anabaptistes de Plymouth entraînèrent une immigration de ceux-ci vers la Hollande. Mais Cromwell alla chercher de nouveaux théologiens hollandais comme enseignants. Des milliers de protestants anglais aidèrent les Hollandais dans leur guerre contre les Espagnols. Beaucoup d’entre eux s’installèrent à Leyden et certains s’embarquèrent de là sur le Mayflower pour fonder la Nouvelle Angleterre. Les Quakers, comme beaucoup d’autres sectes, étaient un pur produit du sectarisme hollandais. L’épouse et la mère de William Penn étaient hollandais.

     

     

    Nos Pays-Bas envoyèrent également quantité d’armuriers, de tapissiers, de miroitiers, d’imprimeurs, d’habiles spécialistes dans le drainage des sols et dans beaucoup d’autres domaines. Les ingénieurs hollandais aidèrent à l’assèchement des marécages de Cambridge, du Suffolk, du Norfolk et de bien d’autres contrées. D’autres immigrants jouèrent un rôle de premier plan dans le développement de l’industrie du coton à Manchester, dans la manufacture d’acier à Newcastle et à Sheffield où ils introduisirent la coutellerie. Les fabricants de feutre furent à l’origine de la chapellerie. Ajoutons à cette liste la fabrication de câbles et de cordages pour la Royal Navy, l’introduction du papier, du savon, du salpêtre, de la soie et de la dentellerie.

     

    En retour, l’Angleterre nous légua la plus importante de ses denrées, le thé !

     

     

    De tous les voisins de la Flandre et des Pays-Bas, l’Angleterre est le pays le plus proche, tant  par les peuples de souche qui composent ces pays que par la proximité culturelle et même linguistique. L’ancien flamand était presque identique au vieil anglo-saxon parlé  jusqu’au IXe siècle en Angleterre, et que de points communs  également entre les  centaines de  toponymes en –inghem , - hem, -tun, -voorde ou –fort , ici, en Flandre et en Artois, et ceux en –ingham, - -ham, -ton, - ford,  là, en Angleterre ! . Il est jusqu’aux traits de caractère de nos peuples qui ont bien des points communs, le flegme, l’énergie, l’amour du travail et l’esprit d’indépendance, sans compter des goûts identiques dans le domaine des loisirs, et jusqu’à l’usage invétéré de la pipe !

     

      

    A l’heure de la dissolution programmée des peuples de souche dans le métissage de masse et de l’interdiction de l’enseignement de notre histoire, il est nécessaire de rappeler le souvenir de nos ancêtres sans lesquels nos contrées nordiques (étymologiquement « riveraines de la Mer du Nord ») n’auraient pas pu devenir les plus prospères du monde dans un passé pas si éloigné !

     

     

    Dirk De Kerel

     

     

     

     

  • Pape François: après la persécution des juifs, c'est au tour des chrétiens

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    Le pape François a reçu mercredi 17 septembre au soir, à la résidence Sainte-Marthe du Vatican, une délégation d’une quarantaine de dirigeants d’organisations juives membres du Congrès Juif Mondial, menée par son président Ronald S. Lauder. Ce dernier a fait quelques confidences sur les échanges entre le Souverain Pontife et les dirigeants juifs, qui portaient, notamment, sur la persécution des chrétiens du Moyen-Orient. Ronald S. Lauder a confié à la presse : « Le pape François nous a dit en privé qu’il pensait que nous étions entrés dans la Troisième Guerre mondiale. Mais contrairement aux deux premières, au lieu de se déclencher tout d’un coup, cette guerre arrive par étapes (…) [Le pape] nous a dit : “ça été d’abord votre tour, maintenant c’est le nôtre”. En d’autres termes, ce sont d’abord les juifs qui ont souffert d’attaques féroces et sur lesquelles le monde s’est tu, et aujourd’hui ce sont les chrétiens qui sont exterminés et le monde se tait ». Ronald S. Lauder a également stigmatisé l’apposition de la lettre noun sur les maisons des chrétiens de Mossoul, ne voyant pas de différence dans cette pratique « avec celle de l’imposition par les nazis de l’étoile jaune aux juifs pour les séparer des autres ».

    Source : The Telegraph (18 septembre)

    - See more at: http://www.christianophobie.fr/breves/pape-francois-apres-la-persecution-des-juifs-cest-au-tour-des-chretiens?utm_source=feedburner&utm_medium=email&utm_campaign=Feed%3A+Christianophobie+%28Observatoire+de+la+christianophobie%29#sthash.k4EB5GZD.dpuf

  • Présidentielle: 63% des Français contre une candidature de Sarkozy en 2017

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    a encore du chemin à faire pour reconquérir l'opinion. Un nouveau sondage confirme en effet l'enthousiasme limité que déclenche l'annonce de son retour : six Français sur dix (61%) désapprouvent ainsi sa décision de briguer la présidence de l'UMP, et près de deux sur trois ne souhaitent pas qu'il soit candidat à la présidentielle de 2017, selon un sondage CSA* pour BFMTV diffusé samedi soir. <btn_noimpr>

    63% des Français contre une candidature à la présidentielle

    Après l'annonce par l'ancien chef de l'Etat de sa candidature à la de l'UMP, 35% des personnes interrogées disent ne pas approuver «du tout» cette décision et 26% «pas vraiment». Elles sont en revanche 17% à l'approuver «tout à fait» et 22% «plutôt». Les sympathisants de l'UMP approuvent en revanche massivement (89%) la décision de Nicolas Sarkozy, contre 11% d'un avis contraire. La candidature de l'ancien président recueille également l'approbation de 77% de l'ensemble des sympathisants de droite. Le choix de Nicolas Sarkozy de briguer la présidence de l'UMP est en revanche massivement désapprouvé (91%) par les sympathisants du Parti socialiste et à 89% par ceux de l'ensemble de la gauche.

    A la question «Souhaitez-vous que Nicolas Sarkozy soit candidat» à la présidentielle de 2017 ?, 63% des personnes interrogées répondent négativement (41% «pas du tout», 22% «pas vraiment»), contre 37% d'un avis contraire (17% «tout à fait», 20% «plutôt»). Une candidature Sarkozy en 2017 est là encore plébiscitée par les sympathisants UMP (86%), mais aussi par 73% de ceux de l'ensemble de la droite. Elle est tout aussi massivement rejetée par les sympathisants du PS (92%) et ceux de l'ensemble de la gauche (90%).

    Un accueil bien frais

    Ce sondage rejoint d'autres études qui peuvent paraître assez inquiétantes pour l'ancien président. Seuls 29%  des Français estiment ainsi qu'il est honnête, selon un sondage Ifop/Sud Ouest Dimanche. ce qui n'empêche pas 51% d'entre eux de juger qu'il a l'étoffe d'un président. Et selon un sondage Odoxa pour Le Parisien-Aujourd'hui en France et iTélé, 55% des sondés estiment que son retour est une «mauvaise chose», et 67% d'entre eux estiment que Nicolas Sarkozy n'a «pas changé». 

    Pour convaincre les Français de l'opportunité de son retour, Nicolas Sarkozy démarre une véritable campagne dès les prochains jours : après un 20 heures dimanche soir sur France 2, le premier meeting du désormais candidat est programmé jeudi 18 heures à Lambersart (Nord).


    *Enquête réalisée en ligne du 19 au 20 septembre, auprès d'un échantillon de 1.011 personnes de 18 ans et plus, selon la méthode des quotas.

    LeParisien.fr

     

  • Les Juifs et le Concile Vatican II, de Léon de Poncins

     


     

       
     

     

    Le vicomte Léon de Montaigne de Poncins (1897-1976) est un journaliste et essayiste français. Fervent catholique, il dénonça les mouvements révolutionnaires, le sionisme et la franc-maçonnerie. Il a collaboré à de nombreux journaux et écrit une trentaine d’ouvrages dans lesquels il s’attaque tour à tour au communisme, à la Société des Nations ou aux réseaux d’influence, en particulier dans les plus hautes sphères de l’Église.

    En 1965, il publie une brochure, Le Problème juif face au Concile, qui fut distribuée aux évêques avant la quatrième et dernière session du concile Vatican II, et dans laquelle il dénonce les pressions juives pour que soient modifiés la perception du judaïsme au sein de l’Église catholique et ses rapports avec lui. Il y déplore « de la part des Pères conciliaires une méconnaissance profonde de ce que constitue l’essence du judaïsme » dont le catholicisme est le contre-pied absolu. Un rapprochement entre les deux religions ne peut donc se faire sans une dénaturation totale du message de Jésus et du Nouveau Testament : c’est une trahison et une soumission.

    Mais c’est hélas ce qui se passa lors de ce Concile, bien que les mises en garde de Léon de Poncins aient influé sur le vote final et permis de freiner les ambitions destructrices des juifs infiltrés et des cardinaux acquis à leur cause, cardinaux dont l’oreille était sensible au chant des sirènes de la modernité : affaiblissement du dogme, œcuménisme, prépondérance de l’humain sur le divin. On en voit aujourd’hui le résultat dans le vide des églises.

    L’ouvrage que nous éditons ici comprend cet opuscule, largement augmenté de textes inédits sur le même sujet et gracieusement mis à notre disposition par Emmanuel Ratier.

    E&R

  • Tranche de vie aux Pays-Bas (vidéo)

    Une jeune fille de 15 ans se fait agresser par deux jeunes. Souffrant d'une commotion cérébrale, elle devra être transportée à l'hôpital.

    FDS