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  • Vatican : « il ne faut pas faire d’équation entre immigré et criminel »

     

    20h56

    Le message du pape François pour la Journée Mondiale du Migrant et du Réfugié a été expliqué dans la Salle de presse du Sainte Siège par le Cardinal Antonio Maria Vegliò, président du Conseil Pontifical de la Pastorale  des Migrants et les Itinérants (…)

    Aux défis lancés par les migrations, on doit répondre avec la culture de l’accueil et de la solidarité, comme l’a rappelé le Pape François. Mais le Cardinal Anonio Maria Vegliò a observé l’émergence d’autres attitudes :

    « Il y a une tendance à voir l’immigré suspect et avec un peu de peur. Ici, souvent naît l’équation criminel égale migrant. Chose qui est absolument fausse. Nous ne pouvons pas accepter une chose semblable. Le Pape dit clairement que les migrants ont une place privilégiée dans le coeur de l’Eglise parce que ce sont eux qui en ont le plus besoin, parce qu’ils sont les plus vulnérables. »

    « Il faut donc repousser l’équation entre immigrés et criminels. Mais si les migrants sont des délinquants, a ajouté le Cardinal, ils doivent être expulsés. En tout cas, l’expulsion ne peut jamais concerner les réfugiés. »

    Et sur la situation des réfugiés, c’est Monseigneur Joseph Kalathiparambil qui s’est exprimé :

    « Aujourd’hui, le défi est celui de ne pas nous habituer aux drames humains vécus par des gens déplacés de force et à ne pas faire prévaloir l’indifférence. La faiblesse de notre nature humaine à cause de laquelle on ressent souvent la tentation de se dire chrétien tout en gardant une certaine distance vis à vis des plaies du Seigneur. Chaque pas que nous faisons vers les autres, nous enseigne à découvrir le sens du mot solidarité, à nous engager pour le bien commun et à devenir signe et instrument de l’unité de tout le genre humain ». (…)

    Source

    FDS

    Nous ferons les équations que nous voudrons pour notre survie et celle de nos enfants!  Vade retro !

     

     

  • Affaire Bygmalion: le rôle joué par Sarkozy intrigue la police

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    L'affaire Bygmalion est l'un des dossiers judiciaires dans lequel le nom de apparaît. Dimanche soir, lors de son passage sur le plateau de France 2, le désormais candidat à la présidence de l' a une nouvelle fois botté en touche sur les fausses factures réalisées par cette société au parti, assurant qu'il ne savait rien.

     

     

    Ce système occulte aurait permis de couvrir les dépenses importantes de la campagne présidentielle de 2012 de l'ancien chef de l'Etat. « J'ai appris le nom de Bygmalion longtemps après la campagne présidentielle », a-t-il dit.

    Le Monde, qui dit avoir eu accès aux résultats de l'enquête préliminaire menée par les policiers du 5 mars au 27 juin, révèle ce mardi que les enquêteurs chiffrent le montant des fausses factures à plus de 18,5 millions d'euros et essayent de déterminer avec précision ce que savait l'ancien président de la République. A l'issue de ces investigations, le parquet a requis l'ouverture d'une information judiciaire pour «faux et usage de faux», «abus de confiance» et «tentative d'escroquerie».

    «Ces fausses factures étaient confectionnées à la demande de l'UMP»

    Bygmalion aurait en résumé facturé des prestations à l'UMP au profit de la campagne du candidat Sarkozy. Cette manœuvre aurait servi à dépasser le montant de dépenses autorisé par la loi (fixé à 22 509 000 euros pour un candidat parvenant au second tour). Cela n'a pas empêché les comptes de campagne de l'ancien locataire de l'Elysée d'être invalidés.

    Le Monde fait état d'un procès-verbal de 13 pages de la patronne de l'Office central de lutte contre la corruption et les infractions financières et fiscales (OCLCIFF). « La société Event et Cie (filiale de Bygmalion), en accord avec plusieurs responsables de l'UMP, a adressé au parti des fausses factures à hauteur de 18 556 175, 95 euros TTC courant 2012, faisant référence à des prestations liées notamment à des conventions, alors que les prestations réelles correspondaient à l'organisation de meetings pour la campagne présidentielle de Nicolas Sarkozy», est-il écrit.

    «Ces fausses factures étaient confectionnées à la demande de l'UMP, en raison de l'impossibilité de faire figurer le coût réel de ces meetings dans le compte de campagne de Nicolas Sarkozy, est-il encore stipulé. Les participants à ces faits, les responsables de Event et Cie, de l'UMP et de la campagne présidentielle de Nicolas Sarkozy, semblent inextricablement liés les uns aux autres dans la décision d'établir ces fausses factures. Des investigations complémentaires doivent être menées». Avec un objectif : en savoir plus sur le rôle de l'ancien président de la République.

    Une note et un SMS troublants

    L'enquête préliminaire semble apporter un élément de réponse. Le Monde évoque une note de Pierre Godet, expert-comptable, signataire du compte de campagne, adressée le 26 avril 2012 au «candidat Nicolas Sarkozy». Dans celle-ci, il donne le chiffre des dépenses prévisionnelles ou engagées à la date du premier tour, quatre jours plus tôt : 18 399 000 euros. «Ce montant est supérieur à celui budgété dernièrement (16 243 000 euros) et au plafond des dépenses requises pour le premier tour (16 851 000 euros)», écrit Pierre Godet. D'après lui, «ce dépassement résulte principalement des coûts engagés au titre des réunions publiques, en particulier celles de Villepinte et de la place de la Concorde».

    Le site internet du quotidien du soir relaye également le SMS de Jérôme Lavrilleux, bras droit de Jean-François Copé, alors président du parti, à Guillaume Lambert, le directeur de la campagne présidentielle. « JFC [Jean-François Copé] ne vient pas à Clermont, il y est allé la semaine dernière. Louer et équiper un deuxième hall est une question de coût. Nous n'avons plus d'argent. JFC en a parlé au PR [président de la République]», écrit-il dans ce texto. Lavrilleux a pourtant toujours assuré que Copé et Sarkozy n'étaient pas au courant. Il l'a redit lors de sa garde à vue. Cela n'a apparemment pas vraiment convaincu les enquêteurs.

    Le Parisien 23 09 14

  • Otage français en Algérie: Hollande ne cèdera à "aucun chantage"

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    http://www.leparisien.fr/international/video-otage-en-algerie-valls-ne-veut-pas-reculer-d-un-pouce-23-09-2014-4157339.php

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  • Charles BAUDELAIRE (1821-1867)

    CHANT D'AUTOMNE


    Bientôt nous plongerons dans les froides ténèbres ;
    Adieu, vive clarté de nos étés trop courts !
    J'entends déjà tomber avec des chocs funèbres
    Le bois retentissant sur le pavé des cours.

    Tout l'hiver va rentrer dans mon être : colère,
    Haine, frissons, horreur, labeur dur et forcé,
    Et, comme le soleil dans son enfer polaire,
    Mon coeur ne sera plus qu'un bloc rouge et glacé.

    J'écoute en frémissant chaque bûche qui tombe ;
    L'échafaud qu'on bâtit n'a pas d'écho plus sourd.
    Mon esprit est pareil à la tour qui succombe
    Sous les coups du bélier infatigable et lourd.

    Il me semble, bercé par ce choc monotone,
    Qu'on cloue en grande hâte un cercueil quelque part.
    Pour qui ? - C'était hier l'été ; voici l'automne !
    Ce bruit mystérieux sonne comme un départ.

    II

    J'aime de vos longs yeux la lumière verdâtre,
    Douce beauté, mais tout aujourd'hui m'est amer,
    Et rien, ni votre amour, ni le boudoir, ni l'âtre,
    Ne me vaut le soleil rayonnant sur la mer.

    Et pourtant aimez-moi, tendre coeur ! soyez mère,
    Même pour un ingrat, même pour un méchant ;
    Amante ou soeur, soyez la douceur éphémère
    D'un glorieux automne ou d'un soleil couchant.

    Courte tâche ! La tombe attend ; elle est avide !
    Ah ! laissez-moi, mon front posé sur vos genoux,
    Goûter, en regrettant l'été blanc et torride,
    De l'arrière-saison le rayon jaune et doux !

    (Les Fleurs du mal)

     

  • 23 septembre 1940 : l’agression britannique sur Dakar

    23 septembre 2014 par admin4 

    Vue du pont arrière du croiseur Georges Leygues

    Un article de José Castano :

    « L’empire, sans la France ce n’est rien. La France sans l’empire, ce n’est rien »(Amiral Darlan – Novembre 1942)

    L’âme de nos marins plane sur l’Océan, je l’ai vue ce matin, sous l’aile d’un goéland » (Freddie Breizirland)

                Après avoir été donné à la France par le traité de Paris, le 30 mai 1814, Dakar devint, en 1904, la capitale de l’Afrique Occidentale Française (AOF). Située à l’extrémité occidentale de l’Afrique, elle occupait, en 1940, une position stratégique considérable qui faisait bien des envieux. Au point de séparation de l’Atlantique Nord et Sud, en avancée face à l’Amérique Latine, sur le chemin entre l’Afrique du Sud et l’Europe, Dakar intéressait tout le monde et en premier lieu les Britanniques qui, sur le chemin traditionnel de l’Afrique australe et de l’Asie par le Cap, retrouvaient là l’un des enjeux de leurs rivalités coloniales avec la France et voulaient profiter de son écrasement.

    En septembre 1940, le Maréchal Pétain avait confié au général Weygand la délégation générale du gouvernement en Afrique et le commandement en chef des troupes. Ainsi se trouvait affirmée la volonté de défendre l’Afrique mais aussi de préparer les moyens de la revanche.
    Le 31 Août 1940, soit près de deux mois après la lâche agression commise par ces mêmes britanniques sur la flotte française au mouillage et désarmée, dans le port de Mers El-Kébir (Algérie) et près d’un mois après l’entretien Churchill – De Gaulle (6 août 1940) sur les modalités d’une éventuelle attaque contre les forces françaises stationnées au Sénégal et demeurées fidèles au Maréchal Pétain, la force navale M (M comme « Menace ») britannique où se trouvait de Gaulle quitta les ports britanniques pour Freetown en Sierra Leone qu’elle atteignit le 16 Septembre.

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    Contre-info.com

  • Quelques tableaux de grands maîtres flamands et hollandais

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    La mer par temps calme

    Willem Van de Velde (1591-1630)

     

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    Vue de Dordrecht

    Jan van Goyen ( 1596-1656)

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    Portrait de dame

    Rogier Van der Weyden  (1460)

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    Vue de Delft

    Johannes Vermeer(1658)

    (merci à Dirk)

     

     

  • Ecosse : Le vote des étrangers et des vieux a fait échouer le référendum

    vendredi, 19 septembre 2014

     

     

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    Le nationalisme écossais revu et corrigé par le SNP socialiste d’Alex Salmond

    Source Breiz Atao  

    La défaite, honorable, des indépendantistes écossais trouve son explication dans le vote des quelque 880 000 non-Ecossais qui représentent 17% de la population du pays. En acceptant de les laisser voter, les indépendantistes socialistes ont eux-mêmes créé les conditions de leur échec.

    Un demi-million de Britanniques en Ecosse

    C’est sans doute possible parce que le Parti National Ecossais (SNP), socialiste, n’a jamais remis en cause la consultation du demi-million d’Anglais vivant en Ecosse, un pays qui en compte 5,3 millions, que Londres a accepté la tenue du référendum. En disposant d’une solide minorité de blocage, le gouvernement britannique a pu aborder le référendum avec un atout décisif en main.

    La presse britannique a abondamment détaillé les intentions de vote de ces résidents installés en Ecosse. Et le verdict est sans appel : 63% d’entre eux entendaient voter contre l’indépendance.

    Or, il a manqué environ 300 000 voix aux indépendantistes pour l’emporter.

    Les Polonais votent… pour garder leurs papiers

    En plus des Britanniques, Londres savait pouvoir disposer du soutien des autres non-Ecossais afin de circonvenir le vote séparatiste. Un sondage réalisé au mois d’août auprès des immigrés polonais résidant dans le pays indiquait que ceux-ci allaient voter en fonction du devenir de leurs visas si l’Ecosse devenait indépendante. L’incertitude prévalait sur le statut européen de l’Ecosse suite aux déclarations anti-indépendantiste de Manuel Barroso.

    En conséquence, la libre-circulation assurée aux ressortissants des états-membres de l’UE était en théorie remise en cause. Or, cette libre-circulation   était le seul critère qui importait aux yeux des immigrés polonais et d’Europe de l’Est. Pour eux, le devenir du peuple écossais importait peu et ils n’ont pas hésité un instant à faire valoir leurs intérêts comme ceux de Londres sur ceux du peuple qui les accueille.

    Les Pakistanais ont aussi eu leur mot à dire

    Les pakistanais ont également eu leur mot à dire. Représentant plus de 150 000 personnes, cette immigration sait ce qu’elle doit au gouvernement anglais et perçoit l’indépendance écossaise comme une menace directe. Les deux tiers d’entre eux voulaient voter contre le “Oui” à l’indépendance.

    Les Ecossais de la diaspora privés de vote

    Tandis que Pakistanais, Anglais ou Polonais étaient appelés à voter par Alex Salmond et son parti, les Ecossais de la diaspora se voyaient priver du droit de voter. Une diaspora forte de millions de personnes à travers le monde. Le logiciel du “droit du sol” cher aux indépendantistes de gauche a logiquement joué à fond et produit les fruits qu’il est voué à produire.

    Lorsque l’on retranche les votes des étrangers – Anglais, Européens de l’Est et extra-Européens – les Ecossais de souche ont bel et bien voté pour leur indépendance.

    Les vieux coresponsables

    Les vieux sont, avec les étrangers, les moteurs de la victoire du “Non”. 65% des plus de 50 ans en Ecosse s’opposaient à l’indépendance. Soucieux de leurs rentes, ils perçoivent l’indépendance comme une remise en cause de leurs intérêts. Sans surprise, ce sont ces mêmes générations qui soutiennent l’immigration afin de “payer les retraites”, la pyramide des âges résultant de leur faible taux de natalité ayant engendré une crise démographique.

    Des enseignements à tirer

    Il y a plusieurs enseignements à tirer de cette consultation. Tout d’abord, la défaite des indépendantistes, largement causée par leur orientation idéologique socialiste, n’est pas écrasante. L’Ecosse n’a retrouvé son parlement autonome qu’il y a 15 ans et les indépendantistes ne sont arrivés au pouvoir qu’il y a 7 ans. Parvenir – contre les médiats britanniques et la totalité des partis anglais et des responsables européens – à rassembler près de 46% des suffrages constitue une véritable performance en un temps historique aussi court.

    Ensuite, il apparaît comme évident que l’indépendantisme de gauche, en soutenant une interprétation non-ethnique du nationalisme, a créé les conditions de son propre échec politique. En refusant, par conviction ou par peur, d’empêcher les étrangers de voter sur une question qui ne les concerne pas par définition, les indépendantistes du SNP ont donné à Londres les moyens de son succès.

    S’ajoute à cela un clivage générationnel patent. L’égoïsme des Baby Boomers est le fil conducteur de leur comportement politique : pro-immigrationnistes, court-termistes, uniquement soucieux de leur bien-être et de leur patrimoine, ils ont pris en otage le destin de la jeunesse écossaise. Sans surprise, leur parasitisme a convergé avec celui des Anglais et des immigrés extra-européens.

    Cependant l’échec écossais est relatif. Il est plus un début de processus qu’une fin et l’éviction progressive des générations conservatrices permet d’entrevoir des évolutions décisives pour ce pays. En quelque sorte, c’est la fin d’une certaine forme d’indépendantisme socialiste et le début d’un autre. Les petites nations d’Europe n’auront d’autre choix que de se doter de formations politiques résolument nationalistes en lieu et place de cet “indépendantisme de gauche” dépassé.

    (merci à Dirk)

     

  • Sarkozy: au nom du N.O.M. (interview intégrale)

    Interview intégrale

    http://www.lexpress.fr/actualite/politique/ump/nicolas-sakozy-sur-france-2-ses-declarations-en-5-points_1577959.html

  • De plus en plus de polygames en Grande-Bretagne

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    15h23

     

    [extraits] Nabilah, son mari, et ses deux autres femmes font partie du nombre croissant de mariés polygames en Grande-Bretagne. Ils le font en contradiction radicale avec la loi britannique, qui considère la bigamie comme illégale. Mais ces mariages étant contractés sous l’égide de la charia et n’étant pas reconnus par les tribunaux, les époux polygames ne peuvent pas être poursuivis.

    Cette pratique devient donc de plus en plus courante en GB, ou leur nombre est estimé à environ 20 000. La popularité de ces mariages polygames est telle parmi les musulmans que les agences matrimoniales islamiques recoivent des demandes de plus en plus nombreuses.

    (…) Hasan insiste pour que ses femmes soient voilées de pied en cap. « Il y a des gens qui couvrent leur voiture d’un drap, ou recouvrent d’autres objets de valeur pour les cacher de la vue des autres, pour ne pas attiser la convoitise. Pour moi, mes femmes sont précieuses, et je dois les cacher, pour les protéger. »

    (…) Les femmes d’un mariage polygame sont considérées par la loi comme des mères célibataires : elles ont droit à toutes les prestations sociales afférentes : allocations familiales, allocation logement, aide sociale etc.

    Daily Mail

    FDS