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  • Cécile Duflot relaie la propagande “vivre-ensembliste” de #NotInMyName

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    27/09/2014 – PARIS (NOVOpress)
    C’est le buzz à la mode qu’il ne faut pas manquer si vous n’étiez pas déjà en photo sur le hashtag #bringbackourgirls de Michèle Obama : le hastag #NotInMyName .

    Lancé par Hanif Qadir, un musulman anglais parti faire le Jihad en Afghanistan et maintenant travailleur associatif à Londres, #NotInMyName défend l’image d’un islam religion de paix et d’amour destiné à s’installer durablement dans la société britannique et qui pourrait pâtir d’un modèle trop autoritaire. Un message soutenu par de nombreux politiciens européens proches de cet électorat communautariste, à l’instar de Cécile Duflot (photo), dirigeante d’Europe-Ecologie-Les vertes et ancienne ministre du Logement. Elle le fait via un tweet en anglais, qui plus est s’excusant de demander aux musulmans d’afficher ce message : #NotInMyName .

  • Marseille : tension maximale au service des inscriptions des écoles

      

    Marseille / Publié le Samedi 27/09/2014 à 05H52
     

    Débordés, les agents affrontent la colère de familles sans école affectée

    Actualités - Marseille : tension maximale au service des inscriptions des écoles
    Les bureaux de la rue Fauchier ont rouvert dans le calme, grâce à la présence de policiers municipaux. Les agressions verbales se multipliaient depuis la rentrée.

    Photo D.TA.

     
     

    "C'est pour le terrorisme, c'est ça ?" La présence de quatre policiers municipaux dans le hall intrigue les familles qui entrent régulièrement au 38, rue Fauchier (2e). Elles sont venues inscrire leur enfant à l'école, demander une aide pour payer la cantine (de 15 000 à 18 000 "dossiers roses" seraient en attente). Ce vendredi matin, tout est calme : ni foule, ni éclats. On ne lit que de la fatigue sur les visages des agents et des parents qui ont tenté de réunir les justificatifs demandés vaille que vaille. "Mais l'autre jour, c'était autre chose : des mères se battaient, un agent a tenté de s'interposer et s'est pris un coup." Celui-ci est désormais en arrêt de travail ; il n'est pas le seul : depuis 2013, et la généralisation des inscriptions scolaires par la Ville, ce petit service d'une dizaine de fonctionnaires municipaux (deux postes de plus pour "une charge de boulot multipliée par 9") est en "tension maximale".

    La semaine dernière, les bureaux ont été fermés "en urgence", en raison de "graves menaces, de mort, en fait" dont a été victime l'un des agents. Un père furieux avait promis qu'il "reviendrait avec une bombe". L'agression de trop pour ce service "en souffrance". Saisie, la médecine du travail a constaté la situation sur place. Un psychologue, en lien avec la direction des ressources humaines de la mairie, a commencé à entendre les membres de l'équipe. "Jusqu'ici, on avait mis un couvercle sur notre service, confie l'un d'eux. Personne ne voulait voir ce qu'on vivait. Là, ça bouge enfin."

    Jusqu'à 400 personnes entassées dans le hall d'accueil

    Ce vendredi est calme mais ces dernières semaines, jusqu'à 400 personnes ont pu s'entasser en une seule journée dans le minuscule hall d'accueil. Leïla, son enfant sur les genoux, s'en souvient : "Il y avait des gens assis par terre, des enfants qui hurlaient. Entre deux numéros, on attendait une heure." Dans le brouhaha, derrière l'hygiaphone, on "ne s'entend plus, il faut parfois passer de l'autre côté pour parler aux gens", reconnaît le service.

    Tison de la tension, des écoles saturées. À la rentrée, jusqu'à 500 enfants étaient encore sans affectation, le centre-ville, la Capelette, le 15e arrondissement saturant particulièrement. Un mois plus tard, ils sont encore près de 300 sur le carreau. "Des enfants de 3 ans, mais aussi de 7, de 10 ans, c'est catastrophique", souffle-t-on dans le service, "en première ligne" face à la colère " légitime" des familles. "C'est un droit, non, l'école ?" murmure un papa. Des "bugs" ont aussi envenimé la situation : ainsi, des enfants qui avaient reçu une affectation alors que l'école était pleine ont été renvoyés chez eux. Des familles, fraîchement arrivées en France, perdent pied dans la jungle administrative marseillaise. D'autres encore se voient proposer une école loin de leur domicile, ou un éclatement de la fratrie. Samia, trois enfants, n'y arrive plus : "Je suis sans cesse en retard pour aller les chercher, je supplie pour un rattachement familial." Parfois, ça "pète. Il n'y a pas de respect, l'autre jour un petit de cinq ans a craché sur un agent ! livre un délégué syndical. Les agents craquent. Ce qu'ils vivent, le mot est fort bien sûr, mais c'est une forme de terrorisme aussi."


    Danièle Casanova, adjointe UMP aux Ecoles : "Les agents font leur travail, on doit les protéger"

    "Depuis deux ans, on a dû se conformer à la loi et procéder nous-mêmes aux inscriptions : jusqu'ici, nous ne gérions que les 1er, 2e et 3e, les directeurs d'écoles faisaient le reste, rappelle Danielle Casanova, l'adjointe à l'éducation. Nos agents font un travail extraordinaire et difficile, elles subissent des attaques dont on doit les protéger."C'est à sa "demande" que des policiers ont été affectés à la surveillance de Fauchier. "C'est vrai que les locaux sans inadaptés, nous allons pour cela déménager l'accueil." Pour le reste, l'élue concède des couacs : "Il est arrivé que nous affections un enfant et que l'école le refuse finalement : l'école n'était pas pleine, mais la classe demandée, si. Mais ça, nous ne pouvions pas le savoir !"

    Selon l'adjointe aux écoles, "le retour tardif (de leur pays d'origine, NDLR) de certaines familles perturbe aussi le comptage des enfants. On croit qu'on a casé tout le monde et soudain, on déborde ! Jeudi, l'inspecteur d'académie nous a ainsi ouvert trois classes supplémentaires, à Peyssonel, Révolution et Leverrier pour faire face." Au-delà, Danielle Casanova en convient finalement, "il manque, c'est vrai, des écoles dans le centre-ville ou le 15e. Leur construction n'a pas été aussi rapide que celle des immeubles, des arrivées.!" La Ville mise sur l'ouverture de Michelet, l'extension de Korsec et d'une nouvelle école bd Flammarion pour répondre à la demande. "On agrandit aussi l'école de Saint-Louis gare et on a réservé un terrain pour créer une nouvelle école (à Valnaturéal, NDLR). À Château-Gombert, on cherche un terrain."

     

    LA PROVENCE

    NdB: A Marseille, ville martyre, les vagues d'immigrés se succèdent  sans relâche! Et si l'enfant n'est pas inscrit dans une école, pas d'allocs familiales!

    Quand les Français ne pourront plus payer, qu'est-ce qu'on fera?

     
          
     

     

     

  • Le CSA confirme le tabou médiatique du QI des différentes races

     

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    Le 21 mai 2012, lors de l’émission Le libre journal d’Henry de Lesquen sur Radio Courtoisie, l’animateur avait abordé le quotient intellectuel de différentes races.

    Précisément, il avait déclaré : « quand [Jules Ferry] affirme qu’il y a des ‘races inférieures’ et des ‘races supérieures’, tout est une question d’appréciation. Mais il faut tout de même savoir, ça c’est un fait, que, pour ce qui est des examens et analyses de quotient intellectuel (…), il y a aux Etats-Unis entre les noirs africains et le reste de la population un écart de 15 points. Et la dernière étude publiée dans une revue scientifique anglaise par Jensen nous révèle qu’entre les noirs d’Afrique et les blancs d’Europe ou des Etats-Unis l’écart est de 30 points. Alors, c’est une valeur moyenne, mais c’est considérable. Et quand on parle du développement de l’Afrique et de son retard en matière historique, en matière de développement, il faut avoir à l’esprit cet écart de quotient intellectuel qui est évidement considérable. »

    Ces propos avaient valu à la station une mise en demeure du CSA (Conseil supérieur de l’audiovisuel). Radio Courtoisie avait alors décidé de contester cette mise en demeure devant le Conseil d’Etat. Les juges du Palais Royal l’ont débouté et confirmé la décision du CSA, qui n’a pas « commis d’erreur d’appréciation ».

    Lire aussi :
    > IQ and the Wealth of Nations

    NDF

  • « Pas d’amalgame » : pourquoi le message ne passe plus ?

     

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    Le 26 septembre 2014
     
     
    Dès le lendemain de l’assassinat d’Hervé Goudel, la classe politico-journalistique n’a pas manqué de s’inquiéter des risques d’amalgame entre les djihadistes affiliés à l’EI et les musulmans français.
             

    Dès le lendemain de l’assassinat d’Hervé Goudel, la classe politico-journalistique n’a pas manqué de s’inquiéter des risques d’amalgame entre les djihadistes affiliés à l’EI et les musulmans français. Outre les grands prêtres de la bien-pensance, nos maîtres ont envoyé sur le front médiatique l’iman Chalghoumi, sympathique recteur de la mosquée de Drancy, et l’incontournable Dalil Boubakeur, recteur de la Grande Mosquée de Paris. Pour donner crédit aux lassantes imprécations de la religion bobo, ils ont aussi veillé à relayer l’initiative incontestablement courageuse de ces musulmans qui diffusent sur la Toile une photo d’eux même accompagné du slogan « Not in my name », histoire de se désolidariser clairement des crimes djihadistes. À en juger par la tonalité des réactions des lecteurs ou des réactions de comptoir, il semble que le message ait désormais du mal à passer.

    Pourquoi, alors que le Français lambda continue à saluer amicalement son voisin musulman sur le pas de sa porte ou à la sortie de l’école des petits, pourquoi ne supporte-t-il plus ce mantra du padamalgame ?

    La première réponse tient à l’attitude de nombreux musulmans français. Peut-on croire, en effet, à la représentativité du très spirituel imam Chalghoumi alors qu’à chacune de ses interventions publiques fleurissent des tweets le qualifiant de traître à l’islam et d’imam des juifs ? Peut-on croire à la sincérité de Dalil Boubakeur, alors que celui-ci demandait simplement à ses coreligionnaires – au lendemain des violentes manifestations pro-palestiniennes du mois de juillet – de faire preuve de patience ? De patience en attendant quoi ? Peut-on croire à l’utilité de la campagne « Not in
    my name »
    alors même que les modérés sont toujours réduits à l’impuissance en temps de guerre, et que les djihadistes ne tuent pas au nom des autres musulmans mais au nom d’Allah dont ils croient mieux que quiconque avoir discerné la volonté ?

    Peut-on croire, enfin, à la bienveillance de la totalité des musulmans de France lorsque nombre d’entre eux (et elles) traduisent par leurs choix vestimentaires ou leur attitude agressive un projet colonisateur ? Car où passe la barrière entre un immigré et un colon, si ce n’est au niveau de sa volonté de se fondre ou non dans les codes de son pays d’accueil ? Reconnaissons, cependant, à leur décharge que, lorsque la classe dirigeante laisse croire que le sommet de la culture française consiste à se pâmer devant des œuvres ou des groupuscules blasphématoires ou encore à se promener les fesses à l’air sur les chars de la Gay Pride, elle n’encourage guère les nouveaux venus au respect de leur nouvelle patrie.

    Si le « Pas d’amalgame » est devenu inaudible, c’est donc aussi à cause de l’attitude de la classe dirigeante. Chacun sent bien, en effet, que ce discours ne relève pas d’une volonté d’éviter les tensions ethnico-religieuses dès lors que toute la politique nationale et internationale de la France semble au contraire rechercher à les provoquer, et qu’il ne relève pas non plus d’une analyse raisonnable de la situation, mais simplement de l’incantation antiraciste pavlovienne. Les grands prêtres et les grandes prêtresses rabâchent leurs prières en espérant que cela sauvera leur pouvoir et les sauvera de la vindicte populaire.

    La véritable manière d’éviter les amalgames, ce serait donc que chaque Français continue de converser amicalement avec son voisin ou collègue musulman-spirituel tout en ne ratant aucune occasion de dire avec la plus belle des franchises aux musulmans-politiques (les barbus sans moustaches notamment) et aux politiques ou journalistes français ce qu’ils pensent d’eux.

    François Falcon

    BOULEVARD VOLTAIRE

  • Hervé Gourdel : pas le premier, mais le dernier d’un long martyrologe

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    Le 25 septembre 2014
     
     
    Non ! Le malheureux Hervé Gourdel n’est pas le premier otage français égorgé jusqu’à la décapitation par des terroristes islamistes en Algérie !
             

    Non ! Le malheureux Hervé Gourdel n’est pas le premier otage français égorgé jusqu’à la décapitation par des terroristes islamistes en Algérie ! Des milliers de soldats français, simples appelés venus de métropole ou supplétifs musulmans dits « harkis » ainsi que des pieds-noirs d’origine européenne l’ont été entre 1954 et 1962, voire après le départ de la France !

    Aussi dramatique, aussi tragique, aussi atroce que cela soit tant pour ses derniers instants que pour sa famille et ses amis, Hervé Gourdel n’est que le dernier nom du long martyrologe des Français morts en Algérie, victimes de la barbarie barbaresque (la Barbarie ne désignait-elle d’ailleurs pas… l’Afrique du Nord ?). Si l’on ne remonte qu’à la guerre d’Algérie (1954-1962), selon les statistiques établies par l’historien (pied-noir) Benjamin Stora 1 – peu soupçonné en tant qu’ancien trotskiste d’être favorable aux Français ayant fait l’Algérie même s’il a parfois été critiqué par ses amis –, 17.000 soldats français, la plupart simples appelés du contingent, ont été tués lors de combats face aux hommes du FLN. Combien d’entre eux ont-ils été égorgés jusqu’à la décapitation ? Des centaines ? Des milliers ?

    Et parmi les 20.000 à 35.000 supplétifs de l’armée française – connus sous le nom générique de « harkis » ; hier, 25 septembre, était le jour du Souvenir – « morts pour la France » (5.000 tués ou disparus) ou abandonnés par les autorités gouvernementales d’alors conduites par le général De Gaulle (15.000 à 30.000 assassinés APRÈS la déclaration d’indépendance, dont leurs femmes et leurs enfants…), combien ont-ils été égorgés jusqu’à la décapitation ? Des centaines ? Des milliers ?

    Sans oublier les quelque 4.500 civils, hommes mais aussi femmes et enfants, assassinés : combien ont-ils été égorgés jusqu’à la décapitation ? Des centaines ? Des milliers ?

    Et parmi ces dizaines de milliers de personnes, nombre d’hommes ou de garçons ont été retrouvés, leurs attributs virils dans la bouche…

    Nous, de culture chrétienne, trouvons atroce l’égorgement d’un être humain (à tel point que, moi-même, je m’autocensurais à la radio, préférant dans mes bulletins d’information parler de « mort par arme blanche » plutôt que de donner à l’auditeur à entendre « mort égorgé »). Mais ce n’est pas le cas dans toutes les cultures : pour certaines, l’égorgement voire la décapitation « à la main », cela est tout à fait naturel. Le geste n’a rien de… barbare, surtout pour des Barbaresques équipés de matériel vidéo. Nous n’avons simplement pas les mêmes valeurs. Le combat est inégal. Un otage filmé a plus de poids que des centaines de combattants mis hors de combat dans l’anonymat le plus complet…

    Jacques Martinez

    BOULEVARD VOLTAIRE

    Notes:

    1. Coïncidence : pour une émission télévisée, Benjamin Stora était en avril dernier à Béjaïa, en Kabylie, c’est-à-dire dans la région où Hervé Gourdel a été enlevé.