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  • La militante de la "famille traditionnelle" Farida Belghoul a été pacsée à une femme

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    Béatrice Bourges, Farida Belghoul, Christine Boutin

     

    Par Libie Cousteau, publié le 06/10/2014 à 11:20, mis à jour à 12:54

    La croisée anti-genre qui défend la famille traditionnelle a été pacsée avec la propriétaire de son pavillon, depuis décédée. L'Express a pu se procurer les documents qui le prouvent. 

         

     

    La croisée anti-genre Farida Belghoul a été pacsée avec une femme. L'Express s'est procuré le document administratif attestant de l'information qui circule sur le net depuis ce week-end.  

    Selon ce document, Farida Belghoul a été pacsée à Simone G. le 28 octobre 2008. D'après nos informations, Simone G., décédée à l'âge de 93 ans à la fin de 2011, était la propriétaire du pavillon occupé par Farida Belghoul depuis de nombreuses années à Bezons

    Le pacs Farida Belghoul/Simone G. a été dissous le 26 avril 2011, quelques mois avant le décès de cette dernière. En 2013, selon le cadastre de la ville de Bezons que L'Express a pu se procurer, le pavillon était toujours au nom de Simone G.  

    Quels ont été les véritables liens entre Farida Belghoul et la propriétaire du pavillon? De quoi Farida Belghoul, professeur en disponibilité de l'Education nationale pendant plusieurs années, a-t-elle vécu? Une certitude, cette apôtre de la famille traditionnelle n'est pas à une contradiction près. A moins qu'elle n'ait pas eu d'autre choix que de se pacser pour des raisons qui, à ce jour, restent obscures. Contactée par l'Express, Farida Belghoul a refusé de nous répondre: "Au revoir madame !" a-t-elle lancé avant de raccrocher.  

    La semaine commence mal pour Farida Belghoul qui est convoquée aujourd'hui par le Rectorat à la suite d'une procédure disciplinaire


    http://www.lexpress.fr/education/la-militante-de-la-famille-traditionnelle-farida-belghoul-a-ete-pacsee-a-une-femme_1608145.html#VL6UWuA4deZRpghW.99

     

  • II La population nordique de l'Inde ancienne

           

    L'instauration de la domination mongole (qui dura du VIIIème siècle jusqu'à

     

    1536) marque la victoire de la composante asiatique de la population de l'Inde. La religion*, la pensée et la création artistique représentèrent ensuite seulement les traits du

     

    substrat indoustan et des métis sombres qui maintenant prédominent en Inde. « L'esprit indien, toujours plus aliéné de l'ancien aryanisme, donna naissance aux dieux* de

     

    l'Hindouisme, avec leurs images polycéphales et de nombreux bras, chargés de sensualité,

       

    de cruauté et de déréglement.

     

     

     

    Pourtant, dans les VIème ou VIIème siècles EC. il devait encore être resté une faible

     

    présence de sang nordique. Les fresques d'Ascianta, qui sont de cette époque, représentent,

     

    parmi des personnages semblables aux Indiens modernes, des gens de haute

     

    taille, au nez et au visage étroit, au teint clair, blonds et aux yeux bleus. De nos jours, le

     

    teint clair tout seul, occasionnellement, et les yeux clairs encorent moins fréquemment.

     

    Quelques races des frontières nord-occidentales, parmi lesquelles Kisley avait rencontré

     

    des blonds des yeux bleus, ont distinctement conservé le sang nordique en proportion un

     

    peu supérieure ; comme c’est peut-être même le cas du Sikh dont la taille moyenne est de

     

    1.71 m.

     

     

     

    * * *

     

     

    Brani traite de la Tipologia razziale dell’Europa, Ghénos, Ferrara 2003.

    Autrement, ce sont les castes indiennes plus élevées - les brahmanes - qui montrent

     

    le plus clairement une composante nordique. Ils ont une taille moyenne de 6 à 9 cm supérieure

     

    à celle des castes inférieures, ils ont un teint plus clair en comparaison du marron

     

    ou marron foncé de ceux-ci et ils ont un nez et un visage plus étroit. Parmi les Brahmanes

     

    de la zone de Bombay on trouve encore maintenant des individus aux yeux gris.

     

    La langue indienne : ou bien, plus exactement, ce qu’est devenu la langue indienne après le

     

    métissage - est encore parlée dans de vastes zones de l'Inde, mais le teint de ceux qui introduisirent

     

    cette langue a disparu presque sans laisser de traces. Du point de vue linguistique,

     

    les actuels habitants de l'Inde sont dans leur grande majorité indo-européens,

     

    mais somatiquement ils sont le résultat du mélange avec diverses races sombres.

     

    Mais même dans la langue on peut relever l'influence des couches non-nordiques du peuple indien,

     

    au moins dans la syntaxe : « Du point de vue syntaxique, il est licite de douter que

     

    les langues indiennes modernes puissent encore être classées comme indo-européennes* .

     

    »»

     

     

    Extraits dr l’ouvrage Typologie raciale de l'Europe, de Hans Friedrich Karl Günther,

    édit. Ghénos, Ferrare 2003

                                                       * * * * *

                        

  • Ebola: hospitalisation de trois nouvelles personnes en Espagne

    http://www.leparisien.fr/societe/ebola-bruxelles-veut-savoir-comment-une-femme-a-pu-etre-contaminee-en-espagne-07-10-2014-4194471.php

  • "Madame le président": sanctionné, le député UMP nie toute provocation


    "Madame LE président": la polémique qui agite l... par BFMTV

    C'est une petite phrase qui lui coûte cher. Lundi soir dans l'hémicycle, le député Julien Aubert s'est obstiné à employer le masculin au lieu du féminin en s'adressant à la présidente de séance. Une effronterie qui va le prive d'une partie de son indemnité parlementaire. 

    Lors du débat sur la transition énergétique, l'élu du Vaucluse a appelé la présidente de séance, la Sandrine Mazetier, «Madame LE président».

     

                                

    Depuis son perchoir, celle-ci l'a d'abord rappelé à l'ordre, lui demandant de respecter la présidence et le règlement de l'Assemblée nationale en l'appelant «Madame LA présidente». 

    «Au , il vaut mieux s'appeler Thévenoud qu'Aubert»

    Mais le député de l'opposition lui a tenu tête répondant qu'il ne faisait que suivre «l'Académie française» en disant «Madame le président». Voilà qui lui vaut une inscription au procès-verbal et la privation pendant un mois, du quart de son indemnité parlementaire. L'élu UMP ne s'est pour autant pas démonté. S'adressant ensuite à la ministre de l'Ecologie, Ségolène Royal, il l'a appelée «Madame LE ministre».



    «Au Parlement, il vaut mieux s'appeler Thévenoud qu'Aubert», déplore, auprès du parisien.fr, le député UMP, relevant qu'on le prive de 1400€ d'indemnités alors que le député socialiste -débarqué du gouvernement pour cause de problèmes fiscaux- n'a pas été sanctionné. Selon lui, la sanction qui lui est infligée est «totalement disproportionnée» et vise à «intimider l'opposition».

    «Mes collègues veulent se cotiser», ajoute-t-il, même s'il estime que «le sujet n'est pas financier». «Mon seul tort est d'avoir parlé français», se défend l'élu, dénonçant une volonté d'«imposer une vision politisée du langage avec une pression financière». «C'est la théorie du genre qui est derrière», avance-t-il encore. «C'est la novlangue.» Le député UMP, qui se défend de toute provocation, assure que «le groupe entend protester très bruyamment au moment de la reprise des débats», ce mardi après-midi.

    Julien Aubert et Sandrine Mazetier ont déjà eu ce type de confrontation dans l'hémicycle. En janvier 2014, alors que le député du Vaucluse donnait déjà dans le «Madame le président», Sandrine Mazetier, qui présidait alors une séance, lui avait répondu avec humour : «Monsieur la députée. Vous étiez la dernière oratrice inscrite. La discussion générale est donc close.»

    Le Parisien - 07 10 14

  • Calais: la distribution de repas aux migrants perturbée par des passeurs: le plat était trop fade...

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    Une association d'aide aux migrants de Calais a dû annuler sa distribution de repas lundi soir après le refus d'une poignée de migrants de manger le repas qui leur était offert sur fond de lutte de pouvoir au sein d'une population à la marge.

    Chaque soir, quai de la Moselle, les 300 bénévoles de Salam se relaient pour servir un plat chaud et copieux à plusieurs centaines d'étrangers sans papier qui vivent dans des abris de fortune, souvent dans des conditions de dénuement, avec l'espoir, malgré les obstacles, de passer en Grande-Bretagne pour y rejoindre des proches et y demander l'asile.
     
     
     
    Mais lundi soir, les choses ne se sont pas déroulées comme d'habitude. «Le repas était beaucoup moins salé et quasiment pas épicé par rapport à d'habitude», raconte Jean-Claude Lenoir, un des responsables de l'association. «On avait compensé par un repas doux, avec de la sauce de citron, des citrons frais». 

    Les premiers à tendre leur assiette ont refusé de manger le repas qu'ils trouvaient bien fade. Derrière eux, les autres migrants, de 600 à 800 selon les soirs, ont fait demi-tour. Pour le président de Salam et membre de l'association depuis sa création après la fermeture du centre de Sangatte, en 2002, il ne fait aucun doute que ces hommes détiennent le pouvoir au sein du groupe et que personne n'ose les défier. «Quand il y a 800 personnes qui attendent, évidemment que ceux qui sont en de ligne sont des passeurs qui ont le pouvoir», explique-t-il au Parisien.fr.


     Ce qui pourrait n'être qu'un épiphénomène, un soir d'automne dans un no-man's land que ni les ni les autorités ne veulent regarder, en dit long sur la peur que font régner ceux qui ont la possibilité de faire passer des migrants vers leur eldorado. «Ceux-là qui ont, en refusant le repas, interdit aux autres d'en prendre, ont les moyens d'aller s'acheter à manger. Pas les autres qui sont repartis le ventre vide, déplore Jean-Claude Lenoir. A une époque, ils faisaient même payer pour accéder à la zone de distribution».

    Lundi soir, «je suis intervenu pour leur dire que s'ils ne voulaient pas manger, nous, on rangeait et que c'était quand même scandaleux, parce qu'ils devaient être conscients qu'il y a bon nombre de personnes en qui n'ont pas un tel repas le soir».

    Après treize ans de présence quotidienne auprès des migrants du Calaisis, Lenoir refuse de tomber, dit-il, dans la démagogie : «Ils vivent des situations inhumaines, il pleut des cordes, ils se noient, on les marque au feutre sur la main pour les appeler par un numéro au tribunal mais on doit pouvoir leur dire qu'ils ont fait un caprice. Je l'ai fait. La grande majorité est venue discrètement s'excuser». 

    Quelque 1400 à 1500 clandestins, selon les autorités françaises, principalement originaires du Soudan et d'Érythrée, se trouvent actuellement à Calais et dans les environs avec l'espoir de traverser la Manche. L'association Salam sera ce mardi soir quai de Moselle pour une nouvelle distribution.

    LeParisien.fr  -  10 14

  • Une nouvelle enquête judiciaire vise des proches de Sarkozy

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    http://www.leparisien.fr/faits-divers/une-nouvelle-enquete-judiciaire-vise-des-proches-de-nicolas-sarkozy-07-10-2014-4194537.php

  • I - La population nordique de l'Inde ancienne

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    Bodhisattva. Monastère de shahbaz-Garhi, art de la Gandhara, VIe siècle.

    Musée Guimet, Paris.

     

    Vu le 24-9-10/ http://www.centrostudilaruna.it/la-popolazione-nordica-dellindia-antica.html

     

    21 septembre 2010 | Auteur : Hans Friedrich Karl Günther

     

    Tags : arméniens, blonds, Bouddhisme, castes, Caucase, eugénisme, Inde, Indiens, Indouisme,

     

    Hittites, Kalidasa, Manu, métissage, Persans

     

    Il semble encore que les nordiques indiens soient passés par le Caucase vers 1.700 AEC , selon Hüsing. Depuis très longtemps ils étaient très étroitement associés avec les Persans et les deux races parlaient la même langue, l'indo-iranien (dit aussi « aryen »). Les traces de cette langue commune (l'indo-persan) indiquent qu'il y eut un itinéraire commun suivi par ces deux populations de la Russie méridionale jusqu'au Caucase. On peut donc supposer que les peuples indo-persans habitaient l'Europe sud-orientale depuistrès longtemps, parce que dans les langues hungaro-finnoises on trouve, entre les mots allogènes acquis plus anciennement, un considérable nombre de mots indo-persans. Il s’ensuit que les races indo-persanes (c'est-à-dire : ces peuples de race nordique qui s'établirent ensuite en Inde et en Iran, où donnèrent origine à des peuples historiques) durent habiter dans l'Europe sud-Orientale comme voisins de peuples de langue hungaro-finnoise (et de race balte-orientale). Encore au temps d'Hérodote (au Vème siècle AEC), la Russie centrale et septentrionale était habitée par des peuples de langue hungaro-finnoise ; il est donc probable que la Russie méridionale ait été la zone de rencontre entre les indo-persans et les peuples de langue hungaro-finnoise. Même les différents noms de fleuves indiqueraient que la Russie méridionale a été le lieu temporaire de résidence des indo-persans,

     

     

    noms qui peuvent être expliqués comme dérivants du mot persan danu = fleuve

     

         

     

    (ossète don), comme Don, Dnepr (Danapris), Dnjestr (Danastrus), Donau [Danube].

    L'archéologie a même identifié cette zone Sud-Est européenne comme un lieu de permanence de peuples indo-iraniens.

     

     

      

                   

     

    Déjà, avant 1400 AEC, les Indo-persans avaient dû pénétrer dans les zones adjacentes

     

     

      

     

    à celle des Hittites (principalement de race levantine) ; ceci est indiqué par des mots indo-iraniens empruntés à la langue Hittite. Peu de temps après, les indo-persans durent rejoindre la zone arménienne. Vers 1.400 AEC les Indiens acquièrent une physionomie spécifique, dans les terres arméniennes, et s'appellent mêmes « Hari », c'est-à-dire« les blonds ».

     

    Dans les sagas indiennes anciennes, dieux* et héros sont toujours décrits comme

          « blonds ». Une vieille saga indienne indique que le Cashmire était leur première contrée de peuplement ; cependant que, tant le Veda indien que l'Avesta iranien contiennent des traces d'une fête* solsticiale d'hiver qui peuvent s’expliquer seulement par une origine nord-européenne. Dans les batailles entre Indra et le monstre Vrtra, il semblerait que le Veda indique encore le combat de l'été contre l'hiver ; et les Indiens, comme les Romains, s’maginaient que le siège des dieux* était dans le Nord. Les combats décrits dans lepoème indien Rig-Véda (comme cela été découvert pour la première fois par Brunnhofer) ont comme scène l'Afghanistan. De l'Afghanistan, suivit la migration vers les plaines indiennes et la diffusion de la vallée de l'Indus vers l’Est et le Sud-Est.

     

    …Les immigrés apportèrent avec eux l'architecture en bois et la coutume de

           

    l'incinération des cadavres, et avaient une structure sociale de relativement haut niveau. Dans les documents indiens plus anciens les peuples conquérants de langue indo-européenne* sont décrits comme « grands », « blancs », « clairs » et de « bel aspect », pendant que les aborigènes du lieu sont dits « de peau sombre », ainsi que « petits », « noirs » et « avec le nez plat » ou « sans nez ». Est indicatif le fait qui le mot indien pour `caste' (varna) signifie aussi `couleur'.

     

    Encore maintenant, après des millénaires, les Indiens des hautes castes sont reconnaissables à leur peau plus claire et européenne nordique - comme le dit Häckel lors de son voyage en Inde - et il cause la surprise des Indiens qui pensent qu'il doit appartenir àune caste supérieure. Et, selon les vieilles poésies religieuses, les anciens Indiens s'imaginaient leur dieu* suprême - Indra, dieu de la tempête, blond à la barbe rousse 

           

    comme semblable à lui et y voyaient la figure d'un véritable héros nordique.

     

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    Le Veda témoigne que, pour les anciens Indiens, une nombreuse famille était une marque de richesse. Il y a lieu de croire que la mortalité infantile dans la classe des immigrés nordiques était relativement élevée pendant l'été - même dans l'Europe méridionale, les enfants nordiques sont plus en danger que les enfants de races plus sombres. Il est même probable que les Indiens étaient devenus conscients des dangers du métissage dans une région à laquelle ils étaient mal adaptés. Donc, une très rigide législation garantit les castes en empêchant le mélange entre les seigneurs nordiques et les natifs. Le livre des lois de Manu , le code judiciaire plus ancien de l'Inde (écrit au début de notre calcul chronologique mais qui conservait des legs beaucoup plus anciens), contient des lois visant à empêcher le métissage ainsi que toute une série de très intéressantes indications eugéniques. Il semble que le métissage fut évité pendant très longtemps ; et ce furent ces temps d’encore relative pureté raciale qui produisirent les chants héroïques, la philosophie indienne du brahmanisme et la poésie indienne, tous témoignages de la forme indienne de l'âme nordique. Les créations intellectuelles indiennes méritent continuellement d'être appréciées, et elles ne cessent jamais d'étonner.

    La signification de la pensée indienne pour nous, a été indiqué d’une manière précise par Houston Steward Chamberlain

     

    dans son livre Arische Weltanschauung [Vision du monde aryen] » (1917). Les Indiens  

    étaient un ensemble de peuples nordiques ayant une physionomie spécifique et,chez eux, on relève un accord de religion, de pensée et de poésie non encore disjoints et proche de la source primitive de l'esprit nordique qui, ensuite, se développent dans la créativité intellectuelle. Dans ces temps primordiaux, la langue Indienne - qui nous a été transmise dans sa forme sanscrite - développa toutes ses riches potentialités et il y eut des travaux d'érudits   

          

          de la linguistique, dans le champs de la grammaire, qui n'ont pas été

     

    égalés et encore moins dépassés.

     

                                                                  * * * * *

     

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    Bodhisattva, art de la Gandhara, IVème siècle. Collection privée.

     

    Il se pourrait que cela soit la cause de l'apparition de Bouddha (né en 570 AEC) et

       

    de sa doctrine, le Bouddhisme, qui n'est plus d'esprit nordique et qui a irréversiblement 

     

    dissout l'esprit de conscience raciale de ce splendide peuple. Provoqué dans une région où

     

     

    la population indienne nordique était insuffisante et diffuse, à ce qu’il semble, surtout

      

     

    par ses missionnires non nordiques, le Bouddhisme détruisit les vieilles traditions fidèles à

      

    la race et, à la place de la philosophie indienne ancienne, il mit une doctrine problématique

       

    de salvation, laquelle (et ceci est fondamental) ne faisait pas appel seulement à la

       

    classe dominante nordique, mais aux populations de chaque caste et race. La courageuse

       

    spécificité de la sagesse indienne archaïque fut dilacérée par le Bouddhisme, qui lui a

     

      

    substitué l'esprit de renoncement, au point que le grand penseur indien Sankara, dans

         

    ses Réfutations du Bouddhisme, lui reprochait « de ne pas avoir proposé, sinon son vraiment

     

         

    immense déséquilibre, mais sa haine du genre humain ».

     

    Le Bouddhisme n’indique pas la marque de quelque pensée créatrice et ne fait rien

       

    d’autre que contrecarrer et détruire ce qui avait été créé par le Brahmanisme dans les 

      temps anciens. De la syntonie que l'Inde archaïque concédait à toute la nature, le Bouddhisme     

    tira la négation de la volonté de reproduction. Il est possible que, à travers son

             

    conseil d'éviter l'amour charnel, et son aversion pour le mariage et pour la propriété, il ait

     

        contribué à la disparition du sang nordique ; puisque ce furent plus probablement les éléments

          nordiques qui accueillirent cette nouvelle doctrine, qui de l'antiquité Indienne

       

    avait pris beaucoup, plutôt que les personnes provenant des classes inférieures à peau

       

    sombre. Le Sage brahmane se dédiait à une vie de contemplation et de pensée seulement

       après qu'il ait été époux et père, qu’il ait pris part à la vie publique et connu ses fils et

       

    neveux. Le Bouddhisme, par contre, était contraire tant au mariage qu'à l'enracinement

       

    de l'individu dans son peuple, en le déliant de son devenir historique. Pour nous, le  

    Bouddhisme peut se définir comme la « manifestation du triomphe d'une puissance   

    destructrice ».

           

    Il est tout à fait évident que même la situation climatique de l'Inde doit avoir contribué

     à la dénordicisation du peuple indien. En raison de leurs caractéristiques génétiques

       mûries dans l'Europe nord-occidentale, la constitution des Indiens nordiques n'était

     

      pas appropriée pour la vie dans les régions tropicales. L'ambiance indienne doit avoir

     

      exercée de vraies sélections à rebours dans la composante nordique de la population. Déjà,

     

      en Asie Mineure, pendant l'été, la mortalité infantile des enfants blonds est très supérieure

       

    à celle des enfants sombres.

       

    C’est à ce type de contre sélection que le métissage doit avoir amené à la décadence   

    de la civilisation Indienne. L'attaque macédonienne contre l'Inde (327 - 326 AEC) montra

       

    déjà alors combien fut faible l'état indien. La pénétration des populations que les   

    Grecs appelaient Indo-Scythes (de même provenance du Nord-Ouest) semble avoir apporté

       

    une retrempe dans l'élément nordique. Ils fondèrent, dans l'Inde nord-occidentale,

       

    un règne qui dura de 120 AEC jusqu'à 400 EC.… et qui, pour un certain temps (après

       

    environ 45 EC), porta sa frontière occidentale jusqu'aux abords de la Perse. Dans ce règne   

    « indo-scythe » il y eut même une renaissance de la poésie Indienne. Ce fut au IVème

       ou Vème siècle EC. que Kalidasa - le plus grand poète indien dont on sache le nom - écrivit ses grands poèmes.

            

    [Note du traducteur : Une isola de ces Macédoniens est demeurée vivante - et   païenne – jusqu’à nos jours dans le Nord de l’Afghanistan, aux confins montagneux du   Pakistan islamiste (!), ce sont les Kalashs, des indo-européens du Chitral, en but aux exactions  et assassinats musulmans avec l’aide (involontaire…?) de l’UNESCO .

     

     

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    Jeune fille Kalash avec tatouages - Nord Pakistan

     

     

    NdB: Je suis désolée pour cette mise en page si défectueuse malgré tous mes efforts.  Mais le texte reste extrêmement intéressant et à méditer sur la disparition d'un peuple nordique blanc au cours des siècles dans le métissage induit par le Bouddhisme, religion athée et destructrice des valeurs ancestrales du Brahmanisme.

     

    ( Merci à Dirk)  

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

  • La militante Farida Belghoul a été pacsée à son ancienne propriétaire nonagénaire

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    Créé le 06/10/2014 à 20h35 -- Mis à jour le 06/10/2014 à 20h59

    Alain Escada (c), président de Civitas, et Farida Belghoul (d) manifestent le 11 mai 2014 à Paris "en l'honneur de Jeanne d'Arc"

     Farida Belghoul a été pacsée à la propriétaire du pavillon qu’elle occupe depuis des années…

    Farida Belghoul, militante à l'initiative de la rumeur sur la théorie du genre à l'école, a été pacsée avec une nonagénaire, peu avant la mort de la vieille dame. L’Express s'est procuré lundi un document administratif attestant de ce pacs, après que l'information circule depuis le week-end.  

    Farida Belghoul a été pacsée à cette dame d'octobre 2008 à avril 2011, date à laquelle le pacs a été dissous. Simone G. est décédée fin 2011, à l'âge de 93 ans. Elle était propriétaire d’un pavillon occupé par Farida Belghoul depuis de nombreuses années à Bezons, dans le Val d’Oise.

    Un pavillon toujours enregistré au nom de la vieille dame en 2013, selon le cadastre consulté par l’hebdo. Contactée sur ce pacs et l'occupation de ce pavillon, Farida Belghoul n’a pas répondu à l’hebdo

    A.-L.B.
     
    20minutes.fr
     
    NdB:  Un drôle de genre!
  • Ce que dit Geert Wilders au Parlement (néerlandais)

    06 octobre 2014

     

    Je ne sais pas si un jour on entendra cela au Parlement français. Je ne le crois pas, car l’élu qui oserait dire cela se ferait couper la parole et ne pourrait pas continuer. Alors qu’au Parlement néerlandais, on laisse Geert Wilders dire ce qu’il a à dire sans l’interrompre, sans le moindre murmure. Cela vaut la peine d’être souligné avant de le lire et de le voir. C’était le 2 octobre dernier, lors du débat, suivi le lendemain du vote, sur l’envoi de F16 en Irak contre l’Etat islamique (parce que dans une démocratie, non seulement on laisse s’exprimer l’opposition, mais on vote sur l’entrée en guerre).

    Madame le Président,

    L’Etat islamique est un cancer islamique ; c’est un serpent venimeux basé sur le Coran et sur la vie de Mahomet, un criminel qui, il y a 14 siècles, assassinait et décapitait, de Médine à La Mecque. Son successeur autoproclamé calife de Bagdad est maintenant aux portes de Bagdad et de Damas. Il a des fidèles partout dans le monde, y compris dans notre pays, nos villes et nos rues.

    Je le répète, Madame le Président, des gens sont décapités selon les commandements du Coran, sourate 47, verset 4 : « Quand tu rencontre les infidèles, frappe-les au cou et cause un bain de sang parmi eux. » (1)

    Eh oui, Madame le Président, même les musulmans modérés ne peuvent échapper à cette violence parce que, selon le Coran et la Charia, ce sont des apostats qui doivent donc mourir.

    Madame le Président, tous les esprits naïfs qui disent que l’Etat islamique n’a rien à voir avec l’islam commettent une sérieuse erreur politiquement correcte, qu’il s’agisse d’Obama, de Cameron, de Rutte (2), de Samsom (3).

    Madame le Président, c’est une guerre qui a été déclarée contre l’Occident libre. Notre liberté, notre culture, l’avenir de notre pays et de nos enfants sont en jeu. Nous devons riposter durement, tant aux Pays-Bas que dans tout le monde occidental, et bien sûr aussi en Irak et en Syrie. C’est pourquoi mon parti soutient la décision du gouvernement d’envoyer des F16 néerlandais contre l’Etat islamique. Nous disons : Bombardons-les ! Mais nous ne comprenons pas, Madame le Président, pourquoi nous allons bombarder en Irak et pas en Syrie. Est-ce que le gouvernement est d’accord pour que des gens soient décapités en Syrie, des femmes violées, et qu’un génocide soit commis, seulement parce qu’il n’y a pas de mandat sous droit international ? Quelle lâcheté, Madame le Président. Le gouvernement dit qu’il comprend les Etats-Unis quand ils bombardent l’Etat islamique en Syrie, mais il n’y participe pas lui-même. Compréhension, mais pas participation : quelle lâche timidité.

    Encore plus important que de combattre l’Etat islamique en Irak et en Syrie est de combattre le terrorisme islamique ici, aux Pays-Bas, dans notre pays. La sécurité des Pays-Bas doit être notre priorité numéro un. Nos concitoyens doivent être en sécurité dans les trains, pouvoir marcher tranquillement dans la rue, doivent pouvoir conduire tranquillement leurs enfants à l’école, pouvoir faire leurs courses en toute sécurité. Voilà l’enjeu. Et dans l’article 100 de sa lettre au Parlement, le gouvernement ne consacre que deux paragraphes à la sécurité nationale. Il y a même davantage d’attention aux questions d’égalité de genre et à la situation des femmes dans le monde arabe. C’est une parodie.

    Madame le Président, nous devons protéger les Pays-Bas. C’est pour cela que nous avons été élus. Pour protéger nos concitoyens. Pas seulement les citoyens d’Irak et de Syrie, mais aussi et spécifiquement notre propre peuple ici aux Pays-Bas. Pourquoi est-ce que l’armée n’est pas déployée pour protéger nos gares – en uniforme naturellement et lourdement armés, évidemment. Et pourquoi est-ce que nous essayons d’arrêter les jihadistes quand ils veulent quitter notre pays ? Dimanche dernier, le ministre de la Sécurité et de la Justice annonçait fièrement que les passeports de 41 jihadistes avaient été confisqués pour qu’ils ne puissent pas se rendre en Syrie ou en Irak. Que c’est stupide ! Maintenant ils se baladent, ici, dans nos rues. Ceux qui veulent faire le jihad ailleurs, qui veulent décapiter des gens, commettre des attaques, se baladent dans nos rues à cause de la décision du ministre, aux Pays-Bas. Je le dis depuis dix ans et je le répète une nouvelle fois : fermez la frontière aux immigrants des pays islamiques. Trop c’est trop. La culture islamique de la haine n’a rien à faire ici aux Pays-Bas, et 65% des Néerlandais sont d’accord avec cela. Laissez les jihadistes quitter le pays, et ne les laissez jamais revenir. Telle est la solution. Rétablissez les contrôles aux frontières, expulsez quiconque exprime la moindre sympathie envers l’Etat islamique, enlevez-leur leur passeport néerlandais, exigez que tous ceux qui ont un passeport d’un pays islamique signent une déclaration anti-charia.

    Je dis au gouvernement : réveillez-vous ! ne vous contentez pas de discuter de l’Etat islamique, assurez-vous que les Néerlandais soient en sécurité dans nos rues et en sécurité dans les trains, et puissent faire leurs courses en sécurité. Ne protégez pas seulement les Irakiens contre l’Etat islamique, protégez les Néerlandais contre la menace terroriste islamique. Telle est votre mission, tel est votre boulot, telle est votre responsabilité. Assumez cette responsabilité, faites votre devoir.

    (1) Le verset ne parle pas littéralement d’un bain de sang. Il se poursuit ainsi : « Puis, quand vous les avez dominés… » Mais là il y a une note des autorités sunnites : « Vous les avez dominés : quand vous les aurez affaiblis par un grand nombre de morts et de blessés. » Il s’agit donc effectivement d’un bain de sang…

    (2) Marc Rutte, Premier ministre néerlandais.

    (3) Diederik Samsom, chef du parti du travail.

    Blog d'Yves DAOUDAL

  • En Ouganda, un mort de Marburg, virus "cousin" d'Ebola

    http://sante.lefigaro.fr/actualite/2014/10/06/22870-ouganda-mort-marburg-virus-cousin-debola

    Comme pour Ebola, l'hôte naturel du virus serait une chauve-souris. La période d'incubation est de 2 à 21 jours et la transmission interhumaine se fait par les fluides corporels des cadavres ou des malades symptomatiques (et par le sperme jusqu'à plusieurs semaines après la guérison).

    Le Figaro

  • À Bruxelles, plus d'un tiers des habitants sont des étrangers

    06/10/2014 à 16:23

    Source: Belga

    Avec respectivement 63,8% et 33,8% de ressortissants étrangers, Luxembourg et Bruxelles sont les capitales les plus cosmopolites d'Europe, selon l'Annuaire régional 2014 de l'Office européen de statistiques Eurostat, publié lundi.

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    © iStock

     

    La capitale de la Lettonie, Riga, complète le podium avec 26% d'habitants non nationaux. A l'inverse, Varsovie (0,6%), Sofia (1%) et Vilnius (1,4%) comptent très peu d'étrangers parmi leurs habitants. La moyenne européenne se situe à 20%.

    Par ailleurs, la région la plus jeune de l'Union européenne est la Guyane française qui compte 34,4% d'habitants âgés de moins de 15 ans, suivie de la région irlandaise du mid-east (24,8%) et de la Réunion (24,3%). La moyenne européenne se situe à 15,6% d'habitants âgés de moins de 15 ans.

    En Belgique, l'arrondissement le plus jeune est celui de Virton (19,8%). A l'autre bout de la pyramide des âges, la région portugaise de Pinhal Interior Sul (centre) est celle qui compte le plus d'habitants âgés de 65 ans et plus (32,4%), suivie de la grecque Evrytania (centre, 32,2%). Ce sont les deux seules régions européennes à dépasser les 30% d'habitants âgés de 65 ans et plus.

    En Belgique, l'arrondissement de Furnes et ses 27,9% est la région la plus âgée du pays.

    Eurostat s'est enfin penché sur le tourisme et le nombre de nuitées enregistrées en 2013. Avec leurs 89,8 millions de nuitées, les îles Canaries arrivent en tête devant l'île de France (77,5 millions) et la Catalogne (70,5 millions). En Belgique, la Flandre occidentale décroche la 1ère place avec ses 7,8 millions de nuitées.

  • Symbolique mais anecdotique : la Suède reconnaît l’Etat palestinien

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    Le 6 octobre 2014 
      
    Stefan Löfven, nouveau Premier ministre social-démocrate, a annoncé le 3 octobre que la Suède allait reconnaître l'« État de Palestine ».
             

    La Suède est le 135e État membre de l’ONU qui reconnaît l’État palestinien. Stefan Löfven, nouveau Premier ministre social-démocrate, a annoncé le 3 octobre que la Suède allait reconnaître l’« État de Palestine ». Les États-Unis, de leur côté, ont rappelé que toute « reconnaissance internationale d’un État palestinien » était « prématurée » car nécessitant une « solution négociée » et une « reconnaissance mutuelle » entre Palestiniens et Israéliens.

    Un État palestinien, avec Jérusalem comme capitale, a été proclamé le 15 novembre 1988, reconnu – depuis – par 134 pays. Le 3 janvier 2013, Mahmoud Abbas, dirigeant de l’Autorité palestinenne, a voulu concrétiser l’existence de cet État palestinien en signant un décret réaffirmant son existence et, donc, entraînant la dissolution de « l’Autorité palestinienne » créée par les accords d’Oslo en 1993.

    Cette reconnaissance par la Suède est tout au plus anecdotique car le problème de fond demeure. Héritier du sionisme révisionniste et allié aux « Russes » ultra-nationalistes de Libermann et aux néo-sionistes religieux, Benyamin Netanyahou est incapable d’admettre la réalité arabo-palestinienne et la nécessité des « deux États pour une Terre ». Sharon aurait pu être ce nationaliste incontesté consentant à une solution négociée avec un État palestinien. De même, côté palestinien, la dualité de pouvoir de facto empêche toute capacité de négociation. En 2006, la victoire électorale relative (44 % des voix) du Hamas et le coup d’État à Gaza paralysent toute initiative venant d’Abbas.

    Il n’y a que deux États capables de faire pression sur les deux protagonistes. Le 16 juillet 2014, Vladimir Poutine déclarait : « Je soutiens le droit d’Israël à protéger ses citoyens », contre les roquettes du Hamas. Le chef du Kremlin est, dans l’histoire russe, le dirigeant le plus favorable à Israël, tout en continuant à entretenir ses liens avec l’axe chiite, à savoir la Syrie et l’Iran.

    Mais alors que la Russie adopte une attitude plus équilibrée, les États-Unis de Barack Obama s’enfoncent dans l’isolationnisme, tendance de fond de l’histoire américaine. L’indépendance vis-à-vis des hydrocarbures arabes, obtenue avec l’exploitation du gaz de schiste, renforce cette tendance. Dès lors, Obama n’use pas de ses capacités de pression sur Israël. Les États-Unis pourraient accepter la Palestine dans les organisations internationales, ou peser sur les ventes d’armes.

    La solution est pourtant connue depuis … 1947. En effet, la résolution 181 de l’ONU prévoyait la création des deux États. Ce sont les États arabes qui l’ont refusée, l’Égypte annexant Gaza et la Transjordanie absorbant la Cisjordanie pour devenir la Jordanie. L’erreur d’Israël fut d’occuper ces deux territoires à la suite de la guerre des Six-Jours en 1967, alors qu’en se retirant après sa victoire militaire, il aurait mis les voisins arabes devant leur responsabilité d’accepter un État palestinien.

    Patrick Canonges

    BOULEVARD VOLTAIRE