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Pierre Bergé: "Le pape François est très inteligent et vit avec son époque"
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EXCLUSIF- Mort de Margerie : «J'ai vu une boule de feu», raconte un témoin du crash. Un pilote, qui a assisté au crash, livre un témoignage accablant
Un enquêteur examine la carcasse du Falcon 50 écrasé
Marc Lomazzi | Publié le 22.10.2014, 07h30
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« À dix minutes près, nous aurions pu nous crasher à la place du Falcon. » Jeune copilote dans une compagnie de jets privés, Samy* est un habitué de l'aéroport international de Vnoukovo (Russie). « Nous faisons régulièrement des vols entre Moscou et les principales capitales européennes. » Ses clients ? Des businessmen et ceux qu'il appelle « les nouveaux riches russes », amateurs de virées vers la Côte d'Azur. <btn_noimpr>
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Ce soir-là, Samy devait quitter Vnoukovo aux commandes de son appareil, un biréacteur d'affaires de 19 places capable de parcourir 8 000 km à 900 km/h. « Nous étions au parking à 600 m de la piste empruntée juste avant nous par le Falcon de Christophe de Margerie. Avec mon commandant de bord, nous avons tout vu. »
Il est 23 h 55, à Moscou, deux heures de moins à Paris. Après le passage par le Terminal 3, réservé aux vols privés, et la vérification de l'avion, Samy procède dans le cockpit à la check-list qui précède le décollage. « Soudain, nous avons capté un message radio du copilote du Falcon 50 devant nous. Il avait du mal à comprendre les instructions de la tour de contrôle et quel taxiway il devait prendre pour se rendre sur la piste. »
Le Falcon s'engage sur la piste, prend de la vitesse et heurte de plein fouet un engin au bord de la piste. « Notre avion est insonorisé, nous n'avons pas entendu le choc, mais nous avons vu une boule de feu dévaler la piste, raconte Samy. Je pense que, sous le choc, l'aile du Falcon, remplie de kérosène, a pris feu puis l'avion s'est embrasé avant d'avoir pu décoller. »
Comment expliquer cette collision entre un avion au décollage et une déneigeuse ? Samy exclut un drame provoqué par de mauvaises conditions météo. « Elles étaient normales pour la saison, il faisait 1oC et il pleuvait, mais il n'y avait pas de vent ni de brouillard et la vue était dégagée sur 500 m. » Alors pourquoi le pilote du Falcon n'a-t-il pas vu la déneigeuse ? La réponse de Samy fuse, presque incroyable : « Les pistes de Vnoukovo sont mal éclairées et elles ne sont même pas planes, on ne voit qu'un tiers de la piste. » En clair, le Falcon aurait aperçu l'engin -- « une sorte de gros bulldozer », selon Samy -- trop tard pour l'éviter. « De toute façon, cet engin n'avait rien à faire là. Lundi soir, les pistes étaient mouillées par la pluie, mais pas enneigées. Il y a eu sans aucun doute une erreur humaine au niveau du contrôle au sol qui a fait que l'engin traversait les pistes. »Une défaillance qui ne surprend guère le jeune pilote. « A Vnoukovo, rien n'est aux normes internationales, affirme Samy. Les procédures de clearance (NDLR : les autorisations de manœuvre de la tour de contrôle) sont brouillonnes. Il m'est arrivé d'avoir pour consigne de tourner plus d'une heure en plein hiver au-dessus de l'aéroport. » Plus étonnant, « les aiguilleurs parlent mal anglais et on entend des surperviseurs derrière eux comme s'il s'agissait de gens en formation. Enfin, le balisage et l'éclairage au sol sont défectueux. » Un témoignage accablant. « Immédiatement après le crash, conclut Samy, toutes les fréquences radio avaient été coupées et tous les vols déroutés vers les autres aéroports de Moscou. »
* Le prénom a été changé.Le Parisien
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Tel Aviv: suicide de Thierry Leyne, l'associé de DSK
Homme d'affaires franco-israélien, Thierry Leyne s'est suicidé jeudi à Tel-Aviv (Israël), ont annoncé ses proches. Âgé de 48 ans, il était, depuis octobre 2013, l'associé de l'ancien directeur du Fonds monétaire international (FMI) Dominique Strauss-Kahn. Ensemble, ils avaient lancé un fonds d'investissement appelé «LSK (Leyne-Strauss-Kahn) & Partners».
Thierry Leyne, par ailleurs banquier privé, avait une résidence à Tel-Aviv.<btn_noimpr>
Ingénieur diplômé du Technion de Haïfa (nord d'Israël), Thierry Leyne a effectué toute sa carrière dans les milieux financiers, notamment en France, en Israël et au Luxembourg. Selon ses proches, il se serait défenestré en se jetant d'une des tours les plus hautes de Tel-Aviv. Les raisons de ce geste n'ont pas été dévoilées.
Le Parisien - 23 10 14
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L'équipe de "Solidarité Kosovo"
PS : les personnes souhaitant nous aider peuvent contribuer au développement de nos activités en nous faisant un don. Par chèque à l’ordre de « Solidarité Kosovo », BP 1777, 38220 Vizille.
PS2 :« Solidarité Kosovo » étant reconnu d’intérêt général, chaque don ouvre droit à une déduction fiscale à hauteur de 66% du montant du don. A titre d'exemple, un don de 100 € vous permet de déduire 66 € sur la somme de vos impôts à payer. Ainsi votre don ne vous coûte en réalité que 34 €.
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Ville de Paris : un budget de 95 millions d’euros pour deux mille jeunes clandestins
6h12Une quinzaine de jeunes clandestins africains soutenus par les syndicats lycéens seront pris en charge par la Ville de Paris.
La Mairie de Paris fait, elle, valoir ses efforts : 95 millions d’euros en 2014 (contre 35 millions d’euros en 2008) sont consacrés à la prise en charge de deux mille jeunes, dont sept cents sont majeurs et bénéficient d’un contrat « Jeune majeur », à condition qu’ils suivent avec sérieux leur scolarité.
Mardi 21 octobre, on savoure la victoire, et l’humeur est à la fête dans les locaux de ce syndicat lycéen où ces jeunes, dont certains scolarisés dans des lycées professionnels, avaient, depuis huit jours, trouvé refuge. L’après-midi même, une trentaine de personnes, des jeunes migrants, entourés de militants du Réseau éducation sans frontière (RESF) et de l’Association accompagnement et défense des jeunes isolés étrangers (Adjié) avaient manifesté sur le parvis de l’Hôtel de ville.
Cette solution, bienvenue pour la quinzaine de lycéens soutenus par la FIDL, n’épuise pourtant par le problème de l’afflux soudain de ces jeunes, accru depuis trois ou quatre ans. Venus du Sénégal, du Cameroun, du Mali, ils débarquent, après un incroyable périple, en Ile-de-France sans un sou ni un contact. [...]
Le Monde (Merci à lotus)
FDS
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EN DIRECT- Le Canada frappé par des attaques terroristes
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Moscou va condamner l'affichage de symboles fascistes en public
MOSCOU, 22 octobre 2014 - RIA Novosti
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La Douma russe a adopté un projet de loi instaurant une responsabilité administrative pour la manifestation publique d'attributs ou de symboles appartenant aux mouvements ayant collaboré avec les fascistes, écrit mercredi le quotidien Rossiïskaïa gazeta.
Le projet de loi fournit des explications détaillées sur les organisations, les mouvements, les groupes ou leurs représentants qui pourraient sérieusement nuire à la réputation de ceux qui chercheraient à les imiter, se placer sous leurs étendards ou répéter leurs slogans. Il s'agit d'organisations, de mouvements et de personnalités reconnus comme criminels ou coupables de crimes condamnés dans le cadre du procès de Nuremberg ou par les tribunaux nationaux, martiaux ou d'occupation s'appuyant sur le verdict de Nuremberg. Le projet de loi suggère au gouvernement russe d'établir la liste de ces organisations, de leurs attributs et symboles.
Les députés trouvent ces restrictions parfaitement justifiés car ces "ombres du passé" cachent souvent une activité extrémiste et nazie réelle, représentant un danger pour l'ordre constitutionnel et la sécurité de l'Etat, comme l'ont confirmé les événements en Ukraine.
Le projet de loi a été adopté en première lecture en mai dernier mais au cours des mois qui ont suivi, l'initiative du vice-président de la Douma Sergueï Jelezniak et d'autres députés est devenue encore plus pertinente. "Dans le sud-est de l'Ukraine, en dépit de la trêve annoncée, l'éradication de la population civile de Nouvelle Russie est poursuivie avec la participation active des adeptes de l'idéologie fasciste de Stepan Bandera. Les néonazis organisent ouvertement des défilés avec des torches dans les rues centrales de l'Ukraine, intimidant et terrorisant les passants.
Les autorités de Kiev, elles, avouent leur absence de principes et le soutien de fait à l'idéologie nazie en prenant des décisions au profit des nationalistes radicaux", constate avec regret Sergueï Jelezniak, rappelant que l'Ukraine a instauré une nouvelle fête nationale le 14 octobre – la journée du défenseur de l'Ukraine consacrée à l'anniversaire de la création de l'Armée insurrectionnelle ukrainienne.
"Azov", "Donbass", Secteur droit: les symboles SS revisités en Ukraine >>
"Nous ne pouvons pas permettre que les néonazis et les organisations qui affichent publiquement les attributs ou les symboles des organisations ayant coopéré avec des organisations et des mouvements fascistes, relèvent la tête en Russie et dans le monde", a déclaré Sergueï Jelezniak.
Ce dernier espère que des "efforts communs" permettront de faire ouvrir les yeux de la communauté internationale sur la situation réelle en Ukraine, qu'une enquête sera ouverte sur les crimes contre l'humanité perpétrés en toute impunité par les troupes punitives du régime de Kiev en Nouvelle Russie, et qu'ils seront traduits en justice pour génocide.
Cependant, l'un des principaux objectifs du projet de loi est d'empêcher "la peste brune de se répandre dans la maison panrusse". "Aujourd'hui, certains représentants de l'opposition dite hors système se permettent de défiler et de manifester en affichant des symboles et des attributs des collaborationnistes qui combattaient du côté de l'Allemagne fasciste", a rappelé Sergueï Jelezniak à la session plénière. Et ils ne peuvent pas être traduits en justice, selon le député, car "la législation russe ne prévoit pas de poursuites pour l'affichage de tels symboles".
Les députés ont voté le projet de loi à l'unanimité par 443 voix.
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Entretiens sur la remigration [Présent] – Nicolas Bay : “Il est possible d’inverser les flux migratoires”
22/10/2014 – PARIS (NOVOpress via Présent)
La question de la remigration émerge du débat politique. “Présent” publie à partir [du mardi 21 octobre, note de Novopress] une série d’entretiens sur la question : Guillaume Faye, Philippe Vardon, Jared Taylor… Nicolas Bay (photo) ouvre le bal. Novopress reproduit ci-dessous des extraits de cet entretien.Propos recueillis par Pierre Saint-Servant
Les élus FN-RBM sont conscients que le rejet de l’immigration est massif en France. Les chiffres les plus récents sont éloquents : 75% des Français estiment qu’il y a trop d’immigrés en France. N’est-ce pas aujourd’hui le plus large consensus politique ?
Oui, le rejet de l’immigration et de l’islamisation, qui en est l’une des conséquences politico-culturelles les plus visibles, est désormais non seulement massif mais même largement majoritaire chez nos compatriotes. Et cela quel que soit leur vote ! C’est à la fois une bonne et une mauvaise nouvelle : cela signifie que nous pouvons continuer d’agrandir notre base électorale, mais aussi que certains Français, tout en rejetant l’immigration, continuent de faire confiance aux partis qui ont créé la situation.
Notre mission est donc désormais de transformer cette majorité d’opinion en majorité politique, en faisant entendre à nos compatriotes à la fois que les solutions que nous préconisons sont les seules à même de résoudre le problème mais aussi que nous sommes les seuls qui auront le courage politique de les mettre en œuvre. En cela, l’escroquerie du quinquennat Sarkozy nous a rendu service, elle a permis de démontrer qu’il ne suffisait pas d’avoir la rhétorique pour avoir les actes…
Le Front National a parfois traité la question migratoire avec nuance : de l’intégration possible à la remigration nécessaire. Quelle est la position actuelle de votre parti sur ces questions ?
Sur cette question comme toute autre, la nuance est nécessaire. Mais elle n’empêche pas la détermination. Au terme d’intégration, nous préférons celui d’assimilation, correspondant à la tradition française. Or, ce que nous observons aujourd’hui c’est que cette assimilation est devenue très difficile, si ce n’est impossible — du moins dans la situation actuelle — pour trois raisons principales. Tout d’abord, à cause du renoncement de nos gouvernants qui se refusent à affirmer clairement à la fois l’identité française et les valeurs républicaines dans notre pays. Ensuite parce que l’immigration a un caractère massif : un million d’entrées en seulement cinq années sous Sarkozy et toujours autant aujourd’hui évidemment. Et enfin parce que l’immigration que nous subissons depuis plusieurs décennies est non seulement massive mais principalement issue d’Afrique subsaharienne et du Maghreb ce qui accentue considérablement la fracture culturelle et identitaire. A ceux qui ne souhaitent pas s’assimiler, nous disons très clairement que s’ils n’aiment pas la France, rien ne les oblige à rester ici. Et pour un certain nombre d’entre eux – clandestins, islamistes, profiteurs – nous les raccompagnerons même vers la sortie. Il est parfaitement possible d’inverser les flux migratoires, par exemple en mettant fin au renouvellement automatique des titres de séjour, en s’appuyant sur la binationalité ou la naturalisation récente de certains criminels pour les déchoir de la nationalité française, en supprimant les incitations à l’immigration (aides et logements sociaux, AME, etc.), et enfin en réaffirmant clairement notre identité et la laïcité républicaine.
(…)
On observe avec intérêt que des sujets aussi divers que le chômage, la destruction de notre système social, les attaques contre la famille trouvent de nombreux points de convergence avec les questions migratoires. Dans l’esprit de beaucoup de Français de souche, on privilégie trop souvent « les autres » au détriment « des nôtres ». Partagez-vous cette analyse ?
Oui, beaucoup de Français ont le sentiment que certaines minorités et communautés, les plus bruyantes et revendicatives, voire agressives, ont droit à tout et surtout à toutes les attentions. Pendant ce temps eux bossent, et paient. Ils ne se trompent pas vraiment, et c’est d’ailleurs peu ou prou la stratégie électorale prônée par le « think-tank » socialiste Terra Nova ! Les récents projets de loi liés à la famille l’illustrent à merveille : ce sont les classes moyennes et populaire qui vont être durement touchées. Nous voulons justement être les porte-parole de cette majorité silencieuse : les sans-voix, les « oubliés ».
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Crédit photo : DR
Publié le 22 octobre 2014 - Modifié le 22 octobre 2014