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  • James Watson , co-découvreur de la structure de l’ADN et victime des antiracistes met aux enchères son prix Nobel

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    20h37

    (traduction rapide)

    Le scientifique accusé de racisme met aux enchères son prix Nobel :

     

    L’américain James Watson, qui a travaillé avec son collègue Francis Crick à l’université de Cambridge et a établi la structure en double hélice de l’ADN, se dit exclu depuis ses remarques faites dans un entretien en 2007.

    Il avait confié au Sunday Times que les Noirs n’avaient pas la même intelligence que les Blancs.

    Depuis ces commentaires controversés le Dr Watson n’a donné aucune conférence et a été rejeté par les grandes compagnies, ajoutant que désormais « plus personne ne veut reconnaître mon existence ».

    Cet argent sera utilisé pour compléter ses revenus, rendre à ceux qui lui ont tant donné (écoles,universités) et acquérir une œuvre du peintre David Hockney.

    Source

    Merci à anargyre


    La Polémique

    Le 14 octobre 2007, il a tenu des propos racialistes dans les colonnes du journal britannique le Sunday Times. Il y déclara qu’il était « fondamentalement pessimiste quant à l’avenir de l’Afrique » parce que « toutes nos politiques d’aide sont fondées sur le fait que leur intelligence [celles des Africains] est la même que la nôtre [Occidentaux, ndlr] alors que tous les tests disent que ce n’est pas vraiment le cas » et poursuivant sur ses propos, il indique que « son espoir est que tous les hommes soient égaux » mais il répond que « les gens qui ont eu affaire à des employés noirs se sont rendu compte que ce n’est pas vrai ». Le biologiste Steven Rose a répondu dans The Independent le mercredi suivant que si « Watson connaissait la littérature sur le sujet, il aurait su qu’il est en dehors de sa profondeur scientifique » et que Watson était un habitué de tels scandales car il lui connaissait des propos similaires sur les femmes. Il aurait ainsi déclaré concernant les manipulations génétiques que « les gens disent qu’il serait horrible qu’on puisse faire en sorte que toutes les filles soient jolies. Moi je trouve que ce serait super « .

    Le 9 décembre 2007, le Sunday Times publiait une étude scandinave affirmant que l’ADN de Watson comportait 16 % de gènes légués par des ancêtres noirs et 9 % par des aïeux asiatiques.

    Dans son dernier ouvrage datant de 2007, on retrouve une réponse de James Watson concernant cette polémique : « Il n’y a aucune raison de s’attendre à ce que les capacités intellectuelles de peuples séparés géographiquement dans leur évolution aient évolué de manière identique. Notre volonté de distribuer des pouvoirs intellectuels égaux, comme une sorte de dotation universelle, cette volonté ne sera pas suffisante pour qu’il en soit ainsi. » Tiré de Évitez les gens ennuyeux, 2007.

    Suite à ses déclarations du 14 octobre 2007, il a été suspendu des fonctions qu’il exerçait dans un laboratoire de l’Institut de recherches de Cold Spring Harbor (Long Island), puis mis en retraite.

    Wikipédia

     

     

  • L'ex-comptable de Liliane Bettencourt mise en examen pour faux témoignage!

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    Claire Thibout

     

    Le Monde.fr avec Reuters | 28.11.2014 à 18h28 • Mis à jour le 28.11.2014 à 18h44

                 

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      Claire Thibout affirmait avoir retiré dans une banque 150 000 euros qu'elle devait remettre à Patrice de Maistre, l'ancien gestionnaire de fortune de Liliane Bettencourt. | AFP/FRED DUFOUR

    Claire Thibout, ex-comptable de l'héritière de L'Oréal Liliane Bettencourt, a été mise en examen, a annoncé vendredi 28 novembre une source judiciaire, confirmant une information du site Atlantico. Elle est poursuivie pour faux témoignages, attestation mensongère et usage d'attestation mensongère dans le cadre d'une information judiciaire du juge Roger Le Loire.

    Mme Thibout, au service de Liliane Bettencourt de 1995 à 2008, est une des principaux témoins à charge de l'affaire Bettencourt, notamment sur les abus de faiblesse dont pourrait avoir été été victime la milliardaire. Le procès concernant ce volet se déroulera à Bordeaux à partir du 26 janvier.

    L'ancienne comptable avait notamment affirmé avoir retiré, le 17 janvier 2007, 50 000 euros qu'elle avait confiés à Patrice de Maistre, le gestionnaire de fortune de Liliane Bettencourt. Cette somme, a toujours affirmé Claire Thibout en citant les propos de Patrice de Maistre, était« pour donner à Eric Woerth », alors trésorier de l'UMP. Selon l'ancienne comptable, elle avait été complétée par un versement de 100 000 euros que M. de Maistre avait trouvé seul.

    Un dossier dans lequel Nicolas Sarkozy, un temps soupçonné d'avoir profité de ces sommes, avait bénéficié d'un non-lieu, tout comme l'avocat Me Fabrice Goguel. 

    400 000 EUROS DE DÉDOMMAGEMENT POUR SON LICENCIEMENT

    Claire Thibout avait également accusé l'écrivain-photographe François-Marie Banier d'avoir soustrait une importante somme d'argent à Liliane Bettencourt. Elle avait par exemple fait état de « nombreux chèques », d'assurances-vie souscrites au bénéfice de l'artiste, ou de bijoux qu'il aurait voulu soustraire.

    Il fera partie des prévenus renvoyés devant le tribunal correctionnel en janvier pour abus de faiblesse au détriment de la milliardaire, au côté d'Eric Woerth, de l'industriel Stéphane Courbit et de Patrice de Maistre.

    Lire la synthèse : Retour sur les affaires Bettencourt

    Les défenseurs de Mme Bettencourt avaient mis en cause la partialité de la comptable dans le conflit entre l'héritière et sa fille Françoise Meyers. L'enquête a établi que, bien que n'étant pas son employeur, la fille de l'héritière de L'Oréal avait versé plus de 400 000 euros pour dédommager la comptable de son licenciement.

    Lire l'analyse : Face aux affaires, l'insaisissable Nicolas Sarkozy

  • Sarkozy élu président de l'UMP

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    Nicolas Sarkozy est élu président de l'UMP avec 64,5 % des suffrages devant Bruno Le Maire (29,18) et Hervé Mariton (6,32%). Le taux de participation s'élève à 58,1 %.

    » EN DIRECT - Suivez le live Figaro de l'élection à la présidence de l'UMP

  • Marion Maréchal Le Pen: «Mon score me permet d'avoir une légitimité qui dépasse mon nom»

     

    A 24 ans, Marion Maréchal-Le Pen est arrivée en tête lors de l'élection du Comité central, le parlement du parti. Crédits photo : Laurent Cipriani/AP

    Marion Maréchal-Le Pen a réagi avant même la présentation officielle des votes concernant le comité central prévue dimanche. Créditée de 80% de voix, elle se situe en tête largement devant le vice-président du parti Florian Philippot.

     

    Comment appréciez-vous votre élection en tête, à 80%, au sein du comité central?

    J'en suis ravie et très honorée. Cela me permet d'avoir aujourd'hui une légitimité qui dépasse mon nom. Je remercie les électeurs et j'espère me montrer digne de cette confiance. Je suis arrivée très jeune dans le Vaucluse, que je connaissais de loin, avec ce fardeau très lourd du passif de Carpentras. Il y avait un honneur à laver. Avec ce score aujourd'hui, j'espère avoir dépassé cela.

    Pourquoi n'avez-vous pas pris la parole durant le congrès?

    La volonté de ce congrès était d'aller sur des thématiques nouvelles et de mettre en avant les nouveaux cadres du FN. C'est pourquoi je n'étais pas prioritaire dans ces temps de parole. Je n'en ai pas pris ombrage. Notre force au FN est justement un chef incontesté. Il y a véritablement une unité derrière Marine Le Pen. C'est notre force face à des adversaires politiques qui se divisent, emplis d'Iznogouds (un personnage de BD inventé par René Goscinny dont la formule désormais célèbre est «Je veux être calife à la place du calife», NDLR). Moi, je me bats pour que Marine Le Pen soit présidente.

    Pourquoi ne souhaitiez-vous pas figurer au sein du bureau exécutif?

    C'est vrai que je n'ai pas accepté de vice-présidence car je ne voulais que l'on puisse reprocher à Marine Le Pen le front familial même si je crois qu'un parti qui à 83000 adhérents est loin d'un front familial. Mais il est vrai qu'avoir Jean-Marie Le Pen, Marine Le Pen et moi dans ce bureau exécutif pouvait prêter le flanc à ce type d'accusation. Et j'ai 24 ans. J'ai le temps devant moi, je ne cours pas derrière ce titre-là.

    Quel est votre avenir politique?

    Ce n'est pas à moi de le définir. Pour l'instant, j'ai un mandat et je vais aller au bout de ce mandat. Beaucoup de gens me parlent des régionales et j'ai répondu que j'aurais pu postuler à une telle candidature mais que je ne comptais pas me présenter si Jean-Marie Le Pen lui-même se présentait. Je me rangerais derrière lui. Nous sommes dans un combat politique. On fait front. Après, que l'on soit premier soldat ou deuxième petit soldat, ce n'est pas cela qui est important.

    LE FIGARO

  • Le pape loue les "inestimables trésors spirituels" et la "sacralité de la vie humaine" de l'Islam.

    29/11/2014

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    Faisant écho aux islamophiles déclarations de son exhortation apostolique Evangelii Gaudium , François Ier a prononcé une allocution lors de sa rencontre avec le président des Affaires religieuses turc, Mehmet Gormez, qui incitera les musulmans à rester musulmans, et incitera les catholiques à "accueillir avec affection et respect les immigrés de l'islam qui arrivent dans nos pays" (Evangelii Gaudium)

    2014-11-29 Radio Vatican (extrait): "Musulmans et Chrétiens, nous sommes dépositaires d’inestimables trésors spirituels, parmi lesquels nous reconnaissons des éléments qui nous sont communs, même vécus selon nos propres traditions : l’adoration du Dieu miséricordieux, la référence au patriarche Abraham, la prière, l’aumône, le jeûne… éléments qui, vécus d’une manière sincère, peuvent transformer la vie et donner une base sûre à la dignité et à la fraternité des hommes.

    Reconnaître et développer cette communauté spirituelle – à travers le dialogue interreligieux – nous aide aussi à promouvoir et à défendre dans la société les valeurs morales, la paix et la liberté (cf. Jean-Paul II, Discours à la communauté catholique d’Ankara, 29 novembre 1979). La reconnaissance commune de la sacralité de la personne humaine soutient la compassion commune, la solidarité et l’aide active envers ceux qui souffrent le plus. A ce sujet, je voudrais exprimer mon appréciation pour tout ce que le peuple turc, les musulmans et les chrétiens, font envers les centaines de milliers de personnes qui fuient leur pays à cause des conflits. C’est un exemple concret de la manière de travailler ensemble pour servir les autres, un exemple à encourager et à soutenir.

    J’ai appris avec satisfaction les bonnes relations et la collaboration entre le Diyanet et le Conseil Pontifical pour le Dialogue interreligieux. Je souhaite qu’elles se poursuivent et qu’elles se consolident, pour le bien de tous, parce que chaque initiative de dialogue authentique est signe d’espérance pour un monde qui a tant besoin de paix, de sécurité et de prospérité."

    Source 12:23 | Lien permanent | Commentaires (0) | addthis_pub='blogspirit'; | Facebook | |  

    Observatoire de l'Islamisation

  • Vote au congrès du FN: Marion Maréchal-Le Pen devance Plorian Philippot

    http://www.europe1.fr/politique/vote-au-congres-fn-marechal-le-pen-depasse-philippot-2303651

  • Bruno Gollnisch dans le quotidien Présent : « l’espérance est nôtre » - 28 11 14

    À la veille du Congrès de Lyon, le journal Présent a interrogé Bruno Gollnisch, nous reproduisons ici cet entretien.

    Une du journal Présent du 29 novembre 2014- Selon vous, quels sont les enjeux que représente ce Congrès pour le Front National ?

    Il est évident que les enjeux y sont assez limités ; je serais tenté de dire : heureusement ! À la différence des habituels congrès fratricides de nos concurrents politiques, cet événement sera, je l’espère, un grand moment d’amitié française, alternant travaux des tables-rondes thématiques avec animations, banquets et rencontres.
    En outre, ce XVe congrès du Front National permettra tout d’abord de respecter les règles juridiques et statutaires qui s’imposent à notre mouvement : voter le quitus (la confiance sur les bases du bilan passé) au président sortant (Marine le Pen), réélire un président pour un nouveau mandat de trois ans (là non plus, il n’y a guère d’enjeu, car contrairement à 2011 je ne suis pas candidat) ; élire le nouveau comité central. Les questionnaires envisagés initialement n’ayant pas été envoyés à nos adhérents, et les propositions de motions thématiques n’ayant pas été retenues, il n’y a pas non plus d’enjeu doctrinal. J’ai pu regretter que le Congrès ne soit pas l’occasion d’une mise à jour de notre ancien programme, très complet et très cohérent, mais qu’il faut assurément adapter à la situation actuelle du monde et de notre pays, qui a évolué, et pas en bien ! Mais j’ai dû convenir qu’il était difficile d’y procéder en moins de 48 heures. Du moins y aura-t-il un certain nombre de forum qui peuvent apporter des éclairages inhabituels, comme celui consacré à l’écologie, une grande idée de notre famille d’esprit depuis ses origines, « récupérée » et totalement dévoyée par les militants de gauche et d’extrême gauche qui s’en sont emparé.

    - Cité par l’Express en date du 5 novembre, vous disiez votre regret de ne pas avoir accepté la vice-présidence du FN que Marine Le Pen vous avait proposée au Congrès de 2011. Pourquoi ce refus ?

    Je répondais en effet à la question d’un de vos confrères. La formule ne doit pas laisser penser à quelque amertume que ce soit de ma part. Lors de la succession de Jean-Marie Le Pen, Marine Le Pen tout juste élue m’avait proposé, dans un très louable souci d’unité, je suppose, de devenir le seul et unique vice-président du FN. Deux raisons m’avaient alors poussé à décliner cette offre : la première était que je souhaitais laisser les coudées franches à Marine, avec laquelle nous avions exprimé pendant notre campagne interne des points de vu divergents sur la gestion interne du parti. À partir du moment où elle avait été élue, et où je m’inclinais devant ce résultat, je pensais préférable de la laisser constituer son équipe. La seconde était liée à mon souhait de ne pas réduire à un seul le nombre de vice-présidents, fonction occupée par d’autres personnes de qualité. Mon regret est plus lié au fait que cette situation ait été interprétée à tort comme l’abandon de mes responsabilités au niveau international, ce qui n’était pas dans mes intentions et n’a pas été discuté entre nous. J’aurais aussi sans doute pu avoir plus de visibilité ou de responsabilités thématiques. Mais comme le dit Shakespeare, « qui n’a plus d’espoirs n’a plus de regrets ». J’entends bien compter dans les prochaines batailles de France, et mon « regret » ne s’est exprimé que pour signifier cet état d’esprit toujours disponible et combatif !

    - Dans le même article, vous déploriez le fait qu’on « aille chercher en dehors du FN des compétences qui s’y trouvent ». Comment expliquer un tel état de fait ?

    Déplorer est un terme excessif, que je n’ai pas prononcé. Mais il est vrai que nous n’avions pas attendu ces dernières années pour faire appel à des compétences : experts divers, chefs d’entreprise, ingénieurs, hauts fonctionnaires, universitaires, etc. En témoignent, entre autres, les remarquables travaux de notre Conseil Scientifique d’alors, qui, sous la direction du regretté Pr. Jacques Robichez, de la Sorbonne, de Hugues Petit, Maître de Conférences à l’Université de Grenoble, de Thibaut de La Tocnaye, ingénieur centralien, innovateur et créateur d’entreprises, a produit des colloques, des publications, des travaux remarquables. Toutes les compétences ne viennent pas de l’extérieur. Les ralliements récents sont de beaux signes d’encouragements, et pour montrer notre ouverture on donne beaucoup d’importance à ceux qui nous rejoignent ainsi. Mais il est vrai que je suis aussi et surtout un fervent partisan d’une école qui permette de former intégralement nos cadres, avec la solide colonne vertébrale de notre école de pensée. Une école militante au sein même de notre mouvement, qui lierait à la fois les compétences universitaires ou professionnelles de nos adhérents les plus qualifiés avec les épreuves ou les défis auxquels nous sommes tous confrontés. Une vraie et belle méritocratie française, empreinte de dévouement et de fidélité.

    - Il y a peu, vous preniez votre distance avec les commémorations de la mort de De Gaulle par des membres du FN, notamment de jeunes militants tels que le nouveau président du FNJ, Gaëtan Dussausaye. Verrait-on monter en puissance un « gaullisme frontiste » alors que vous estimez que des « dizaines de milliers d’adhérents du FN » ne pourront jamais se reconnaître dans l’héritage de De Gaulle ?

    Nous constatons un phénomène indépendant de notre volonté : s’estimant à juste titre trahis par leurs aînés, de plus en plus d’héritiers du gaullisme se rapprochent du Front National. Cela ne me gêne en aucun cas, puisque il est du principe même du FN d’être un grand rassemblement, cherchant toujours ce qui unit et rejetant autant que possible les ferments de la division. Mais il ne faut pas oublier aussi ce qui a fondé l’engagement de beaucoup d’entre nous, et justement éviter de raviver les plaies encore mal cicatrisées du passé. Pour ma part, j’ai déjà dit que je mettais irrévocablement trois fautes graves au passif du général De Gaulle: 1) Il a couvert à la Libération la terrible et mensongère fiction selon laquelle ceux qui avaient servi le gouvernement légal de la France, et souvent accompli des prouesses pour assurer la survie du pays, étaient tous des traîtres. 2) Revenu au pouvoir pour conserver l’Algérie à la France, et s’y étant solennellement engagé, il a abandonné nos compatriotes, européens ou musulmans, au FLN, dans des conditions d’une brutalité effroyable. 3) Il y a aussi sa complaisance à l’égard du communisme et du marxisme, auxquels il a abandonné les sphères intellectuelles et culturelles du pays, ce qui a conduit inéluctablement aux événements de mai 68.
    Ceci étant dit une fois pour toutes, j’avais bien précisé que j’avais été heureux de travailler au Parlement Européen avec le petit-fils du Général, Charles De Gaulle, patriote indiscutable, et qui défendait honorablement la mémoire de son grand-père, ce qui ne l’avait pas empêché de rejoindre nos rangs. Je me souviens de discussions animées et intéressantes avec lui et avec Jean-Marie Le Pen au Parlement. C’est très bien que tous les patriotes puissent se réconcilier, mais il me semble que ce sur ce sujet du gaullisme les mythologies prospèrent plus vite que la réalité. Des jeunes gens, qui n’ont pas du tout connu l’époque, créditent le général d’une volonté d’indépendance et d’affirmation de la souveraineté nationale. Mais le personnage est bien plus clivant qu’il n’y paraît : je leur conseille donc la retenue sur ce sujet, et en tous cas d’éviter ces signes ostentatoires. Cela me semble sage.

    - Marine Le Pen peut-elle gagner la présidentielle de 2017 ?

    L’état de délabrement du pays, la défiance vis-à-vis des appareils politiques du système, leur république bananière à bout de souffle: les ingrédients semblent prêts pour une belle révolution patriotique en mai 2017. Il nous faudra veiller, comme je vous le disais, à chercher à unir, à rassembler, et à convaincre. L’espérance est nôtre! A nous, hommes et femmes de bonne volonté, à batailler. Et gardons la confiance dans ce qui suit cette prédiction de Jeanne…

  • Gilbert Collard : "Non, Israël n'est pas un état raciste, mettez-vous cela dans la tête!"


    "Israël n'est pas un Etat raciste, mettez-vous... par LCP

     

    • Publié le : vendredi 28 novembre 2014 
    • Commentaires : 151

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      Extrait de l’intervention de Gilbert Collard (chaudement applaudi par le député menteur et vengeur Meyer Habib) le 18 novembre 2014 à l’Assemblée nationale dans le cadre du débat sur la résolution socialiste reconnaissant l’État palestinien.
       
      E&R
  • Non à la Palestine: le CRIF avoue être "intervenu lourdement" auprès de l'UMP

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    http://www.egaliteetreconciliation.fr/Non-a-la-Palestine-le-Crif-avoue-etre-intervenu-lourdement-aupres-de-l-UMP-29385.html

  • Sarkozy: "C'est le combat de ma vie"

    E&R

  • Jean-Marie Le Pen : «Marine est du gabarit de Mme Merkel»

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    PROPOS RECUEILLIS PAR OLIVIER BEAUMONT | Publié le 27.11.2014, 18h44 | Mise à jour : 28.11.2014, 07h04

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    Jean-Marie Le Pen, président d'honneur du Front national. | (LP/MATTHIEU DE MARTIGNAC.)

                    

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    A la veille du congrès de (Rhône) qui renouvellera à la présidence du , son père, Jean-Marie, n’a rien perdu de son mordant.

    Trois ans après lui avoir donné les clés du parti, pensiez-vous que les choses iraient aussi vite pour votre fille ?
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    Elle a démontré dans cette période qu’elle avait tout à fait la capacité d’assumer l’écrasante tâche de présidente de notre mouvement. Mais c’est un peu dans les gènes… En trois ans, le Front national s’est considérablement développé. Nous sommes arrivés premiers aux dernières européennes, et ce n’est qu’un début.

    Le FN a-t-il changé ?
    Il peut certes y avoir des adaptations, mais il reste le même dans l'essentiel de son contenu doctrinal, à savoir la défense de la libre entreprise, la lutte contre l'immigration massive, l'insécurité et le chômage.

    Un questionnaire, bientôt envoyé aux adhérents, devrait aborder la question du changement de nom. Vous y êtes toujours hostile ?
    Soyons clairs, personne n'a demandé au Front national de changement de nom, strictement personne ! Ce questionnaire comportera cent questions pour nous informer sur ce que pensent et souhaitent les membres du parti. Mais la question du nom ne doit pas se poser.

    Pourquoi ? Certains pensent le contraire...
    C'est une marque qui permet encore de gagner, qui dure. Cette longévité est une garantie de sécurité. 

    Serez-vous à nouveau candidat, et tête de liste, aux prochaines élections régionales en Provence-Alpes-Côte d’Azur ?
    C’est très fortement probable. Je suis la meilleure locomotive compte tenu de mes derniers résultats dans cette région. Je suis le candidat rêvé. Il n’y a donc pas de raison que je ne le sois pas.


     
    Mais vous aurez 87 ans... Si le FN l'emporte, vous briguerez la présidence de la région ? En avez-vous la capacité ? L'envie ?
    J'en ai la capacité ! Je fais encore cinquante pompes tous les matins, et je bois un verre de vin chaque midi. Sur l'envie, il faut voir. S'il y a des gens plus désireux que moi, pourquoi pas.

    L'hypothèse de votre petite-fille, Marion Maréchal-Le Pen, comme chef de file a été soulevée en interne...
    Marion est une personnalité éminente et attachante. Mais une région comme Paca, c'est un gouvernement comme le Danemark, avec 1 500 fonctionnaires, une organisation très lourde et une assemblée de plus de 160 conseillers. Cela demande une expérience, tout de même.

    Marine Le Pen semble hésitante pour conduire la liste dans le Nord-Pas-de-Calais ?
    Elle a tort ! Je la pousse à se présenter. C'est une région très importante. Une victoire la propulserait encore mieux pour 2017.

    Vous voyez votre fille en chef d’Etat ?
    Bien sûr ! Elle est du gabarit de Mme Merkel ou de Mme Thatcher. Elle est solide.

    Florian Philippot, vice-président, revendique sa fibre gaulliste. C'est ça l'avenir du FN ?
    Non. Dans le Front national, il peut y avoir de tout. M. Philippot a le droit d'avoir ses propres dilections, mais ça n'a pas plus d'implication. La référence au général de Gaulle est d'ailleurs un peu hors de temps. Il est quand même parti en 1969 !

    Y a-t-il encore des tensions avec votre fille, après vos propos sur « la fournée » au sujet des artistes, comme Patrick Bruel, qui refusent de se produire dans des villes gérées par le FN ?
    Je suis toujours blessé par l’injustice, plus encore quand elle a été commise par quelqu’un qui m’est très cher. Mais cela fait partie des petits accrocs de la vie…

    Vous en avez reparlé ?
    Le problème de fond, c’est qu’il y a un véritable terrorisme intellectuel qui pèse sur un certain nombre de sujets en France. Moi, je suis un homme libre, qui s’exprime en toute sincérité. On a souvent glosé sur les soi-disant jeux de mots de Jean-Marie Le Pen. Mais dans ma vie, je n’en ai fait qu’un : « Durafour crématoire ». Et il avait été fait par « le Canard enchaîné » plusieurs mois avant, sous le nom de « Dufour crématoire ».

    Et le « point de détail de l’histoire » à propos des chambres à gaz durant la Seconde Guerre mondiale ?
    Ce n’était pas un jeu de mots. C’était une opinion.

    Marine Le Pen est favorable à l'idée d'un « grand rassemblement avec Nicolas Dupont-Aignan et les chevènementistes ». Vous en pensez quoi ?
    Les chevènementistes ? Mais dans quelles cabines téléphoniques se réunissent-ils ? M. Chevènement a toujours été un socialiste très hostile au Front national.

    Et le retour de Nicolas Sarkozy ?
    Il n'a pas changé. Sa responsabilité dans ce qui nous arrive est écrasante ! Ce n'est donc pas un candidat que je crains.

    Samedi, ce sera aussi l’anniversaire de Jacques Chirac. Une vieille connaissance…
    Il a fait beaucoup de mal à la France. Et puis j’ai la conviction que son refus d’envisager un succès avec moi à la présidentielle de 1988 procédait d’un accord tacite avec François Mitterrand. Il m’a fait l’honneur de faire de moi son ennemi personnel. J’ai accepté le rôle. Aujourd'hui, je le laisse vieillir en paix.


    LeParisien.fr