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  • Pays-Bas : le député Machiel de Graaf appelle à la désislamisation du pays

    11h36

    Discours du député Machiel de Graaf, membre du PVV de Geert Wilders, devant l’Assemblée Nationale néerlandaise, le 26/11/2014, lors d’un débat sur l’intégration.

     Discours original complet

    FDS

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  • L’État français versera 60 millions de dollars aux victimes américaines de la Shoah

     

    Wagon mémorial de Langeais.jpg

    Paris va verser 60 millions de dollars aux Américains transportés par les trains de la SNCF vers les camps de la mort durant la Seconde Guerre mondiale, selon les termes d’un accord conclu avec Washington, ont annoncé vendredi les négociateurs.

    Cet accord, qui sera signé lundi, porte sur la création d’un fonds d’indemnisation doté par la France de 60 millions de dollars versés aux autorités américaines en faveur de « quelques milliers » de déportés non-français ou de leurs familles, a précisé l’ambassadrice française aux Droits de l’homme, Patrizianna Sparacino-Thiellay lors d’une visio-conférence de presse.

    Chaque déporté survivant, aujourd’hui de nationalité américaine, devrait ainsi recevoir environ 100 000 dollars, selon la diplomate.

    En contrepartie, les États-Unis se sont engagés à défendre l’immunité de juridiction dont bénéficient les entreprises étrangères sur leur sol, qui les protège de toute poursuite judiciaire ou de toutes autres formes d’action. Un sénateur avait demandé en 2013 au Congrès de réformer cette loi pour pouvoir traduire la SNCF devant les tribunaux américains.

    Lire la suite de l’article sur lanouvellerepublique.fr

     

    E&R

  • La Crèche interdite (Présent 8245)

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    04/12/2014 – VENDEE (NOVOpress)
    Jugée « incompatible avec la neutralité du service public » par le tribunal administratif de Nantes, la traditionnelle Crèche de Noël installée tous les ans dans le hall d’accueil du Conseil général de Vendée a dû être démontée mardi. Une décision profondément scandaleuse au moment où la fameuse loi de 1905 est quotidiennement piétinée par les musulmans en France. Décision contre laquelle Bruno Retailleau, actuel président du Conseil, est bien décidé à se battre.

    Christianophobie ambiante

    La Crèche interdite (Présent 8245)A l’origine de ce jugement, un recours déposé par Jean Regourd, président de la fédération de la « Libre pensée » de Vendée. Brandissant mardi la loi de 1905, cet obscur laïcard devait expliquer que la Crèche « est un emblème religieux » et qu’« a priori, elle ne respecte pas ce que doit être la neutralité des bâtiments publics (…) et ne respecte pas la liberté de conscience d’un citoyen qui, rentrant au Conseil général, se voit quasiment imposer un emblème religieux et caractérisé comme tel ». De quoi faire rire nos concitoyens qui voient régulièrement leur liberté de conscience piétinée dans leur mairie lors de ces mariages musulmans accompagnés de youyous, drapeaux algériens et autres femmes voilées…

     

    Bref, une décision grotesque, mais qui s’inscrit aussi dans un climat de christianophobie croissante et qui a suscité une importante vague d’indignation. A commencer par celle de Philippe de Villiers qui, tout en invitant « les élus du département à ne pas appliquer cette décision inique », a récusé « ce laïcisme totalitaire, qui est une forme de terreur moderne aux conséquences incalculables ». Une colère partagée par le SIEL, qui a déploré dans un communiqué que le juge administratif n’ait « pas suivi la voie de jurisprudences qui reconnaissent un héritage culturel pour admettre le maintien de traditions en dépit de leur conflit avec des règles plus récentes ».

    « Nous irons jusqu’au bout »

    En attendant, Bruno Retailleau, président du Conseil général, n’est pas décidé à céder. Soulignant mercredi que « de très nombreux Vendéens se sont émus, par mail, par téléphone ou sur les réseaux sociaux, du jugement du tribunal administratif », il a déclaré contester « avec la plus grande force cette décision » et annoncé que le Conseil général allait donc « utiliser tous les recours juridiques possibles pour faire annuler cette décision. Une demande de sursis à exécution va être déposée dans les jours qui viennent, en appui de l’appel du Conseil général devant la Cour administrative d’appel. Nous irons jusqu’au bout, devant le Conseil d’Etat et jusqu’à la Cour européenne des droits de l’homme s’il le faut ».

     

    FRANCK DELETRAZ

  • Polémique autour de la crèche de Noël : Oui au principe de laïcité, non au principe d’absurdité

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    05/12/2014 – FRANCE (NOVOpress)
    Le tribunal de Nantes a interdit la crèche de Noël du Conseil général de Vendée. Pour Bruno Retailleau, le symbole de la crèche dépasse le symbole religieux et fait partie d’un patrimoine commun qui nous rassemble.

    Dans une tribune publiée sur FigaroVox, le Président du Conseil Général de Vendée explique les raisons de sa colère :

    Manifestement il y a deux poids deux mesures à la justice de notre pays. Quelques mois après qu’Anne Hidalgo a revendiqué l’organisation, par la mairie de Paris, du repas officiel d’ouverture du Ramadan, un tribunal interdit la seule évocation de la période de Noël dans une autre collectivité.

    (…)

    Le symbole de la crèche dépasse le symbole religieux. Elle fait partie d’un patrimoine commun qui nous rassemble, bien au-delà des convictions des uns et des autres. Les racines chrétiennes de la France ne sont pas un postulat de la foi. Elles sont un constat de la réalité.


  • Marseille: Stéphane Ravier a installé une crèche provençale dans la hall de sa mairie (13-14e arr.)

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    L'Enfant-Jésus sera placé le soir de Noël

    (Photo EB)

  • Demain, vais-je devoir enlever les « Joyeux Noël » qui éclairent la vieille ville ?

    Entretien avec Robert Ménard

    Le 4 décembre 2014

    Robert Ménard, on lit, un peu partout dans la presse, que vous auriez été sommé par le préfet de l’Hérault de retirer la crèche installée par vos soins à la mairie de Béziers. Est-ce vrai ?

    Pas du tout ! Le préfet, Pierre de Bousquet, nous a simplement, dans un courrier, « invités à reconsidérer notre projet dans son principe, ou au moins dans ses modalités ». Ce que nous avons fait : nous avons intégré la crèche dans le programme des activités culturelles et festives de fin d’année. Il l’avait du reste suggéré lors d’une conversation téléphonique que nous avions eue. Ce n’était donc pas une mise en demeure, ni même une mise en garde.

    On vient d’apprendre par ailleurs que le tribunal administratif de Nantes a exigé du conseil général de Vendée qu’il démonte la crèche traditionnellement exposée durant la période de Noël à l’accueil. Cette décision vous inquiète-t-elle ?

    Bien sûr, cette décision est inquiétante. Mais elle est surtout grotesque. Demain, à Béziers, je vais devoir enlever les « Joyeux Noël » qui éclairent les ruelles de la vieille ville ? Et pourquoi pas les sapins et les boules ? Les ayatollahs de la laïcité se trompent d’époque. Ce n’est pas l’Église ni la religion (en tout cas, pas celle-là) qui menacent l’État.

    La crèche restera donc là où elle est jusqu’à la fin de l’année ?

    Oui, je l’espère. Mais il peut y avoir évidemment une procédure en référé. Le préfet peut me mettre en demeure de l’enlever. Et là, je serai face à un dilemme : en tant que maire, je dois respecter la loi – d’autant plus que je rappelle régulièrement à mes administrés qu’ils doivent eux-mêmes respecter la loi ! – mais en même temps, et c’était inattendu, vous n’imaginez pas le nombre de gens qui ont afflué à la mairie, non pas seulement pour voir la crèche mais, disaient-ils, pour la défendre, pour qu’on ne l’enlève pas…

    J’ajoute qu’à l’inauguration de la crèche, il y avait des musulmans, heureux d’être là car, disaient-ils, ce spectacle leur rappelait l’univers de leur enfance. Mais peut-être n’est-ce pas ces musulmans-là qu’on a envie d’entendre ?

    J’ai par ailleurs reçu un mot du responsable de la communauté juive de Béziers qui regrettait de ne pas être là pour l’inauguration de la crèche et qui nous a félicités de l’avoir mise en place. Un autre membre de cette communauté, conseiller municipal appartenant à l’opposition, m’a demandé d’installer pour Hanouka un chandelier à neuf branches dans l’hôtel de ville. Je lui ai dit que nous le ferions, considérant que nous avons un héritage judéo-chrétien.

    Entretien réalisé par Gabrielle Cluzel

    BOULEVARD VOLTAIRE

  • 80% des engagés "français" de l'Etat Islamique ne sont pas des convertis (Intérieur)

    02/12/2014

    C'est ce que nous apprend le recensement du ministère de l'Intérieur sur la base de 1132 profils étudiés, rapporté par Le Figaro du 1er décembre: Seuls 20% des djihadistes sont des convertis (souvent issus de familles françaises de souche), convertis car assimilés à leur environnement musulman d'origine étrangère.

    Le lien entre immigration musulmane massive et les plus de 2000 islamistes (source DGSI) qui ont franchi le pas du départ pour la Syrie ou l'Irak est donc évident.

    OBSERVATOIRE DE L'ISLAMISAION

     

  • Israël a accueilli deux fois plus de juifs de France en 2014

    http://www.leparisien.fr/societe/israel-a-accueilli-deux-fois-plus-de-juifs-de-france-en-2014-04-12-2014-4347589.php

    + 2 VIDEOS

  • Déchéance de la nationalité pour les djihadistes: texte rejeté à l'Assemblée

    http://www.fdesouche.com/542687-decheance-nationalite-les-djihadistes-texte-rejete-lassemblee

    + VIDEO Marion Maréchal-Le Pen

  • Violentes attaques islamistes en Tchétchénie

    Dix-neuf personnes ont été tuées dans des combats entre rebelles tchétchènes et forces de l’ordre dans le centre de Grozny.

    Selon les autorités russes qui ont annoncé la fin de “l’opération anti-terroriste”, dix membres des forces de sécurité ont perdu la vie et 28 autres ont été blessés. Neuf insurgés tchétchènes ont aussi été tués au cours des combats selon le président Ramzan Kadyrov.

    D’après le Comité national anti-terrorisme, cette attaque a été lancée à partir d’un rond-point par un groupe de rebelles dans le centre de Grozny, qui a ensuite poursuivi les combats contre les forces de l’ordre dans une école et dans un immeuble en flammes abritant des médias locaux.

    Les assaillants se sont réclamés du principal mouvement islamiste de l’Emirat du Caucase et de son nouveau dirigeant le cheikh Ali Abou Mouhammad. [...]

    Source

    Les événements meurtriers qui se sont déroulés dans la nuit jeudi 4 décembre à Grozny, cible d’une attaque de combattants islamistes, n’ont pas empêché le président tchétchène Ramdan Kadyrov d’assister à midi, le même jour, au discours prononcé par Vladimir Poutine devant le Conseil de la Fédération russe, à Moscou. Au détour d’une phrase, le chef du Kremlin, qui évoquait alors la responsabilité des Occidentaux dans la crise en Ukraine, a de lui-même évoqué les affrontements alors encore en cours à 1 500 km de distance : « Nous nous rappelons très bien ceux qui soutenaient chez nous le séparatisme, et même la terreur directe, et nommaient  “rebelles »  ceux qui avaient du sang jusqu’au coude en les recevant au plus haut niveau. Aujourd’hui ces rebelles se sont montrés en Tchétchénie.

    A l’aube, malgré les multiples messages de Ramzan Kadyrov promettant sur son compte Instagram que « tout serait terminé dans vingt minutes », des tirs de mitrailleuses et à l’arme lourde se poursuivaient dans les rues de Grozny, où des blindés ont pris position après que des affrontements ont éclaté dans la nuit entre les forces de sécurité et un groupe de combattants. Dans une vidéo diffusée par un site caucasien, un homme armé, filmé de nuit sur place, a revendiqué l’attaque au nom de « l’Emirat du Caucase » et de son dirigeant cité sous le nom d’Ali Abou Mohamed. « Nous, Moudjahidine du Caucase, nous sommes rentrés partout dans la ville (…) annonçait-il. Et nous nous battrons jusqu’à la mort ».

    Le combattant a invoqué la « défense des femmes musulmanes » pour justifier l’assaut, semblant ainsi faire référence à une polémique récente sur le port du hijab dans cette petite république musulmane membre de la fédération de Russie. En septembre, le dirigeant tchétchène proche du Kremlin, avait démenti cette interdiction tout en affirmant qu’il ne serait pas possible de cacher son visage. « C’est comme ça qu’ont commencé les attaques suicides », affirmait-il le 17 septembre sur son compte Instagram. Début octobre, cinq policiers étaient morts alors qu’ils tentaient d’empêcher un jeune kamikaze de se faire exploser à l’entrée d’une salle de concert de Grozny. [...]

    Source

    FDS

  • Taubira tweet à claques !

    Commentant sans vergogne la décision de la justice américaine de ne pas poursuivre le policier de Ferguson, en état de légitime défense semble-t-il (Présent du 27 novembre), Christiane Taubira a envoyé sur Twitter, en anglais, un message demandant : « S’agit-il de les tuer (les jeunes Noirs) avant qu’ils ne grandissent ? »

    Taubira tweet à claques

    Rappelons que Christiane Taubira n’est pas Lulu Castagnette, présidente d’une obscure association droitdelhommiste, mais le garde des Sceaux du gouvernement français. Et, de ce fait même, tenue à une certaine réserve diplomatique. Sa démarche arrogante lui a d’ailleurs valu d’être recadrée par le porte-parole du gouvernement.

    C’est sur Twitter, également, que Stephane Le Foll a taclé Taubira la Folle : « Il faut se garder de faire des commentaires sur ce qui est en train de se passer aux Etats-Unis. » Et d’ajouter : « Surtout avec ces outils qui sont dans l’immédiateté, il vaut mieux prendre son temps et réfléchir. »

    D’autant que l’on aurait plutôt aimé entendre Taubira, ex (?) indépendantiste guyanaise et ministre de la Justice, sur des actes racistes qui se sont déroulés en Guyane et que nous avons relatés (Présent du 27 novembre). A savoir le lynchage de deux paras français. Délibérément écrasés par un 4×4 conduit par un « autochtone » et sous les encouragements d’un public d’ « autochtones ».

    Un « fait divers » suffisamment inquiétant (un mort, un blessé grave) pour que le ministre de la Justice, via Twitter ou, mieux, par un communiqué officiel, dénonce et fustige une telle sauvagerie (le 4×4 est revenu rouler à deux reprises sur les corps des deux soldats gisant).

    Le tweet de Taubira et son questionnement (« S’agit-il de les tuer avant qu’ils ne grandissent ? ») est tombé au moment où la classe politico-médiatique commémorait, à grand renfort de buccins, la loi Giscard-Chirac-Veil. Une loi infanticide qui, elle, ne se pose pas la question de savoir s’il s’agit de tuer les enfants avant qu’ils ne grandissent : on les tue avant même qu’ils soient nés. Dans le ventre de leur mère.

    Le Parisien, qui a participé à pleines pages à la célébration avortueuse, titrait en une quelques jours plus tard : « Drames familiaux. Trente-cinq enfants sacrifiés en un an ». Ce même jour, Présent titrait en une : « Avortement : 600 tués par jour ». Six cents tués par jour et quelque 230 000 depuis que l’IVG – comme ils disent – supprime des enfants avant qu’ils ne grandissent. Et sans distinction de race.

    Nos médias multiplient les articles et les reportages sur les « incidents raciaux » (qui se déroulent tous en pays yankee, signalons-le au passage…) aux Etats-Unis, dans le même temps qu’ils exaltent le vote de l’Assemblée nationale qui vient de réaffirmer le droit fondamental (sic) à l’avortement.

    Christiane Taubira faisant la leçon aux Etats-Unis. La gauche et la droite (à quelques exceptions près) applaudissant au massacre des innocents. Si c’est mal – et c’est mal – de tuer des ados, comment qualifier l’holocauste de tout petits êtres qui ne grandiront jamais puisqu’on les tue « dans l’œuf »

    ALAIN SANDERS dans Présent

    ALTERMEDIA

  • Interdiction du feu de cheminée : la bêtise écologiste n’a plus de limite !

    Jeudi, 4 Décembre 2014
     
     
    Eric Martin
    Intérieur
    Le crépitement du feu, ce son si unique entendu par nos ancêtres depuis des siècles, la chaleur du foyer qui permet de réunir la famille pour lire un conte ou faire la prière du soir au lieu de regarder la télévision… Et bien, il sera interdit à partir du 1er janvier 2015 à Paris et dans 435 communes d’Île-de-France choisies arbitrairement (dans les Yvelines, Rocquencourt n’a plus le droit au feu de cheminée, ses voisines Bailly et Noisy-le-Roi si, allez savoir pourquoi !).


    Erreur


    Les lecteurs du Parisien sont atterrés… et nous aussi.

    QueChoisir.org montre que cette mesure liberticide ne servira à rien, si ce n’est à vacciner les Franciliens contre l’écologisme :

    Selon les études d’Airparif, les causes principales d’émissions de particules de moins de 10 microns de diamètre dans l’aire urbaine parisienne sont la circulation automobile (44 % des particules) et les apports extérieurs (39 %). Un fort vent de nord-est rabat sur les Franciliens des pollutions belges ou allemandes, et réciproquement en cas de vent de sud-ouest. D’autres mesures faites sur les particules de moins de 2,5 microns (voir graphique ci-dessous) par Airparif sont tout à fait cohérentes avec ces chiffres.

    Reste 17 % de sources diverses, dont 4 % de combustion de bois. Dix fois moins que la circulation routière ! Airparif parle bien des « feux de bois », ce qui englobe aussi les feux agricoles et les feux de jardin, pas si rares dans les Yvelines, l’Essonne ou la Seine-et-Marne. D’ailleurs, les rejets connaissent des pics pendant les vagues de froid, ce qui incrimine le chauffage, mais ils sont loin de disparaître aux beaux jours, ce qui montre bien que les cheminées ne sont pas seules coupables.

    Certes, des études ont montré une corrélation entre les concentrations fortes de résidus de feux de bois et les épisodes d’asthme en milieu urbain. Mais quand de telles concentrations sont atteintes, c’est en général que le vent est nul, ce qui laisse stagner tous les polluants, pas seulement ceux du bois qui se consume.

    Pollution de l’air, pollution d’origine locale, bois brûlé, feux de cheminée… L’interdiction des foyers ouverts va jouer sur une fraction de fraction de fraction des particules présentes dans l’air ! Les résultats seront fatalement modestes

    source

    VOXNR

  • La charge de Poutine contre l'Occident

    Dans un discours virulent, le président russe a fustigé les «ennemis» de Moscou, entérinant la fracture grandissante avec l'Union européenne et les États-Unis.

     
     

    Jusque dans les dernières heures et la nuit précédant l'événement, le président russe a corrigé des pans entiers de son discours, prérédigé par ses conseillers, modifiant lui-même des paragraphes. Et c'est un Vladimir Poutine mordant, parfois fiévreux, qui s'est finalement adressé jeudi à la nation, depuis la salle des fêtes du Kremlin, dans un exercice annuel destiné à rappeler à ses compatriotes, jusqu'au fin fond des campagnes, la solennité et la puissance du pouvoir russe. Pour les assurer surtout que l'Occident, cet ennemi diffus du Kremlin, doté de «valeurs» étrangères, ne fera jamais plier la Russie. C'est cette entité vague, plus encore que le régime de Kiev, dirigé par des «sponsors américains», qui constitue désormais aux yeux de Vladimir Poutine la principale menace pour les intérêts russes. Officiellement, Moscou n'a pas l'intention de «rompre» avec l'Union européenne et les États-Unis. Mais il était acquis, après une heure de discours, que les partenaires d'autrefois sont engagés dans une crise profonde et durable.

     

    La Crimée est sacrée

    Certes, les autorités ukrainiennes ont agi avec «cynisme», elles ont «fusillé, tué des gens» ; les responsables du «coup d'État» de Kiev ont fait «brûler vifs» leurs opposants, comme à Odessa. Néanmoins, le président russe a relégué les autorités de Kiev à un rôle subalterne, préférant s'attaquer à leurs «parrains» occidentaux. «Même sans la Crimée et l'Ukraine, les États-Unis et leurs alliés auraient inventé autre chose pour freiner les opportunités de la Russie. Et cette manière de faire ne date pas d'hier», a accusé Vladimir Poutine. «Aujourd'hui, ils essayent de toutes leurs forces de nous persuader qu'il existe une politique équilibrée à laquelle nous devons obéir sans réfléchir et de manière aveugle. Mais ce ne sera pas le cas», a-t-il ajouté. La Russie possède une «armée moderne, redoutable, prête au combat» interdisant à ses ennemis d'espérer acquérir la «suprématie militaire», a ajouté le chef du Kremlin, filant les métaphores historiques: tout comme elle a repoussé les nazis, elle a empêché l'Occident de «nous entraîner dans un scénario yougoslave de démantèlement». «Hitler s'apprêtait à anéantir la Russie et à nous repousser jusqu'à l'Oural. Tout le monde doit se souvenir comment ce genre de choses se termine», a-t-il menacé.

    Négociations laborieuses

    Ce faisant, Vladimir Poutine n'a eu aucun mot pour les négociations laborieuses en vue de parvenir à une trêve dans le Donbass, semblant même se désintéresser du confit ukrainien. «La tragédie qui a lieu là-bas conforte totalement la justesse de notre position», a simplement déclaré le président russe, ajoutant que Moscou avait financièrement aidé son voisin, à hauteur de 33 milliards de dollars. «En appelant les parties au dialogue, nous avons fait en Ukraine ce que nous avions à faire», a précisé au Figaro le vice-président de la Douma, Sergueï Neverov. Ces déclarations n'empêchent pas le Parlement de préparer une réunion à huis clos destinée à discuter l'octroi d'un statut officiel aux soldats russes ayant combattu dans le Donbass et à indemniser leurs familles. Par ailleurs, un général russe a participé aux négociations d'une trêve, annoncée jeudi soir. En comparaison, le chef du Kremlin s'est largement étendu sur «l'union historique» de la Crimée avec la Russie, qu'il a assimilée à un événement «sacré», comparant même certains lieux de la presqu'île à des lieux sacrés de Jérusalem. Directement face à lui, assis aux côtés des principaux dirigeants du gouvernement, le patriarche Kirill buvait ses paroles.

    Les partis qualifiés d'opposition à la Douma ont également salué les propos présidentiels. «Nous allons construire un État fort, indépendant et souverain», s'est félicité le chef du parti Russie juste, Sergueï Mironov. Au même moment, à Bâle, le secrétaire d'État américain, John Kerry, appelait la Russie à ne pas «s'isoler par ses propres actions».


    Une amnistie pour les Russes qui rapatrient leurs capitaux

    Le ton anti-occidental du discours présidentiel a également trouvé sa traduction sur le plan économique. Affaiblie par les sanctions, flirtant avec la récession, la Russie est «ouverte aux investissements étrangers», a assuré Vladimir Poutine, mais seulement en vue de projets industriels «mixtes». Il a surtout ajouté: «Notre développement dépend d'abord de nous-mêmes.»Ainsi, une amnistie totale va être offerte aux hommes d'affaires russes qui acceptent de rapatrier leurs fortunes cachées dans des paradis fiscaux. «On ne leur demandera pas d'où vient cet argent ni comment il a été gagné», a promis le chef du Kremlin. Selon les dernières prévisions, la fuite des capitaux devrait atteindre 125 milliards de dollars en 2014 et 100 milliards en 2015.

    «Nous devons nous défaire d'une dépendance critique aux technologies et productions industrielles étrangères», a précisé par ailleurs le chef du Kremlin en citant notamment l'énergie, les transports, et l'industrie agroalimentaire. Enfin, ce dernier a promis des «mesures sévères» à l'encontre des «spéculateurs» accusés de faire plonger le rouble. Dans la foulée des déclarations présidentielles, la monnaie nationale s'est momentanément reprise, avant de poursuivre une nouvelle fois sa dégringolade, s'échangeant à plus de 66 roubles pour un euro.

    LE FIGARO

  • Deux nouveaux navires commandés aux chantiers de Saint-Nazaire

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    NANTES (Reuters) - Les chantiers navals STX de Saint-Nazaire (Loire-Atlantique) ont annoncé jeudi soir avoir signé une "lettre d’intention de commande" de deux nouveaux navires de croisière qui lui assure "une profondeur de carnet de commandes jusqu’en 2020".

    Ces "navires de grand standing" ont été commandés par Celebrity Cruises, la "marque premium" de l’armateur Royal Caribbean Cruises Ltd (RCCL), dont une autre filiale lui avait déjà commandé en décembre 2012 et en mai 2014 les Oasis III et IV, les deux plus grands paquebots au monde.

    Les Edge 1 et 2, dont la construction débutera à l’été 2016, devraient représenter "environ 11 millions d’heures de travail" pour STX et ses sous-traitants sur les trois prochaines années, précisent les ex-chantiers de l’Atlantique dans un communiqué.

    Longs de 300 mètres et larges de 38, ils seront équipés de 1.450 cabines et pourront accueillir 2.900 passagers, est-il précisé.

    Numéro deux mondial de la croisière basé à Miami (Floride), RCCL est un "client historique" des chantiers de Saint-Nazaire, dont la première commande remonte à 1985.

    Douze navires leur ont ainsi été confiés entre 1987 et 2002, sans compter les deux Oasis en construction et les deux Edge à venir.

    "La charge des bureaux d’étude est à présent complète pour les années 2015 et 2016", se réjouit STX. "La charge des ateliers de coque métallique est quant à elle complète jusqu’à début 2019, avec une probabilité de sous-charge le printemps prochain en voie d’être absorbée pour partie".

    Cette commande survient alors que des doutes planent sur le sort de deux porte-hélicoptères Mistral construits par les chantiers navals pour le compte de DCNS, dont la livraison à la Russie a été reportée "jusqu’à nouvel ordre" par l’Elysée.

    STX avait également dû renoncer à la commande d’un "ferry écologique" pour Brittany Ferries, son client n’ayant pas pu boucler son plan de financement.

    (Guillaume Frouin)

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