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  • Une nouvelle campagne "humoristique" contre l’antisémitisme

     

     

    Le publicitaire et ancien conseiller médiatique de Nicolas Sarközy, Franck Tapiro, lance une campagne contre l’antisémitisme, qui se veut « décalée ».

    Réalisée pour le compte de l’Organisation juive européenne (OJE), une micro-association basée dans les Hauts-de Seine et déposée en juillet dernier par un certain Jean-Claude Zerat, l’opération de communication se veut humoristique, en créant un « électrochoc ». Pour se faire l’OJE propose un médicament pour lutter contre « la maladie » de l’antisémitisme. L’idée a été saluée par le président du CRIF et humoriste en chef Roger Cukierman :

    « C’est une très bonne idée, j’aurais aimé l’avoir. »

    La concurrence s’annonce rude pour Dieudonné…

     

    La boîte, vendue 5 euros (!), contient trois bonbons au miel, un sticker et, comme un avertissement, un dépliant qui comprend les textes des multiples lois réprimant la liberté d’expression (Pleven, Gayssot, etc.), avec cette introduction :

    « Le miel contenu dans les pastilles agit immédiatement en adoucissant les paroles et les comportements antisémites dès l’apparition des premiers symptômes : insultes, jurons, comportements agressifs, délires révisionnistes, gestes de la quenelle, fièvre du vendredi soir (shabbat fever), antisionisme. »

    Un joyeux et absurde amalgame, qui pourrait être drôle s’il ne servait pas réellement de grille de lecture au CRIF, à la LICRA et à leurs exécutants basés place Beauvau et à Matignon.

    Les associations communautaires, en manque d’argument, réitèrent l’accusation de maladie mentale à quelques jours du début de la tournée de Dieudonné. Mais comme tout cela est évidemment fort peu crédible, Jean-Claude Zerat prévient : « 

    On parle souvent d’humour juif, alors pourquoi ne pas l’utiliser pour défendre la communauté juive. »

    Les Marx’s brother doivent se retourner dans leur tombe tant cette véritable insulte à un humour plurimillénaire valide la définition naïve et lapidaire d’Hubert Bonisseur de la Bath :

    « L’humour juif, c’est quand ce n’est pas rigolo et que ça ne parle pas de saucisse. »

  • Franck Guiot : « “0n est chez nous” n’est pas un gros mot ! » (Présent 8253)

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    16/12/2014 – PARIS (NOVOpress)

    De l’UMP au FN
    On est chez nous ! Ces paroles pleines de bon sens proviennent tout droit d’un élu UMP. Eh oui ! Pour être plus précis, d’un ancien UMP. Militant de droite depuis toujours, Franck Guiot vient de rejoindre le Front national, quittant le radeau de la Méduse mené dorénavant par Sarkozy & Co. A l’heure où certains passent de l’UMP au FN avec bruit, d’autres le font avec une discrétion à la mesure de leurs convictions. Portrait sans langue de bois d’un amoureux de la France.

    Franck Guiot : « “on est chez nous” n’est pas un gros mot ! » (Présent 8253)— Quel a été votre parcours jusqu’à aujourd’hui ?

    — Après une jeunesse au FNJ lors des années Mitterrand, j’ai adhéré au RPR et j’ai participé à la campagne en faveur du non à Maastricht. En 2002, j’ai naturellement adhéré à l’UMP sous l’impulsion d’un Nicolas Sarkozy qui inspirait la rupture face à un système déjà à bout de souffle. Par ailleurs, j’ai été élu au sein de mon village de 1995 à 2014. En 2007, tous les espoirs se sont portés sur Nicolas Sarkozy et sa volonté d’impulser une nouvelle dynamique. Très vite, beaucoup d’espoirs sont tombés (ouverture à gauche, bilan très mauvais sur la maîtrise de l’immigration et sur la sécurité…) et malgré une ligne « Buisson » que j’ai soutenue en 2012, Nicolas Sarkozy a été battu par défaut par un François Hollande acclamé sous une horde de drapeaux étrangers Place de la Bastille. La suite, tout le monde la connaît…

    — Quels ont été les arguments pour votre départ de l’UMP et le choix du FN ?

    — Dès la victoire de la gauche en 2012, le marasme s’est très vite emparé de l’UMP : divisions, aucune cohérence de ligne politique entre les différents courants, un courant « droite populaire » complètement marginalisé, une élection interne avec des crises d’egos dévastatrices, puis l’affaire Bygmalion…

    Pendant ce temps, les idées défendues depuis 40 ans par le Front national démontrent qu’il avait raison : l’Europe est une passoire et n’est pas capable de faire face à une immigration devenue totalement hors de contrôle, de nombreux territoires de non-droit se développent en France, la délinquance explose, les Français sont asphyxiés par une pression fiscale devenue insupportable, nous avons un chômage de masse, bref nous nous dirigeons vers une crise de régime et un chaos sans précédent.

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  • Florian Philippot invité d'Olivier Galzi sur i>TELE

  • Éric Zemmour rappelle que des remigrations ont eu lieu dans l’Histoire

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    16/12/2014 – FRANCE (NOVOPress)
    Éric Zemmour a récemment accordé une interview à une journal italien, le Corriere della Sera. Au journaliste qui lui a posé une question quelque peu provocatrice – “suggérez-vous de déporter 5 millions de musulmans français ?”-, le polémiste lui a simplement fait remarquer que des remigrations avaient eu lieu dans l’Histoire.

    - Eric Zemmour : Je sais, c’est irréaliste mais l’Histoire est surprenante. Qui aurait dit en 1940 que un million de pieds-noirs, vingt ans plus tard, seraient partis d’Algérie pour revenir en France ? Ou bien qu’après la guerre, 5 ou 6 millions d’Allemands auraient abandonné l’Europe centrale et orientale où ils vivaient depuis des siècles ?

    - Question du journaliste : Ça provoque des tragédies immenses.

    - Eric Zemmour : Je pense que nous nous dirigeons vers le chaos. Cette situation d’un peuple dans le peuple, des musulmans dans le peuple français, nous conduira au chaos et à la guerre civile. Des millions de personnes ne vivent, en France, et ne veulent vivre à la française.

  • "Une France de toutes les couleurs"...

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  • François Hollande relance la polémique sur le droit de vote des étrangers

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    16/12/2014 – PARIS (NOVOpress/Bulletin de réinformation)
    « Je suis favorable au droit de vote des étrangers », c’est ce que a nous rappelé François Hollande, hier après midi durant son discours d’inauguration au musée de l’Histoire de l’immigration ouvert en 2007. Alors que sa côte de popularité est au plus bas et que le fameux collectif des « frondeurs » prend de l’ampleur, François Hollande souhaite unifier la gauche en reprenant un de ses thèmes favoris : l’accueil des étrangers. « Il faut que la France soit représentée par toutes les couleurs, toutes les forces vives du pays »  a‑t‑il expliqué avant de comparer l’arrivée des 200 000 immigrés par an sur le sol français à une accumulation de « talents » et de « chances ».

    Dans cet éloge de l’immigration, François Hollande évoque tout de même la poussée du Front National

    Tout à fait. S' il attaque le Front National en les traitant de démagogues, mais il dénonce aussi la poussée des nationalismes en Europe dont on a vu l’illustration aux dernières élections européenne, en les comparant, je cite : « A des vents mauvais qui soufflent de plus en plus ». Quant à la montée de l’islam radical en France, il assure que l’islam est tout à fait compatible avec les lois de la République.

    Le président qui voulait rassembler les Français, ignore une fois de plus les Français de souche

    Eh oui ! Le président refuse toujours de prendre en compte l’avis des Français sur le sujet. Pourtant, dans un récent sondage Odoxa, 60 % des Français, seraient opposés au droit de vote des étrangers.

    L’immigration n’est pas une fatalité ? 

    Eh non ! Contrairement à l’idéologie bien pensante qui sévit en France depuis près de 40 ans. En Espagne par exemple, une loi de sécurité citoyenne a été adoptée jeudi dernier par le congrès des députés qui prévoit une reconduite immédiate des immigrés clandestins à la frontière.

     

  • Humour ?

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    Ranson

    Suppression des notes remplacées par des triangles et des ronds de couleur, une idée de NVB...

  • Le billet d'humeur de Jacques Aboucaya, critique et écrivain

    La hiérarchie ? Horresco referens !

     

    Puisqu’il y a des nains, faisons des portes basses

    René Benjamin

     

    Impayable, ce gouvernement. Dans tous les sens du terme. Laissons de côté l’acception littérale qui convient pourtant au citoyen pressuré d’impôts. Ne conservons que la métaphore, dans le sens que lui donne Larousse : « Impayable : qui étonne par son côté extraordinaire ou très comique, ridicule. »

     

    Autant de qualificatifs qui vont comme un gant au pouvoir en place. Pas une décision qui ne déconcerte – ou ne consterne. Ainsi dans le domaine de l’éducation. Après les ballons d’essai pour introduire, dès le plus jeune âge, la théorie du genre issue de cerveaux enfiévrés, tentative afin d’abolir toute distinction et qui, provisoirement mise en sommeil, ne manquera pas de reparaître, voici qu’un nouveau projet s’apprête à voir le jour : la suppression des notes, des moyennes et des classements à l’école.

     

    Prétexte invoqué, les traumatismes insupportables infligés aux élèves qui obtiennent de mauvais résultats. A en croire les têtes pensantes sévissant dans les instances ministérielles, spécialistes des « sciences de l’éducation » et autres pédagogues patentés, l‘enfant traînerait à vie cette atteinte à sa dignité. Toute évaluation chiffrée, la moindre mauvaise note le plongerait dans des affres, le conduirait au bord de la dépression. Voire au suicide. Comme, paraît-il, la fessée paternelle ou maternelle. Il s’agirait donc d’abolir au plus tôt cette pratique barbare de la notation, en vigueur depuis des siècles. De la remplacer par un système propre à valoriser en toute circonstance les chères têtes blondes. A préparer pour elles un chemin sans obstacles, semé de roses, d’où la moindre difficulté serait bannie. Ainsi naîtrait enfin un monde harmonieux.  Disparaîtrait dès lors l’insupportable dichotomie entre forts et faibles, cancres et surdoués, dominants et dominés, exploiteurs et exploités, maîtres et esclaves, que sais-je ? Bref,  la mesure projetée ouvrirait la voie vers un monde idéal où régnerait enfin non la compétition, mais l’égalité. Et donc le bonheur universel.

     

    Ah, les bons apôtres ! Voilà qui appelle quelques remarques, et d’abord que les prétextes invoqués ne sont rien moins que fallacieux. Si les mauvaises notes, les moyennes trimestrielles, les classements avaient un effet si terrifiant, il y a beau temps que le taux des suicides aurait explosé dans notre pays. Comme le nombre des cliniques pour dépressifs chroniques. Du reste, je défie quiconque de citer un seul enfant poussé à la dernière extrémité par des résultats scolaires médiocres. L’absence de référence, l’impossibilité de se mesurer à d’autres auraient, immanquablement, un effet contreproductif. Qui pourrait raisonnablement nier que l’émulation, la confrontation, la stimulation réciproque qui en résulte, sont nécessaires à la formation de la personnalité. A l’épanouissement personnel. A l’apprentissage de la vie d’adulte, avec ce qu’elle implique d’efforts sur soi et de perpétuel dépassement.

     

    La réalité est, bien entendu, toute différente de celle dont on nous tympanise. Comme, du reste, les vraies motivations d’idéologues qui ne reculent pas devant les ficelles les plus grosses. De qui s’agit-il ? Avant tout, de masquer la baisse continue, hallucinante, cataclysmique du niveau scolaire, fruit d’une politique démagogique dont les fruits ne sauraient être qu’amers. D’abandons en renoncements, de tolérance en permissivité, de laxisme en abdications successives, l’école a fabriqué des générations d’illettrés qui entrent en sixième sans savoir lire. On les retrouve pourtant à l’université. Sans la moindre culture, ni  même les bases élémentaires d’orthographe. Une réalité si effrayante que tous les moyens sont bons pour la masquer. Abaisser les seuils d’exigence aux divers examens (quand on ne les supprime pas purement et simplement) se révélant insuffisant, il fallait bien trouver un moyen sinon d’endiguer la décadence, au moins de la dissimuler au bon peuple. D’où la suppression de critères qui ont pourtant fait leurs preuves.

     

    Encore le non-dit, dans cette affaire, dépasse-t-il le seul souci de masquer la vérité. Il procède de convictions profondes. D’une idéologie fondée sur la haine rabique des différences. Le refus de toute hiérarchie. Le dogme imbécile de l’égalité, que tout, dans la nature, contredit. Il existe des esprits plus ou moins agiles, plus ou moins ouverts, comme il est des grands et des petits, des gros et des maigres, des blonds et des bruns. Inutile de s’étendre sur un constat que chacun peut faire s’il est de bonne foi. La négation de l’inné, la valorisation de l’acquit, tarte à la crème des théoriciens de gauche, ont beau résister aux faits qui, à en croire Lénine, sont pourtant têtus, ils restent une croyance de base. Voire un socle intangible.

     

    Il y a mieux, ou pis : les têtes d’oeuf qui défendent ce projet de réforme, tentent de justifier l’abandon des notes chiffrées au profit d’un vague système de groupes de niveau (une fois de plus, la primauté du collectif sur l’individuel). Ils ont le front de présenter celui-ci comme une nouveauté. C’est parier sur l’amnésie de nos concitoyens. Ou leur indifférence à l’égard de ce qu’ils prennent, bien à tort, pour des querelles de spécialistes. Le système, en effet, a été utilisé peu après 68, quand l’évaluation en cinq niveaux a supplanté la traditionnelle notation sur 20. A vrai dire sur une courte période, car les professeurs ont très vite introduit les nuances qu’ils jugeaient nécessaires, A, A+, A-, B, B+, B-, etc. Tant et si bien qu’on est subrepticement revenu à une échelle plus proche du classement habituel. Jusqu’au retour pur et simple au statu quo ante.

     

    Qu’en conclure ? Qu’il n’y a rien de nouveau sous le soleil et que des mesures présentées abusivement comme révolutionnaires sont, en fait, des recettes éculées qui ont déjà fait montre de leur inefficacité. Que le simple bon sens constitue une fragile barrière contre les ravages d’une idéologie partisane, sectaire. Laquelle, après avoir été chassée par la porte, revient par la fenêtre. Les Français étaient naguère encore, dit-on, considérés comme le peuple le plus intelligent de la terre. Il n’est que temps qu’ils en apportent la preuve.

     

    Jacques Aboucaya

  • Attali justifie la colonisation musulmane de la France en jouant sur la peur d'une guerre civile

    http://www.islamisation.fr/archive/2014/10/11/l-odieux-chantage-a-l-invasion-de-jacques-attali.html

  • « La mosquée n’a pas à condamner »

    samedi 13 décembre 2014 

     

     

    Le maire de Lunel, Claude Arnaud, disait que la mort de deux autres jihadistes de Lunel appelaient « une réponse forte », notamment de la part des représentants des musulmans de Lunel, auxquels il demandait de « s’exprimer clairement pour condamner fermement ces départs ».

    Comme rien ne venait, France Inter est allé voir Houcine Goumri, le président de l'Union des musulmans de Lunel.

    Celui-ci dit d’abord que les deux jeunes étaient « super », « serviables », « aimés de toute part ».

    Puis il répond :

    « Je ne condamne pas du tout ces départs. Les gens sont libres de partir ou de rester : il y a des gens qui pensent que c'est un jihad, d'autres qui pensent que là-bas il y a une injustice à combattre. La mosquée n'a pas à condamner ou ne pas condamner ces départs-là. Elle ne dira pas "c'est des héros, c'est des martyrs". Elle ne dira pas "c'est des zéros". Nous, on n'a pas à les juger. Seul Dieu les jugera, en espérant qu'il les accueille dans son paradis s'ils avaient une bonne intention. »

    Un musulman qui oublie la taqiya, ça fait quand même plaisir à entendre.

    (Via Fdesouche)

    Blog d'Yves DOUDAL

  • Les Néerlandais priés de payer pour les enfants marocains

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    15/12/2014 – UTRECHT (NOVOpress via le Bulletin de réinformation)
    Le gouvernement néerlandais devra rétablir les allocations familiales aux enfants des Marocains de l’étranger… établis au Maroc. C’est ce que vient de décider la justice néerlandaise. Dans une décision rendue hier, la Cour d’appel d’Utrecht a confirmé le jugement rendu en première instance. Celui-ci ordonne au gouvernement néerlandais de revenir sur sa décision de baisser de 40 % le montant des allocations accordées aux enfants de vivant au Maroc. Le gouvernement devra également rembourser les montants de ces allocations qui n’ont pas été versées depuis le 1er janvier 2013, date de l’entrée en vigueur de cette loi. Cette loi prévoyait le principe de résidence pour le versement d’allocations familiales. Dans le cas du Maroc, une baisse de 40 % avait été décidée par le gouvernement compte tenu, disait-il, de la différence du niveau de vie entre le Maroc et les Pays-Bas.

  • L’ex-secrétaire d’État Georges Tron renvoyé aux assises pour viols

     

    Le maire UMP de Draveil (Essonne) est accusé par deux ex-employées municipales de viols et d’agressions sexuelles aggravées. La Cour d’appel de Paris a infirmé ce lundi l’ordonnance de non-lieu dont il avait bénéficié fin 2013 dans cette affaire.

    On croyait l’affaire enterrée. L’ex-secrétaire d’État UMP Georges Tron a été renvoyé ce lundi devant les assises de l’Essonne, où il sera jugé pour viols et agressions sexuelles à l’encontre de deux anciennes employées municipales. La Cour d’appel de Paris a infirmé l’ordonnance de non-lieu, dont le maire de Draveil (Essonne) avait bénéficié en décembre 2013 à l’issue de l’enquête déclenchée par des plaintes de ces deux femmes. Une ancienne adjointe de Georges Tron à la mairie, Brigitte Gruel, comparaîtra également pour viol aggravé sur l’une des plaignantes, complicité de viol aggravé sur la seconde et agressions sexuelles aggravées.

    Georges Tron, qui a toujours clamé son innoncence dans cette affaire, s’est dit « surpris » lundi de cette décision de la Cour d’appel et a annoncé qu’il allait se pourvoir en cassation.

    « Les affirmations de ma cliente et de Mme Eva Loubrieux ont été suffisantes pour justifier un renvoi devant la Cour d’assises d’Évry », s’est félicité de son côté Me Vincent Ollivier, avocat de Virginie Faux, l’une des deux plaignantes. « Il y a largement suffisamment d’éléments dans ce dossier pour que cette affaire soit jugée publiquement », a-t-il ajouté.

    Lire l’intégralité de l’article sur lefigaro.fr

  • Discours de François Hollande sur l’immigration : encore les niaiseries immigrationnistes de l’UMPS

        Communiqués / 15 décembre 2014 / Mots-clés : /

     

    Communiqué de Presse de Marine Le Pen, Présidente du Front National

    Mis en place par l’UMP, inauguré par le PS, le musée de l’immigration est le symbole par excellence de la politique de l’UMPS en matière d’immigration, conduite en France depuis 30 ans.

    Il rappelle toutes les niaiseries immigrationnistes qui ont dominé l’UMPS dans les discours comme dans les politiques très concrètement menées. En un mandat, Nicolas Sarkozy s’est ainsi illustré par l’entrée légale d’un million d’étrangers supplémentaires, donnant à l’immigration un caractère plus massif que jamais. Un rythme bien évidemment suivi par François Hollande depuis deux ans et demi.

    Ce sont donc les mêmes poncifs habituels que l’on a entendus dans la bouche du Président de la République, la même logorrhée ultra-immigrationniste, au mépris de la réalité quotidienne que vivent les Français, et des drames multiples liés à l’immigration massive.

    Les Français ne demandent pas un musée de l’immigration à la gloire d’un phénomène qui, entre autres maux, est responsable d’un mal-vivre ambiant, d’un appauvrissement et d’une insécurité grandissante ; ils souhaitent au contraire que l’immigration soit mise au musée, comme une politique du passé et non une sombre perspective d’avenir.

    Comme l’immense majorité des Français, le Front National demande la fin de l’immigration massive dans notre pays. Il convient pour cela de retrouver des frontières nationales et de sortir de l’espace Schengen, qui n’a fait qu’amplifier les flux migratoires (en particulier l’immigration clandestine) ; il convient également de réformer le code de la nationalité et d’abolir le droit du sol. Une telle politique suppose, notamment, de mettre fin au regroupement familial, ainsi qu’à toutes les incitations sociales à l’immigration massive, par l’instauration de la priorité nationale.