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  • Attaque en voiture: le procureur de Dijon exclut l'acte terroriste !

    HALLUCINANT !

    Le conducteur qui a renversé 13 piétons dimanche soir a une «pathologie psychiatrique ancienne et lourde», affirme le procureur de Dijon. Auditionné, l'homme dit avoir agi «volontairement» et «seul».

     

    Le procureur se veut formel: «Il ne s'agit absolument pas d'un acte terroriste». L'homme qui a renversé volontairement 13 personnes dimanche soir à Dijon au cri de «Allah akbar» (Dieu est grand) souffre d'une pathologie psychiatrique ancienne et lourde, a expliqué lundi Marie-Christine Tarareau au cours d'une conférence de presse. L'homme, un Français âgé de 40 ans, de père marocain et de mère algérienne, avait fait 157 passages en hôpital psychiatrique.

     

    Selon les premiers éléments de l'audition, l'homme dit avoir agi «volontairement» et «seul», en pensant à la souffrance des enfants de Palestine et de Tchétchénie. Traité pour ses troubles psychologiques, le conducteur de 40 ans a déclaré aux policiers qu'il avait pris une réserve de médicaments suffisante pour 96 heures, soit la durée possible d'une garde-à-vue en cas d'acte terroriste. Ce qui laisse penser qu'il aurait pu préméditer son acte. Le domicile du prévenu devait être perquisitionné, et son ordinateur saisi pour être épluché. La sous-direction anti-terroriste de la police judiciaire est associée à l'enquête. Suivant les résultats de l'audition et des perquisitions, le parquet anti-terroriste pourrait être saisi. Le ministre de l'Intérieur Bernard Cazeneuve a cependant demandé «à ne pas tirer de conclusions hâtives», ajoutant que les motivations du conducteur n'étaient «pas établies». En Conseil des ministres, le président François Hollande a rappelé que «l'on ne devait pas céder à la panique» face à ces événements. Il a par ailleurs appelé à «l'extrême vigilance des services de l'Etat».

    La panique s'est emparée des alentours de la Place Wilson, dimanche vers 20 heures à Dijon. Un automobiliste à bord d'une Clio a foncé sur des passants en criant «Allah Akbar». Selon une source policière, il aurait également crié «au nom des enfants de la Palestine». Des témoins ont décrit un homme portant une djellaba. La scène a duré au total près d'une demi-heure. Sur un carrefour du centre-ville, près de la place Wilson, quelques traces de sang, recouvertes de sable par les pompiers, témoignaient encore dimanche soir de la violence de l'incident.

    Quatre piétons ont d'abord été percutés par le véhicule rue Chabot-Charny, à l'angle de la place Wilson, avant que sept autres ne soient renversés quelques minutes plus tard dans trois autres collisions survenues respectivement rue du Transval, rue Monge, et enfin rue des Gondrans, selon les informations du quotidien Le Bien Public, confirmées par la préfecture. Il y aurait onze blessés dont deux graves, sans que leur pronostic vital ne soit engagé. Ces deux derniers souffrent de traumatismes câniens. Des victimes et leurs familles ont été accueillies aux urgences de l'hôpital, dont l'entrée a été refusée aux journalistes dans la nuit. «L'homme, né en 1974, présente le profil d'un déséquilibré et serait suivi en hôpital psychiatrique», a déclaré une source proche du dossier indiquant que «pour l'heure ses revendications semblent encore floues». Le premier ministre Manuel Valls a lui réagi sur Twitter.

     

    Le conducteur s'est enfui après l'accident avant d'être interpellé, au terme d'une course-poursuite. Il est actuellement en garde à vue à l'hôtel de police de Dijon. Selon Le Bien Public, l'enquête a été confiée à la section antiterroriste de Paris, qui s'oriente vers la piste de l'islamisme radical.

    Le préfet de Côte-d'Or, Eric Delzant, s'est rendu sur place. Ce dernier a confirmé que les collisions étaient «volontaires.» Cette agression survient au lendemain de l'attaque du commissariat de Joué-les-Tours (Indre-et-Loire), où l'assaillant avait agressé des policiers en criant «Allah Akbar». Le risque d'attentats islamistes commis en France, notamment par des djihadistes de retour de Syrie ou des individus isolés autoradicalisés, est pris très au sérieux par les services français. Depuis l'été 2013, cinq «projets d'actions terroristes» jihadistes ont été déjoués en France, selon le gouvernement. L'Etat islamique encourage les candidats au djihad à lancer des attaques contre les «infidèles», militaires, policiers ou même civils. La France avait été nommément citée comme cible par l'organisation djihadiste après le début des frappes françaises en Irak cet été. Dans un communiqué, l'Union des mosquées de France (UMF) a condamné cette agression. Elle a appelé «les jeunes Français à ne pas se tromper d'ennemi et de combat».

    Le Figaro

     

     

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  • Nantes: un homme fonce en voiture sur la foule au marché de Noël : une dizaine de blessés

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                                                     Un homme a foncé en voiture sur un groupe de passants, sur le marché de noël de Nantes, situé place Royale. Un important dispositif a été mis en place. - © Capture BFMTV
     

    INFO BFMTV - Un individu a foncé sur un groupe de passants, au marché de Noël de Nantes, avant de se poignarder au niveau du coeur. Il y aurait une dizaine de blessés, dont deux graves. Selon une source proche du dossier, il n'y aurait pas de revendication religieuse.

     

  • [Tribune] Le Grand Remplacement : théorie ? Non, réalité ! – par Stella Costanzo

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    20/12/2014 – PARIS (NOVOpress)
    Pour définir le « Grand Remplacement », il faut se replonger en 2010, lorsque Renaud Camus utilise pour la première fois cette formule. Selon lui, c’est un phénomène qui tend à faire des « minorités ethniques » la majorité future, notamment à cause de l’immigration massive et du taux de fécondité beaucoup plus important chez les populations immigrées extra-européennes.

    Autrement dit, le Grand Remplacement, c’est le remplacement progressif de la population autochtone française, et a fortiori européenne, par une population étrangère. Plus précisément, il s’agit de la substitution de notre peuple par des vagues toujours plus croissantes d’immigrés dont il entre légalement un nombre équivalent à des villes comme Lille ou Bordeaux chaque année. Aujourd’hui, la population d’origine extra-européenne est estimée à 12 millions de personnes, soit à peu près 18% de la population de notre pays.

    Généralement résumé à des suites de pourcentages, le Grand Remplacement est pourtant, et avant tout, une réalité sensible que les Français subissent au quotidien. Le Grand Remplacement, c’est ouvrir la petite brochure contenant l’état-civil de sa commune et réaliser que le paragraphe des naissances ne contient plus que des prénoms et noms à consonance africaine et maghrébine, alors que le paragraphe des décès nous est plus familier. Comment pourrait-il en être autrement alors que 27% des naissances en 2011 étaient d’origine extra-européenne ?

    Le Grand Remplacement, c’est se retrouver dans une rame de tramway et se sentir étrangère dans une masse de personnes d’origine immigrée, qui ne nous ressemble plus. C’est se retrouver perdue, isolée, au milieu d’une foule qui parle toutes les langues sauf le français.

    Le Grand Remplacement, c’est prendre le métro ou le RER un beau matin, et se rendre compte, les arrêts filant, que l’on est la seule « Blanche », la dernière « babtou » sur le chemin ; c’est se dire qu’il n’y a décidément plus de place pour le blanc dans cette France « Black-Blanc-Beur » que les politiciens, de gauche comme de droite, nous ont vendue, nous faisant croire, inlassablement, que le multiculturalisme était un modèle de société où il ferait bon vivre.

     

    Le Grand Remplacement, c’est aussi voir l’ancienne église qui trônait autrefois au bout de la rue n’être désormais que le vaste terrain de construction…d’une nouvelle mosquée. Faut-il rappeler qu’en 1965, il y avait 5 mosquées…et qu’elles sont désormais 2400 sur le territoire français ?

    Le Grand Remplacement, c’est se promener dans sa ville natale et observer le changement substantiel qui s’est produit en quelques années. En effet, difficile de retrouver sa librairie antique préférée puisqu’elle est devenue une échoppe de vêtements orientaux traditionnels ; difficile de déguster – et de trouver – une tranche de jambon, pour laquelle l’on risque désormais l’agression, comme à Reims l’an dernier, ou quand sa boucherie favorite s’est transformée en restaurant à kebab ; difficile de reconnaître ses voisins d’enfance quand hijab et niqab sont dès lors de rigueur ; difficile de se sentir chez soi quand les murs ont été défigurés par des « Nik la France » ou encore « Chasse aux blancs » à la peinture noire. Difficile de se sentir français quand la France disparaît.

    Les Français qui osent voir le Grand Remplacement en face ne sont pas victimes d’hallucinations. Ce sont des Français pour qui l’immigration ne se résume pas à de longs tableaux de chiffres, mais à une dure réalité. Ce sont des Français qui ont leur pays, la France, à cœur, et qui refusent de voir leurs identité et civilisation se fragmenter, se dissoudre au profit de cultures qui ne sont pas les leurs. Ce sont des Français qui souhaitent vivre sur leur terre, selon leurs coutumes et refusent de devenir une minorité. Ce sont des Français qui ne désirent plus reculer et qui ont fait leur le slogan que les Identitaires crient depuis plus de 10 ans: « ICI, C’EST CHEZ NOUS ! »

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    Stella Costanzo,
    militante à Génération Identitaire,
    @JeuneAthena

  • Musulmans français et Noirs américains : une surdélinquance gênante

    Kozzi    

    Le 21 décembre 2014
    Parfois, les faits sont plus têtus que la propagande…
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    Selon les discours de l’idéologie dominante, en France, les paisibles musulmans sont harcelés et menacés par les méchants islamophobes. Aux États-Unis, des policiers blancs racistes tueraient des enfants noirs innocents, thèse reprise par notre inimitable garde des Sceaux. Mais parfois, les faits sont plus têtus que la propagande…

    Selon une enquête du Washington Post, en 2008, on comptait dans nos prisons entre 60 et 70 % de musulmans, pour une proportion de musulmans estimée à 10 % de la population française. Deux faits divers, par ailleurs significatifs de l’ensauvagement de la France, n’iront pas augmenter ces chiffres, puisque la police française a dû tuer, en quelques jours, deux « déséquilibrés à couteau ».

    A Joué-lès-Tours, ce samedi, un homme, de nationalité française, né au Burundi, Bertrand Nzohabonayo, est entré dans le commissariat, un couteau à la main. Alors que les policiers essayaient de le calmer (aux États-Unis, ils lui auraient demandé de lâcher son arme, et auraient tiré en cas de refus), il a agressé trois agents, dont un à hauteur du visage, avant d’être abattu. Est-ce vraiment un hasard ?

    On apprend que l’homme était converti à la religion d’Allah, militait pour un islam radical sur les réseaux sociaux, et était connu pour des faits de petite délinquance : trafic de stupéfiants, extorsion, vol à l’étalage et recel. Cela s’appelle un multirécidiviste.

    Quelques jours auparavant, au Havre, à côté d’une mosquée, en pleine nuit, Abdoulaye Camara, autre « déséquilibré », errait, hagard, en pleine nuit, armé lui aussi d’un couteau. Il s’est jeté sur le premier passant qui passait, et l’a frappé une vingtaine de fois avec son arme. Le malheureux sera sauvé par l’intervention d’une équipe de police, qui tuera l’agresseur. Ce dernier, lui aussi, était connu défavorablement de la justice et de la police pour « vol à main armée », « vol avec violences », « violences sur agent de la force publique » et « trafic de stupéfiants ». Il avait été condamné en 2005 par la cour d’assises de l’Eure pour un hold-up. Il était en liberté.

    Aux États-Unis, suite à la mort d’un délinquant noir, Michael Brown, tué par un policier blanc en état de légitime défense, des émeutes raciales, attisées par des politiciens démagogues, ont éclaté dans plusieurs villes américaines. Pour venger la mort du jeune voyou, un autre homme de couleur, Ismaaiyl Brinsley, qu’on présente comme musulman, a abattu ce samedi deux policiers dans leur voiture, à Brooklyn. Lui aussi, sur les réseaux sociaux, vendaient des maillots appelant à tuer un policier blanc, pour venger ses frères de couleur.

    Aux États-Unis, les Noirs seraient-ils tirés comme des lapins, et cela expliquerait-il l’acte de l’assassin de policiers ?

    Selon les données officielles du FBI pour l’année 2012, sur les 2.648 Noirs tués, 2.412 l’ont été par des Noirs (soit 91 %) et 193 par des Blancs (soit 7 %). Face à ces 193 Noirs tués par des Blancs, on dénombre 431 Blancs tués par des Noirs cette année-là. Et il y a 6,22 fois plus de Blancs que de Noirs dans ce pays !

    Conclusion dérangeante pour tous les prétendus antiracistes : en France, les musulmans sont majoritaires dans les prisons ; aux États-Unis, les Noirs tuent bien davantage que les Blancs !

    Mais ne dites surtout pas que la majorité des trafiquants français sont noirs ou arabes : Éric Zemmour a déjà donné…

    Pierre Cassen

    BOULEVARD VOLTAIRE

  • « Allahou Akbar »

     

     

    Allahou Akbar : « Dieu est (le) plus grand », en arabe, est le slogan essentiel de l’islam. C’est du moins ce que l’on croyait jusqu’ici. Car, en réalité, « Allahou Akbar » est le cri de ralliement des déséquilibrés, et plus précisément des déséquilibrés solitaires qui s’en prennent aux policiers, aux soldats, aux simples passants. Comme coup sur coup à Joué-les-Tours et à Dijon.

    « C'est un acte isolé dans une ville paisible », a déclaré le maire UMP de Joué-les-Tours, Frédéric Augis, qui souligne : « Les rapports sont très bons avec l'ensemble des communautés religieuses, c'est une ville de paix. »

    Bien sûr. Son prédécesseur, le socialiste Philippe Lebreton, disait pourtant déjà début 2010 : « Certains islamistes sont en guerre contre l’Occident et la République… Le fait religieux est de plus en plus présent dans le débat public. Dans ma ville il y a des burqas, les parents demandent de la nourriture halal dans les cantines, des jeunes suivent des formations financées par des fonds obscurs. »

    A Joué-les-Tours, il y a une mosquée dont l’imam, « Mohamed François », est un Français de souche « converti » et dont l’islam est évidemment « radical ». L’an dernier il expliquait que non seulement les musulmans ne devaient participer en aucune manière aux fêtes des chrétiens, mais qu’il leur était même interdit de participer à un réveillon du premier de l’an. Son prêche se terminait ainsi :

    « Je répète : cette nuit ne nous appartient pas, cette célébration ne nous appartient pas. Les fêtes dans notre communauté elles sont connues, elles sont légiférées par le Coran et la Sunna. Il convient de rappeler en tout premier lieu, que le Prophète nous a mis en garde de ne pas s’assimiler à des fêtes ou des traditions d’un autre peuple. »

    Tel est le « vivre ensemble » prôné à la mosquée de Joué-les-Tours. Ici, pas de taqiya. Il y a la oumma, la communauté des « croyants », et un « autre peuple », le peuple à côté duquel nous vivons, dont toutes les traditions nous sont étrangères.

    A la mosquée de Joué-les-Tours, Mohamed François fait venir les prédicateurs les plus radicaux. C’est-à-dire ceux qui ne déguisent pas l’enseignement de l’islam sur le jihad, par exemple.

    Les « islamophobes » sont-ils ceux qui montrent la réalité, ou ceux qui prétendent que « Allahou Akbar » est le slogan de « déséquilibrés » et de « loups solitaires » ?

     

    N.B.

    Et bien entendu tout cela n’a rien à voir avec les vidéos de jihadistes « français » de l’Etat islamique qui appellent à attaquer la France et les Français, comme celle-ci :

    « Faites exploser la France ! Réduisez la France en miettes ! Explosez la tête des ces kouffars ! »

    « Prenez exemple sur notre frère Mohamed Merah. Tuez-les où qu’ils soient, ne les laissez pas vivre en paix ! »

    « Et si tu n’arrives pas à te procurer un pistolet, il y a des pierres, des couteaux… »

    Le blog d'Yves Doudal

  • La petite crèche du blog

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  • Quand Nicolas Sarkozy prétend avoir créé le G20

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    Lors d'une conférence donnée le 14 octobre à Séoul, l'ancien chef de l'Etat a assuré avoir créé le G20. Ce dernier a pourtant été fondé en 1999, à une époque où il était «simple» député des Hauts-de-Seine et maire de Neuilly...

    Pa.D. | 21 Déc. 2014, 19h21 | MAJ : 21 Déc. 2014, 20h33

     
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    Depuis son départ de l'Elysée, en 2012, Nicolas Sarkozy donne des conférences dans le monde entier, grâce auxquelles il a engrangé quelque 2 millions d'euros.

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    A ce tarif, l'ancien président de la République se permet apparemment de prendre quelques libertés avec l'histoire. Mediapart a publié samedi une retranscription intégrale d'une conférence donnée par Nicolas Sarkozy au World Knowledge Forum, à Séoul (Corée du Sud), le 14 octobre 2014.

    L'ex-chef de l'Etat s'est ainsi attribué la création du G20. «Quand j’ai créé le G20, M. Ban Ki-moon (ndlr : le secrétaire général de l'ONU) m’a demandé : Pourquoi crées-tu une organisation concurrente aux Nations unies ? » Et je lui avais dit que ce n’était pas une concurrence, mais que les Nations unies, avec la règle de l’unanimité, ne pouvaient plus arbitrer les grandes questions du monde», explique Sarkozy à un auditoire composé de personnalités du monde politique et économique.

    Or le G20, groupe composé de 19 pays et de l'Union européenne, a été fondé en 1999. Il est né d'une volonté internationale d'apporter des réponses coordonnées aux crises financières qui avaient alors secoué plusieurs pays émergents à la fin des années 1990. Son instigateur s'appelle notamment Paul Martin, alors ministre des Finances du Canada. A l'époque, Nicolas Sarkozy n'était lui que député des Hauts-de-Seine et maire de Neuilly.

    Un petit conseil au n°1 de l'ONU

    A sa décharge, l'ancien locataire de l'Elysée a œuvré en 2008 à transformer le G20. Sous son impulsion et celle de Gordon Brown, alors Premier ministre anglais, le groupe a décidé de réunir à la fois les chefs d'Etat et de gouvernements. L'objectif, rappelle le site du ministère des Affaires étrangères français, était de se mettre «d’accord sur un plan d’action exceptionnel pour éviter l’effondrement du système financier et de l’économie mondiale».

    Nicolas Sarkozy enchaîne sur un conseil donné au patron de l'ONU. «Et j’avais dit à Ban Ki-moon, que j’apprécie beaucoup et que j’admire, que ce n’est pas moi qui détruisais les Nations unies, que les Nations unies se détruisaient toutes seules. Parce que quand on ne décide pas, parce qu’on ne peut plus décider, la question de la légitimité d’une institution se trouve posée.»

    Plus loin dans son intervention, le désormais président de l'UMP révèle son rapport aux intellectuels quand il était à l'Elysée. «Je vais vous raconter une anecdote, je me suis dit il y a des économistes fantastiques et arrive la crise de 2008, je vais réunir les dix meilleurs économistes du monde et je vais savoir quoi faire. Ben, je les ai réunis, deux fois, pas trois… deux. C’était formidable. Je savais tout sur les crises d’il y a un siècle. Ils savaient tout parfaitement expliquer pourquoi ça s’était passé. Mais quand je leur disais : Et demain matin ? Qu’est- ce qui va se passer ? (…) Quand vous êtes chef de l’État et qu’il y a une crise, faut prendre des décisions, faut être rapide. Bon, peut-être que parfois, quand on est trop intelligent, c’est un problème.»

    Le Parisien

  • 10 ans après, Saddam Hussein blanchi par la CIA des attentats du 11 septembre

     

     
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    Après les armes de destruction massive, c’est un autre argument de l’Administration Bush justifiant la guerre en Irak qui s’effondre. Un document daté de 2003 — tout juste déclassifié — révèle que les espions américains de la CIA n’ont jamais cru à la liaison entre Saddam Hussein et les attentats du 11 septembre. Pourtant, Georges W. Bush n’avait pas hésité à créer l’amalgame pour entraîner l’adhésion de l’opinion américaine dans son entreprise belliciste. Une campagne bien menée : en septembre 2003, 70 % des Américains ont cru les mensonges de leur président. Il s’avère finalement que le lien entre Saddam Hussein et le 11 septembre émane d’une rumeur ayant eu pour unique source Dick Cheney, alors Vice‑Président des Etats‑Unis. Cela devient donc une habitude au sein de l’administration de Washington que de mentir pour justifier des interventions extérieures. Barack Obama a utilisé la même stratégie pour tenter d’intervenir en Syrie. Il avait alors imputé une attaque au gaz à Bachar Al‑Assad. Information rapidement démentie. (RC.Bulletin de réinformation du 15/12/2014)

  • Le réveil de la civilisation européenne

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    Le 20 décembre 2014
    Ce qui au début n’était qu’une affaire d’intellectuels ne l’est plus.
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    Pourquoi faudrait-il que notre civilisation soit réveillée ? Serait-elle à ce point endormie, en train peut-être de « se suicider », comme dit l’autre ? Que nous sommes endormis, en état de léthargie, que nos principes les plus profonds sont en proie à une déliquescence qui risque de nous faire disparaître en tant que civilisation : voilà ce que pense Dominique Venner – c’est là, d’ailleurs, la raison dernière pour laquelle il s’est sacrifié.

    Mais voilà également, bien que développé sur un registre différent, le fond de la pensée d’un Éric Zemmour. Ni lui ni Venner ne sont pourtant les seuls à tirer sur la sonnette d’alarme. C’est tout un courant de plus en plus large de pensée qui fait ainsi vaciller l’hégémonie culturelle… de la gauche, certes, mais de la droite aussi : de cette droite libérale, mondialiste, matérialiste et individualiste qui nous mène autant que « les forces du progrès » au déclin.

    Or, ce qui au début n’était qu’une affaire d’intellectuels ne l’est plus. Les gens commencent à être réceptifs à un tel malaise ; davantage : à la sensibilité, à l’imaginaire que tout cela implique, même s’il faut rappeler que de tels changements ne se font jamais du jour au lendemain, même s’il est évident que rien n’est encore joué et que nous n’en sommes qu’au début d’un tel réveil.

    C’est dans ce cadre qu’une nouvelle initiative vient d’être lancée. Elle s’appelle Institut Iliade pour la défense et le réveil de la civilisation européenne. L’initiative est doublement nouvelle : par le fond – par l’appel qui est lancé hors des vieilles ornières « droite-gauche » – et par la forme – par le recours, à travers une grande beauté, aux moyens les plus modernes de diffusion.

    Un tel réveil implique deux choses. D’une part, la rupture avec ce monde qui, nous faisant sombrer dans la déchéance, nous oblige à presque tout innover, repenser, réinventer. Mais à tout repenser afin de nous ressourcer, d’autre part… dans la tradition. Une tradition qui n’implique, cependant, aucun retour à telle ou telle forme ancienne de la vie sociale, ou du pouvoir politique, ou de l’ordre des mœurs. « La tradition, comme le dit Dominique Venner, n’est pas le passé, mais ce qui ne passe pas ». La tradition est ce noyau intangible, permanent, fait de quelques grands principes dont la mise en forme prend, certes, des formes nouvelles, voire opposées, à travers les âges. Mais le noyau, lui, demeure. Ou s’il est ébranlé, si ses grands principes sont mis en échec – le sens de la communauté enracinée dans le temps, la famille (quelle qu’en soit l’organisation), la visée de l’excellence, la recherche de la beauté… –, c’est alors la civilisation elle-même qui se voit périr.

    Afin de contrer un tel risque, l’Institut Iliade met en valeur trois grands principes constitutifs de notre tradition :

    – la nature comme socle ;
    – l’excellence comme but ;
    – la beauté comme horizon.

    L’Institut Iliade a été fondé sur le sommet du mont Olympe le 21 juin de cette année.

    Javier Portella

    BOULEVARD VOLTAIRE

     

  • Le président du Conseil central des juifs d’Allemagne dénonce les manifestations «contre l’islamisation du pays»

     

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    16h44

    Dans une interview au quotidien Die Welt publiée samedi 20 décembre, le président du Conseil central des juifs d’Allemagne, Josef Schuster, un médecin de 60 ans né en Israël, critique vigoureusement les manifestations organisées récemment par le groupe Pegida « contre l’islamisation du pays ». Des responsables catholiques et protestants se sont exprimés dans le même sens ces derniers jours.

    « S’appuyer sur quelques islamistes pour affirmer que l’Allemagne est menacée par l’établissement d’une théocratie islamiste est tout aussi absurde que de déduire de l’existence de quelques extrémistes de droite un retour demain de la dictature national-socialiste », a-t-il souligné.

     

    «Il ne faut en aucun cas sous-estimer ces gens de Pegida, le mouvement est aussi menaçant qu’un incendie», a jugé M. Schuster, estimant que ce groupe «Européens patriotes contre l’islamisation du pays» instrumentalise le terrorisme islamique pour «dénigrer toute une religion». «C’est totalement inacceptable», a-t-il affirmé.

    «Ici se mélangent néo-nazis, partis tout à fait à l’extrême droite et citoyens qui affirment pouvoir enfin s’épanouir dans leur racisme et leur haine de l’étranger», a estimé Josef Schuster qui a été élu fin novembre à la tête du Conseil.

    La Croix

    FDS

    Qu'il aille raconter ça en Israël !

  • Cazeneuve : « Nous avons décrété la mobilisation générale contre le djihad »

     

    21h27

    Invité du journal de TF1, le ministre de l’Intérieur Bernard Cazeneuve est revenu sur la personnalité de l’assaillant des policiers de Joué-lès-Tours.

    « C’était un jeune homme mystérieux », ainsi indiqué le ministre. « Il n’était pas connu pour avoir participé à des actions terroristes, c’était un délinquant », a-t-il rapppelé.

    « Nous avons décrété la mobilisation générale contre le djihad » a-t-il poursuivi, rappelant que le nombre de candidats au djihad en France avait doublé depuis un an. « Il faut que les familles se mobilisent » et fassent connaître leur moindre soupçon sur un de leurs proches. « Plus d’une centaine de procédures judiciaires contre des personnes impliquée dans le djihad sont en cours », a indiqué le ministre de l’Intérieur. « 13 filière djihadistes ont été démantelées », a-t-il encore affirmé.

    Le Figaro

     

    FDS

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