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  • Rappel sur les fondamentaux historiques du judaïsme et du christianisme

    http://www.egaliteetreconciliation.fr/Rappel-sur-les-fondamentaux-du-judaisme-et-du-christianisme-29795.html

    A lire absolument

  • Laïcité républicaine : crèches non, chandeliers juifs géants oui !

     

    23 décembre 2014 par admin4 - Contre-Info.com

    crif2Alors que les laïcistes franc-maçons s’étranglent devant le spectacle de quelques crèches trop visibles ça et là en cette période de Noël, on entend moins parler, du côté des médias et des politicards, des chandeliers juifs géants allumés sur les espaces publics à l’occasion de la fête juive de « Hanoucca ».

    Dans de nombreuses villes de France, des responsables juifs et des politiciens flagorneurs ont allumé des bougies, dans des lieux publics symboliques.

    A Strasbourg

    A Paris (photo ci-dessus), le président du CRIF Roger Cukierman « a participé, dimanche 21 décembre 2014 au Champ de Mars, à un allumage des bougies de Hanuka organisé par le mouvement Loubavitch, en présence de la Maire de Paris, Anne Hidalgo, de Jean Daubigny, Préfet de Région, du Grand Rabbin de France Haim Korsia, du Président du Consistoire Joel Mergui et du président du FSJU Ariel Goldmann. »

    La tradition juive d’allumer des bougies remonte à … 1977 ! Créée de toute pièce à New-York, elle s’est ensuite étendue progressivement à l’Amérique puis à l’Europe.

    Comment voulez-vous que nos crèches millénaires rivalisent ?!


    PS : prudent, le maire de Béziers Robert Ménard essaie de se couvrir (après avoir été pris à partie pour l’installation publique d’une crèche) et d’apaiser l’hostilité médiatique en se collant à cette « tradition ».

     

     

  • PADAMALGAM !

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    Contre-info.com

    (augmenter le zoom pour lire les bulles)

  • Hollande a invité à dîner, à l’Elysée, le rappeur… Joey Starr !

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    23h18

    C’est ce que l’on appelle une rencontre improbable.

    Hier soir, François Hollande a invité Joey Starr à dîner à l’Elysée…

    L’information peut surprendre, mais ce lundi, Joey Starr s’est bien rendu au Château pour dîner avec François Hollande, en présence d’autres personnalités du monde de la culture, rapporte Le Lab, dont Dominique Besnehard, Lola Doillon, Cédric Klapisch et Pierre Lescure.

    A cette occasion, une conversation «sympathique, directe et chaleureuse» a donc eu lieu entre le chef de l’État et Joey Starr qui «se connaissaient peu» avant cette rencontre, assure-t-on.

    La photo postée par Joey Star sur son compte Twitter

    Source

    Merci à lotus

    FDS

  • Le billet d’humeur de Jacques Aboucaya

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    Alexandre Vialatte (1901-1971)

     

     La Fleur du mal

     

    Madame Fleur Pellerin doit exulter : Julliard ressert Vialatte en tranches fines.


    Lire, paraît-il, fait perdre du temps. Surtout quand on est ministre de la Culture. C’est Madame Pellerin qui l’affirme. Elle sait de quoi elle parle. Et puis elle a mieux à faire. Dont acte. Voilà pourquoi nous lui suggérons, avec tout le respect dû à son éminente fonction, de se pencher, de préférence, sur les condensés. Les résumés. Les digests, en un mot. Tout Stendhal en vingt-cinq lignes. La Recherche de Proust en une page (il y est justement question de temps perdu). Elle n’a rien lu de Modiano, à l’heure où il reçoit le Nobel ? La belle affaire ! Un feuillet d’antisèche et le tour est joué. Tel est l’avenir. D’astucieux éditeurs l’ont compris. Ainsi Julliard. Il exploite Vialatte jusqu’à plus soif. Le recycle en abécédaire. Le découpe en tranches – histoire, sans doute de le rendre plus digeste. Il joint l’imposture au sacrilège. D’abord parce qu’il est parfaitement abusif de signer du nom de Vialatte des fragments ainsi arbitrairement raboutés. Comme s’il s’agissait d’un inédit. Les lecteurs naïfs ou pressés s’y laisseront prendre. Ensuite parce qu’ainsi passée à la moulinette, expurgée, dégraissée, désossée, la prose vialatienne perd une bonne partie de sa saveur. Tout son  charme réside, précisément, dans la digression. Dans l’art de passer du coq à l’âne. D’enchaîner les sujets les plus inattendus. De coudre ensemble le comique avec le sérieux, la philosophie avec la gaudriole. Fractionner les Chroniques, prétendre en tirer des morceaux choisis, en extraire un florilège, si j’ose ce dérivé ministériel, relève de l’entreprise de démolition. Un tel manque de vergogne justifierait une colère digne du Père Duchesne. Mieux vaut y voir un signe des temps. Des temps où, décidément, le ridicule ne tue pas plus que la roublardise.

     

    J.A.

     

     Un abécédaire, d’Alexandre Vialatte. Choix des textes et illustrations par Alain Allemand. Julliard, 268 p., 19 €.

     

    Biographie d'Alexandre Vialatte: http://fr.wikipedia.org/wiki/Alexandre_Vialatte

     

     

     

  • La prophétie de Narbonne ou la malédiction du djihad

     

     

    Comme cela ne sera pas fait dans les manuels de la théorie du genre, je vais combler les lacunes du candidat au djihad et j’ajoute une sourate à son livre de chevet : la prophétie de Narbonne.

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    Dans la foulée de la conquête de l’Espagne, la citadelle de Narbonne avait été prise en septembre 719 par les Arabes selon la tactique de la « razzia » toujours en vigueur aujourd’hui entre le Tigre et l’Euphrate. Usant de ruse et de surprise, les sarrasins ont profité de ce que les occitans étaient occupés par les vendanges. Mais pour soumettre et administrer la Septimanie, alors une riche province dont Narbonne était la capitale, il faut un peu plus de moyens et l’occupation des murs ne suffit pas. Dans la même période, les sarrasins tentent d’autres expéditions qui échouent à Toulouse en 721 et à Poitiers en 732. En 737, cette garnison arabe de Narbonne est assiégée par Charles Martel. Le califat andalou envoie une importante expédition militaire à son secours. Surpris par l’armée franque embusquée dans les collines des Corbières au sud de Narbonne, le corps de bataille ennemi et sa cavalerie sont taillés en pièces, les survivants se noient dans les étangs du littoral sans pouvoir rejoindre les navires qui les accompagnaient. Il faudra quelques années pour chasser les derniers. A partir de 750, la garnison andalouse de Narbonne ne tient plus la ville, enfermée, elle est assiégée par une population en révolte permanente. Quelques-uns sont égorgés… La ville est officiellement libérée par Pépin Le Bref en 759. C’en est fini de la « présence » sarrasine en terre franque. Cette « conquête » n’a durée que quelques années, et n’a laissé aucune trace, aucun monument, pas même une mosquée.

    S’habiller en ninja et exécuter des civils avec un couteau piqué dans la cuisine de sa mère sur fonds de litanie coranique et de montage vidéo, c’est possible en Syrie ou en Irak. Mais, ici, en terre franque, comme dit le populo « ça va pas le faire »…

    Trois siècles plus tard, l’explorateur andalou Zuhri raconte :

    Sur la côte, à l’est de Barshalûna (Barcelone), il y a la ville d’Arbûna (Narbonne). C’est le point extrême conquis par les musulmans sur le pays des Francs. On y trouvait la statue sur laquelle était inscrit : « Demi tour, enfants d’Ismaël, ici est votre terme ! Si vous me demandez pourquoi, je vous dirai ceci : si vous ne faites pas demi-tour, vous vous battrez les uns les autres jusqu’au jour de la Résurrection ».

    Les arabes considèrent qu’Ismaël est l’un de leurs ancêtres. A la mort de Mahomet en 632, ses successeurs s’entretuent, en 680 les chiites sont massacrés par les sunnites, et en 765 le courant chiite se divise à son tour …
    Alors, la prophétie de Narbonne, réalisée… ou pas ?

    Que le candidat au djihad de retour en France se le mette dans un coin de la tête pour les fêtes de fin d’année. S’habiller en ninja et exécuter des civils avec un couteau piqué dans la cuisine de sa mère sur fonds de litanie coranique et de montage vidéo, c’est possible en Syrie ou en Irak. Mais, ici, en terre franque, comme dit le populo « ça va pas le faire »…

    Nouvelles de France