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  • Le Parlement européen confie la politique d’immigration à Kyenge Kashetu

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    28/02/2015 – BRUXELLES (NOVOpress)
    Elle est l’emblème et la figure de proue du Grand Remplacement en Italie et en Europe. L’Italo-congolaise Cécile Kyenge Kashetu (photo), ancien ministre de l’intégration du gouvernement de gauche d’Enrico Letta, est désormais député européen.

    L’ardoise de 54.000 euros en voyages et restaurants qu’elle avait laissée en quittant le gouvernement italien, ses courses avec voiture officielle et gardes du corps dans les boutiques chic de Rome, tout cela a été recouvert d’un voile pudique. Kyenge est plus que jamais une grande autorité morale. Au Parlement européen, elle s’est immédiatement mise à militer pour « une approche prenant en compte le sauvetage des centaines de milliers de personnes tentant d’accoster aux frontières de son continent d’adoption » – car, à l’en croire, Mare nostrum et « Triton » n’allaient pas encore assez loin.Au début du mois, dans un entretien à Jeune Afrique, depuis son luxueux bureau bruxellois « égayé des couleurs mozambicaines de son canapé », elle rappelait son programme, qui est toujours le même : « Il faut ouvrir les frontières, ne pas remettre en cause l’espace Schengen et investir sur l’intégration ».

    On comprend l’émoi causé en Italie à l’annonce que le Parlement européen vient de faire de Kyenge un des deux rapporteurs (avec la Maltaise Roberta Metsola) du « rapport d’initiative stratégique sur la situation en Méditerranée et la nécessité d’une approche globale de l’Union européenne vis-à-vis des migrations ». Ce rapport « conduira dans les prochains mois à l’approbation d’une résolution qui constituera la position officielle du Parlement européen sur l’immigration ».

     

    L’intéressée s’est félicitée de cette nomination « intervenue à une large majorité des députés européens ». « Nous devons, a-t-elle précisé, dépasser l’approche en termes d’urgence selon laquelle le sujet a toujours été abordé jusqu’ici. Le flux des migrants qui traversent les frontières sud de l’Europe est un fait structurel et transnational […] qui doit être abordé en mettant au centre avant tout la défense de la vie humaine ».

    « Fait structurel », c’est-à-dire permanent ; « défense de la vie humaine », comprenez remorquage des bateaux de clandestins jusqu’aux côtes italiennes. Le quotidien Il Giornale commente avec raison : « Pendant que Kyenge étudie ses dossiers, les passeurs font déjà la fête. 2015 sera encore pour eux une année en or ».

    Crédit photo : Maurizio Lupi, via Flickr, (cc).

  • Ils se préparaient au djihad armé, enfin le procès des cavaliers d’Allah – Et interview de Fabrice Robert

    http://fr.novopress.info/183110/se-preparaient-au-djihad-arme-enfin-proces-cavaliers-dallah-interview-fabrice-robert/?utm_source=feedburner&utm_medium=email&utm_campaign=Feed%3A+novopressfrance+%28%3A%3A+Novopress.info+%7C+Agence+de+presse+ind%C3%A9pendante%29

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  • Gaspard Koenig : « Si la loi Gayssot avait été votée dans les années 50, on n’aurait jamais découvert la vérité sur le massacre de Katyń » (attribué aux nazis par le tribunal de Nuremberg)

     

      Au début du mois de février, « 28 minutes » (Arte) organisait un débat sur le thème : « Procès Dieudonné : une démocratie doit-elle tolérer l’intolérable ? » avec l’insupportable Corinne Lepage, avocate et présidente de Cap 21, le courageux Gaspard Koenig, philosophe et président du think tank Génération Libre (défenseur de la liberté d’expression, il se fait traiter de « négationniste » par Corinne Lepage) et Raphaël Liogier, sociologue, philosophe et directeur de l’Observatoire du religieux.

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  • Tout naturellement...

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  • Boris Nemtsov, homme politique russe, a été assassiné à Moscou.

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    International
    23:11 27.02.2015(mis à jour 00:35 28.02.2015)
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    Boris Nemtsov, homme politique russe, a été assassiné vendredi soir au centre de Moscou, ont rapporté les médias russes.

    "On lui a tiré quatre coups de feu dans le dos, causant sa mort", a déclaré une porte-parole du ministère russe de l'Intérieur, Elena Alexeïeva, à la chaîne de télévision Rossia 24.

    Boris Nemtsov se promenait avec une « amie d'Ukraine » sur un pont sur le fleuve Moskova situé non loin du Kremlin, au centre de Moscou. La jeune fille a été interpellée par la police. Les forces de l'ordre, citées par RIA Novosti, ont indiqué que plusieurs personnes avaient été témoins de l'assassinat.

    La police a bloqué l'accès au pont, où Nemtsov a été abattu. Des journalistes sont présents sur le lieu du drame.

    SPUTNIK



    Lire la suite: http://fr.sputniknews.com/international/20150227/1014945611.html#ixzz3Szx1V3Ld

  • L'opposant russe Boris Nemtsov tué par balle en plein Moscou

     

    27 Févr. 2015, 23h23 | MAJ : 28 Févr. 2015, 01h04

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    Il se promenait avec une jeune femme sur le Grand Pont de pierre, juste à côté du Kremlin, quand un homme tirant d'une voiture l'a abattu de quatre balles dans le dos. L'opposant russe, Boris Nemtsov, a été tué par balles à 55 ans en plein centre de Moscou dans la nuit de vendredi à samedi.

     

    Selon son porte-parole, Vladimir Poutine a aussitôt réagi, estimant «que cet assassinat brutal portait les marques d'un meurtre commandité et avait tout d'une provocation». Le président russe a également demandé au Comité d'enquête, au ministère de l'Intérieur et au FSB (ex-KGB) d'enquêter. «C'est une terrible tragédie pour tout le pays», a pour sa part déclaré l'ancien ministre des Finances de Vladimir Poutine, Alexeï Koudrine.

    «Devant moi, je vois le corps de Boris»

    «Une voiture s'est approchée, quelqu'un a tiré des coups de feu, dont quatre l'ont touché dans le dos, causant sa mort», selon le ministère de l'Intérieur. «Pas moins de six ou sept coups de feu ont été tirés sur Boris Nemtsov par un inconnu circulant en voiture», a précisé un responsable du Comité d'enquêtes.

    Plusieurs personnes ont été témoins de la scène, dont un proche de Boris Nemtsov, l'opposant Ilia Iachine. «Devant moi, je vois le corps de Boris. Il y a beaucoup de policiers autour», a-t-il confié à l'agence de presse Ria Novosti. Un important dispositif policier a été déployé sur les lieux, dont les accès ont été bloqués.

    Ancien vice-Premier ministre de Boris Eltsine, libéral, Nemtsov était une figure de l'opposition russe. Très critique à l'égard du pouvoir en place, il appelait le parti de Vladimir Poutine, «le parti des voleurs», dénonçant notamment la corruption des élites. Il avait récemment confié à la presse que sa mère était très inquiète, estimant que le président russe pourrait le faire tuer.

    Cofondateur, avec Boris Nemtsov, du mouvement libéral Solidarnost, l'ex-champion d'échec Garry Kasparov s'est dit «anéanti», multipliant sur Twitter les messages cinglants à l'égard du pouvoir en place. Se remémorant l'assassinat de la journaliste Anna Politkovskaya en 2006, il accuse directement Vladimir Poutine, estimant que le président russe a «des océans de sang sur les mains». 

    LE PARISIEN

  • S’il l’emporte en PACA, Jean-Marie Le Pen pourrait passer la main à Gollnisch

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    18h13

    Marine Le Pen plaide pour la mise en place d’un ticket : Jean-Marie Le Pen mènerait campagne des régionales pour que Bruno Gollnisch prenne ensuite les commandes.

     

    « Je suis la meilleure locomotive pour les régionales » avait estimé, bravache, Jean-Marie Le Pen en novembre 2014. Le président d’honneur du FN est bien décidé à donner son dernier baroud électoral en décembre prochain, en portant les couleurs de son parti en PACA pour les élections régionales. Marine Le Pen, qui aurait préféré une candidature de Marion Maréchal-Le Pen, s’est résignée à la laisser mener campagne. Mais pas forcément à le laisser gérer la région.

    Mercredi dernier, en marge de sa conférence face à l’association de la presse parlementaire (AJP), Marine Le Pen s’est laissée aller à quelques confidences. « Jean-Marie Le Pen m’a grillé la politesse », raconte-t-elle au sujet de sa volonté de s’engager dans les élections régionales, avant de préciser: « C’est assez fréquent ». Mais à 86 ans, elle n’imagine pas le laisser tenter seul l’aventure. « S’il l’emporte, il ne sera pas président de la région, mais je pense qu’il faut le dire aux électeurs avant», a-t-elle glissé aux journalistes présents.

    (…) Le Figaro

    FDS

  • Valls compare Bachar el-Assad à un "boucher": la profession voit rouge

     Par LEXPRESS.fr, publié le 27/02/2015 à  21:15, mis à jour à  21:37

    La Confédération française de la boucherie s'est fendu d'un commentaire pour protester après que Manuel Valls a comparé le dictateur syrien à un "boucher". 

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    Une boucherie. Illustration.

     

    REUTERS

    Le commentaire du Premier ministre leur a fait un effet boeuf. Les bouchers de la Confédération française de la boucherie n'ont pas du tout apprécié que Manuel Valls qualifie vendredi Bachar el-Assad de "boucher". "Encore une fois le manque de respect d'un homme politique est confondant d'ignorance. Il y a tant de synonymes dans les dictionnaires que c'est au mieux une facilité au pire une malveillance que de continuer à utiliser le mot boucher", se plaint la profession.  

    Les dindons de la farce

    "Pouvez-vous cesser pour désigner quelqu'un que vous tenez pour un criminel d'employer ce mot sacré pour les 80 000 personnes - artisans, conjoints, salariés et apprentis - qui travaillent dans ce métier?", interpellent ceux qui ont l'impression d'être dans cette affaire les dindons de la farce.
     

    Une cause qui envoie du steak et qui a reçu le soutien de Christine Boutin. Sur Sud-Radio, l'ancienne ministre estime le terme "tout à fait déplacé car il y a des bouchers qui sont magnifiques". "Il faut faire attention à ce qu'on dit. Le terme de boucher est par nature inappropriée. C'est un dictateur Monsieur Assad, d'abord", s'est énervé la fondatrice du parti chrétien-démocrate, partisane d'un dialogue avec le "boucher" de Damas. 


    En savoir plus sur http://www.lexpress.fr/actualite/politique/valls-compare-bachar-el-assad-a-un-boucher-la-profession-voit-rouge_1656419.html#Z4f3GdHb8B733Hy5.99