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  • Voyage en Syrie : le député Myard dit... avoir rencontré un religieux mort

     

    Jacques Myard (UMP) a expliqué qu'il avait rencontré Ignace IV Hazim lors de son voyage en Syrie. Une rencontre impossible, le patriarche chrétien étant décédé fin 2012... 

    02 Mars 2015, 15h39 | MAJ : 02 Mars 2015, 16h37

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    1ARCHIVES. Jacques Myard, député des Yvelines (UMP), le 31 octobre 2013 à Paris

    Jacques Myard connaît-il réellement tout sur la Syrie ? Le député UMP, parti à Damas avec trois autres parlementaires français pour, notamment, y rencontrer Bachar al-Assad, a expliqué dans un communiqué de presse qu'il avait échangé avec Ignace IV Hazim, un patriarche chrétien décédé  en décembre 2012 et remplacé par Jean X.


    DOCUMENT. Le communiqué de Jacques Myard, publié le 27 février.

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    Le Parisien

  • Politique d’immigration européenne à Kyenge : l’Italie entre hilarité et consternation

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    02/03/2015 – ROME (NOVOpress)
    L’annonce, jeudi 26 février, que le Parlement européen avait confié la rédaction de son rapport sur l’immigration à Cécile Kyenge Kashetu (photo), comme l’appellent généralement les journaux, ou Kashetu Kyenge, dite Cécile (comme elle s’intitule désormais elle-même, depuis qu’elle a insisté pour reprendre son nom congolais), l’ancienne immigrée clandestine devenue politicienne ultra-immigrationniste, a été abondamment commentée sur les réseaux sociaux en Italie.

    Après un moment d’incrédulité (« C’est une plaisanterie ? Dites-moi que c’est une plaisanterie », « Non, ce n’est pas une plaisanterie »), la plupart des internautes italiens ont tenté de se réfugier dans l’humour.

    Ç’a été un concours de la comparaison la plus appropriée. « L’Union européenne confie à la Kyenge l’urgence migratoire. Un peu comme confier à Schettino la marine marchande ». [Francesco Schettino est le commandant du Costa Concordia qui vient d'être condamné à 16 ans de prison pour le naufrage de son bateau et l'abandon de passagers.]

     

    « C’est comme confier à Totò Riina [le boss de la mafia] la lutte contre la criminalité organisée ».

     

    Kyenge commissaire à l’immigration c’est « Comme charger un alcoolique de gérer un bar ».

          C’est « Comme confier un compte épargne aux Roms ». « Comme donner de l’essence à un pyromane ». « Comme mettre Dracula à la présidence de l’Avis (l’Association italienne des donneurs de sang bénévoles) »


    D’autres ne parviennent pas à en rire. « Au secours ! » « Préparez-vous ! » « Pour l’Union européenne nous n’avons pas assez d’immigrés ? Et le danger de l’ISIS, on en fait quoi ? »
    « L’Union européenne confie à Kyenge l’urgence migratoire : enfin les expulsions en masse. Des Italiens » :

     

    La réaction la plus intéressante vient sans doute de l’autre immigré le plus célèbre d’Italie (à égalité avec Kyenge mais sur un mode on ne peut plus différent), l’essayiste d’origine égyptienne Magdi Cristiano Allam : infatigable dénonciateur de l’invasion et de l’islamisation de l’Europe, il avait été baptisé par Benoît XVI en personne, à Saint-Pierre de Rome, lors de la veillée pascale de 2008, mais a quitté l’Église catholique, dégoûté par son immigrationnisme, après l’avènement du pape François . « Au secours, a-t-il twitté , nous pensions en être libérés ! Elle est de retour plus dangereuse que jamais ! »

    Allam a commenté sur Facebook : « Nous savons à présent que l’idéologie des frontières ouvertes, de l’afflux sans contrôle de clandestins parce que “la clandestinité n’est pas un délit”, du droit automatique à la citoyenneté à quiconque naît dans notre pays, de l’annihilation de notre civilisation pour la remplacer par le “métissage culturel” – cette idéologie est de retour et pèse de manière encore plus menaçante sur l’Italie pour nous imposer cette délirante stratégie suicidaire, avec l’aval du Parlement européen ».

  • Imams formés à l’université française : islamisation d’Etat

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    02/03/2015 – PARIS (NOVOpress)
    Que les musulmans se rassurent, les attentats de janvier seront récompensés. On invoque le droit au blasphème, la liberté d’expression à outrance, mais en réalité le message de peur est bien passé. Il n’y aura plus de caricatures du prophète et les éditorialistes en place tourneront sept fois leur stylo dans la main avant d’écrire sur l’islam.  Il y a cette victoire.

    Cette religion est de paix, disent-ils, tout en ayant couru ventre à terre jusque la SDLP (Service de la protection). Nous pouvions nous dire que les gouvernants et les communicants avaient enfin mesuré la dangerosité de cette doctrine et l’avenir anxiogène qu’elle réserve à la France.

    C’est l’inverse : il a été décidé en conseil des ministres mercredi dernier d’accélérer le processus d’islamisation. Il faut pour cela piétiner un peu plus la loi de 1905 qui a déjà des bleus partout. L’idée de créer un D-U (diplôme universitaire), donc que les imams soient formés en université. La séparation entre “église” et État de ce fait n’existera plus, il y aura bien religion d’État. Il est même question de bourses dont rêveraient nombre d’étudiants pauvres dans les sciences dures et humaines qui n’ont rien de prosélytes et portent bien pierre à l’édifice de la République.

    Le prétexte invoqué, car il en faut toujours un, serait que les actes islamophobes aurait été de 176 pour le seul mois de janvier 2015 : à mettre en parallèle avec les actes de racisme envers les Français de souche ?

  • Cimetière vandalisé dans les Pyrénées: le vent en cause ?

    http://www.lefigaro.fr/flash-actu/2015/03/02/97001-20150302FILWWW00378-cimetiere-degradepyrenees-le-vent-en-cause.php

  • Départementales : le FN donné à 33% des intentions de vote au premier tour (48% chez les 25-34 ans) !

     

    Pourquoi le Front national doit être le premier parti de France aux élections européennes

    Selon un sondage réalisé par Odoxa pour Le Parisien-Dimanche, le Front national arriverait en tête à l’issue du premier tour des élections départementales dans trois semaines avec 33% des intentions de vote au premier tour contre 27% pour la coalition UMP-UDI, 19% pour le PS et ses alliés et 9% pour le Front de gauche. Selon l’institut de sondages, « ces mesures ‘moyennes’ cachent d’incroyables disparités sociologiques et générationnelles ». Ainsi, 48% des 25 à 34 ans choisiraient le FN au premier tour, comme 45% des ouvriers et des employés. La poussée du FN à gauche est limitée : le parti de Marine Le Pen recueille 9% des suffrages des électeurs de François Hollande et 10% de ceux de Jean-Luc Mélenchon. « L’essentiel des transferts de voix vient de la droite et plus particulièrement de l’électorat de Nicolas Sarkozy en 2012″, explique Odoxa. Ainsi, « un quart (24%) des électeurs de 2012 qui avaient voté pour le président sortant au 1er tour voteraient désormais pour le FN ». C’est chez les abstentionnistes que le Front national fait sa plus spectaculaire percée : il obtient 52% des intentions de vote parmi les Français qui n’avaient pas pris part au vote au premier tour des élections de 2012 !

    NDF

  • VERMEER (1632-1675)

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    La jeune fille au pichet d'eau

     

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    La dentellière

     

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    La ruelle

     

     

  • « L’extrême droite ne mérite pas la France ». Et vous, M. Valls ?

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    Le PS va tenter de convaincre les électeurs par des arguments de bas étage, des arguments qui n'en sont plus tant il ne peut opposer que des résultats catastrophiques.
    Journaliste
    Ancien directeur des rédactions de l’Agence Gamma
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    Du Salon de l’agriculture à la moindre de ses interventions, notamment en campagne électorale comme à Palaja, près de Carcasonne, où il s’est déplacé (à nos frais ?), Manuel Valls n’a qu’une obsession : le Front national. « L’extrême  droite, a-t-il martelé, ne mérite pas la France. Je n’ai qu’un adversaire, la France n’a qu’un adversaire. » Ce n’est pas le chômage, ni le salafisme, ni même l’économie désastreuse, c’est l’extrême droite, autant dire Marine Le Pen, qu’il ne nomme jamais, comme d’ailleurs Nicolas Sarkozy qui ne prononce jamais ce nom, à jamais maudit, mais n’en pense pas moins. 

« L’extrême droite n’aime pas la République et sème le poison de la division et du racisme » et encore « Ce n’est pas seulement l’adversaire principal de la gauche mais du pays ». L’accusation est forte, implacable. Et il le dit avec ses yeux qui savent être féroces, sa gestuelle qui pointe l’index vers l’épouvantable vision que lui engendre le résultat des sondages.

    Plus rien ne compte avant les élections départementales que de combattre ce fléau. La gauche avec à sa tête un président de la République devenu président de la République socialiste va se battre, pendant le mois qui reste, contre cet adversaire unique que représente ce parti. Un parti nationaliste, raciste, xénophobe (et j’en passe) qui aurait dû être interdit mais pour lequel les intentions de vote montent, montent, montent, terrifiant désormais non seulement la gauche, mais une partie de l’UMP, et en tout cas son président.

    Le PS va tenter de convaincre les électeurs par des arguments de bas étage, des arguments qui n’en sont plus tant il ne peut opposer que des résultats catastrophiques. Ou un mensonge effronté, comme cette baisse du chômage alors que celui-ci a augmenté de 16.100 personnes, soit 0,3 %. Inutile de préciser que le programme du FN sera épinglé point par point. Et que le CV des 7.800 candidats et les comptes Twitter et Facebook seront épluchés par des tas de journalistes devenus commissaires politiques trop heureux de recenser les « dérapages ». Comme cette semaine Patrick Cohen ou encore Apolline de Malherbe face à Florian Philippot.

    Mais comment un Premier ministre et, qui plus est, un président peuvent-ils mépriser ainsi un tiers des Français, enfin disons des électeurs, puisque selon la nomenklatura il ne s’agit pas de l’ensemble des Français mais de ceux qui croient encore suffisamment à la démocratie pour aller voter ? Comment peuvent-ils les considérer comme incapables de décider par eux-mêmes quel est le parti le mieux à même de les défendre ?

    Sommes-nous à ce point incapables de lire un programme, d’écouter, de constater ? 

« Je lance un appel solennel à tous les républicains pour battre le Front national dans chaque canton pour faire vivre les valeurs de la République. » M. Valls, rassurez-vous, nous avons reçu 5/5 votre message, et nous vous prierons bientôt de retourner dans votre chère ville d’Évry, là où, un jour, vous aviez trouvé qu’il n’y avait « pas assez de Blancos » ! 

Nous sommes assez grands pour choisir qui il nous plaira, selon notre conscience et notre intelligence sans avoir besoin de vos conseils et encore moins de vos menaces. Car nous aimerions bien, un jour, que vous nous éclairiez sur ces fameuses valeurs auxquelles vous vous référez en permanence sans jamais nous les décrypter.

     
    BOULEVARD VOLTAIRE
  • Semaine noire pour la liberté d’expression en France

      

     

    01/03/2015 – FRANCE (NOVOpress via Kiosque courtois)
    Dimanche, l’Union nationale des étudiants juifs tenait des assises sur « la lutte contre la haine sur Internet ». « La haine sur Internet » est un terme de novlangue pour désigner les propos politiquement incorrects : la critique de l’immigration ou de l’Etat d’Israël est considérée comme telle. Devant un public clairsemé, mais beaucoup de journalistes, l’UEJF a milité en faveur d’une censure privée. C’est-à-dire du retrait automatique des contenus litigieux par les fournisseurs d’accès Internet. Un représentant de Facebook en France était présent. Christiane Taubira a conclu la manifestation en promettant en plus un renforcement de la loi.

    Pendant ce temps-là Bernard Cazeneuve, le ministre de l’Intérieur, était aux Etats‑Unis
    Oui. Pour rencontrer les géants de l’Internet, Google, Facebook, Microsoft et tenter de les convaincre de contrôler les contenus. Officiellement, c’est pour lutter contre le terrorisme.

    Et lundi 23 février, Hollande a présidé le dîner du CRIF
    Le dîner le plus cher et le plus chic de l’année. Le plus cher  : 900 € le couvert. Le plus chic aussi : les principaux dirigeants politiques (Front National exclu), les grands journalistes, les forces économiques, les plus hauts magistrats, les grands dirigeants de la police étaient tous là.

    Hollande a annoncé l’aggravation de la répression des délits d’opinion
    Oui, Hollande veut sortir de la loi de 1881 sur la presse les délits « D’antisémitisme, de racisme, d’homophobie ». C’est‑à‑dire le plus souvent la simple expression d’une opinion dissidente. Bref, Hollande veut enfermer ceux qui pensent mal dans la cage aux phobes !

    Quelles seraient les conséquences d’une telle décision ?
    La perte des garanties procédurales qu’accorde la loi de 1881. Des garanties qui protègent les libertés notamment en limitant les pouvoirs de perquisition et en en rendant impossible la prison préventive. Le dîner du CRIF ne coûte pas cher qu’à ses invités, il coûte cher aussi à la liberté.

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  • La Suède redonne aux oiseaux des noms "politiquement corrects" !

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    Sarcelle hottentote

    Lu dans la presse
    09:03 01.03.2015(mis à jour 09:05 01.03.2015)
    Novye Izvestia
    3720434
    L'Union suédoise des ornithologues a fièrement annoncé avoir "mis à jour" une liste des milliers d'oiseaux peuplant notre planète, écrit le quotidien Novye Izvestia.
     

    Dans le cadre de la lutte contre l'héritage du colonialisme et le racisme contemporain, tous les noms d'oiseaux pouvant offenser les représentants d'un groupe ethnique ont été impitoyablement rayés et remplacés par des appellations politiquement correctes.

    Ces changements concernent, entre autres, la Sarcelle hottentote et l'Istiophorus cafre (voilier). Seule la Chouette lapone a échappé aux "inspecteurs linguistiques".

     
     

    Les événements récents ont de lourdes conséquences. Les maisons d'édition qui ont permis l'apparition dans leurs livres des termes "bridé", "jaune", "nègre", "tzigane" ou autres gaffes inacceptables dans la société démocratique moderne, doivent se justifier et supprimer des tirages entiers, tandis que les chaînes de télévision doivent retirer certaines émissions et films populaires.

     

    La Suède va continuer sur la voie du politiquement correct en brisant les vies et les carrières de ceux qui "sortent du rang" bon gré ou mal gré. Très récemment, tout le pays a débattu du sort du célèbre confiseur qui avait perdu son travail après avoir fabriqué un gâteau orné de la figurine d'un petit Noir. Un boycott a été décrété contre cette confiserie qui avait osé relancer la fabrication des "Negerbollar", produits en Suède pendant presque un siècle. L'établissement appartenait à un député du parti conservateur, qui avait apporté à l'histoire une forte connotation politique. La suite est très prévisible: le député a dû se repentir et expliquer qu'il avait été mal compris.

     
     

    En évoquant la marche triomphale des combattants radicaux contre la discrimination à travers le pays, certains médias suédois remarquent qu'ils ne font que nuire à l'idée en question, en poussant du côté des racistes des individus jusque-là neutres. Les démocrates suédois ont obtenu presque 13% aux dernières législatives en automne 2014. Intelligents, ils ont rapidement rayé de leur vocabulaire la Sarcelle hottentote et l'Istiophorus cafre.



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