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  • Les statues détruites par l’EI étaient des répliques »

    16 mars 2015 par Pierrot  - Contre-info.com

     
    Le mois dernier, le groupe Etat Islamique avait diffusé une vidéo dans laquelle des djihadistes détruisaient des statues assyriennes dans le musée de Ninive à Mossoul. Selon plusieurs responsables de musées irakiens, ces représentations sont en fait des copies. « Nous avons encore les originales. »

    L’Etat Islamique s’est attaqué ces dernières semaines au patrimoine irakien. L’ONU n’avait pas hésité à qualifier de « catastrophe » les pillages orchestrés par le groupe terroriste. Pour l’Unesco, il s’agissait « d’un crime de guerre. »

    La vidéo diffusée le mois dernier, où on voyait plusieurs djihadistes détruire au marteau piqueur et à la massue des représentations assyriennes, avait scandalisé le monde entier.

     

    « Les originaux sont ici »

    Mais selon un responsable du musée de Badgad, interrogé par le site Al-arabiya et dont les propos ont été traduits par le Nouvel Obs, « ces statues étaient des copies. Les originaux sont tous ici. »

     

    Fawzye al-Mahdi, chef du département des antiquités de l’autorité du patrimoine culturel irakien, confirme qu’il s’agit de statues en plâtre. « Aucun des objets détruits dans la vidéo n’étaient des originaux », a-t-elle confié à la Deutsche Welle.

    Aucune confirmation officielle pour le moment mais il semblerait que les djihadistes aient raté leur coup cette fois-ci…

    Source : 7sur7

  • « Hjalmar Schacht, le banquier d’Adolf Hitler, était un génie »

     
     

    16 mars 2015 par Pierrot - Contre-info.com

    Dans Le Banquier du diable, tout juste publié aux éditions Max Milo, l’économiste Jean-François Bouchard dresse le portrait de ce patriote allemand, brillant, modeste et détaché de toute idéologie (même économique).

    Entretien réalisé par 20minutes:

    Pourquoi vous êtes-vous intéressé à Hjalmar Schacht?

    Alors que les dirigeants actuels sont incapables de redresser nos économies, cet homme a réussi à sauver l’Allemagne de la ruine… à trois reprises! D’abord en 1923, en mettant fin à l’hyperinflation. Puis en 1924 et en 1929, en arnaquant les Alliés sur le paiement de la dette de guerre allemande. Enfin, dans les années 1930, en réduisant le chômage à néant. En cinq ans, il a remis 7 millions de demandeurs d’emploi au travail…

    Qu’est-ce qui vous a le plus surpris chez cet homme?

    Son œuvre après la Seconde Guerre mondiale. Il a été –étrangement– l’un des trois acquittés du procès de Nuremberg. A sa sortie de prison, il a 74 ans et le sentiment qu’une nouvelle vie s’ouvre à lui. Ce sera le cas: il va devenir le conseiller économique de plusieurs pays en voie de développement. Il a notamment accompagné l’Iran dans la renégociation de ses contrats pétroliers avec des compagnies américaines et britanniques. Au cours de ces discussions, il sera menacé physiquement à plusieurs reprises. Ces intimidations n’entameront pas sa détermination. Il a consacré la fin de sa vie –il est mort à 93 ans dans son lit– à œuvrer pour le développement d’une économie plus harmonieuse et plus respectueuse du bien-être des populations.

    Schacht n’a d’ailleurs jamais été intéressé par l’argent…

    Issu d’une famille modeste, il est devenu très riche jeune en grimpant rapidement les échelons hiérarchiques dans le milieu bancaire allemand mais, effectivement, l’argent n’a jamais été un moteur pour lui. Lorsqu’il prend ses fonctions de commissaire du Reich à la monnaie, en 1923, il renonce à percevoir tout salaire, préférant attribuer sa rémunération à sa secrétaire. Il porte des costumes sobres et rentre chez lui en empruntant les trains de banlieue de troisième classe… Patriote, il n’a jamais été accessible à la corruption. Sa seule obsession était le destin de l’Allemagne… Et le pouvoir, qu’il a toujours recherché.

    On sent chez vous une certaine admiration pour cet homme…

    C’est difficile à reconnaître dans la mesure où, sans lui, le régime hitlérien et ses atrocités n’auraient jamais existé… Mais oui, j’admire sa détermination. Sur le plan économique, il a été un véritable génie. Il a transformé un pays arriéré, handicapé par le paiement de la dette de la Première Guerre mondiale en un Etat doté d’équipements extraordinaires –autoroutes, barrages, centrales thermiques, réseau téléphonique, etc. Il a transformé une ruine historique en une réussite historique… En 1940, grâce à lui, l’Allemagne serait devenue la première puissance économique au monde si elle n’était pas partie en guerre. Mais sur le plan personnel, il s’est beaucoup trompé. Lui qui n’a jamais vraiment été séduit par le nazisme pensait pouvoir manipuler Hitler… C’est Hitler qui l’a manipulé. Il pensait que Goering était son ami… Ce dernier l’a trahi sans ménagement.

    Que ferait Schacht s’il était aujourd’hui le ministre de l’Economie de la Grèce?

    Il s’arrangerait pour ne pas payer la dette, comme il l’a fait lorsqu’il était président de la Reichsbank. Au lendemain de la Grande Guerre, son pays doit payer 130 milliards de marks-or aux Alliés. Grâce à Schacht, il ne versera en tout et pour tout qu’une dizaine de milliards de marks-or et encore, en empruntant cet argent aux Américains et aux Anglais… Schacht a fait croire aux Alliés qu’il voulait payer, mais il les a complètement mystifiés. L’Allemagne est le pays qui a connu le plus fort allègement de sa dette au XXe siècle –il a bénéficié d’une autre réduction conséquente après la Seconde Guerre mondiale- et au XXIe siècle, il est celui qui se montre le plus intransigeant pour que les autres pays s’acquittent des leurs…

    Et s’il était le ministre de l’Economie de la France, que ferait Schacht?

    Sa priorité ne serait sans doute pas de restaurer les comptes publics mais de résorber le chômage. Pour atteindre cet objectif, il mettrait au point un véritable plan de guerre au service de la transition énergétique. Il ferait émerger de grandes industries capables de produire des panneaux solaires, des piles à combustibles, etc. La Banque publique d’investissement (BPI) pourrait financer ce plan… A condition de ne pas respecter certains traités européens, qui interdisent aux Etats de financer directement leur économie productive.

    Quelle leçon «positive» devrions-nous retenir de lui?

    En 1923, il a appliqué une politique déflationniste d’une rigueur inouïe. En 1933, il a fait exactement l’inverse, en lançant une politique de déficit extraordinaire. Dans les deux cas, ses solutions ont très bien fonctionné. Hjalmar Schacht n’était pas un théoricien, il était un rationaliste: il analysait la situation, déterminait le principal problème à résoudre puis prenait toutes les décisions nécessaires pour y parvenir. Il prenait une décision et s’y tenait, à tout prix.

    Source : 20minutes

  • Sondage : en un mois, Valls dégringole de dix points

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    16 Mars 2015, 19h34 | MAJ : 16 Mars 2015, 20h24

            
     
     
    1/2 réagir                                                      Le Premier ministre Manuel Valls lors d'un meeting électoral, le 5 mars 2015 à Boisseuil, en Haute-Vienne Pascal Lachenaud

    En un mois la cote de popularité de Manuel Valls a dégringolé de dix points, à 42% d'avis favorables, François Hollande perdant quant à lui quatre points, à 26%, dans le baromètre Ipsos-«Le Point»* publié lundi.

    Le Parisien

  • Toulouse : un an de prison avec sursis pour trois agressions sexuelles

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    15/03/2015 – PARIS (NOVOpress)
    La justice – toujours prompte à taxer le petit contrevenant routier pour remplir les caisses gourmandes d’une gouvernance mondiale qui réclame sans fin – est beaucoup moins exigeante pour le délinquant sexuel pour peu qu’il ait l’excuse sociale d’être arrivé dans notre pays depuis peu.
    Qu’un mot soit prononcé un jour de colère par une personne excédée contre une autre appartenant à une minorité et le couperet judiciaire s’abat impitoyable. Un mot ! Un seul mot !

    Voici un jugement ahurissant de complaisance, de dématérialisation de la morale qui nous est rapporté par La Dépêche .
    Il illustre bien le biais inquiétant qu’a pris la justice ces dernières années :

    - “Pour moi ce n’était pas des agressions. J’avais de l’attirance, elles sont très jolies” se justifie le prévenu.

    - “Elles sont surtout très jeunes”, corrige la présidente Rivière.

    - “Vous utilisiez toujours le même mode opératoire, décrit la présidente, à l’heure de pointe, vous vous colliez à elles pour qu’elles sentent votre sexe”.

    Un homme de 28 ans a comparu devant le tribunal correctionnel. Cet Algérien qui ne parle pas français devait répondre de trois agressions sexuelles commises en quelques mois dans le métro toulousain. Face à lui, deux jeunes filles âgées de 17 ans et 21 ans traumatisées.

    Après son agression, l’une des jeunes filles recroise le prédateur dans le métro fin janvier, station Jean-Jaurès. Elle donne l’alerte. Placé en garde à vue et confronté à trois victimes qui le reconnaissent formellement, il commence par nier avant d’avouer.

    Moi-même je ne comprends pas pourquoi j’ai fait ça. Peut-être que j’étais agressif mais je ne m’en suis pas rendu compte. Je regrette.

    Cauchemars, déscolarisation, les jeunes filles peinent à retrouver une vie normale depuis l’agression.

    “C’est une épreuve véritable pour elles, souligne le procureur Peltier, c’est l’équivalent d’un comportement bestial.”

    Il requérait de 18 mois à 2 ans de prison avec sursis, une mise à l’épreuve et deux à trois mois ferme.

    Pour la défense, Me Pierre Le Bonjour a demandé aux juges de "garder la mesure. Ce n’est pas un pervers, pas un prédateur. Il n’a pas conscience que son geste est malvenu, il est naïf sur le plan sexuel.”

    Pour ces trois agressions sexuelles, le tribunal l’a condamné à 12 mois de prison avec sursis, à une mise à l’épreuve ainsi qu’à une obligation de soins et de travail. Il devra indemniser sa victime majeure à hauteur de 1 000 €.

    L’agresseur en série du métro condamné” ose titrer le journal.

  • Rendons hommage à Hélie Denoix de Saint-Marc

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    Il était de ces héros fidèles à leurs convictions, à la parole donnée, parfois en proie au doute, toujours soucieux de l’Autre.
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    En débaptisant la rue du 19 mars 1962 pour honorer Hélie Denoix de Saint-Marc, Robert Ménard n’a pas seulement voulu provoquer – il y a réussi, si l’on en juge par les réactions de Manuel Valls et de Stéphane Le Foll ou les appels à manifester contre « cette droite réactionnaire, révisionniste, colonialiste et raciste » et à dénoncer le comportement d’un « criminel terroriste », d’un « commandant partisan et fanatique ».

    Par cet acte symbolique, le maire de Béziers a également voulu rétablir la vérité historique. « Rue du 19 mars 1962 – Cessez le feu en Algérie » pouvait-on lire sur l’ancienne plaque. Mais la guerre a continué, sous d’autres formes que beaucoup préfèrent oublier, comme pour les effacer : oublier les milliers de Français tués, enlevés, disparus, après le 19 mars, le commerce d’otages, les dizaines de milliers de harkis abandonnés à une mort barbare, leur tête servant parfois de ballon de football ; oublier que l’armée avait reçu du gouvernement l’ordre de ne pas intervenir. Oublier : c’est commode pour s’éviter des cas de conscience – quand on en a une. Oublier aussi l’exode de centaines de milliers de pieds-noirs qui débarquèrent en France, notamment à Marseille, accueillis par cette phrase terrible de Gaston Deferre : « Qu’ils aillent se réadapter ailleurs ! » Toux ceux qui ont vécu cette période tragique se souviennent de cette terre qu’ils aimaient. Ils peuvent légitimement dire avec Robert Ménard : « L’Algérie, c’est notre paradis ». Un paradis perdu. Irrémédiablement.

    La nouvelle plaque porte l’inscription suivante : « Rue Cdt Denoix de Saint-Marc – 1922-2013 – Héros Français ». Plutôt que de polémiquer, de crier « Ménard facho, Ménard assassin! », les opposants auraient dû se pencher sur la vie de cet homme admirable, avec un brin d’honnêteté intellectuelle – on peut rêver ! Résistant à 19 ans, arrêté par la gestapo, déporté dans le camp de Buchenwald, puis de Langenstein, il intègre Saint-Cyr en 1945 et choisit la Légion étrangère. Trois séjours en Indochine. Puis la guerre d’Algérie. En avril 1961, il participe au putsch, répondant à l’appel du général Challe, « pour assurer une solution qui protègerait les pieds-noirs et les musulmans favorables à la France ». Arrêté le 25 avril, il est condamné deux mois plus tard à dix ans de réclusion criminelle. Réhabilité, il écrira plusieurs ouvrages et donnera des centaines de conférences en France et à l’étranger. Il était de ces héros fidèles à leurs convictions, à la parole donnée, parfois en proie au doute, toujours soucieux de l’Autre. Comme il le déclara à son procès, « on peut beaucoup demander à un soldat. On ne peut lui demander de se dédire, de se contredire, de mentir, de tricher, de se parjurer ».

    Le commandant Denoix de Saint-Marc était un héros qui voulait « simplement essayer d’être un homme ». En donnant son nom à une rue de Béziers, Robert Ménard a restitué un pan caché de l’histoire.

     
    BOULEVARD VOLTAIRE
  • Ruquier : « Je regrette d’avoir donné la parole à Eric Zemmour pendant 5 ans ! »


    Laurent Ruquier: "Je regrette d'avoir donné la... par onpc

      

    Après avoir construit son audience entre autres grâce à Eric Zemmour, Ruquier fait son coming-out gauchiste anti-France.

    BOULEVARD VOLTAIRE

  • Claude MONET (1840 - 1926)

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    Promenade sur la falaise à Pourville

  • Haut-Rhin : un élu socialiste vole le crucifix du conseil général au nom des « valeurs républicaines »

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    20h52

     

    Le socialiste Pierre Freyburger a emporté vendredi le crucifix du XVe accroché dans la salle de l’assemblée du conseil général du Haut-Rhin pour le remettre à un curé. L’élu mulhousien justifie son geste au nom des valeurs «républicaines ». Le département a déposé plainte ce matin pour vol.

    Conseiller général PS de Mulhouse-Ouest, Pierre Freyburger a reconnu avoir subtilisé vendredi la sculpture  du Christ crucifié (XVe) qui ornait la salle de l’assemblée du conseil général du Haut-Rhin. L’intéressé assume son geste qu’il qualifie de « délibéré et construit », et rejette le terme de vol. « Je ne l’ai pas piqué, je l’ai rendu à qui de droit : à l’Eglise comme institution. Je l’ai déposé chez un curé haut-rhinois », explique-t-il en s’interrogeant sur « la place d’un crucifix dans une institution républicaine ».

    Le département a déposé plainte pour vol ce matin. « Un geste insensé, irresponsable ; une blessure faite à l’Alsace ; un acte indigne d’un élu de la République », a réagi Charles Buttner, le président UMP de la collectivité. « L’Alsace, terre à l’histoire tourmentée, a reçu le Concordat et le droit local en héritage. Ses élus, les autorités religieuses locales, n’ont jamais eu de cesse de favoriser le dialogue entre tous les cultes, pour le bien vivre ensemble si malmené aujourd’hui, toujours dans le plus grand respect et au service de la République. » [...]

    Par sa provocation, Pierre Freyburger entend ouvrir « le débat d’actualité » sur la laïcité et les valeurs de la République. Elle s’inscrit aussi dans sa relation houleuse avec le président sortant du département. « Je considère que si Charles Buttner dépose plainte, c’est lui qui est dans l’illégalité. Après, nous ouvrirons le débat. Ce crucifix n’a pas sa place dans une institution républicaine », répète l’élu qui est suppléant du binôme socialiste qui se présente dans le nouveau canton de Mulhouse-1.

    Source

    FDS

  • Les derniers Gaulois. La fête du cochon au moulin de Lancette, dans le Tarn

    Mise en ligne le 12 mars 2011

    Film réalisé par Laurent Champonnois sur la Mort du Cochon dans le Tarn, tradition annuelle.

    Un très beau court métrage sur un "folklore" qui disparaît.

    Tout y est, même l'accent du terroir.

    Une vraie page d’histoire et un hymne à la bonne charcuterie…et une définition du bonheur, à partager.

     

    (merci à Dirk)