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  • Italie : Des musulmans interdisent à des jeunes filles de monter dans le bus pour la mosquée

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    18/03/2015 – SIENNE  (NOVOpress)
    C’est un communiqué de la Ligue du Nord qui a révélé l’affaire, reprise ensuite par plusieurs sites d’information locaux comme ImolaOggi, Qui News Valdelsa ou encore OK Siena.

    La semaine dernière, à Colle di Val d’Elsa, dans la province de Sienne en Toscane, deux jeunes filles italiennes se sont plaintes à la Tiemme, la Société de transports, pour avoir été empêchées de monter dans l’autobus public qui part du centre ville en direction de la mosquée. Des immigrés musulmans qui se rendaient à la mosquée leur auraient interdit l’accès « car, selon leur religion, les femmes ne doivent pas prendre les transports publics en présence d’hommes de religion musulmane. Après un début d’altercation et des insultes, les jeunes filles se sont vues contraintes de renoncer à monter dans l’autobus ».

    À la suite de cette plainte, des contrôleurs de la Tiemme, épaulés par des membres de la Police municipale de Colle Val d’Elsa, ont effectué vendredi une vaste opération de contrôle, qui a permis d’infliger de nombreuses amendes pour manque de titre de transport. La Police municipale a en outre repéré un individu dépourvu de tout papier d’identité. Les forces de l’ordre alertées l’ont conduit au commissariat pour vérification : il a alors déclaré qu’il venait d’arriver clandestinement en Italie en provenance du Tchad.

     

    La mosquée de Colle Val d’Elsa, construite sur un terrain concédé par la municipalité, est particulièrement controversée. C’est celle que l’écrivain Oriana Fallaci, dans un de ses tout derniers entretiens, juste avant sa mort, avait carrément menacé de faire sauter : « Je ne veux pas voir un minaret de 24 mètres de haut dans le pays de Giotto, alors que moi je ne peux pas même porter une croix ou emporter une bible dans leur pays ».

    Dans son communiqué, le secrétaire provincial de la Lega Nord, Riccardo Galligani, a vu dans l’épisode la preuve « que la mosquée fonctionne comme un catalyseur de personnes parfois violentes, qui méprisent les libertés fondamentales des personnes, et sont en plus en situation irrégulière sur notre territoire ».

    Face à la polémique, la Tiemme a cherché à minimiser les faits. À en croire son président, Massimo Roncucci, les jeunes filles n’auraient pas été empêchées de monter dans l’autobus « pour des motifs ethniques et culturels » mais « seulement en raison de l’encombrement du véhicule ». Quant aux contrôles de vendredi, il s’agirait d’une « opération de routine ».

    On ne peut quand même s’empêcher de penser que, si les jeunes filles avaient été noires et ceux qui les empêchaient de monter des supporteurs de football, l’affaire serait déjà devenue un scandale international.

    Crédit photo : Jean-Marc Pascolo via Wikipédia, (cc).

  • Tunis : 19 morts dans l’attentat du musée Bardo. (MàJ : Photo et identités des terroristes )

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    20h55

    Les 2 jihadistes tués dans l’attaque du musée #Bardo se nomment Jabir al-Khashnawi et Yassin al-Abidi

     


    Selon le journal britannique The Independant, Federica Mogherini, chef de la diplomatie de l’Union Européenne,  accuse le groupe État islamique d’avoir « une fois de plus ciblé les pays méditerranéens et leurs habitants. Charlie Winter, chercheur du Think Tank Quilliam, a quant à lui rapporté les revendications d’un des principaux partisans de l’État islamique au Yemen, annonçant que l’attentat du musée Bardo n’est que le premier d’une série destinée à frapper la Tunisie :

     

     

     


    BREAKING: #ISIS claims responsibility for the #BardoAttack in #Tunisia@SputnikInt

     


    L’information selon laquelle un Français serait mort dans la prise d'otages n’a pas été confirmée pour l’heure. Le président de l’Assemblée nationale l’a néanmoins évoquée ce mercredi après-midi: « Il semblerait que l’on ait déjà plusieurs victimes, dont certainement un de nos compatriotes », a-t-il déclaré.


    Le nombre de personnes tuées dans l’attaque pourrait être plus important qu’annoncé jusqu’ici. Il s’élèverait à « entre huit et une vingtaine », selon une source diplomatique française contactée par L’Express


     

     

  • La ville de Bobigny rend hommage à ses citoyennes Rahma, Sabrina, Yamina, Habiba, Zineb

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    19h41

    Le documentaire de Bouchera Azzouz et Marion Stalens, « Nos mères, les daronnes » donne la parole à Rahma, Sabrina, Yamina, Habiba, Zineb, venues du Maroc, de Tunisie et d’Algérie. A travers le parcours de ces femmes, « de cultures et de religions différentes », ce documentaire propose un autre regard sur celles qui n’apparaissent pas souvent à l’image en les rendant un peu plus lisibles. « Raconter ces vies, construites en France, loin du pays natal, le Maroc, la Tunisie et l’Algérie, c’est rendre un hommage à nos mères, nos daronnes. »

    Dès la première séquence du documentaire, nous sommes invités à prendre le périphérique nord-est de Paris pour arriver à la cité de l’Amitié à Bobigny dans le 93.

    Pourquoi Bobigny ? C’est le quartier où a grandi Bouchera Azzouz et a forgé ses convictions. C’est là où sa mère Rahma a mené son combat de vie. D’abord pour élever ses dix enfants, dont deux fillettes placées chez elle par la Ddass et qui font entièrement partie de la famille. Puis, couturière et assistante maternelle, Rahma a accueilli chez elle durant 40 ans, une soixantaine d’enfants, de jeunes et mères célibataires avec leurs bébés, tous placés par les services sociaux de Bobigny. Aujourd’hui, retraitée, âgée de 75 ans, elle se consacre à sa passion la peinture et l’action sociale dans l’oriental marocain, d’où elle est originaire. [...]

     

    Zineb Doufikar, assistance sociale qui a retrouvé les bancs de l’école à l’âge de 26 ans, a élevé seule ses deux garçons. Son parcours de femme battante et déterminée pour la cause des femmes et des « Chibanis » témoigne de son engagement associatif très fort.
    Sabrina, cette ouvrière, si belle et coquette qui continue à travailler et si fière de son entreprise et son parcours de femme libre et rebelle.
    Habiba, commerçante à la retraite, aimant la vie et savoure joyeusement l’instant présent.
    Yamina, la femme culture qui croque les livres et goûte avec raffinement le verbe.

    Aline, l’institutrice de la cité de l’Amitié, qui a vu grandir les enfants et accompagné les mères les daronnes dans l’éducation de leur progéniture. Présente dans le documentaire pour rappeler le rôle central de l’école publique dans la réussite d’un parcours scolaire.

    atlasinfo

    FDS

  • Un tweet de Jean-Marie Le Pen

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  • EN DIRECT. Attaque à Tunis : 19 morts, dont 17 touristes, 6 Français blessés

    http://www.leparisien.fr/international/en-direct-fusillade-meurtriere-et-prise-d-otages-dans-un-musee-de-tunis-18-03-2015-4614323.php

     

    Plusieurs hommes armés ont mené une attaque meurtrière ce mercredi contre le musée du Bardo, à Tunis, tuant 19 personnes dont 17 touristes. Deux assaillants ont péri dans l'assaut donné par les forces de l'ordre, quelques heures plus tard. 

  • Discours du Dr Udo Ulfkotte, durant une manifestation PEGIDA à Bonn, avec Mélanie Dittmer

    http://ripostelaique.com/discours-du-dr-udo-ulfkotte-durant-une-manifestation-pegida-a-bonn-avec-melanie-dittmer.html

    Publié le par Sylvia Bourdon - Article du nº 399

  • Sartrouville (78) : la suppléante FN de 83 ans violemment agressée alors qu’elle collait des affiches

    17h37

    Ce matin, Marie-Françoise Lagroua, suppléante FN aux départementales sur le canton de Sartrouville, a été menacée, insultée et frappée alors qu’elle collait des affiches.

    Le collage d’affiche peut parfois devenir un exercice périlleux. Marie-Françoise Lagroua, 83 ans, suppléante aux départementales sur la liste FN du canton de Sartrouville, a été agressée mardi 17 mars par un couple de 25, 26 ans, selon plusieurs sources.

    Vers 11h10, cette Mansonnienne collait des affiches sur des panneaux électoraux situés avenue de la Concorde, à deux pas de la gare, quand le jeune homme et la jeune femme s’en sont pris à elle. « Ils lui ont dit, « on va te tuer ». Ensuite, elle s’est faite insulter et frapper », rapporte Didier Palix, tête de liste FN sur le canton. L’intéressée n’a pas pu être contactée.

    Il explique ensuite que la jeune femme a arraché le seau de colle des mains de la suppléante frontiste pour lui asséner « plusieurs coups sur le sommet du crâne » avec, puis, lui « vider la colle » sur la tête. L’arrivée d’une institutrice accompagnant un groupe d’enfants a mis en fuite les agresseurs. « Ils s’en sont pris verbalement à l’enseignante aussi », précise Didier Palix.

    Les lunettes de Marie-Françoise Lagroua ont été brisées durant l’agression et la militante FN présenterait plusieurs bosses à la tête. Elle est allée déposer plainte en fin de matinée et devait subir un examen à l’unité médico judiciaire de Versailles cet après-midi.

    Le tête de liste Front national dénonce « un climat de détestation » mis en place autour de son parti « par les plus hauts représentants politiques du pays ». Une situation qui, selon lui, provoquerait ce type de comportements.

    [...]

    Courrier Des Yvelines

  • Semaine de la langue française : le Secours populaire apprend bénévolement le français aux immigrés

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    17/03/2015 – PARIS (NOVOpress)
    En cette semaine de la langue française, il est surtout question de ceux qui ne la parlent pas ou qui la parlent mal. Même là, la propagande réussit l’exploit d’effacer l’autochtone au profit de celui venu d’ailleurs. Il faut dire qu’au delà d’être aussi invasive que les gens qu’elle chérit, la doctrine multiculturelle ne se fatigue jamais. Et s’il y a une semaine de la langue étrangère, que les Français de souche ne se fassent pas d’illusion : ils en seront absents également.

    Le “vivre-ensemble” n’est pas dyslexique, il est hémiplégique.

    Si les immigrés ont besoin de cours de français gratuits, ils peuvent compter sur le Secours populaire, des bénévoles se sont pressés à Paris pour dispenser cet enseignement. On ne sait jamais, ça peut servir encore quelques temps.

     

  • L’Algérie, par Vincent Revel

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    Lors du conflit algérien, qui a duré de 1945 à 1962, plus de 210 000 algériens ont combattu aux côtés des soldats français pour défendre une Algérie française. Pour nos accusateurs algériens ce ne sont que des renégats qui ne méritent ni considération ni compassion et ceci malgré les crimes violents qu’ils ont eu à subir du Front de Libération Nationale (FLN). Pour notre élite politique déracinée, ces harkis ont été jusqu’à nos jours des personnes fort encombrantes. La République, face à cette guerre appelée pendant longtemps simple maintien de l’ordre, ne sut jamais prendre ses responsabilités. Les jeunes soldats français, envoyés combattre le FLN dans son maquis, n’eurent que très peu de reconnaissance pour leur jeunesse perdue à faire une guerre inutile.

    Sur l’Algérie, nous devrions avoir un discours clair. Expliquer qu’avant la présence française, l’Algérie n’existait pas en tant que pays et nation. Avant l’arrivée de l’islam, au VIIème siècle, la partie nord de ce grand territoire appartenait à l’empire byzantin, héritier de l’empire romain. Les musulmans, lors de leur conquête, réprimèrent avec brutalité la résistance des tribus Berbères qui furent contraintes de subir une arabisation forcée de la part des vainqueurs. Sous la domination ottomane, du XVIème siècle jusqu’à l’arrivée des français en 1830, les barbaresques d’Alger vécurent de façon autonome face à la souveraineté turque. Ils s’enrichissaient grâce aux pillages et à la vente des esclaves qu’ils capturaient le plus souvent sur les côtes européennes. Malgré leur pouvoir de nuisance sur la méditerranée occidentale, les deys d’Alger ne contrôlèrent jamais plus qu’une petite bande côtière. Il fallut vraiment attendre l’intervention des forces armées françaises pour voir l’Algérie prendre forme et être découpée en trois départements français par la IIème République en 1849. De nombreux colons vinrent s’installer en Algérie, mirent en valeur ses terres par un savoir faire agricole et équiperont le pays par leurs ingénieurs (image en Une : le pont El-Kantara à Constantine construit en 1860, photochrome datant de 1899).

     

    A la fin de la seconde guerre mondiale, les Européens représentaient 10% de la population mais élisaient injustement le même nombre de députés à l’assemblée nationale que les citoyens français musulmans. Cette inégalité, renforcée par la faiblesse des dirigeants de la IIIème République, ainsi que le séparatisme attisé par la barrière culturelle et cultuelle de l’islam firent que les débats allèrent rapidement s’envenimer pour laisser la place à la guerre d’indépendance. Malgré la citoyenneté française donnée par Napoléon III en 1865 aux algériens musulmans, ceux-ci restaient « régis, en matière de statut personnel, par la loi coranique ou par les coutumes berbères. » Cette citoyenneté de seconde zone, établie à l’origine pour respecter la culture islamique, ne permit jamais d’unifier pleinement l’Algérie française.

    Très tôt, le cri de guerre du FLN fut, « nous sommes algériens, musulmans et arabes. » Ceci ressemblait beaucoup, sur fond d’indépendance, à un appel au djihad. 16 000 musulmans furent exécutés par les fanatiques du FLN uniquement pour leur appartenance à un autre parti que le leur. L’Armée de Libération Nationale (ALN), branche armée du FLN, sema la terreur aussi bien auprès des civils européens que musulmans. Tortures, viols, égorgements, éventrations, mutilations faciales, rien ne fut épargné à la population algérienne.

    Face à cette violence, l’armée française est accusée d’avoir mené une guerre sale. Des documentaires, des films nous expliquent comment les officiers de renseignement torturaient ces algériens « combattants héroïquement pour la liberté ! » Vu sous cette forme, cela parait émouvant et révoltant. Mais si nous avions le courage de nous pencher légèrement pour renifler l’odeur nauséabonde des fausses communes du FLN, remplies de cadavres anonymes algériens et de pieds noirs lâchement abandonnés, notre écœurement n’en deviendrait que plus tenace. A l’époque où notre président Hollande s’excuse de tout et pour tout, je vous avoue que cet esprit de repentance me devient insupportable et de ce fait je ne peux que féliciter Robert Ménard d’avoir honoré la mémoire d’Hélie de Saint Marc, officier exemplaire de la Légion étrangère.

    Vincent Revel

    Crédit photo : Auteur inconnu, domaine public via Wikipédia,.