Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

  • Encouragement de l’avortement : les députés votent la suppression du délai de réflexion

     

    Jusqu’à aujourd’hui, le code de santé publique imposait un délai de réflexion de sept jours entre les deux consultations médicales structurant la procédure d’interruption volontaire de grossesse. Dans la nuit de mercredi à jeudi, l’Assemblée a adopté un amendement à la loi Santé menant à la suppression de cette obligation.

    Cet amendement s’inscrit dans un processus d’accélération de la banalisation de l’avortement. La loi de financement de la Sécurité sociale pour 2013 a imposé son remboursement intégral, tandis que la loi Belkacem pour « l’égalité réelle entre les femmes et les hommes » d’août 2014 en a supprimé sa qualité exceptionnelle contenue dans la notion de « détresse » et a durci les sanctions envers ceux qui s’opposeraient à sa pratique. La loi Santé 2015 de Marisol Touraine multiplie les actions visant à améliorer « son accès ». La loi poursuit le déploiement de centre d’appels et de documents dédiés à l’IVG, et cherche à en généraliser la faisabilité dans tous les centres médicaux [1].

    La suppression du délai de réflexion, aussi atterrante soit-elle, ne saurait nous surprendre. E&R l’avait d’ailleurs anticipée à l’occasion des quarante ans de la loi Veil [2]. Les défenseurs de cet amendement, tout en feignant d’ignorer que la loi prévoit déjà un raccourcissement à deux jours du délai en cas d’urgence (c’est-à-dire si les douze semaines légales arrivent à leur terme), assurent qu’il s’agit là d’une nécessité pour éviter que des demandeuses se retrouvent coincées. De même, ils clament que les demandeuses pourront aussi éviter plus facilement de recourir à l’avortement par voie médicamenteuse, une méthode moins lourde, moins contraignante que la voie chirurgicale, mais applicable seulement pendant les premières semaines de grossesse.

    La banalisation devient tellement effective que le caractère malhonnête des champs lexicaux (les histoires de « droit » et de « liberté » démasquées dès les années 1970 dans Le Capitalisme de la séduction de Clouscard) ne parviendra bientôt plus à donner le change : Catherine Courcelle (PS), qui a porté l’amendement sur la suppression du délai de réflexion, en avait proposé un autre qui visait à supprimer la clause de conscience permettant aux médecins de refuser de pratiquer une IVG, en clamant qu’elle faisait doublon avec la clause de conscience du code de Santé publique qui s’applique à n’importe quelle opération chirurgicale [3]. Une nouvelle étape qui rendrait l’IVG banal par définition.

    Elle a dû pour l’instant renoncer à cette disposition. Mais son initiative n’emprunte rien à l’audace ou à la créativité, la députée étant simplement un peu en avance sur la feuille de route : toutes les dispositions récentes en matière d’IVG et celles que nous réserve l’avenir se retrouvent dans un rapport remis par le Haut Conseil à l’égalité entre les femmes et les hommes (HCEfh) à Mme Belkacem, en novembre 2013. On comprend donc que les reticences de Marisol Touraine à l’egard de cet amendement ne sont que du théâtre. La déliquescence libérale-libertaire est avant tout une insidieuse affaire d’étapes.

  • Suisse : une école interdit les chemises traditionnelles Edelweiss

     

    Incroyable : une école lucernoise a interdit le port de la chemise Edelweiss parce que le symbole serait « provocant, discriminant et raciste » vis à vis des albanais de l’établissement. Le port d’un symbole de son pays peut désormais être considéré comme une attitude raciste !

    «Provocant, discriminant et raciste.» C’est ainsi que les autorités locales de Willisau (LU) ont qualifié la chemise traditionnelle suisse à motif d’edelweiss après avoir pris la décision d’interdire le port de cet habit dans l’établissement scolaire de la localité lucernoise, a écrit jeudi «Blick».

    La décision, a expliqué la direction de l’école, est la conséquence d’une dispute qui a éclaté dernièrement entre des écoliers albanais et suisses. Les premiers, précise le quotidien alémanique, se seraient rendus à l’école en provoquant leurs camarades avec le symbole de l’aigle albanais, que l’on retrouve sur le drapeau du pays. La réaction des Suisses ne s’est pas fait attendre. Ils ont tous enfilé une chemise à edelweiss pour narguer les jeunes Albanais, a expliqué pour sa part le directeur de l’école, Pirmin Hodel. Afin de mettre un terme à la querelle, le recteur a donc décidé d’interdire les vêtements à fort caractère symbolique.
    […]«Comment est-ce qu’on peut affirmer qu’une chemise à edelweiss est raciste? », s’énerve le conseiller national Lukas Reimann (UDC/SG).

     

    Lui ainsi que quatre de ses collègues du National – Pirmin Schwander (UDC/SZ), Peter Keller (UDC/NW), Markus Hausammann (UDC/TG), Andreas Aebi (UDC/BE) – ont protesté jeudi contre l’interdiction de l’habit helvétique. Ils ont troqué leur costard contre une chemise edelweiss pour se rendre aux sessions, jeudi à Berne. «Cet habit fait partie de la tradition suisse. Nous sommes fiers de cette chemise.»

    La pluie de critiques qui s’est abattue sur l’école lucernoise après l’annonce de l’interdiction a incité l’établissement à revenir sur sa décision et à lever la prohibition.

    Source 20minutes

  • Suisse : une école interdit les chemises traditionnelles Edelweiss

     

    Incroyable : une école lucernoise a interdit le port de la chemise Edelweiss parce que le symbole serait « provocant, discriminant et raciste » vis à vis des albanais de l’établissement. Le port d’un symbole de son pays peut désormais être considéré comme une attitude raciste !

    «Provocant, discriminant et raciste.» C’est ainsi que les autorités locales de Willisau (LU) ont qualifié la chemise traditionnelle suisse à motif d’edelweiss après avoir pris la décision d’interdire le port de cet habit dans l’établissement scolaire de la localité lucernoise, a écrit jeudi «Blick».

    La décision, a expliqué la direction de l’école, est la conséquence d’une dispute qui a éclaté dernièrement entre des écoliers albanais et suisses. Les premiers, précise le quotidien alémanique, se seraient rendus à l’école en provoquant leurs camarades avec le symbole de l’aigle albanais, que l’on retrouve sur le drapeau du pays. La réaction des Suisses ne s’est pas fait attendre. Ils ont tous enfilé une chemise à edelweiss pour narguer les jeunes Albanais, a expliqué pour sa part le directeur de l’école, Pirmin Hodel. Afin de mettre un terme à la querelle, le recteur a donc décidé d’interdire les vêtements à fort caractère symbolique.
    […]«Comment est-ce qu’on peut affirmer qu’une chemise à edelweiss est raciste? », s’énerve le conseiller national Lukas Reimann (UDC/SG).

     

    Lui ainsi que quatre de ses collègues du National – Pirmin Schwander (UDC/SZ), Peter Keller (UDC/NW), Markus Hausammann (UDC/TG), Andreas Aebi (UDC/BE) – ont protesté jeudi contre l’interdiction de l’habit helvétique. Ils ont troqué leur costard contre une chemise edelweiss pour se rendre aux sessions, jeudi à Berne. «Cet habit fait partie de la tradition suisse. Nous sommes fiers de cette chemise.»

    La pluie de critiques qui s’est abattue sur l’école lucernoise après l’annonce de l’interdiction a incité l’établissement à revenir sur sa décision et à lever la prohibition.

    Source 20minutes

  • Recel d'œuvres de Picasso : 2 ans de prison avec sursis pour son électricien


    Œuvres dérobées chez Picasso ? Les explications... par leparisien

      

    20 Mars 2015, 10h25 | MAJ : 20 Mars 2015, 10h59

    1
     
     
     
     
    réagir
    19
                                                         L'ex-électricien Pierre Le Guennec et son épouse Danielle ont été condamnés vendredi à deux ans de prison avec sursis pour le recel de 271 oeuvres volées de Picasso entreposées pendant quarante ans dans leur garage du sud de la France.  LP/PHILIPPE DE POULPIQUET

    Danielle et Pierre Le Guennec, 72 et 75 ans, ont été condamnés ce vendredi à deux ans de prison avec sursis pour le recel de 271 œuvres volées de Pablo Picasso, qu'ils avaient entreposées pendant 40 ans dans leur garage du sud de la France.

     

    Sur le même sujet

    Les explications de l'ex-électricien et son épouse

    Les explications de l'ex-électricien et son épouse

     Les oeuvres, saisies par la justice et dont la valeur n'a pas été chiffrée, vont être remises à l'administrateur de la Picasso Administration, Claude Ruiz-Picaso, qui représente tous les héritiers, a également annoncé vendredi le président du tribunal correctionnel de Grasse, Jean-Christophe Bruyère.

    Electricien de profession, Pierre Le Guennec fut homme à tout faire chez Pablo Picasso au début des années 1970, dans la vaste propriété de Mougins, où, au soir de sa vie, le maître s'était installé. A en croire les époux Le Guennec, c'est Jacqueline, sa dernière épouse, qui leur avait donné, en 1971 ou 1972, un carton contenant 180 petites pièces, et un carnet de 100 pages avec 91 dessins, du célèbre artiste (NDLR : datant de 1900 à 1932).

    Oubliées près de quarante ans, ces œuvres ont ressuscité en 2010 lorsque le couple a fait le voyage à Paris pour présenter son trésor à Claude Picasso, en charge de l'authentification et du droit moral des œuvres. Les six héritiers de l'artiste ont immédiatement porté plainte. «Ces pièces avaient une valeur sentimentale», confiait Pierre Le Guennec avant son procès, soulignant : «Si on avait voulu, on aurait pu les vendre sous le manteau pendant toutes ces années.»


     Ce vendredi, les retraités ont été reconnus coupables du chef de «recel de biens provenant d'un vol» mais l'enquête n'a pas permis d'établir formellement l'identité de l'auteur du ou des vols. Les époux septuagénaires ont porté préjudice à «la confiance» et à «la mémoire» de Pablo Picasso, avait estimé le procureur Laurent Robert, tout en appelant à une sanction équilibrée pour des prévenus «totalement dépassés» et qui «n'ont pas gagné d'argent avec cette affaire».

    Lors du procès en février, le ministère public avait requis cinq ans de prison avec sursis à l'encontre du couple de retraités de Mouans-Sartoux (Alpes-Maritimes)Deux enfants du peintre, Claude Ruiz-Picasso et Maya Widmaier-Picasso, ont fait le déplacement à Grasse vendredi pour entendre le jugement.
     
    Le Parisien
     
    NdB: Ce couple n'a rien volé: ce jugement est indigne!
  • Texas : des autocollants «réservé aux blancs» retrouvés sur des magasins

    4621433_facebook-autocollants_545x460_autocrop.jpg

     

    • International

     

     

    Le maire d'Austin, capitale du Texas, a condamné le geste d'individus qui ont apposé des autocollants sur lesquels était écrit «réservé aux blancs» sur la devanture de commerces de la ville. Un incident qui rappelle les heures sombres de la ségrégation aux Etats-Unis.

    20 Mars 2015, 15h58 | MAJ : 20 Mars 2015, 17h44

     

    0
     
     
     
     
                                                          Austin (Texas), mercredi. Cet autocollant «réservé aux blancs» a été découvert sur plusieurs devantures de commerces de la ville. Facebook/Dawnna Dukes

    «Réservé aux blancs. Cinq clients de couleur maximum. Le personnel de couleur peut entrer par l'entrée de service.» Cet autocollant a été retrouvé sur la devanture de plusieurs commerces d'Austin, la capitale du Texas. Steve Adler, le maire démocrate d'une ville plutôt à gauche dans un Etat dominé par les républicains, a exprimé sa colère vendredi à la suite de cet incident qui rappelle les heures sombres de la ségrégation aux Etats-Unis.

     

    Ces autocollants sont «un étalage répulsif d'ignorance», a-t-il réagi dans un communiqué.

    Selon le journal local Statesman, les employés de six commerces d'Austin ont trouvé ces autocollants en arrivant au travail mercredi. L'un d'entre eux a été posé, sans doute pendant la nuit, sur la devanture du Sugar Mama's Bakeshop, un magasin de gâteaux et pâtisseries, explique le quotidien.




     La représentante démocrate Dawnna Dukes, élue à la chambre basse du Texas, a publié sur Facebook la photo d'un des autocollants pour les dénoncer. Pour lui donner un caractère officiel, les auteurs lui ont adjoint les armes de la ville d'Austin ainsi que la mention d'un soi-disant «Programme contemporain de restauration et de partition», qui n'existe pas.

    «Ces autocollants n'ont pas été fabriqués par les employés, ni posés par les commerces et ont été retirés lorsqu'ils ont été découverts», souligne la mairie d'Austin dans un communiqué.

    Jusqu'à dimanche, Austin accueille le festival South by Southwest, où se produisent des musiciens, artistes et cuisiniers du monde entier. Et Sarah Goeth, co-propriétaire du magasin de vélos Windmill, où un autocollant a été retrouvé, s'est demandée dans le Statesman s'il ne pourrait pas s'agir de l'oeuvre d'un artiste.

    Le Parisien

  • Être de droite c’est soutenir Marine Le Pen et le Rassemblement Bleu Marine

     

    Marine Le Pen

    Certains esprits chagrins disent que le Front National d’aujourd’hui n’est plus de droite, mais l’homme de droite véritable que je suis sait qu’il faut, s’il n’est pas trop tard, redresser la France.

    Quels sont les combats essentiels pour tout patriote sincère ?

    Il s’agit d’abord et avant tout de sauver la France : ses traditions, son identité européenne millénaire et sa culture gréco-latine imprégnée de christianisme. Le combat prioritaire est donc contre l’immigration de peuplement en cours depuis quarante ans.

    Cette menace vitale qui pèse sur la France n’est que la conséquence de sa soumission à des intérêts étrangers, supranationaux, européens et atlantistes. Pour sauver la France, il faut restaurer l’Etat et l’indépendance nationale ; la France doit quitter le carcan de l’Union Européenne oligarchique qui brise ses défenses immunitaires. Il faut resserrer l’Etat dans ses attributions essentielles afin de le voir se retirer de celles qu’il s’est arrogé sans droit. La France a un besoin urgent d’un Etat puissant dans ses prérogatives régaliennes, un Etat stratège en somme.

    Si l’indépendance de la patrie est la première des libertés c’est parce qu’elle conditionne les autres, celles qui élèvent l’homme du statut d’individu isolé, simple objet de contrats et de relations mercantiles à celui de personne enracinée, responsable et libre au sens où elle exerce ses libertés domestiques, familiales, scolaires, sociales, professionnelles, d’expression, d’entreprise et de propriété. Voilà ce que je défends en homme de droite véritable.

    « Aujourd’hui il ne s’agit plus de témoigner mais de vaincre. »

    Les hommes de droite ne se doivent-ils pas aussi de défendre la famille, l’accueil de la vie, la protection des plus faibles ? Seule Marine Le Pen s’est engagée à revenir sur le pseudo mariage homosexuel et seuls les députés Front National au parlement européen ont voté contre la généralisation de l’avortement.

    Enfin, la fausse droite affairiste a tout trahi, elle a imposé un traité rejeté par le peuple français, imposé le regroupement familial et l’immigration de masse, a voté tous les traités européens, a rallié l’OTAN, a déstabilisé la Méditerranée etc.

    Comme ancien président des Jeunes indépendants et paysans (branche jeune du CNIP), je sais que la vraie droite a pu être incarnée par le passé par différentes figures honnêtes, mais aujourd’hui il ne s’agit plus de témoigner mais de vaincre. La droite véritable existe et elle défend l’indépendance nationale et les libertés concrètes, elle s’est donnée rendez-vous au SIEL (Souveraineté, Indépendance et Libertés), au sein du RBM. La vraie droite doit choisir le camp national qui la dépasse et qui est aujourd’hui incarné par Marine Le Pen et le Rassemblement Bleu Marine.

    Au sein du SIEL, les hommes de droite ont toute leur place et je les invite à nous y rejoindre pour mener le combat pour la victoire de la France.

    > Alexandre Cuignache est Président des Jeunes SIEL et candidat FN-RBM-SIEL dans le canton de Courtenay – Loiret (45).

    NDF

    VN:F [1.9.22_1171]
     
  • Après Béziers, Beaucaire va débaptiser la rue du 19 mars 1962

    http://www.midilibre.fr/2015/03/19/apres-beziers-beaucaire-va-debaptiser-la-rue-du-19-mars-1962,1138230.php

    Julien Sanchez est le maire FN de Beaucaire

  • VIDEO complète - Marine Le Pen veut geler le financement de toute nouvelle mosquée et France


    Marine Le Pen - 19 mars 2015 par hurraken75http://www.france24.com/fr/20150319-politique-marine-le-pen-fn-front-national-tunisie-libye-sarkozy-gel-mosquees

     

     

  • Avec nous avant qu’il ne soit trop tard ? Nous sommes prêts

    19 mars 2015

    bruno-gollnisch 

    Vingt-trois personnes dont  dix-huit touristes étrangers (deux Français sont au nombre des victimes, sept de nos compatriotes sont également blessés) ont été tués hier à Tunis (Tunisie), au musée du Bardo, dans une attaque à la kalachnikov menée par deux assaillants, mis hors d’état de nuire, Yassine Abidi et Hatem Khachnaoui. L’un d’entre eux au moins était repéré comme ayant des sympathies djihadistes. Il s’agit du premier attentat visant des étrangers dans le pays depuis la révolution de 2011 et surtout depuis celui revendiqué par Al Qaïda en avril 2002 contre une synagogue, à Djerba (sud), dans lequel avaient notamment péri quatorze Allemands et deux Français.

    La Tunisie n’en est pas moins en proie à un terrorisme larvé depuis quatre ans, -une katiba islamiste sévit à la frontière algérienne- et des milliers de jeunes Tunisiens sont partis combattre en Irak et en Syrie dans les rangs de l’Etat islamique (EI, Daech). 500 d’entre eux seraient d’ores et déjà rentrés en Tunisie. Bien évidemment la déstabilisation de la Libye voisine, livrée aux lutes intestines entre factions et aux menées sanglantes de l’EI,  est un facteur d’inquiétude supplémentaire pour la Tunisie. Nous n’avons pas fini de mesurer les conséquences catastrophiques, pour toute la région et bien au-delà,  de la liquidation du régime de Kadhafi voulue par le mauvais trio d’apprentis sorciers Sarkozy-Juppé-BHL…

     C’est le terrorisme islamiste sanglant et lâche qui inquiète légitimement les Français et non pas le FN comme le répète fébrilement et avec une haine inquiétante Manuel Valls sur tous les plateaux et les estrades.

    Une haine sans cesse ressassée dans les rangs du pouvoir, constate Bruno Gollnisch, qui favorise un climat de violence et de passage à l’acte contre les militants frontistes. Mardi matin, Marie-Francoise Lagroua, 83 ans, suppléante de Kamélia Ignatov dans le canton de Sartrouville (Yvelines), a été violemment tabassée sur la voie publique par un homme et une femme âgés d’environ 25 ans selon les témoins, qui l’ont traitée de «raciste» et menacée de mort, alors qu’elle collait des affiches pour les élections départementales.

     Les deux salauds, il n’y a pas d’autres mots, ont lâchement pris la fuite lorsqu’une institutrice est intervenue pour aider Mme Lagroua. «Nos adversaires perdent les nerfs et en viennent à commettre des voies de fait sur nos candidats, jusqu’aux plus âgés et aux plus faibles», a réagi Philippe Chevrier, Secrétaire départemental du FN dans les Yvelines.

     Un Premier ministre aux nerfs fragiles et tremblant de colère qui était hier soir à Carvin dans le Pas-de-Calais pour une réunion publique…sans réussir d’ailleurs à remplir la salle de quelques centaines de places mise à sa disposition… Dans cette nouvelle place forte  électorale de l’opposition nationale, populaire et sociale, M. Valls a de nouveau menti effrontément sur le programme frontiste, l’Europe de Bruxelles , la situation de notre  pays et a redit sa «peur» du FN.

     Même son de cloche du premier secrétaire du PS, Jean-Christophe Cambadélis, invité  hier du  Forum France Bleu-France Info. L’ex militant trotskyte rallié à la gamelle sociale-démocrate a dénoncé avec la même virulence et  les mêmes mensonges, comme il l’avait fait  le dimanche précédent sur France cinq,  «l’impunité » dont jouit « le FN ».  « Aujourd’hui, on peut dire ce que l’on veut dans l’espace public, on peut faire ce que l’on veut, être soutenu par les banques poutiniennes (sic) , détourner les fonds du Parlement européen pour financier l’ensemble de son appareil politique (resic), ça n’intéresse personne. » «Le danger, c’est l’irrésistible ascension du FN sur des thèmes qui sont perturbants pour notre démocratie, quand on voit que dans 60 départements, il y a des propos homophobes, islamophobes, racistes, antisémites qui sont prononcés, on balaye ça, d’un revers de main ».

     Certes, quant il veut bien prendre la peine d’abandonner la langue de bois, le premier sec(ré)taire du PS peut être plus lucide. Benoit Rayski  rappelait le 15 mars  sur le site Atlantico la réponse faite par M. Cambadélis au journaliste de France Inter qui expliquait que « les députés frondeurs de son parti imputaient la montée du Front National au chômage, à la crise, à la politique libérale de Valls et de Macron ». Que nenni selon  « Camba»  : « quand on fait du porte à porte, vous savez ce qu’on entend sur les immigrés ? Il y en a trop, il y en a trop, ce n’est plus possible ! ».

     Et M. Rayski de noter que « le Front National se nourrit d’un rejet de l’immigration (…).  Qui en France n’a pas entendu parler des milliards déversés sur les banlieues, de plan Marshall en politique de la ville en passant par SOS banlieues ? Et tout ça pour quoi ? Pour rien ! Dans ces coins de France choyés par la manne publique le chômage augmente bien plus qu’ailleurs (s’est-on demandé pourquoi il y avait tellement plus de sans-emploi au Mirail que dans tout autre quartier de Toulouse?). La délinquance, le trafic de drogue, les règlements de compte y ont pris des proportions effrayantes qui ne sont nullement corrélées à telle ou telle politique gouvernementale. Des années, des dizaines d’années que ça dure…».

     « Tout le monde sait que trop c’est trop. Que les dizaines de milliards engloutis dans les territoires perdus de la République sont en quelque sorte un salaire de la peur versé par les gouvernements successifs pour tenter d’amadouer des bénéficiaires prompts à l’émeute. Continuer à le faire, persévérer dans le déni du réel, nourrit une colère et un ressentiment qui ont fait du Front National le premier parti de France ».

     Alors,  c’est vrai, la caste politico-médiatique  s’abrite  souvent derrière des   formules toutes faites, met  la tête dans le sable,  se rassure à bon compte sur le FN en pariant sur sa nullité, en dressant le portait d’une formation composée de velléitaires et d’abrutis.

     Exemple parmi d’autres,  François Sapy, dans La  tribune de Lyon le  10 mars, commentait l’implication annoncée   de Bruno Gollnisch dans la campagne à venir des élections régionales en PACA.  « Bruno Gollnisch écrivait-il, a toujours été pour moi un profond mystère. Affable, cultivé, drôle même parfois, il n’en reste pas moins un type dont les idées sont insupportables. C’est avec lui que j’ai pris conscience, jeune journaliste, à quel point il ne fallait pas se fier aux faux gentils. Gollnisch, c’était un clown. Il faisait rire parfois, parce qu’il était loin du pouvoir. Je ne crois pas qu’il arrivera à diriger un exécutif comme la région PACA, parce qu’il a trop le goût de la provoc pour exercer le pouvoir ».

    M. Sapy se pique d’être un observateur, depuis de longues années, de la vie politique. Mais faire mine méconnaître ( ?) à ce point les travaux, les qualités, le sérieux, la finalité et les raisons de l’engagement  dans la vie publique de Bruno Gollnisch, attestés très largement par ses actions, ses interventions, ses écrits, ses analyses, ses réflexions en tant que président de groupe FN au Conseil régional, député européen et dirigeant du Front National, en dit très long sur l’aveuglement et les mensonges des faiseurs d’opinions.

    Cette propagande antinationale martelée quotidiennement, mais à l’efficacité très déclinante, est-elle encore en mesure de détourner nos compatriotes de l’alternative sociale, économique, identitaire, patriotique incarnée par le FN ? Un récent sondage, dont nous faisions état, montre qu’ils sont très largement satisfaits de la gestion des maires frontistes. Les Français sont désormais nombreux à vouloir juger sur pièce le FN en lui donnant les commandes de la France.  Avec nous avant qu’il  ne soit trop tard ?  Nous sommes prêts.

  • Terrorisme islamiste – De “Charlie Hebdo” à Tunis, un même donneur d’ordre ?

    sans-titre.png


    "De 'Charlie Hebdo' à Tunis, un même donneur d... par rtl-fr

     

    19/03/2015 – TUNIS (NOVOpress)
    Selon l’historien Jean-Pierre Filiu, ce sont les mêmes équipes qui sont derrière les attaques de “Charlie Hebdo” à Paris et du musée du Bardo à Tunis. Il cible le Franco-tunisien Boubaker Al-Hakim, affilié à l’État islamique.

     

  • Attaque du RER D, surtout n’en parlons pas ! (Présent 8318)

    present-chard-bis.jpg

      Tweeter

     

    19/03/2015 – PARIS (NOVOpress)
    Plus de 48 heures et un afflux de plaintes : c’est ce qu’il aura fallu attendre pour que la véritable « attaque de diligence » perpétrée dimanche par une vingtaine de « jeunes » contre une rame du RER D à Juvisy-sur-Orge, dans l’Essonne, soit enfin révélée aux Français par les médias !

    Attaque du RER D, surtout n'en parlons pas ! (Présent 8318)Nouveau « Far West »

    C’est à une scène digne du Far West qu’ont assisté, bien malgré eux, les voyageurs. Mais sans Wyatt Earp ni Wild Bill Hickok, hélas ! pour « défourailler ». Dimanche matin, vers 5 heures, une vingtaine de « jeunes » embarquent en effet à bord d’une rame arrêtée en gare de Juvisy. Très organisés, une dizaine d’entre eux monte immédiatement à l’étage, tandis que le reste de l’équipe s’occupe du rez-de-chaussée. Insultant les passagers et distribuant quelques gifles, ils extorquent téléphones portables, portefeuilles et argent liquide aux voyageurs, avant de prendre la fuite en descendant à Vigneux-sur-Seine.

    Une attaque qui n’est pas sans rappeler celle commise en mars 2013 dans un train en gare de Grigny. Qui avait d’ailleurs de quoi inspirer les voyous puisque, après avoir dévalisé une rame entière du RER, les « jeunes » impliqués n’avaient été condamnés qu’à des peines de prison avec sursis, des « avertissements solennels », une mesure de protection judiciaire ou encore 70 heures de TIG…

    Omerta

     

    A l’époque cependant, l’affaire avait fait du bruit. Or, dans le cas de Juvisy, rien. Il aura fallu attendre mardi soir pour que Le Parisien révèle ce scandale au public. Alors même que Valls était lundi dans le département. Même le maire UMP de Juvisy, Robin Reda, s’est plaint d’avoir appris la nouvelle « par la presse (…) alors qu’il existe une cellule de veille ». Et de s’interroger : « Pourquoi cette omerta ? Ça ne m’étonnerait pas que Manuel Valls ait voulu cacher le côté obscur de l’Essonne. » Il est vrai qu’à la veille de départementales qui devraient être marquées par un raz de marée FN, ni Valls ni Cazeneuve n’ont intérêt à laisser passer ces nouvelles de nature à conforter les Français dans leur choix, voire à convaincre ceux qui hésitaient encore à glisser pour de bon un bulletin FN dans l’urne.

    FRANCK DELÉTRAZ


    En partenariat avec le quotidien Présent – Chaque jour, retrouvez sur Novopress la Une du quotidien Présent ainsi qu’un article sélectionné par la rédaction et mis gratuitement à votre disposition. Seul quotidien de réinformation, Présent est unique dans le paysage médiatique français. Contribuez à abattre le mur de la bien-pensance et du médiatiquement correct, lisez et faites lire Présent ! Abonnez-vous !