Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

  • Le jour où la France se réveillera... (rediff)

    vague-1456x648.jpg

    Les Français, dans ce mouvement de libération européenne initié par le peuple russe, ont-ils encore la volonté, la lucidité et le courage d’y trouver une place ?

    1.2k
    SHARES
     
     

    Les révolutions sont un leurre ; il suffit de constater que « les fauteuils ont simplement changé de derrières », disait Giono. Car les révolutions, de toutes les couleurs, sont des utopies, négations des réalités et du bon sens, issues des raisonnements d’idéologues dogmatiques, qui finissent immanquablement dans un bain de sang. C’est la Révolution française qui a inspiré nombre de celles qui lui ont succédé dans le monde, la plus importante étant la révolution russe. La chape de plomb sous laquelle le peuple russe a vécu pendant 77 ans (une vie d’homme) a explosé en 1991, comme le couvercle d’une Cocotte-Minute sous la pression spirituelle d’un peuple qui n’avait rien renié de ses attachements profonds à son sol, à son Dieu, à son Histoire, à sa culture, à ses traditions et à la mémoire de ses ancêtres. Le président Poutine, si critiqué par la bien-pensance occidentale, ne fait que (bien) gérer le réveil de son peuple ; en témoigne sa cote de popularité supérieure à 80 % – à comparer avec celle de notre président français.

    L’esprit des Lumières, qui a inspiré la Révolution française, me semble tout entier être inscrit dans ces phrases de Montesquieu : « Aujourd’hui, nous recevons trois éducations différentes ou contraires : celle de nos pères, celle de nos maîtres, celle du monde. Ce qu’on nous dit dans la dernière renverse toutes les idées des premières. » Ce renversement des valeurs n’aura pas échappé à nos gouvernants « démocrates » et « républicains » pour réaliser combien il était facile de manipuler une masse d’individus plutôt que de diriger un peuple fier de ses origines, de sa terre et de ses traditions. Ce concept « lumineux » aura conduit à la mondialisation (consistant à concentrer les moyens de production pour en diminuer les coûts) qui n’aura, elle-même, abouti qu’à créer, à force de délocalisations pour sans cesse trouver une main-d’œuvre moins chère, un conglomérat de nouveaux esclaves se donnant à bas coût pour survivre. Le mondialisme, l’idéologie de la mondialisation, a pu ainsi instaurer le règne de la quantité et de l’uniformité, trouvant (inconsciemment ?) dans le « terrorisme » (concept vague qui dispense de désigner l’ennemi) un allié objectif pour détruire à bon compte les dernières résistances liées au monde de la tradition.

    Les Français, dans ce mouvement de libération européenne initié par le peuple russe, ont-ils encore la volonté, la lucidité et le courage d’y trouver une place ? Sont-ils encore en mesure de revenir à des comportements de bon sens qui incluent de retrouver leur fierté, leur dignité, l’amour de leur terre, de leurs pères, de leurs frères ? De se remettre à l’œuvre pour redresser leur pays si profondément saccagé par des décennies de mensonges, de folies, de cupidité, de mépris, de veulerie ? Certains frémissements récents pourraient laisser penser que tout n’est pas perdu et que, un jour peut-être plus proche que nous le pensons, la France se réveillera.

     
    BOULEVARD VOLTAIRE
  • Florian Philippot sur Politique Matin du 23 mars 2015


    Politique Matin : La matinale du lundi 23 mars... par LCP

     

    Florian Philippot, Vice-Président du Front National, était l’invité de LCP.
    Autres participants : Marie-George Buffet, députée PS de Seine-Saint-Denis, Roger Karoutchi, sénateur UMP des Hauts-de-Seine, et Carlos Da Silva, député PS de l’Essonne.

  • Front National, premier parti de France!

    timthumb.jpg

    (augmenter le niveau du zoom)

  • Une raclée mémorable !

    fessee-e1425416507464.jpg raclée.jpg

    En dépit du déni du Premier ministre qui s’est félicité de l’efficacité de sa campagne hystérique, le PS a bien pris la raclée mémorable attendue.

    Satiriste polémiste
     
    1.3k
    SHARES
     
     

    Tous les observateurs s’attendaient à une rude soirée pour le PS, et la fébrilité quasi pathologique de Manuel Valls depuis trois semaines laissait penser que les sondages non publiés devaient être aussi mauvais que ceux annoncés. Ils n’ont pas été déçus car en dépit du déni du Premier ministre qui s’est félicité de l’efficacité de sa campagne hystérique, le PS a bien pris la raclée mémorable attendue.

    Si l’on s’en tient à ces moyennes nationales de 21 % des voix pour le PS et de 35 % des voix pour le bloc de gauche mises en avant par les médias, le bilan de la soirée est déjà sévère. En effet, comme le décompte du ministère de l’Intérieur englobe dans cette moyenne tout un tas de binômes divers gauche, le score du PS seul est, en vérité, bien inférieur à 20 % et le bloc de gauche ne représente plus qu’un tiers des Français contre plus de la moitié lors des scrutins précédents.

    Mais, c’est surtout en termes de conséquences sur le nombre d’élus dimanche prochain que ce résultat doit être analysé. Compte tenu du mode de scrutin qui ne qualifie pour le second tour que les deux binômes arrivés en tête ou les candidats ayant recueilli le suffrage de plus de 12,5 % des inscrits, le PS se trouve d’ors et déjà éliminé dans près de la moitié des 2.054 cantons en jeu. À l’issue de ce premier tour, il ne peut guère espérer conserver plus d’une vingtaine de départements sur les 60 qu’il détient actuellement, et les Français peuvent fort bien encore saler l’addition dimanche prochain. La déculottée du jour est sévère, mais celle du 29 mars pourrait être historique. Elle devrait être d’une ampleur bien supérieure aux deux précédentes, à savoir que les élections municipales de mars 2014 avaient valu à la gauche l’élimination de dizaine de milliers de conseillers avec, pour conséquence, la perte de 21 sièges de sénateurs 6 mois plus tard, et les élections européennes du mois de mai dernier, où le bloc PS-EELV avait perdu un tiers de ses sièges, passant de 28 à 19 représentants à Strasbourg, tandis que le FN passait de 3 à 24 députés.

    Alors, bien sûr, ce résultat ne va rien changer dans l’immédiat. Les institutions non élues et non démocratiques comme la Commission européenne, la Cour européenne des droits de l’homme, le Conseil constitutionnel, les médias et les créanciers de la France, vont continuer à diriger notre pays comme avant. François Hollande ne modifiera ni sa façon d’être ni sa politique et Manuel Valls restera peut-être même à son poste pour continuer à menacer la France et les Français au nom des valeurs de la République.

    Qu’importe, nul ne peut plus aujourd’hui ignorer que le pouvoir exécutif et législatif n’a plus la moindre représentativité et, par conséquent, plus la moindre légitimité. Les Français savent qu’ils sont, eux, la légitimité et s’ils se contentent de cette insurrection électorale, s’ils laissent ces gens saccager encore quelque temps notre grande nation alors que la moindre des dignités eût été de démissionner en bloc par respect pour la démocratie et pour la France, c’est uniquement parce qu’ils devinent l’extrême dangerosité de l’animal blessé. La sagesse commande de le laisser encore s’épuiser avant de porter le coup de grâce.

     
    BOULEVARD VOLTAIRE

     

  • Essonne : dix-huit jeunes arrêtés avec des armes. Tous relâchés !

    18h41

    Dix-huit jeunes ont été interpellés dans la nuit de samedi à dimanche à Savigny-sur-Orge (Essonne). Dans le coffre des trois voitures de cette bande, qui voulait en découdre a priori avec une cité voisine, les policiers ont trouvé des cocktail Molotov, des barres de fer, des battes de baseball, des matraques, des marteaux et des cagoules. Ils ont tous été relâchés ce dimanche soir, vers 17 h 30, mais l’enquête suit son cours…

    Samedi, vers 22 heures, un policier municipal est alerté par le comportement de plusieurs jeunes occupés à charger en urgence les coffres des voitures. Les policiers ont alors convergé pour encercler l’équipage. A l’ouverture des coffres, les soupçons se sont confirmés. Les mis en cause, âgés de 18 à 20 ans, ont été placés en garde à vue aux commissariats d’Athis-Mons, Juvisy-sur-Orge et Savigny-sur-Orge, «pour éviter toute concertation entre eux», indique une source proche de l’enquête.

  • Départementales : « Le FN est le grand vainqueur de ces élections » (Vidéo/L’Express)

    23h37

    Contrairement a ce qu’on dit beaucoup d’hommes politiques, comme Manuel Valls, le FN est bien le grand vainqueur du premier tour de ces élections départementales. Jamais le Front national n’a obtenu un tel score lors d’élections locales. L’analyse de Michel Feltin-Palas, rédacteur en chef à L’Express.

  • Vaucluse: le FN confirme ses ambitions. L'UMP rayée de la carte

    La vague FN

    Le FN présent dans 17 cantons sur 17. Joris Hébrard, l’ex-maire frontiste du Pontet est élu au premier tour. Que dire ? Que le taux de participation qui s’annonçait faible s’est révélé plus important que prévu, laissant la place à sept triangulaires. Dire aussi que l'ordre d'arrivée des candidats n’est plus le produit d'un combat de personnalités locales mais une véritable bataille politique où l’extrême droite s’impose, une nouvelle fois comme la première force politique de ce département. A la permanence frontiste de Carpentras, salve d’applaudissements, acclamations...

    Toutes les attentions se portent sur Marion Maréchal-Le Pen qui analyse les résultats du département "tout à fait admirables". Y compris à Orange et Bollène, les deux fiefs gardés par la Ligue du Sud, anciens alliés naturels des frontistes. Mais ce sera tout. Ailleurs, la Ligue du Sud n’aura pas réussi à gêner le FN.

    Et dans ce département où la porosité est toujours plus croissante entre des électorats de droite, ce dimanche soir, l’UMP est portée disparue. C’est la défaite morale et tactique. Elle se qualifie dans neuf cantons mais choisissant la théorie du chaos par le jeu de la division dans les trois cantons d’Avignon, elle ne se qualifie pas pour le second tour. Alain Dufaut, le sénateur fraîchement réelu vient de perdre son seul et unique mandat local qu’il conservait depuis 1982. Jean-Michel Ferrand, le patron de la fédération UMP se retrouve désormais sans mandat. La majorité départementale à la tête du département depuis 2001 résiste bien, notamment à Avignon, et reste en compétition pour le second tour dans douze cantons.

    Dans la cité des Papes, la gauche affrontera le Front national dans des duels. Ailleurs, elle devra composer avec des triangulaires qui ne lui seront pas toujours favorables. Le seul échoué au soir de ce premier tour est Michel Fuillet, sur le canton de l’Isle, l’un des rares où la gauche partait divisée.

    LA PROVENCE

  • Le FN en tête dans une quarantaine de départements

    4626619_236-338729-01-02_625x390.jpg

    http://www.leparisien.fr/une/en-direct-elections-departementales-2015-tous-les-resultats-a-partir-de-20-heures-22-03-2015-4626085.php

  • VIDEO - Stéphane Ravier: "Les scores sont bons pour l'ensemble des Bouches-du-Rhône"


    Elections - Marseille : Ravier (FN) satisfait... par LaProvence

  • Totalisation des voix à 23h

    Capture.PNG Totalisation des voix.PNG

  • Var: le FN présent dans tous les cantons au second tour

    http://www.leparisien.fr/politique/departementales-dans-le-var-le-fn-present-dans-tous-les-cantons-au-second-tour-22-03-2015-4626709.php