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  • Le vote FN dans le Nivernais et le Morvan

    Par le 27/03/2015

    13h15

    A trois jours du second tour des élections départementales, une équipe de TF1 s’est rendue dans la Nièvre, terre de gauche où la poussée du parti d’extrême-droite s’est confimée le week-end dernier. La plupart des électeurs expriment leur ras-le-bol.

  • Nicolas Sarkozy : «Avec Marine Le Pen, c’est physique! Je la déteste…»

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    19h03

    On le sait, Nicolas Sarkozy peut avoir le verbe dur en privé sur les dirigeants politiques. Et en ce moment, Marine Le Pen serait sa cible privilégiée, si l’on en croit un écho du Point. Il avait déjà raillé son physique de «déménageur» et désormais, il critique sa voix de «soudard». «Cette voix éraillée… On dirait un soudard!» dit-il.

     

    Et contrairement à la règle tacite des cours d’école «pas le physique», l’ex-président déclare: «Je revendique le délit de sale gueule. Avec son père, c’était différent. Marine Le Pen, c’est son père, la culture en moins.» Et même d’insister: «Avec Marine Le Pen, c’est physique! Je la déteste… Elle est épaisse.» [...]

    20 Minutes

    FDS

  • Italie : Des enfants handicapés expulsés pour loger des clandestins nigérians

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    27/03/2015 – SAVONE (NOVOpress)
    Une fois n’est pas coutume, c’est un curé qui se met à dénoncer le débarquement sans fin des « réfugiés » et à expliquer que les gens n’en peuvent plus. Le curé de San Dalmazio, à Lavagnola, dans la ville de Savone en Ligurie, l’abbé Giovanni Lupino, était, il y a peu encore, un chaud partisan de « l’accueil ». Il se faisait gloire d’avoir recruté pour son église un sacristain musulman, Abdel Majid, avec lequel il avait organisé « un tournoi de foot du cœur », entre immigrés tunisiens de Lampedusa et autochtones, « pour faire comprendre que Lavagnola était prête à accueillir les amis étrangers ».

    L’abbé Lupino a pourtant écrit au préfet, il y a quinze jours, pour se plaindre de la situation insupportable faite à sa paroisse, « qui a dû accueillir, de force, deux couples de Nigérians ». N’ayant reçu aucune réponse, il a transmis sa lettre à Il Secolo XIX, le grand quotidien régional, qui en publie les principaux passages.

    Les « réfugiés » avaient été confiés à la coopérative « Il Faggio », une des nombreuses organisations dites « charitables » qui se partagent le juteux business de « l’accueil » en Italie – on a pu parler à ce propos d’ « un véritable marché de la chair humaine ». Cette coopérative a passé une convention avec la préfecture de Savone, aux termes de laquelle elle loge les « réfugiés » et leur assure « des services spécifiques pour l’intégration, dont le soutien socio-psychologique, l’assistance linguistique et culturelle, l’assistance sanitaire, les services d’information légale et d’orientation sur le territoire ». 14 « médiateurs interculturels » sont salariés pour cela.

    La coopérative « Il Faggio » était censée loger les Nigérians dans un de ses centres d’accueil de la province, à Cairo Montenotte. Mais le maire (de gauche) « a refusé d’accueillir de nouveaux immigrés, en raison de la présence déjà massive d’étrangers, envoyés par la préfecture lors des différents débarquements » sur les côtes italiennes. Les Nigérians ont donc été installés « provisoirement » au presbytère de San Dalmazio, dans un logement prévu pour les mineurs handicapés. Comme il était à prévoir, ce provisoire est en passe de devenir permanent, d’autant plus que les femmes nigérianes sont toutes les deux enceintes – c’est leur manière habituelle de prendre possession d’un territoire.

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  • Alain de Benoist. « Le FN aurait tout intérêt à abandonner ses positions jacobines » [entretien exclusif]

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    Breizh-info.com : Que vous inspirent les résultats du premier tour des élections départementales en France ?

    Alain de Benoist : Il n’y a pas beaucoup de choses à dire. Le PS limite la casse, mais reste le grand perdant du scrutin (il est éliminé dans plus de 500 cantons et a d’ores et déjà perdu plusieurs de ses bastions historiques). L’UMP et ses alliés obtiennent de bons résultats, qui vont se confirmer au second tour. Le FN n’atteint pas les 30 % dont le créditaient les sondages, mais n’en réalise pas moins, avec plus de 25 % des suffrages, un score sans précédent, supérieur de 11 points aux cantonales de 2011. Il confirme son implantation locale, arrive en tête dans 43 départements (sur 102) et se qualifie pour le second tour dans plus de la moitié des cantons. Qu’il soit désormais le premier parti de France, ou seulement le second, n’a qu’un intérêt secondaire.

    Le fait important est que ce scrutin confirme la disparition du bipartisme au profit du tripartisme. C’est un fait essentiel, notamment dans la perspective de l’élection présidentielle. Jusqu’à présent, les deux grands partis de la classe dirigeante étaient assurés de se retrouver et de s’affronter au second tour. Ce n’est plus le cas. Si Marine Le Pen accède au second tour, l’un des deux autres n’y sera pas. Il leur faut donc modifier complètement leur tactique.

    J’ajouterai que le tripartisme actuel pourrait bien à terme céder la place à un autre. L’UMP englobe aujourd’hui deux partis différents : un parti centriste libéral et un parti souverainiste. Même situation au PS, où l’on retrouve également un parti centriste libéral, associé à un parti social-démocrate. Il ne me paraît impossible que les deux partis centristes libéraux finissent à terme par fusionner, tandis les souverainistes de l’UMP rejoindraient le FN, les sociaux-démocrates du PS s’agrégeant de leur côté à un nouveau bloc « de gauche ». On y gagnerait en logique et en clarté.

    Breizh-info.com :  La stratégie de dédiabolisation entamée par le FN était-t-elle finalement utile ? En Bretagne, le parti cherche à s’implanter durablement avec pourtant un discours très centralisateur, très jacobin . N’est-ce pas voué à l’échec dans une terre aussi résistante au centralisme ?

    Alain de Benoist : L’époque de la diabolisation du FN est terminée. Personne n’y croit plus. C’est l’une des raisons pour lesquelles le parti de Marine Le Pen commence à s’enraciner dans des régions qui lui étaient auparavant plutôt inhospitalières.
    Cela vaut aussi pour la Bretagne, comme en témoigne l’exemple des Côtes-d’Armor. Je ne doute pas de l’hostilité des Bretons au centralisme, mais je ne suis pas sûr qu’aujourd’hui cette préoccupation l’emporte chez eux sur celles qui sont liées à l’immigration et au chômage.

    Cela dit, je suis de ceux qui trouvent détestables les positions jacobines, « nationales-républicaines » et « anti-communautaristes » du Front national.

    Le FN aurait à mon avis tout intérêt à les abandonner, mais il ne faut pas se faire d’illusions : le régionalisme n’est pas dans son logiciel.

    Breizh-info.com :  Comment voyez-vous l’évolution de la France dans les années à venir ? 

    Alain de Benoist : Je ne fais pas profession de lire l’avenir. La France est aujourd’hui un pays fatigué, démoralisé, comme vidé de son énergie. Les gens ne font confiance à personne et doutent de tout. Crise morale, dissolution des repères, disparition des liens qui libèrent, extinction des grandes passions collectives – on vit dans la misère spirituelle et matérielle, affective et sociale, mais sous l’horizon de la fatalité.

    Eclatent parfois des colères, mais qui ne durent pas et ne n’assortissent d’aucun véritable projet politique ou idéologique. J’ai eu l’occasion d’écrire récemment qu’il n’y a de perspective révolutionnaire que lorsqu’une reconstruction idéologique radicale rencontre un mouvement social réel. Il me semble qu’on en est encore loin. Tout ce que l’on peut constater, c’est la désagrégation progressive de tous les cadres institutionnels que nous a légués la modernité.

    Comme nous vivons à l’heure actuelle dans une ère de transition, l’histoire reste plus que jamais ouverte. Mon sentiment est que les choses ne bougeront vraiment en France que sous l’effet d’événement graves qui se dérouleront à une échelle bien supérieure à celle du cadre national. Et que ces événements seront d’une nature très différente que ce dont on parle aujourd’hui le plus.

    Breizh-info.com :   L’acharnement de Manuel Valls contre une partie du peuple Français est-il le syndrôme d’une disparition programmée du PS ? Ou bien du basculement vers un totalitarisme de moins en moins caché ?

    Alain de Benoist : N’exagérons rien. A moins qu’il ne soit atteint de façon précoce d’une maladie neurologique, Manuel Valls s’agite dans le vide. En multipliant les coups de menton mussoliniens sur fond de gestuelle empruntée à Louis de Funès, il se rend tout simplement ridicule. Sa seule préoccupation, c’est d’être candidat à la présidentielle de 2017, de faire en sorte que le PS accède au second tour et, quoi qu’il en dise, que le FN y soit aussi.

    Breizh-info.com : Le mot « république » est omniprésent, dans tous les partis politiques. Qu’est-ce-que la République Française et ses fondements ? La démocratie ne doit-t-elle pas triompher de la République ?

    Alain de Benoist :  Si le mot « république » est omniprésent, c’est qu’il ne veut plus rien dire. La classe dirigeante nous rebat les oreilles à propos des « valeurs républicaines », mais il n’y a pas de valeurs républicaines, il n’y a que des principes républicains. Encore faudrait-il préciser de quelle République on se réclame. De la Ière, celle de la loi des suspects, de la Terreur et du génocide vendéen ? De la IIIe, celle de la colonisation des « races inférieures » patronnée par Jules Ferry et les tenants de l’idéologie du progrès ? De la IVe, restée célèbre par son instabilité ?

    Je trouve pour ma part révélateur que la classe dirigeante préfère évoquer des « valeurs républicaines » plutôt que les valeurs démocratiques. Les premières renvoient principalement à l’Etat, tandis que les secondes privilégient le peuple (souveraineté étatique et souveraineté populaire ne sont pas la même chose).

    Or, le fossé séparant les peuples des élites mondialisées ne cesse de se creuser. Le peuple rejette spontanément les mots d’ordre de la Nouvelle Classe. La Nouvelle Classe se méfie du peuple, qui pense mal et ne vote jamais comme on lui dit de le faire. D’où les critiques contre le « populisme », manière élégante d’avouer qu’on méprise le peuple et qu’on aspire par-dessus tout à gouverner sans lui.

    Crédit photo : DR
    [cc] Breizh-info.com, 2015, dépêches libres de copie et diffusion sous réserve de mention de la source d’origine.

    (merci à Dirk)

  • "Avec la technologie des drones, la catastrophe de l'A320 de Germanwings ne serait pas arrivée"

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    27/03/15 à 10:33 - Mise à jour à 10:33

    Source : Le Vif

    "Si les avions de ligne étaient équipés des mêmes avancées technologiques que les drones, la catastrophe survenue avec l'Airbus A320 de Germanwings dans les Alpes ne serait pas arrivée", affirme Emmanuel Prévinaire, le patron de la société liégeoise de renommée internationale Flying Cam, spécialisée dans la prise d'images au départ de drones.

     

    © Belga

    Les technologies de pointe qui équipent ces petits engins sans pilotes permettent, en effet, de prendre le contrôle de l'appareil de l'extérieur. "Si l'Airbus A 320 avait été équipé de la sorte, dès que sa descente anormale aurait été remarquée par les contrôleurs aériens, ceux-ci auraient pu prendre le contrôle de l'avion et l'empêcher de s'écraser contre la montagne", assure ce chef d'entreprise.

    Selon lui, les drones évoluent bien plus rapidement que les avions de ligne d'un point de vue technologique, car chaque changement d'équipement impose une nouvelle certification aux grands appareils, ce qui freine leur évolution.

  • Le copilote était en arrêt maladie le jour de l'accident

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    27/03/15 à 14:40 - Mise à jour à 14:40

    Source : Belga

    Le copilote de l'Airbus A320 de Germanwings, soupçonné d'avoir volontairement provoqué le crash de l'appareil dans les Alpes françaises, a caché qu'il faisait l'objet d'un arrêt maladie le jour de l'accident, a annoncé vendredi le Parquet de Düsseldorf (ouest).

     

    © Reuters

    Les enquêteurs ont retrouvé chez lui des formulaires d'"arrêts maladie détaillés, déchirés" et qui concernaient aussi "le jour des faits", a affirmé le Parquet dans un communiqué, sans préciser la nature de la "maladie" du jeune homme.

    Ces documents viennent "appuyer la thèse" selon laquelle Andreas Lubitz, 27 ans, "a caché sa maladie à son employeur (la compagnie aérienne Germanwings) et à son environnement professionnel", selon le Parquet.

    Les documents retrouvés attestent d'une "maladie existante et de traitements médicaux correspondants", selon la même source.

    En revanche, aucune lettre d'adieux ou courrier annonçant un acte prémédité n'a été découvert. La presse allemande a révélé vendredi que le copilote, présenté comme sportif et "très compétent" par ses proches, avait souffert d'une grave dépression durant sa formation de pilote, il y a six ans.

    Il avait d'ailleurs interrompu son apprentissage "durant un certain temps", avait indiqué jeudi le patron de la Lufthansa (maison-mère de Germanwings), Carsten Spohr. Ce dernier avait précisé jeudi ne pas avoir le droit de révéler les raisons de cette interruption.

    Des perquisitions ont été menées jeudi aux deux domiciles de M. Lubitz, à Düsseldorf (ouest) et à Montabaur, une petite ville entre Francfort et Düsseldorf, où il vivait une partie du temps chez ses parents.

    L'Airbus A320 de Germanwings, qui devait relier Barcelone à Düsseldorf, s'est écrasé mardi dans les Alpes françaises, tuant 150 personnes, dont Andreas Lubitz.

  • Mohammed : un prénom de plus en plus choisi à Paris

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    26/03/2015 – PARIS (NOVOpress)
    Mohammed, le prénom qui monte à Paris intra-muros.

    Loin de la légende urbaine qui voudrait que les Français d’origine immigrée ne soient cantonnés que dans les banlieues, la révélation de la mairie de Paris nous renseigne sur la popularité du prénom Mohammed, cher à la communauté musulmane dans les maternités de la capitale.

    Absent jusqu’en 2012, il arrive en 9ème position en 2013 et gagne une nouvelle place en 2014.

    Comme en 2013, le prénom Gabriel est talonné de très près par celui d’Adam, en référence au premier homme, attribué 344 fois en 2014. L’archange Raphaël, donné 316 fois, se hisse quant à lui à la troisième place. Louis (301), Paul (269), Arthur (255), Victor (208), Mohamed (199), Alexandre (198), et Maxime (174) s’inscrivent également dans le top 10 des prénoms masculins.

     

  • " Andreas Lubitz n'était pas capable d'une chose pareille" selon un proche

    par Blandine Milcent , Benjamin Huepublié le 26/03/2015 à 14:14

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    Dans l'enquête sur le crash de l'Airbus A320 de la compagnie Germanwings qui a coûté la vie à 150 personnes mardi, tous les regards sont désormais braqués sur un nom, celui d'Andreas Lubitz. Le procureur de la République de Marseille a confirmé les informations de RTL selon lesquelles le copilote du vol 4U9525 était aux commandes de l'appareil lorsqu'il s'est écrasé dans les Alpes-de-Haute-Provence. Âgé de 28 ans, de nationalité allemande, il n'était pas répertorié comme terroriste et était sorti du centre de formation de pilotes de la compagnie Lufthansa, à Brême, avant d'intégrer sa filiale à bas coûts, Germanwings. Il comptait 630 heures de vol à son actif et "était parfaitement capable de piloter l'Airbus A320 seul", selon le procureur.

    "Il n'avait pas de problème"

    Né à Montabaur, où il résidait toujours, il faisait partie du LSC Westerwald, un club de vol de la commune de Rhénanie-Palatinat. Peter Ruecker l'avait côtoyé dans ce cadre. Il n'arrive pas à croire son ami capable des actes dont il est aujourd'hui tenu pour responsable. "Il avait fait sa formation de vol dans le club depuis sa plus tendre jeunesse. C'était un jeune très calme et très précis. Il a passé son bac ici, à Montabaur. C'était un jeune homme tout à fait normal. Il était très content d'avoir ce job. Il était satisfait et heureux. Il avait atteint son rêve. De pilote amateur, il était passé professionnel. Il n'avait pas de problème. je ne le crois pas capable d'une chose pareille" 

    Une volonté de détruire l'appareil

    Selon les informations révélées par le procureur de la République de Marseille, ce jeudi, Andreas Lubitz s'est enfermé dans la cabine de pilotage et n'a pas répondu aux appels du commandant de bord, coincé à l'extérieur. Il a ensuite actionné volontairement les commandes de l'avion pour enclencher la descente et lui faire perdre de l'altitude, dans une action qui s'apparente à "une volonté de détruire l'appareil". Avant les révélations du procureur de la République, le LSC Westerwald avait publié des condoléances sur son site internet. "Andreas est devenu membre du club pour accomplir son rêve de voler. Il a accompli son rêve, mais l'a payé chèrement", affirme le club.

    RTL

  • Le vol Germanwings AU 9525 victime de manoeuvres militaires américaines ?

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    Un crash inexplicable

    Selon certaines sources, le vol Germanwings  AU 9525 pourrait avoir été victime de manoeuvres militaires américaines par US Air Forces 510th Fighter Squadron basé à Aviano en Italie avec utilisation de leur système HELLADS (High Energy Liquid Laser Area Défense System). 

    Le 3 mars un Airbus A321 du vol Lufthansa LH1172 subit un sort comparable au AU9525. Le commandant fit un atterissage à Nantes, prétextant une urgence médicale. Qui se révéla fausse. 
     
    La boîte noire du AU 9525 aurait livré quelques informations, retenues pour recherche d’informations complémentaires. Une affaire qui a des points de ressemblance avec celle du MH017 tombé en Ukraine le 19 juillet 2014.