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  • L’UMP maintient la subvention de 2,5 millions pour la mosquée de Tours, décidée par Jean Germain (PS) suicidé aujourd’hui

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    21h40

    Alors que l’ancien maire socialiste de Tours  vient de se suicider pour échapper à son procès dans l’affaire des mariages chinois, nous rappelons son projet de Grande Mosquée soutenu aujourd’hui par l’UMP.

     

    « Fin 2013, malgré le fort endettement, le maire Jean Germain a annoncé une subvention de 2,5 millions d’euros, en coopération avec la région, censée alimenter les activités culturelles et non cultuelles de la mosquée. L’arrivée d’un maire UMP, Serge Barbary, n’indique aucun revirement. Selon Chérifa Zazoua-Khames, adjointe au nouveau maire UMP en charge de la politique de la ville : « la subvention a été décidée en accord avec Philippe Briand, président UMP de la communauté d’agglomération et sera sans doute maintenue »

    (…) Islamisation.fr

    FDS

  • La République, Pétain, le «monde blanc», Valls : Jean-Marie Le Pen dérape encore

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    LE SCAN POLITIQUE/VIDÉO -Le président d'honneur a accordé une interview à Rivarol, un hebdomadaire d'extrême-droite. Un condensé de prises de positions sulfureuses, loin de l'image dédiabolisée que cherche à entretenir sa fille.

     

    Sa sortie, jeudi, sur la Shoah (une nouvelle fois considérée comme «un détail de l'histoire») n'était donc qu'une première étape vers une autre interview qui devrait être bien plus commentée. Jeudi, l'hebdomadaire d'extrême droite Rivarol publiera une longue interview de Jean-Marie Le Pen. Le président d'honneur du Front national se lâche sur plusieurs domaines, une nouvelle fois à rebours de la ligne politique de sa fille.

    ● Pétainisme

    Jeudi, il assurait à BFM-TV et RMC qu'il y a au sein du Front national «d'ardents pétainistes». Dans Rivarol, il ajoute: «J'ai toujours oeuvré à la réconciliation des Français. (...) Pour ma part, comme je l'ai déjà dit, je n'ai jamais considéré le maréchal Pétain comme un traître. L'on a été très sévère avec lui à la Libération. Et je n'ai jamais considéré comme de mauvais Français ou des gens infréquentables ceux qui ont conservé de l'estime pour le Maréchal». «Selon moi ils ont leur place au Front national comme l'ont les défenseurs de l'Algérie française, mais aussi les gaullistes, les anciens communistes et tous les patriotes qui ont la France au coeur», explique le fondateur du FN.

    ● La shoah

    Jean-Marie Le Pen revient sur la polémique réouverte jeudi suite à ses propos sur la Shoah, toujours considéré à ses yeux comme «un détail de l'histoire». Des propos condamnés par les ténors du FN. «L'on est jamais trahi que par les siens», s'agace-t-il. «Je ne suis pas homme à changer d'avis ni à ramper», lance Jean-Marie Le Pen qui tient ces propos sur l'Holocauste depuis 1987. «J'ai sur cette question une opinion que je crois justifiée. Ceux qui s'appuient sur ce genre d'opérations pour porter jugement ont le plus grand tort. J'ai cessé de marcher à quatre pattes depuis l'âge de 18 mois. Je ne suis pas l'homo a plat ventrus», explique l'eurodéputé.

    ● Les homosexuels

    Interrogé sur la présence d'homosexuels dans son mouvement, le président d'honneur confirme: «Il se trouve qu'il y a en effet un assez grand nombre d'homosexuels au FN, comme il y en a d'ailleurs dans les autres partis, et ceci pour une raison somme toute assez simple: c'est que ce sont des gens qui sont beaucoup plus libres de leur temps que d'autres». L'octogénaire poursuit: «En général ils n'ont pas de responsabilités familiales. Et donc ils sont beaucoup plus disponibles. Comme de surcroît ils ont le sentiment d'être un peu en marge de la société, ils ont tendance à se regrouper, même s'ils se détestent les uns les autres. Ils forment une communauté.»

    «Je crois que l'origine politique de certains actuels dirigeants du Front a plus d'importance que leur comportement personnel», nuance-t-il. Et d'adresser un tacle au vice-président du FN, Florian Philippot, ancien chevènementiste: «Je pense à l'influence nocive d'un homme que je trouve pour ma part tout à fait détestable: Jean-Pierre Chevènement. Il a les apparences d'un patriote alors qu'il est au fond un marxiste. L'influence chevènementiste, si elle continue de s'exercer, est nuisible».

    ● Le «monde blanc»

    Le fondateur du FN appelle à se rapprocher de la Russie «pour sauver l'Europe boréale et le monde blanc». «L'Europe boréale intègre les Slaves mais aussi la Sibérie donc je crains que les Russes puissent la garder seuls». S'il aborde l'immigration musulmane, Jean-Marie Le Pen juge que la menace vient aussi d'Asie: «Il y a un million de Chinois en France. Ce sont des gens intelligents, actifs, discrets mais néanmoins puissants et redoutables», lance-t-il.

    ●«Nous sommes gouvernés par des immigrés»

    «Nous sommes gouvernés par des immigrés et des enfants d'immigrés à tous les niveaux», déplore Jean-Marie Le Pen. Premier ciblé: Manuel Valls. «Valls est Français depuis trente ans, moi je suis Français depuis mille ans. Quel est l'attachement réel de Valls à la France? Cet immigré a-t-il changé du tout au tout? Qu'a-t-il apporté à notre pays? (…) Valls n'est pas un caballero, c'est un très petit monsieur. Le président d'honneur du FN vise également des députés UMP du sud de la France: «Estrosi et Ciotti à Nice, Mariani, ce sont des gens dont les parents étaient italiens…», pointe-t-il.

    ● La République

    Jean-Marie Le Pen s'agace des multiples références à la République faites par Manuel Valls. «Ils commencent à me gonfler tous avec la République! Je ne suis pas royaliste mais cette référence n'est faite d'évidence que pour gommer la référence à la nation», lance-t-il.

    ●Candidature aux régionales

    Dès jeudi, ses propos sur la Shoah ont remis en cause la légitimité de sa candidature aux élections régionales dans la région Provence-Alpes-Côte d'Azur. A Rivarol, il dit vouloir conserver la tête de liste: «Je suis candidat tête de liste pour mettre à la porte les socialo-communistes. Je rappelle que j'ai fait aux dernières élections européennes, il y a moins d'un an, plus de 33 % des voix dans la région PACA». En cas de victoire du Front national, il assure qu'il briguera bien la présidence de la région.


    Comment Jean-Marie Le Pen a pris le FN de court

    Après la polémique suscitée par ses propos sur les chambres à gaz, Jean-Marie Le Pen, recadré par son parti, a voulu frapper fort et montrer son indépendance vis-à-vis de l'appareil du Front national. L'interview-choc qu'il livre à Rivarol a donc été préparée en catimini par le président d'honneur du FN.

    «Seul son majordome et sa femme (Jany Le Pen, ndlr) étaient au courant», confie au Scan le directeur de la publication Jérôme Bourbon, qui se dit lui-même «étonné» par le caractère «sulfureux» de l'interview. Même son directeur de cabinet, lui aussi contacté, n'était pas informé de l'interview au moment où Rivarol communiquait dessus. «Maintenant, il fait ça en cachette», s'agace-t-on à la direction du FN.

    L'interview, menée par l'ancien député FN Robert Spieler, qui a quitté le parti en 1989, s'est déroulée en deux temps: une rencontre dans l'entre-deux-tours des départementales à Montretout, puis un entretien par téléphone après les propos de Jean-Marie Le Pen sur les chambres à gaz. Selon Rivarol, l'interview a été relue et validée ce mardi matin par le fondateur du FN.

    LE FIGARO

  • Galeries Lafayette : la nouvelle affiche choc de Robert Ménard

     

    07 Avril 2015, 18h23 | MAJ : 07 Avril 2015, 19h51

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    Robert Ménard, maire de Béziers soutenu par le FN, a entrepris mardi une campagne d'affichage dans sa ville pour dénoncer l'attitude de Ginette Moulin, propriétaire des Galeries Lafayette, dont le magasin va fermer dans la cité bitteroise. Robert Ménard, maire de Béziers soutenu par le FN, a entrepris mardi une campagne d'affichage dans sa ville pour dénoncer l'attitude de Ginette Moulin, propriétaire des Galeries Lafayette, dont le magasin va fermer dans la cité bitteroise. DR

    «Cette femme possède deux milliards d'euros mais elle en veut encore plus!», «2015: elle ferme son magasin de Béziers... 2016: elle en ouvre un au Qatar», «Galeries Lafayette: Le fric vit plus fort» : voici les slogans que les habitants de Béziers ont découvert ce mardi sur 130 affiches placardées partout en ville, autour d'un portrait peu flatteur de Ginette Moulin, propriétaire des Galeries Lafayette, dont le magasin va fermer dans la cité bitteroise.

     

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    A l'origine de cette campagne d'affichage, nul autre que le maire de Béziers soutenu par le FN, Robert Ménard.

    Alors que le groupe Galeries Lafayette a en effet fait part de sa volonté de fermer son magasin bitterois qui est dans une «situation financière précaire» et qui enregistre «des pertes récurrentes» depuis 5 ans, Robert Ménard a lancé cette campagne ce mardi lors d'une conférence de presse : il a également  menacé de prendre d'autres mesures de rétorsions, son «imagination étant sans limite». En novembre dernier le maire avait déjà annoncé le rachat par la mairie des murs du grand magasin, pour 2,3 millions d'euros, afin d'«éviter que n'importe quoi soit fait» si la fermeture venait à se confirmer.



    Ménard et les affiches...


    «Les Galeries Lafayette se présentent comme un groupe aux valeurs familiales, ils sont tout le contraire. Quitter Béziers pour aller au Qatar, c'est peut-être bien sur le plan économique. Mais au niveau social et humain, c'est un scandale», a estimé l'ex-président de Reporters sans Frontières, qui n'en est pas à sa première polémique depuis son élection à la mairie en mars 2014. Il a d'ailleurs utilisé plusieurs fois l'affichage, notamment la photo d'un énorme pistolet, «nouvel ami» de la police municipale de sa ville.

    Les magasins de Thiais -127 salariés et 80 démonstrateurs (personnels employés par des marques)- et Béziers -50 salariés et 30 à 40 démonstrateurs- sont condamnés à fermer à la fin 2015. Celui de Lille -151 salariés et environ 70 démonstrateurs, selon la CGT- est en suspens. Les Galeries Lafayette comptent 64 magasins, dont 59 en France -incluant le navire amiral du Boulevard Haussmann à Paris- et 5 à l'étranger (Berlin, Casablanca, Dubaï, Jakarta, Pékin), selon le site du groupe.

    Outre une ouverture sur les Champs-Élysées, de nouveaux magasins sont annoncés à Milan, Marseille, dans le quartier du Prado, et en Seine-et-Marne, au centre commercial Carré Sénart.
     
    Le Parisien
  • Jean-Marie Le Pen à Rivarol: "Nous sommes gouvernés par des immigrés à tous les niveaux"

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     |  Par                                                                              

    Publication: 07/04/2015 18h39 CEST Mis à jour: Il y a 1 heure

        

        

    POLEMIQUE - Jean-Marie Le Pen a ses petites habitudes. Et lorsqu'il se brouille avec sa fille Marine, c'est dans les colonnes de l'hebdomadaire d'extrême droite Rivarol que le président d'honneur du Front national aime régler ses comptes. Un choix hautement symbolique puisque le journal est ouvertement hostile à la stratégie de dédiabolisation portée par Marine Le Pen.

    Dans un entretien exclusif et "à coeur ouvert" à paraître ce jeudi et dont des extraits ont été adressés à la presse ce mardi 7 avril, Jean-Marie Le Pen revient donc sur sa dernière dispute avec sa fille à propos des camps de concentration dont il réaffirme qu'ils sont "un point détail" de l'histoire de la Seconde guerre mondiale.

    "On n'est jamais trahi que par les siens", se désole-t-il à propos du désaveu de la présidente du FN, tout en maintenant sa position: "Je ne suis pas homme à changer d'avis ou à ramper".

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    Candidat même contre l'avis de Marine Le Pen

    Alors que son précédent dérapage pourrait lui coûter son investiture à la tête de la liste FN en PACA pour les prochaines élections régionales, Jean-Marie Le Pen persiste et signe: "Je suis candidat tête de liste pour mettre à la porte les socialo-communistes."

    Pas question donc de céder la place à sa petite-fille Marion Maréchal-Le Pen ou à quiconque d'autre. "Je rappelle que j'ai fait aux dernières élections européennes, il y a moins d'un an, plus de 33% des voix dans la région Paca. Je suis donc légitime pour conduire la liste du Front national dans cette région où de surcroît, je suis conseiller régional et président du groupe FN depuis 1992", poursuit-il.

    Quant à la rumeur selon laquelle, en cas de victoire, il cèderait la présidence de la région à son fidèle Bruno Gollnisch, Jean-Marie Le Pen oppose un démenti sans ambiguité: "Je suis candidat à la présidence de la région Paca par la logique des choses."

     

    Pétainistes, immigrés, homosexuels

    La suite de l'interview s'apparente visiblement une longue série de provocations destinées à embarrasser sa fille et à gêner sa stratégie de normalisation du FN. Ce dernier prend d'ailleurs la défense de l'ex-candidate FN Anne-Sophie Leclère, exclue du parti et poursuivie en justice pour avoir partagé sur Internet une caricature de Christiane Taubira grimée en singe.

    Toujours sur la Seconde guerre mondiale: "je n'ai jamais considéré le Maréchal Pétain comme un traître". Sur les homosexuels au FN: "Ils otn tendance à se regrouper même s'ils se détestent les uns les autres. Ils forment une communauté". Sur les immigrés: "Nous sommes gouvernés par des immigrés et des enfants d'immigrés à tous les niveaux. [...] Quel est l'attachement réel de Valls à la France? Cet immigré a-t-il changé du tout au tout?"

    Jean-Marie Le Pen va même jusqu'à prendre ses distances avec la République française et le jeu démocratique. "Ils commencent à me gonfler tous avec la République!", s'agace-t-il avant d'estimer comprendre "que l'on mette en cause la démocratie, qu'on la combatte".

    En politique internationale, Jean-Marie Le Pen prône une alliance avec la Russie "pour sauver l'Europe boréale et le monde blanc".

    Quand Le Pen traitait Rivarol de "taliban hystérique"

    Ce n'est pas la première fois que le président d'honneur du FN s'épanche ainsi dans l'hebdomadaire d'extrême droite. Au lendemain de la polémique qui l'avait opposé à sa fille sur l'emploi du mot "fournée", Jean-Marie Le Pen y avait attaqué la stratégie de dédiabolisation de la présidente du Front national en ces termes: "Si la diabolisation dépendait d'attitudes extravagantes, extrémistes nous ne serions pas du tout diabolisés, ce qui n'est pas le cas."

    Avant cela, un autre entretien accordé à l'hebdomadaire lui avait valu une condamnation à trois mois de prison avec sursis et 10.000 euros d'amende pour y avoir déclaré que l'Occupation allemande n'avait pas été "particulièrement inhumaine".

    Pendant la campagne interne pour la présidence du FN, Rivarol avait ouvertement pris partie contre Marine Le Pen, désignée comme une "ennemie" de la cause nationaliste face à son adversaire Bruno Gollnisch. Jean-Marie Le Pen avait alors volé au secours de sa fille en qualifiant l'hebdomadaire de "taliban hystérique". Les voilà réconciliés.

  • De l’impertinence institutionnelle : Depuis Lisbonne et Maastricht, la France n’a plus de Constitution

     

    L’Union européenne contre l’Europe

    Alors que la plupart des citoyens et contribuables français pensent encore être sous le régime de la Vème République, il n’en est rien. Non seulement nous ne sommes plus en Vème République, mais plus en République ni même sous un régime politique français dûment accepté par le peuple.

    Depuis les traités de Maastricht et surtout de Lisbonne, le régime politique français a disparu pour laisser la place à un régime européen autoritaire, technocratique et tout entier tourné vers la satisfaction des intérêts privés au détriment de l’intérêt commun, lequel n’existe pas dans les pays européens pris comme un tout. Chaque pays de l’Union a une histoire, une langue, un référentiel culturel, politique, juridique, économique et social différent et autonome.

    Certes, les traités européens ne se sont pas ouvertement, officiellement, substitués à l’ordre politique intérieur des pays membres de l’union européenne ; union artificielle et sous commandement américain. Toutefois, de façon détournée, officieuse, mais très efficace, l’ordre européen s’est peu à peu substitué à l’ordre français. Aujourd’hui, on estime que plus de 80% des lois et décrets en vigueur en France sont issus de la transposition des directives européennes ; transposition obligatoire car sanctionnée par de fortes indemnités financières depuis que la Cour de l’Union (forcée) a décidée, en 2005 conformément à la mission que lui imposait les traités (faire appliquer le droit européen issu des traités), de condamner à de lourdes amendes financières les États réticents à traduire, « transposer » en jargon européen, dans leur ordre intérieur les directives européennes.

    Or, il n’est un secret pour personne que le programme politique des traités européens est ultralibéral, c’est-à-dire tourné vers le libre-échange commercial au bénéfice des plus forts via la concentration des capitaux qu’il suppose. C’est ainsi que l’ordre public et le bien commun ont été discrètement remplacés par un ordre sociétal purement commercial tout entier dévolu à la satisfaction d’appétits privés.

    Les traités européens, écrit dans le silence des bureaux par des gens tout acquis à la cause oligarchique, dont un ancien président français fait partie, ont subrepticement remplacé ce qui servait de régime politique à la France. Comment cela est-il possible demanderez vous ? Rien de plus simple : les traités européens sont tout à la fois une constitution en ce qu’ils créent et organisent des institutions et un programme politique.

    Le régime politique européen s’est ainsi peu à peu substitué au régime politique français, avec l’aide sourcilleuse et efficace des dirigeants et des représentants du peuple français qui ont constitutionnalisé le droit européen en modifiant notre constitution à chaque fois que cette dernière était susceptible de contrarier l’application du droit européen. Le régime français, ses institutions et les votes sur lesquels il reposait, n’est plus désormais qu’une coquille vide. Il en va ainsi pour tous les Etats membres de cette fumeuse Union européenne. C’est pourquoi monsieur Juncker ne faisait que « dire le droit » lorsqu’il a rappelé à la Grèce qu’un changement politique au sein d’un Etat membre ne modifiait en aucun cas les traités européens applicables, de droit, à tous. Seule une modification des traités, laquelle suppose une unanimité impossible à réaliser puisque chaque Etat a adhéré à l’Union pour des raisons différentes, pourrait modifier le programme politique inclus dans les traités. Les jeux sont faits ! La seule issue pour les peuples est de plier (voire de rompre) ou de sortir de cette union contre-nature.

    Les régimes que l’Europe de l’ouest et l’occident avaient traditionnellement adoptés depuis, grosso modo, le siècle des lumières étaient tournés autour d’institutions politiques organisées dans un souci de séparation, d’indépendance et d’équilibre des pouvoirs. En Union Européenne au contraire, les institutions sont créées et organisées dans le seul objectif de remplir le plus efficacement possible le programme politique issu des traités européens, la séparation des pouvoirs y apparaissant comme un trouble fête.

    La séparation des pouvoirs étant de facto battue en brèche par le nouvel ordre politique européen, la déclaration des droits de l’homme et du citoyen de 1789 (article 16) nous apprend que les français n’ont plus en réalité de constitution : « Toute Société dans laquelle la garantie des Droits n’est pas assurée, ni la séparation des Pouvoirs déterminée, n’a point de Constitution. »
    La Déclaration de 1789 (qui n’est plus respectée dans aucun de ses articles) invite les citoyens qui ont perdu toute souveraineté, et à qui les institutions nouvelles contestent jusqu’à leur Etat nation par l’imposition d’une fédération de régions, à ne pas respecter l’ordre politique ploutocratique bruxellois puisque « Le principe de toute Souveraineté réside essentiellement dans la Nation. Nul corps, nul individu ne peut exercer d’autorité qui n’en émane expressément. » (article 3).

    > Cyril Brun anime le site Cyrano.net.

    NDF

    NdB: C'est le Front National qui a raison! Une fois de plus!

  • Angleterre: le plus gros lapin du monde bientôt détrôné par son fils

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    Thibaut Le Gal

    Le plus grand lapin du monde risque bientôt de perdre son titre, rapporte The Mirror. Avec ses 1 mètre 30 et ses 22 kg, Darius tient toujours la forme. Mais son fils Jeff atteint déjà 1 mètre 10 et n'a pas encore fini sa croissance.

    Leur propriétaire, Annette Edwards, 63 ans pense qu’il le dépassera bientôt. «Darius a toujours été le plus gros, mais Jeff est énorme si on considère que c’est encore un bébé», indique au tabloïd britannique cette habitante de Worcester en Angleterre. «Je m’attends à ce qu’il devienne plus gros que son père. Dès que ce sera le cas, je l'emmènerai se faire peser par le vétérinaire et le Guinness Book des records validera le fait que Jeff est le plus grand lapin du monde», poursuit-elle.

     

    2.000 carottes et 700 pommes par an

    Les deux animaux appartiennent à la race de lapin géant des Flandres. Chaque année, Annette Edwards dépense 6.800 euros pour les nourrir. Les lapins avalent en moyenne 2.000 carottes et 700 pommes par an.

    «Même s'ils sont énormes, ce sont les meilleurs animaux que je pouvais demander. Ils sont tous les deux très calmes. Ils s'entendent bien avec les enfants et sont mêmes amis avec d'autres animaux, comme le boxer d’un ami», développe-t-elle.

    20minutes

  • Gaz de schiste: le rapport enterré par Hollande !

     

      

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    Le Figaro dévoile le contenu d'un rapport sur l'exploitation des gaz de schiste commandé en 2012 à des experts par Arnaud Montebourg, alors ministre du Redressement productif.

    Le document, achevé en 2014, recommandait l'expérimentation, en France, d'une technologie de prospection à base de fluoropropane. Une alternative propre à la technique controversée de la fracturation hydraulique.

    Le rapport souligne, en détail, comment la France pourrait en tirer parti en termes de croissance, d'emplois, de compétitivité industrielle et d'indépendance énergétique. Le gouvernement s'est empressé d'envoyer ce document aux oubliettes.

                                     

  • Légitime défense et défense immunitaire : tout peuple qui se renie disparaît

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    La légitime défense est rarement reconnue en France au motif que le citoyen ne doit pas se substituer à l’État dans ses fonctions régaliennes. Mais si l’État est défaillant ?
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    Dura lex, sed lex, mais pas pour tout le monde.

    Un violeur multirécidiviste ayant déjà écopé de 29 ans de prison depuis 1991 vient d’être relaxé pour sa dernière incartade : il avait coupé son bracelet électronique et comptait passer en Espagne. Donc, il n’était déjà plus en prison. Pauvres Espagnoles !

    Fin mars, un octogénaire malade a été condamné à deux ans de prison ferme et 6.500 euros de provision pour préjudice pour avoir tiré sur trois jeunes qui s’étaient introduits chez lui de nuit et avoir légèrement blessé l’un d’eux. Que se passera-t-il pour ce vieil homme ? Finira-t-il comme « Mamie loto », morte peu après avoir été condamnée à une amende de 120.000 euros ?

    Le 1er avril, un buraliste du Tarn a été condamné à sept ans de réclusion par un jury populaire, passant outre l’avis de l’avocat général de retenir la légitime défense pour l’homicide de l’un de ses agresseurs.

    Les services judiciaires disposent d’une armée de psychologues qui viennent longuement expliquer l’enfance malheureuse des multidélinquants. Se sont-ils manifestés dans ces deux procès où, par une habituelle inversion des valeurs, c’est la victime qui se retrouve coupable de s’être défendue ?

    La légitime défense est rarement reconnue en France au motif que le citoyen ne doit pas se substituer à l’État dans ses fonctions régaliennes. Mais si l’État est défaillant ?

    Car l’État, inconstant et inconsistant, semble tout faire pour que les citoyens perdent tout repère moral et logique tout en instaurant une batterie d’obligations visant à restreindre la liberté des honnêtes citoyens : théorie du genre, saccage de l’instruction publique, disparition programmée des professions indépendantes, stigmatisation et démoralisation de la police, interdiction de faire du feu, à l’intérieur, à l’extérieur, pour le paysan de produire ses semences, etc.

    Les remparts de sagesse que nos pères ont patiemment élevés s’écroulent par pans entiers dans le magma de nos peurs et de nos renoncements.

    Tout ceci ne vise-t-il qu’à détruire une société traditionnelle ? Quand on est sans repères, on est sans immunité, vulnérable et malléable, à la merci de tous les prédateurs.

    Quel peuple digne de ce nom peut accepter de courber ainsi l’échine et d’en redemander ? C’est ce que l’essayiste Guillaume Faye appelle l’ethnomasochisme.

    Dans la dernière affaire judiciaire, un jury populaire, au lieu de défendre un membre de la communauté nationale, le condamne contre l’avis même de l’avocat général.

    Il n’y a que deux lieux en France où le peuple peut exercer sa souveraineté : les urnes et les prétoires. Pour les urnes, les dernières élections ont montré que rien n’a fondamentalement changé ; quant aux prétoires, ceux qui nous y représentent ont décidé que nous n’étions pas encore assez soumis.

    En arabe, ce qui nous attend s’appelle la dhimmitude.

    Tout peuple qui se renie disparaît.

     
    BOULEVARD VOLTAIRE
  • Officiel : la RATP accepte tout !

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    Voilà de quoi faire comprendre à tous que la mobilisation et la détermination ça marche et qu’on a toujours raison de ne rien lâcher, jamais, jamais, jamais…

    La mention « chrétiens d’Orient » sera présente sur la nouvelle campagne d’affichage promise par la RATP pour le concert en juin prochain du groupe “Les Prêtres”. Une information d’abord diffusée par Jean-Vincent Placé [sénateur EELV], puis confirmée par Monseigneur Di Falco, qui ont eu tous deux le président du groupe Pierre Mongin au téléphone. « Le président de la RATP vient de m’annoncer que la mention “Pour les chrétiens d’Orient” serait apposée sur les affiches », a tweeté Monseigneur Di Falco, archevêque [sic pour évêque] de Gap [et d’Embrun], à l’origine du concert.

    Source : Le Figaro (6 avril, 18 h 28)

    Observatoire de la christianophobie