BIOGRAPHIE DE Jean-Marie Le Pen sur Wikipédia:
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Marion Maréchal-Le Pen tient à réagir après la diffusion d’un reportage dans le magazine « Complément d’enquête » sur France 2
Communiqués / 10 avril 2015
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En Autriche aussi, certaines opinions sont passibles de prison
Un an avec sursis pour un médecin révisionniste
- Publié le : mercredi 8 avril 2015
- Mots-clés : Autriche; Histoire; Justice; Liberté d’expression; Seconde Guerre mondiale
- Commentaires : 5
- Source : E&R
Pour avoir écrit dans des courriers que l’Holocauste était « un mensonge du gang des banksters sionistes », Josef K., un médecin autrichien âgé de 71 ans, a été condamné à 1 an de prison avec sursis le 26 mars dernier par le tribunal régional de Linz (Haute-Autriche).
Dans des lettres adressées à la mairie, au conseil municipal de sa ville ainsi qu’à l’administration du mémorial du camp de concentration de Mauthausen, le médecin remettait notamment en cause l’existence de chambres à gaz au camp de Mauthausen. Pendant le procès, le procureur lui a posé la question suivante : « Y-a-t-il eu des chambres à gaz à Mauthausen ? » « Oui », a répondu le malicieux septuagénaire avant de préciser : « Mais je ne vous dirai pas ce que je pense. »
Un brin provocateur, le médecin avait également écrit dans ses multiples courriers que l’Holocauste doit « être un mensonge de ces Khazars, ce groupe de banksters sionistes, qui se trouve actuellement en Israël. Et le “printemps arabe” est aussi un de leurs méfaits […] Avec cette massue de l’Holocauste, nous serons indéfiniment exploité jusqu’à la Saint-Glinglin. »
Évidemment, le tribunal avait commandé un rapport psychiatrique, qui n’a rien donné, et la bonne santé mentale du septuagénaire a été certifiée. Pendant son procès, le médecin a plaidé non-coupable et a expliqué être « seulement à la recherche de la vérité ».
E&R
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Florian Philippot invité de Guillaume Durand sur LCI et Radio Classique - 10 avril 2015
Florian Philippot, invité de Guillaume Durand... par radioclassiqueA écouter jusqu'au bout
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Le FN s'installe dans une guerre sans merci
Jean-Marie Le Pen, président d'honneur du Front national, n'a pas écarté l'hypothèse d'une dissidence aux régionales en Paca. Sa fille reste ferme tout en jouant l'apaisement.
Au Front national, nul ne sait jusqu'où ira le choc de deux personnalités inflexibles. La guerre totale, lancée sur les cimes du parti entre la présidente et le président d'honneur, a atteint une intensité spectaculaire vendredi, après une semaine de tensions et de rebondissements.
Vendredi matin, Jean-Marie Le Pen a répondu, sur RTL, aux déclarations de sa fille Marine, tenues la veille sur TF1. Comme des millions de Français, il l'a entendue dévoiler son intention d'ouvrir une procédure disciplinaire à son encontre, a appris qu'il serait convoqué par un bureau exécutif et compris qu'elle souhaitait finalement son retrait de la vie politique. Une incroyable provocation, à ses yeux.
Si Marine Le Pen avait pris soin de trouver certains mots pour dire tout cela, en évoquant par exemple «l'admiration» des militants pour le fondateur du FN ou en exprimant son espoir d'un retour à la «sagesse» le concernant, Jean-Marie Le Pen ne l'a pas entendu de cette oreille. Pour lui, la déflagration du Front n'est que le résultat d'un complot ourdi par des forces extérieures au mouvement.
«J'irai me défendre, évidemment, et probablement attaquer aussi»
Dans sa réponse matinale, sur un ton fatigué, il a commencé par noter qu'elle se trompait «tout à fait» sur l'instance autorisée à mener une telle procédure disciplinaire. Selon lui, la responsabilité incomberait au bureau politique et non au bureau exécutif. Le premier compte quarante-quatre membres, le second neuf, largement acquis à Marine Le Pen.
Jean-Marie Le Pen a ensuite expliqué qu'il répondrait à la convocation. «J'irai me défendre, évidemment, et probablement attaquer aussi», a-t-il prévenu, en avouant que l'action engagée par sa fille le laissait «pantois», «médusé» et «ébaubi». Renvoyant à sa fille la responsabilité de cette rupture, aux conséquences «inéluctables et tragiques», le député européen n'a pas hésité à prédire la fin du Front national. «Mme Le Pen est en train de dynamiter sa propre formation», a-t-il jugé en prétendant que la présidente du mouvement passait à côté d'une opportunité politique. «Elle a en face d'elle des partis en difficulté, elle avait la chance d'avoir une unité et des résultats conquérants, a-t-il relevé, et d'elle-même, de sa propre initiative, elle crée une difficulté majeure avec le président d'honneur, fondateur de son parti et qui, de surcroît, est son père.»
Jean-Marie Le Pen n'a «plus d'ambition politique de grande dimension»
À ce stade d'affrontement implacable, le dernier point de convergence entre le père et la fille semble être celui de l'incompréhension. Mais Jean-Marie Le Pen en a profité aussi pour partager son analyse sur les évolutions d'un parti qui lui échappe. Il affirme croire à une «manœuvre délibérée» et même à un «sabotage» de la part de sa fille qui, en l'évinçant, chercherait à s'attirer les «sympathies» de ce «système» qu'il n'a cessé de vilipender tout au long de sa carrière. Pour lui, Marine Le Pen est instrumentalisée par «une pièce rapportée récente», Florian Philippot, ce vice-président venu de «Chevènement», l'ennemi juré.
«Mme Le Pen est en train de dynamiter sa propre formation»
Concernant sa candidature aux régionales en Paca, le président d'honneur a confié enfin qu'il la défendrait devant le bureau politique, mais «sans trop d'illusions» compte tenu de la composition de cette instance, choisie par sa fille. Laissant enfin le mystère sur son éventuelle dissidence aux régionales, il a aussi lâché: «Je n'ai plus d'ambition politique de grande dimension. Ce n'est pas moi, c'est elle qui se suicide.»
Vendredi, au FN, malgré les braises incandescentes de cette tragédie filiale, certains voulaient croire à un apaisement mais sans savoir cependant jusqu'où, dans l'affrontement, le président fondateur serait capable d'aller. Les marinistes souhaitaient éviter au moins deux écueils: apparaître comme les provocateurs d'une éventuelle rupture définitive et donner l'impression d'en tirer profit.
Le même jour, évoquant sur Twitter un «moment douloureux pour le FN», Marine Le Pen a appelé chacun «à l'unité, à la décence et au respect mutuel». À Marseille aussi, le sénateur et maire de secteur Stéphane Ravier lançait un appel à la «modération» quand, sur RMC, Louis Aliot, vice-président et ancien directeur de cabinet du «Menhir», disait n'être pas «favorable à une exclusion» de Jean-Marie Le Pen.
LE FIGARO
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FDS
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http://gollnisch.com/2015/04/09/gollnisch-repond-questions-jean-jacques-bourdin
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