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  • Jean-Marie Le Pen : "Si je n'étais pas candidat, je ne vois que Marion"

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    Jean-Marie Le Pen et sa petite-fille Marion, lors de la campagne de cette dernière pour les législatives de 2012. (Reuters)

     

    Le président d'honneur du Front national, Jean-Marie Le Pen, dira lundi s'il renonce à être candidat aux régionales dans la région Provence-Alpes-Côte d'Azur - sachant que le parti ne lui accordera pas son investiture. "Si je n'étais pas candidat, je ne vois que Marion", dit-il au JDD.

                          
    En pleine crise politico-familiale, Jean-Marie Le Pen pourrait renoncer à sa candidature aux régionales en Provence-Alpes-Côte d’Azur. Marine Le Pen, présidente du Front national, lui refuse l'investiture du parti. Le fondateur et président d'honneur, en cas de retrait, entend adouber sa petite-fille, députée de Vaucluse, Marion Maréchal-Le Pen. "Si je n’étais pas candidat, je ne vois que Marion. Il n’y a aucune autre personnalité qui ait autant de notoriété et de particularité au sein du Front national pour cette région", dit-il au JDD.

    Une réunion du bureau politique à huis clos doit désigner, vendredi, les chefs de file frontistes au scrutin local de décembre. Ce rendez-vous s’annonce, à ce stade, comme un paroxysme de la crise en cours. Jean-Marie Le Pen ménage un certain suspense, semblant se satisfaire de cet entre-deux. "Dans l’amour, le plus important, c’est le moment où on monte les escaliers!", plaisante-t-il.

     

    Nicolas Prissette - Le Journal du Dimanche

     

  • Sétif (mai 1945) : encore une provocation socialiste – Par Bernard Lugan

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    Du 19 au 21 avril 2015, M. Jean-Marc Todeschini (photo ci-dessus), Secrétaire d’État français chargé des Anciens combattants effectuera un “voyage mémoriel” en Algérie. Une mémoire sélective puisqu’il est prévu un déplacement à Sétif, repentance oblige…, mais pas à Oran où des centaines de Français furent massacrés et enlevés le 5 juillet 1962 (de Ternant, 2001 ; Jordi, 2011 ; herodote.net / 5 juillet 1962 ; Mathias, 2014 et Pervillé, 2014). Le secrétaire d’État français n’ira pas davantage à la mine d’El Halia où, le 20 août 1955, 132 Européens furent assassinés ; ni d’ailleurs sur l’un des nombreux lieux de supplice des Harkis.

    Bernard Lugan

    Bernard Lugan

    Le déplacement du secrétaire d’État français à Sétif s’effectuera à la veille des cérémonies du 70° anniversaire des évènements sanglants qui marquèrent la ville et sa région. Plus qu’un symbole, c’est un gage que François Hollande donne là au noyau dur de son électorat. Les porteurs de valises et leurs héritiers demandent en effet depuis des années que la France “reconnaisse sa responsabilité dans la répression” de Sétif. Une telle reconnaissance serait d’ailleurs la suite logique de la politique définie le 17 octobre 2012 par François Hollande quand il rendit un hommage plus que déplacé aux prétendues « victimes » de la manifestation interdite du 17 janvier 1961 à Paris [1].

    La visite à Sétif d’un membre du gouvernement français est à la fois une insulte à l’histoire et une faute politique car, pour les autorités algériennes, la “répression de Sétif” est l’emblématique exemple de la “barbarie coloniale française”. Retour sur les faits.

     

    Le 8 mai 1945, à Sétif, dans le Constantinois, des militants du PPA (Parti du peuple algérien), interdit depuis 1939 et maintenu dans la clandestinité, décidèrent de profiter des commémorations de la capitulation allemande pour tenter un coup de force (Benmebarek, 2010). Pour maintenir l’ordre, les autorités disposaient de 40 policiers dont environ un tiers d’indigènes, de 20 gendarmes et de 4 compagnies militaires d’instruction composées de recrues locales (Jauffret, 1987, Benmebarek, 2010). Quand la police décida de faire retirer une bannière réclamant l’indépendance de l’Algérie, un coup de feu fut tiré et la manifestation dégénéra. Les civils français furent pourchassés et massacrés, non par une foule hystérique comme cela est trop souvent dit, mais par des commandos de tueurs très mobiles et très organisés qui commirent des meurtres à travers la ville. Le bilan fut de 21 Européens tués et de 36 blessés. Au même moment, et donc sans lien avec la manifestation de Sétif, d’autres massacres se déroulèrent dans la région, à Périgotville, Amouchas, Kerrata, Chevreul, Sillègue, Canrobert, Lafayette, Ampère, Davoust, ainsi que dans les maisons forestières isolées de Tamsout, Aïn Settah et Tamentout où 81 victimes européennes furent à déplorer. Parmi elles, les administrateurs Rousseau et Bancel enlevés et assassinés sur la route Sétif-Bougie et l’abbé Navarro abattu dans le village d’El Ourica, à 12 kilomètres de Sétif. Au total, 102 Européens furent assassinés (Vétillard, 2008; Benmebarek 2010).

    Des renforts arrivèrent de Constantine et de Philippeville. Si 10 000 hommes furent déployés dans tout le Constantinois, seulement 3700 – dont des tirailleurs algériens – le furent dans la subdivision de Sétif, la plus vaste, la plus difficile d’accès et la plus touchée de la Division territoriale de Constantine.

    Aussitôt la nouvelle des tueries connue, le communiste Maurice Thorez, vice-président du Conseil de gouvernement présidé par le général De Gaulle, lança de véritables appels au meurtre et à la répression. Le 12 mai, le Parti communiste distribua un tract dans les villes d’Algérie dans lequel il demandait de “passer par les armes les instigateurs de la révolte et les hommes de main qui ont dirigé l’émeute. Il ne s’agit pas de vengeance ni de représailles. Il s’agit de mesures de justice. Il s’agit de mesures de sécurité pour le pays”.

    Heureusement, l’armée garda raison et la répression, réelle, n’eut pas l’ampleur que lui donnèrent par la suite les nationalistes algériens. Ces derniers avancèrent un bilan de 40 000 victimes, chiffre lancé sans vérification par une source diplomatique américaine favorable aux indépendantistes (Vétillard, 2008). Le FLN alla ensuite jusqu’à parler de 70 000 morts… Certains historiens avancent quant à eux le chiffre de 6000 à 6500 morts tout en soulignant qu’il s’agit là d’une estimation « haute » (SHD, 1990 ; Vétillard, 2008). Quant au préfet Benmebarek (2010), il estime que le nombre des morts serait d’environ 2500.

    Comme il n’y eut pas de ratissages en raison des faibles moyens dont disposait l’armée, l’on voit mal comment 3700 hommes dispersés sur de vastes territoires auraient pu tuer des dizaines de milliers de personnes. Et où les corps auraient-ils été enterrés? Nul doute que si des charniers avaient existé, les actuelles autorités algérienne se seraient empressées de les montrer…

    Ce qui s’est passé à Sétif est donc à la fois bien connu des historiens et très éloigné de cette histoire officielle algérienne si complaisamment relayée par la gauche française. Le préfet Benmebarek qui a vécu dans la région et qui a donné une excellente analyse des événements (2010) explique que nous sommes en réalité en présence d’un soulèvement raté qui devait être suivi d’une insurrection dans toute l’Algérie, mais, comme la coordination fut mal assurée, seule la région de Sétif fut touchée. Ce fut en quelque sorte une répétition des évènements de la Toussaint 1954 que la IV° république fut incapable d’anticiper.

    Dès 1962, les autorités algériennes s’engagèrent dans une entreprise d’écriture de l’histoire officielle de la lutte pour l’indépendance présentée comme le soulèvement d’un peuple unanimement dressé contre le colonisateur français[2]. Puis, durant la terrible décennie 1990, quand l’Algérie, alors en pleine guerre civile, fut au bord de l’implosion, ses dirigeants recherchèrent des thèmes d’union nationale qu’ils trouvèrent dans la dénonciation des “crimes” commis par la France. Dénonciation d’autant plus facile qu’en France même, des relais culpabilisateurs existaient. La manœuvre eut son point d’orgue en 1995 avec la célébration du cinquantenaire des évènements de Sétif. Une campagne fut alors orchestrée autour de la projection sur la chaîne Arte d’un film de Mehdi Lallaoui et Bernard Langlois intitulé Le massacre de Sétif.

    Depuis, et je viens de le dire, Roger Benmebarek (2010) a publié une étude fondamentale qui met un point final à la question. Pour les historiens, et dans l’état actuel des connaissances, le sujet est donc clos.

    Voilà pourquoi la décision de François Hollande d’envoyer un membre de son gouvernement à Sétif est une provocation. Ce faisant, le président de la République montre à la fois son aveuglement historique et son sectarisme politique puisqu’il cautionne la re-écriture de l’histoire faite par les autorités algériennes. Au prix d’une nouvelle humiliation de la France.

    Bernard Lugan
    09/04/2015

  • Des milliers de combattants de l’Etat islamique infectés par la leishmaniose

     

    Vont-ils eux aussi venir en France se faire soigner à nos frais ?!

    « Faute d’hygiène et parce qu’elles ne peuvent ou – dans le cas des combattants de Daesh – ne veulent accéder aux soins, des milliers de personnes dans les zones contrôlées par l’Etat islamique sont, selon des sources britanniques, actuellement infectées par la leishmaniose, une maladie de peau parasitaire transmise par des moucherons. La maladie est potentiellement mortelle si elle n’est pas soignée, et elle peut causer de graves dommages à des organes internes comme le foie. L’Express de Londres affirme que de nombreux combattants de Daesh sont atteints par le parasite.

    Elle se manifeste par des plaies ouvertes qui s’étendent alors que les parasites protozoaires « mangent » la peau. Des parasites qui se multiplient d’autant plus vite que la collecte des ordures n’est guère assurée dans les villes contrôlées par l’Etat islamique.

    Quelle est l’importance de l’épidémie ? La maladie est extrêmement virulente et certaines sources parlent de 100.000 personnes infectées, notamment dans les camps de réfugiés, en raison de l’effondrement du système sanitaire en Syrie.


    Qu’elle soit très présente à Raqqa, capitale auto-proclamée de l’Etat islamique, semble acquis : dans le nord-est de la ville déjà fortement endommagée par des bombardements, 2.500 cas ont été répertoriés.

    L’Etat islamique compterait actuellement entre 3.000 et 5.000 hommes à Raqqa.

    Les djihadistes ayant bloqué l’accès à tous les soignants étrangers dans les zones qu’ils contrôlent, ils ont de facto exclu non seulement les populations sur place mais également les militants de l’Etat islamique de l’accès aux soins, relativement aisés en début d’infection mais bien plus incertains une fois la maladie installée.

    Le premier cas de leishmaniose a été découvert en septembre 2013, selon l’Express, et s’étend d’autant plus rapidement que les médecins locaux ne sont pas armés pour combattre la maladie et que les organismes tels Médecins sans frontières ont dû fuir la région. La moitié des hôpitaux de Syrie ont fermé leurs portes ou sont gravement endommagés : selon The Independent, qui cite le doyen de la faculté de médecine tropicale du Baylor College of Medicine, la propagation de la leishmaniose est aujourd’hui « hors de contrôle ». »

    Anne Dolhein (source : reinformation.tv)

  • L'un des derniers SS danois est mort en homme libre à 93 ans

     Home CULTURE Culture

    Soren Kam était le cinquième nazi le plus recherché de la liste de Simon Wiesenthal.

    Soren Kam était le cinquième nazi le plus recherché de la liste de Simon Wiesenthal. Crédits photo : FREDERIKSEN JOHNNY

    DISPARITION - Soren Kam, numéro cinq de la liste des criminels de guerre établie par le célèbre chasseur de nazis Simon Wiesenthal, est décédé à Kempten. L'Allemagne a toujours refusé son extradition au Danemark.

     
     
     

    Soren Kam, ancien volontaire de la division SS «Viking» et considéré comme l'un des plus haut gradé nazi du Danemark, est mort la semaine dernière en Allemagne. Il s'était réfugié en Allemagne en 1956 et en avait obtenu la nationalité par la suite. L'Allemagne a refusé son extradition au Danemark à plusieurs reprises, rapporte Reuters.

    Efraim Zuroff, directeur du centre Simon Wiesenthal dédié à la traque des nazis a souligné: «Le fait que Soren Kam, un meurtrier nazi absolument pas repentant, soit mort en homme libre à Kempten est un échec terrible pour les autorités judiciaires bavaroises. Il aurait dû finir sa misérable vie en prison, que ce soit au Danemark ou en Allemagne. L'échec à le mettre face à ses responsabilités ne peut qu'encourager les héritiers contemporains du nazisme à lui emboîter le pas».

    La cour de justice danoise l'avait jugé coupable du meurtre de l'éditeur danois anti-nazi Henrik Clemmensen, mais Kam s'était enfuit en Allemagne avant d'être puni. Ses complices ont en revanche été exécutés en 1946.

  • Vincent VAN GOGH

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    La sieste ou la méridienne  (1889-1890)

  • Montpellier, haut-lieu de la parfumerie rom

    Quotidiennement, des familles roms quittent leur bidonville du quartier de Grammont, près du Zénith de Montpellier, pour se rendre dans le centre-ville, afin de s’y livrer à diverses activités de loisirs en plein air.

    Les usagers de la TaM (Transports de l’agglomération de Montpellier) qui côtoient ces individus sont indisposés par la fragrance qui se répand dans le bus. D’après Dominique Granier, délégué syndical FO :

    « Les Roms de la ligne 9 constituent un danger sanitaire. C’est une véritable infection. »

    L’odeur dégagée par les Roms qui empruntent ce transport a poussé des membres du syndicat Force ouvrière de la TaM à saisir le CHSCT (Comité d’hygiène, de sécurité et des conditions de travail) afin qu’ils constatent la réalité et la puissance du bouquet.

    Parmi les représentants du CHSCT, Djamel Boumaaz, conseiller municipal Front national, qui a fait savoir que le problème serait d’une telle ampleur que cette ligne de bus fera l’objet d’un nettoyage spécial plus approfondi que pour les lignes du réseau. Il affirme aussi qu’une autre compagnie a été approchée pour assurer la sous-traitance du tronçon problématique et que l’idée de supprimer la ligne 9 est même envisagée par la direction. M. Boumaaz enfonce le clou :

    Certains n’acceptent plus de toucher les pièces de monnaie qui leur sont données par les Roms pour payer leurs titres de transport. Plusieurs bus ont été changés avant d’assurer la poursuite du service.

    Conscient du problème et désireux de faire cesser le martyre olfactif de ses concitoyens, M. Granier, délégué Force ouvrière, a émis l’idée de « créer une navette spécialement pour eux » [les Roms].

    Une idée abominable pour les associations de défense des Roms, qui voient d’un mauvais œil qu’on puisse priver les Montpelliérains des précieuses effluves répandus par la communauté nomade. Ainsi, d’après Marie-Françoise Combaz, responsable de l’association ATD Quart-Monde en Languedoc-Roussillon :

    « Un bus spécial pour les Roms ? Ce serait de la pure discrimination. Chacun a droit à sa place dans la société, et à une place digne ! Qu’il y ait des difficultés, on ne peut pas le nier. Mais on ferait mieux de construire pour eux des points d’eau et des sanitaires plutôt que de se focaliser sur les conséquences de ce manque d’hygiène. La France ne respecte pas ses engagements concernant l’accueil des populations roms. Ils ont le droit d’être là. »

    Craignant de ne plus pouvoir jouir des précieuses effluves roms, mais aussi d’être taxé de xénophobie, les autres syndicats se sont désolidarisés de l’initiative de FO. À l’image de la CGT, syndicat majoritaire au sein de la TaM, qui affiche sur sa page Facebook :

    « Ce ne sont pas des lépreux, ils sont suivis sur le plan sanitaire ! Luttons contre la pauvreté, pas contre les pauvres ! »

    Et de dénoncer « une stigmatisation des pauvres gens » par FO et le frontiste Jamel Boumaaz...

    FO a réagi en déclarant « ne pas avoir proposé quoi que ce soit » et avoir « simplement alerté sur les problèmes d’hygiène », laissant à son délégué Dominique Granier le soin de se justifier :

    « Mes propos ont été un peu déformés par la presse. Moi je ne fais pas de politique et je ne prends pas les décisions, la balle est dans le camp de la direction, voire de l’agglomération. »

    Jugeant les déclarations de M. Garnier « inqualifiables », Jean-Luc Frizot directeur général de la TaM, rappelle qu’au nom des « valeurs républicaines », il n’y aura jamais de « navette spéciale »

  • LE VENT N'EST PAS ÉCOLOGIQUE !

     

    LE VENT N'EST PAS ÉCOLOGIQUE ! -


    Michel Gay
    le 10/04/2015 

    Qui l'eut cru : la production d'électricité par les éoliennes n'a rien d'écologique !

    Les éoliennes ne poussent pas sous le soleil en les arrosant. Ce moyen de production d'électricité dit "écologique" nécessite des matériaux ainsi que des travaux industriels et d'entretien. Il ne suffit pas juste de récupérer l'énergie produite… quand il y a du vent.

    Une éolienne récente de puissance 2 mégawatts (MW) mesure environ 150 m de haut en bout de pale (environ 100 m pour le mât) et sa durée de vie est de 20 ans. Sa construction nécessite 425 mètres cubes (m3) de béton et 40 tonnes d'acier . Le poids total des matériaux de construction atteint presque 1200 tonnes .(Rotor (moyeu et pales) 50 T, nacelle 90 T, mât 180 T, fondation 800 T). Des "composites" entrent dans la fabrication des pales (3 fois 7 tonnes, soit 21 tonnes par hélice), des métaux (dont le cuivre) et des "terres rares" composent la nacelle et le générateur, ainsi que 300 à 400 litres d'huile de lubrification et de refroidissement.
    En étant optimiste, son facteur de charge, en moyenne en France, est de 23% (temps de fonctionnement en équivalent pleine puissance), soit environ 2000 heures par an .(Un an = 8760 heures).
    Sur sa durée de vie, cette éolienne produira donc 80 gigawattheures.(2 MW x 20 ans x 2000 h/an = 80.000 MWh = 80 gigawattheures). 

    Or, la durée de vie d'un réacteur nucléaire EPR de 1650 MW est de 60 ans (minimum prévu). Sa construction nécessite  85.000 m3 de béton et 40.000 tonnes d'acier . Son facteur de charge prévu est de 85%, soit environ 7500 heures/an. 
    Pendant sa durée de fonctionnement, ce réacteur produira donc au minimum… 9000 fois plus que l'éolienne (742.500 GWh) En d'autres termes, il faudrait 9000 éoliennes de 2 MW pour produire autant d'électricité que l'EPR, mais de manière beaucoup plus erratique puisqu'il n'y a pas toujours du vent, et pas forcément corrélé avec le besoin.

    Ainsi, chaque GWh produit par une éolienne de 2 MW nécessite environ 0,2 m3 de béton et 0,5 tonne d'acier tandis qu'un réacteur nucléaire de 1650 MW n'en nécessite respectivement que… 0,12 m3 (soit presque deux fois moins de béton) et 0,05 tonne (soit.. 10 fois moins d'acier) ! 

    Qui a dit que produire de l'électricité avec du vent était écologique et minimisait l'impact sur la nature ?
     
    METAMAG
  • Actualité du Front national : Aymeric Chauprade sur France 24

     

     

     

    09/04/2015 – VIENNE (NOVOpress) - Dans un entretien télévisé accordé à la chaîne France 24 hier soir, le député européen Aymeric Chauprade s’est exprimé sur l’actualité récente du Front national et l’opposition de Marine Le Pen à son père. S’il confirme son admiration pour Jean-Marie Le Pen, Aymeric Chauprade parle d’un “mauvais combat, contre productif pour le Front national, qui ne correspond pas à tout ce qu’il a apporté” pour qualifier les propos récents de Le Pen père. “Il est parti dans des querelles inutiles, qui n’est pas ce pourquoi nos militants se battent”.

    “C’est la grandeur de Marine Le Pen que de faire prévaloir la raison du parti sur le cœur, je crois que c’est sa force, et c’est ce qui prouve que demain elle saura faire prévaloir la raison d’État sur toute autre considération”.

  • VIDEO - Crise au Front National: choisir le pragmatisme politique ET la radicalité idéologique

    Par Boris LE LAY 

    A écouter jusqu'au bout: sans doute une des meilleures analyses de la crise que traverse actuellement le FN.

    (merci à Dirk)