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  • "L'enfant qui n'est pas né et sa mère" (The child who was never born)

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    L'enfant qui n'est pas né et sa mère

    Cette sculpture, réalisée par Martin Hudáčeka, un jeune artiste slovaque, a été inaugurée en Slovaquie le 28 octobre 2011  en présence du ministre de la Santé. Elle symbolise l'enfant qui ne naît pas suite à un avortement. 

    https://www.tumblr.com/search/the%20child%20who%20was%20never%20born

    Le Salon Beige



     

  • Pas-de-Calais : pour aller travailler (600 €/mois), Christelle est obligée de marcher 4 heures par jour

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    13h12

    Une habitante de Berck-ville (Pas-de-Calais), Christelle Blondel, réalise quotidiennement 24 km de marche pour se rendre à son travail de de Merlimont-plage. Le bus et le covoiturage ne sont pas disponibles dans son secteur. Quant au vélo, elle ne peut plus le prendre suite à un grave accident.

    Christelle Blondel emprunte la R940 entre Berck et Merlimont, soit 24 km aller-retour.

    Christelle Blondel, une habitante de Berck-ville (Pas-de-Calais), est contrainte de marcher chaque jour 24 km à pied pour aller travailler. Selon La Voix du Nord, cette technicienne de surface et mère de trois enfants doit se rendre sur son lieu de travail au Centre Communal d’Action Sociale (CCAS) de Merlimont-plage, où elle nettoie des gîtes de vacances pour 600 euros par mois.

     

    « Je n’ai pas de voiture et il y a quatre ans, j’ai été fauchée à vélo par un automobiliste, témoigne-t-elle dans le quotidien. Cet accident m’a valu de multiples fractures aux jambes, un trauma crânien et quelques jours de coma. Depuis, j’ai peur d’enfourcher un vélo et de me faire faucher à nouveau. »

    Impossible également, pour elle, de prendre le bus. Ses horaires ne correspondent pas à ceux de Christelle. Résultat, elle doit se lever à l’aube pour réaliser deux heures de marche, et ce, par tous les temps.

    L’auto-stop n’est également pas une solution, car très peu d’automobilistes la prennent. Parfois une collègue accepte de faire un détour pour la reconduire chez elle. Pour Christelle, la solution passerait par la création de vrais réseaux de navettes et de covoiturage. En attendant, son calvaire se poursuit.

    metronews

  • Danemark : La Reine refuse le modèle multiculturel

                   

    18h55

    Le chef de l’Etat Danois, sa Majesté la Reine Margrethe II, a accordé une interview pour son 75ème anniversaire. Une interview qui provoque la panique dans le monde du politiquement correct. Qu’a-t-elle donc fait de si grave ?

    « Celui qui s’installe au Danemark doit se conformer aux normes et valeurs Danoises », déclare-t-elle. « Nous pouvons les accueillir, mais nous devons aussi leur dire ce que nous attendons. Car il s’agit de notre société, dans laquelle ils se rendent. Ils doivent comprendre dans quel monde ils sont venus. »
    Et la Reine de devenir plus précise encore :
    « Nous faisons volontiers de la place. Cependant, ils sont venus dans notre société et ne peuvent pas attendre pouvoir perpétuer leur modèle de société chez nous. Ils peuvent se rendre dans les mosquées, s’ils le veulent, mais s’ils font des choses incompatibles avec le modèle de la société Danoise, ils doivent reconnaître que cela n’ira pas. »

    La Reine désigne bien entendu une certaine immigration qui se forme en société parallèle. Elle a aussi fait passer un message sur la liberté d’expression, qui n’est pas seulement menacée par les terroristes : « Je sais bien que certains disent, qu’il faut être prudent, qu’il faut réfléchir, cependant, nous devons absolument pouvoir nommer les choses et comment celles-ci doivent être selon nous. Ils veulent nous effrayer, nous ne devons pas nous laisser intimider. »

    Source

    Merci à Molon

  • Un tweet de Jean-Marie Le Pen

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  • Fleur Pellerin promeut un "spectacle" chorégraphique profane dans la basilique de Saint-Denis

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    Le Centre des monuments nationaux, établissement public placé sous la tutelle du ministère de la Culture et de la Communication, subventionne cette année un cycle « « Monuments en Mouvements ». Dans le cadre de ce cycle, un spectacle de danse hip-hop « Héros » du chorégraphe Radhouane el-Meddeb, a déjà été donné les 14 et 15 avril au Panthéon à Paris. Il est déjà assez singulier qu’on organise un spectacle dans ce qui est aujourd’hui un cimetière où reposent les « grands hommes » que la République a jugé bon d’y faire entrer… Mais il y a plus grave : le 16 octobre prochain, une “chorégraphie” sera donné en la basilique de Saint-Denis, nécropole des Rois de France et église cathédrale du diocèse. Je viens d’interpeller Fleur Pellerin, ministre de la Culture et de la Communication. Vous trouverez, ci-dessous, le texte de mon courriel. Je vous invite, bien sûr, à vous associer à ma démarche et d’exiger, à votre tour avec courtoisie et fermeté, des explications au ministre. Vous pouvez le faire ici : relations-publiques@culture.gouv.fr Dans la mesure du possible, mettez-moi en copie cachée (cci) de votre courriel. Merci…

    À Madame Fleur Pellerin, ministre de la Culture et de la Communication

    Madame,

    j’apprends que dans le cadre du cycle « Monuments en Mouvements », subventionné par le Centre des monuments nationaux placé sous la tutelle de votre ministère, le 17 octobre prochain en la basilique de Saint-Denis, la chorégraphe suisse Nathalie Pernette créera et dansera, seule ou avec sa Compagnie, « La figure du gisant », premier volet, à ce que je sais, du spectacle « Une pierre presque immobile », qui serait « une danse entre respiration et apnée, crispation et relâchement, apparition et disparition de brins de corps, jeux complices avec le suaire qui couvre, découvre, s’entortille ou claque au gré des danses »… Je suis tout à fait choqué qu’un spectacle chorégraphique profane – quel qu’en soit l’intérêt éventuel mais dont rien n’indique qu’il soit compatible avec le caractère particulier du lieu – soit donné dans une église affectée au culte, et qui plus est dans la cathédrale du diocèse de Saint-Denis. Je vous serais reconnaissant de bien vouloir me fournir les arguments qui, selon vous, pourraient le justifier.

    Dans cette attente, je vous prie d’agréer, Madame, mes respectueux hommages.

    Daniel Hamiche, rédacteur en chef du blogue L’Observatoire de la Christianophobie

    NdB: Sous prétexte de "culture", encore un outrage à la France!

  • « À l’exception de Marine Le Pen, il n’y a plus en France de chef de parti digne de ce nom »

    Entretien avec

     
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    Autrefois, les partis politiques étaient synonymes d’espoir, de changement, voire de grand chambardement. Aujourd’hui, plus personne ne semble croire à leur capacité à changer le cours des choses. Comment expliquer ce désamour ?

    Sous la Révolution, les partis politiques, assimilés à des « factions », étaient regardés comme un « mal temporaire » (Robespierre). Au sens moderne, ils n’apparaissent qu’au XIXe siècle, voire au début du XXe (en France, le premier parti est le Parti radical, né en 1901). L’article 4 de la Constitution de 1958 dispose que « les partis et groupements politiques concourent à l’expression du suffrage », ce qui ne veut pas dire grand-chose. À la fois par dégoût de la politique en général et en raison du constat que, dans la démocratie parlementaire, les représentants ne représentent plus rien, les citoyens ont massivement déserté les partis (dont le financement dépend désormais des subventions publiques), tout comme ils ont déserté les églises et les syndicats. Les partis sont en outre discrédités : il n’y a plus aujourd’hui que 9 % des Français pour leur faire confiance (sondage CEVIPOF, janvier 2015).

    La politique était autrefois à la fois un métier et une vocation (« ein Beruf », disait Max Weber). Aujourd’hui, la médiocrité de la classe politique tient au fait qu’elle n’attire plus un personnel de qualité : les individus doués se tournent vers d’autres professions, socialement plus gratifiantes et financièrement mieux payées. Même s’ils restent la voie d’accès privilégiée aux fonctions politiques et continuent de monopoliser l’accès aux responsabilités électives (on fait carrière en politique en échangeant des services avec un parti), les partis ont également évolué, et dans la pire direction.

    Les partis veulent rassembler, tandis que les idées divisent. C’est pour cette raison qu’aucun intellectuel digne de ce nom ne peut se sentir à l’aise dans un parti. C’est aussi pourquoi, dans tous les partis, l’idéologique a très tôt cédé la place au programmatique, qui a ensuite été remplacé par le communicationnel : effets d’annonce, petites phrases, commentaires des sondages, pression des réseaux sociaux, agenda dicté par des exigences médiatiques qui se succèdent en « temps zéro », entretenant ainsi le culte de l’instant. Nous n’avons plus maintenant que des partis à l’américaine, c’est-à-dire des écuries présidentielles qui n’existent vraiment qu’à l’approche des échéances électorales. Comme l’a écrit Marcel Gauchet, « le parti ayant vocation, à la fois à dégager une représentation politique, à définir un corpus idéologique et à encadrer les forces sociales, est une figure du passé ». Il en va de même des engagements politiques de type « sacerdotal ».


    Peut-on sérieusement imaginer qu’un parti politique, quel qu’il soit, puisse aujourd’hui faire changer démocratiquement la société ? En ce domaine, les lobbies et autres groupes financiers ne sont-ils pas finalement plus performants ?

    On sait depuis longtemps qu’aucun parti politique ne peut être vraiment démocratique, en raison de la « loi d’airain des oligarchies » si bien décrite par Roberto Michels, qui a pour effet de diviser tout parti en une minorité dirigeante et une majorité dirigée, créant ainsi une bureaucratie de dirigeants professionnels coupés du peuple : « L’organisation est la source d’où naît la domination des élus sur les électeurs, des mandataires sur les mandants, des délégués sur ceux qui les délèguent » (Les partis politiques. Essai sur les tendances oligarchiques des démocraties, 1911). Cette bureaucratisation des partis explique la surreprésentation en leur sein de certaines catégories sociales, qui se recrutent par copinage et par cooptation : fonctionnaires, anciens élèves de l’ENA, anciens attachés ministériels et parlementaires, qui n’ont jamais vraiment connu la vie réelle (nombre de candidats socialistes issus de la classe ouvrière aux dernières élections : zéro).

    À l’exception de Marine Le Pen, il n’y a d’ailleurs plus en France de chef de parti digne de ce nom : Harlem Désir ou Cambadélis n’ont évidemment pas remplacé Jean Jaurès, Pierre Laurent n’est pas vraiment Georges Marchais, Nicolas Sarkozy n’est qu’un caractériel, comme Manuel Valls (l’un dans le genre ludion, l’autre dans le style ténébreux). François Hollande reste, lui, un personnage inintelligible.

    La grande Simone Weil avait publié en 1940 une Note sur la suppression générale des partis politiques . Son jugement était-il prémonitoire ? Conserve-t-il une quelconque pertinence ?

    Dans ce texte, réédité en 2006 aux Éditions Climats, Simone Weil décrivait les partis politiques comme des « machines à fabriquer de la passion collective » et des organisations « totalitaires en germe et en aspiration », et prônait en effet leur suppression. Mais elle ne disait pas par quoi l’on pourrait les remplacer. Ni comment on pourrait empêcher les gens de se regrouper au sein d’une quelconque association pour faire de la politique ensemble.

    Son propos n’en reste pas moins très actuel quand elle écrivait que « l’unique fin de tout parti politique est sa propre croissance, et cela sans aucune limite », observait qu’il n’y a pas grande différence entre l’attachement à un parti ou l’attachement à une Église, l’un et l’autre nourrissant une même attitude partisane (« l’opération de prendre parti, de prendre position pour ou contre, s’est substituée à l’obligation de la pensée »), ou exprimait le vœu que « le peuple ait à exprimer son vouloir à l’égard des problèmes de la vie publique, et non pas à faire seulement un choix de personnes ». Mais qui lit encore Simone Weil ?

    Entretien réalisé par Nicolas Gauthier

    BOULEVARD VOLTAIRE

  • Marine Le Pen et Louis Aliot iront au gala du Time à New York

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    Louis Aliot et Marine Le Pen lors d'une séance au Parlement européen

    DOCUMENT - La présidente du Front national qui fait partie des 100 personnalités les «plus influentes du monde» selon Time Magazine, a répondu positivement à l'invitation de Nancy Gibbs, éditrice du journal américain.

    Alors que le journal new-yorkais Time a publié, vendredi 17 avril, la liste complète de son classement des 100 personnalités «les plus influentes du monde», Marine Le Pen a répondu positivement à l'invitation de l'éditrice Nancy Gibbs. Celle-ci l'a conviée à la soirée de gala organisée mardi 21 avril au sein du prestigieux Jazz Lincoln Center de New York. La présidente du Front national se rendra au dîner avec son compagnon Louis Aliot.

    Comme le souligne le courrier, près de trois cents personnes sont attendues durant cet événement où nombre de figures politiques mais aussi scientifiques, artistiques, médiatiques et du monde des affaires sont habituellement présentes. Sans parler des stars chargées d'animer la soirée.

    «Ce n'est pas une liste de héros ou d'anges»

    Selon Vivienne Walt, la correspondante du Time à Paris, qui avait rédigé un premier article de couverture sur Marine Le Pen en mai 2014 et qui vient de signer le texte dédiée à la leader frontiste dans le dernier classement, cette liste annuelle des 100 personnalités les plus influentes n'est pas déterminée en fonction de leurs éventuelles réussites ou échecs. Nancy Gibbs et une équipe réduite débattent et fixent leurs choix en fonction du poids potentiel des personnalités dans leur pays. «Ce n'est pas une liste de héros ou d'anges, ou de personnes que l'on aime ou que l'on n'aime pas, précise la journaliste, les figures sont choisies en fonction de leur impact sur la politique française.»

    Marine Le Pen «fascine» les Américains

    Concernant la perception de Marine Le Pen par les Américains, Vivienne Walt évoque une «fascination» avant d'ajouter: «C'est une femme et elle est puissante. Elle s'inscrit aussi dans une famille relativement connue au sein de laquelle il y a des ruptures. Elle s'exprime sur les grands sujets de son pays, elle veut sortir la France de l'Union européenne...» La journaliste du Time rappelle enfin que «79% des Américains ne savent rien de la France» et que la vie politique française est très éloignée des préoccupations d'une Amérique elle-même «très divisée».

    LE FIGARO

  • Hollande: un débat "déprimant"