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Aymeric Chauprade - 21 avril 2015 par hurraken75
Excellente vidéo!
21/04/2015 – FRANCE (NOVOpress)
Michel Barnier était face à Michèle Cotta, Arlette Chabot et Serge July dans “Le Club de la Presse” lundi soir sur Europe 1.
Réagissant aux derniers naufrages d’immigrés clandestins en Méditerranée, Michel Barnier considère que pour – régler le problème -, il suffirait d’ouvrir encore plus nos frontières :
Il faudra accueillir plus de réfugiés en France
De son côté, l’ONU semble sur la même longueur d’onde en suggérant d’accepter l’invasion migratoire et le Grand Remplacement aux Européens. En effet, le Haut-Commissaire de l’ONU aux droits de l’Homme, Zeid Ra’ad Al Hussein, a lourdement critiqué lundi les politiques migratoires “cyniques” de l’Union européenne :”L’Europe tourne le dos à certains des migrants les plus vulnérables dans le monde, et risque de transformer la Méditerranée en un vaste cimetière“.
Pour sa part, le Premier ministre australien Tony Abbott a conseillé mardi à l’UE de suivre l’exemple de son pays et de refouler tous les migrants arrivés par la mer.
Tony Abbott a exhorté l’UE a faire preuve de fermeté :
Des centaines, peut-être des milliers de personnes se sont noyées en essayant d’atteindre l’Europe depuis l’Afrique. Le seul moyen d’empêcher ces tragédies est de mettre fin (à l’arrivée) des bateaux (…) Il est urgent que les Européens adoptent une politique très ferme qui puisse mettre fin au trafic d’êtres humains en Méditerranée.
L'ancien comptable d'Auschwitz jugé en Allemagne par lemondefr
Le Japon met en service un gigantesque porte... par lemondefr
OUI
NON
20 Avril 2015, 23h49 | MAJ : 21 Avril 2015, 00h03
Un phénomène bien plus sensible encore depuis les attentats de janvier dernier et qui conduit les dirigeants et cadres d'entreprises ou de services publics à intervenir de plus en plus pour clarifier des situations parfois conflictuelles liées au fait religieux.
Parmi les questions qui se posent, il y a également celle du port, dans les entreprises privées, de signes religieux interdits dans les services publics.
Le Parisien
Bridé dans sa carrière, Freud a adhéré à la franc-maçonnerie en 1897. Un ouvrage de 2012 éclaire quarante années de fidélité discrète au B'nai B'rith.
La plupart de ses biographes ont préféré l'ignorer, et parfois le taire : Sigmund Freud (1856-1939) était franc-maçon. En 1897, à l'âge de 41 ans, il adhère à la loge "Wien", fondée dans la capitale austro- hongroise. Marié, père de trois enfants, le pionnier de la psychanalyse est, à l'époque, un médecin isolé et dépressif, bridé dans sa carrière hospitalo- universitaire et dans ses recherches. C'est aussi, en cette fin du XIXe siècle, un homme sans illusions : il estime que l'assimilation des Juifs n'est plus possible dans son pays, où se répand à nouveau un climat d'antisémitisme.
Jusqu'à sa mort, quarante-deux ans plus tard, Freud restera fidèle à sa loge, qui dépend de l'association maçonnique juive B'nai B'rith. Il y trouvera un soutien moral et une audience : à de nombreuses reprises, il y présente ses travaux. Ainsi, ses deux premières conférences, en décembre 1897, sont consacrées au rêve - la "voie royale qui mène à l'inconscient" - et à son interprétation. Encouragé par le succès rencontré, il défendra le même travail quelques jours plus tard à l'université de Vienne. Mais trois auditeurs seulement peupleront les bancs de l'amphithéâtre !
"De quoi le conforter dans le choix d'un auditoire choisi", remarque Jean Fourton, auteur de Freud franc-maçon, un ouvrage dont nous vous proposons les "bonnes feuilles". Lui-même membre du B'nai B'rith - et du Grand Orient de France depuis 1958 -, Fourton a été clinicien psychanalyste, disciple du psychiatre français Jacques Lacan et membre de l'Ecole freudienne de Paris. Son livre est le fruit d'une recherche dans les bibliothèques du B'nai B'rith et dans les archives freudiennes de Washington, désormais accessibles au grand public.
Vient le jour de 1895 où Edmund Kohn propose à son ami etpatient désespéré de le parrainer pour qu'il entre au B'naiB'rith ; ainsi sortira-t-il de son isolement. Il était normal àl'époque de patienter le temps d'une longue enquête. C'est toujours le cas aujourd'hui. Il s'agit d'éloigner les candidatsinspirés par l'ambition, l'agressivité, la curiosité, l'infiltration.L'initiation de Freud aura lieu 2 ans après sa demande, le 29septembre 1897, à la loge "Vienne" [...]. Il n'y a déjà plus àl'époque de rituel d'intimidation ou de bizutage de l'impétrant au B'nai B'rith. L'institution n'a jamais été très preneuse deces humiliations phobogènes d'un autre âge qui seraient unhéritage des pratiques médiévales appartenant aux Compagnonset que l'on a retrouvées en certaines obédiences maçonniques.Mais quelque chose de l'ordre d'une castration symbolique,ou plutôt d'une totémisation, dans les limites territorialesde l'institution, fonctionne.
Précisons que l'on demande généralement tout juste à l'impétrant,"à la gloire et sous la protection du Très-Haut", d'entrer dans la loge entouré de deux frères et relié à eux par une corde. Cette corde matérialise le lien d'intégration etde solidarité du nouveau venu. Paradoxalement, ce sera historiquementpour Freud un lien de plus et non une aliénation,pour découvrir et mettre en paroles sa conceptualisation del'inconscient et de la psychanalyse, discipline clinique,école de l'amour et de la liberté. La loge est un lieu de paroleréglementé. Sa créativité aurait pu s'en trouver assourdie, maisc'est un paradoxe, certains liens ont une fonction libératrice[...].
Beaucoup d'auteurs se sont fait piéger à établir des similitudesentre psychanalyse et franc-maçonnerie. Que l'on fasse sa proprecure psychanalytique et la différence surgit tout de suiteà la conscience. Nombre d'obédiences ont pour objet de chercher"la" vérité, alors que l'analyse donne à un sujet lapossibilité de découvrir la sienne. Jung qui fut également francmaçon,mais à l'Alpina, obédience suisse souvent protestante,défendait la théorie d'un inconscient universel, projetant ainsile sien et faisant de lui Dieu. Une telle conviction peut fairepartie d'un épisode dans une cure inachevée. Il semble en effetque Jung soit tombé du divan de Freud quelques mois avantl'arrivée, ce qui ne diminue en rien l'esthétique de son propos[...].
Il interviendra en 1901 au sujet des buts du B'nai B'rith et,un an plus tard, on l'entendra sur le rôle de la femme dansla vie de la loge. Il faut dire qu'à l'époque les femmes sont fréquemmentau centre des discussions et qu'il n'est pas toujoursfacile qu'elles se trouvent une place. Par exemple, en1902, un texte de Paul Möbius intitulé La Faiblesse d'espritdes femmes (sic) sera inscrit pour étude approfondie à l'ordredu jour de la deuxième loge de Vienne qui s'appelleHarmonie (Eintracht). Freud viendra visiter cette loge soeurqu'il a d'ailleurs contribué à fonder et il interviendra massivementdans le débat [...]. En principe, il prendra plutôt laparole sur des sujets qui font partie de ses travaux en cours,ou de travaux qu'il va publier. Par exemple, le 9 février 1900,il donne une conférence, à laquelle les dames sont invitées enloge, sur la Psychologie de l'enfant que l'on retrouve aussisous le titre La Vie mentale de l'enfant. La même année, le 24avril, il parle de Fécondité, roman d'EmileZola qu'il avait classé parmi un choix de dixbons livres, en réponse à une enquête d'éditeur[...].
Freud Franc-maçon, par Jean Fourton,éditions Lucien Souny.
20 Avril 2015, 20h52 | MAJ : 20 Avril 2015, 22h29
Calme et impassible. C'est sans sourciller qu'à plusieurs reprises, Bachar al-Assad a assuré au journaliste David Pujadas parti l'interroger en Syrie dimanche que la France soutenait les «terroristes» dans son pays. Dans un entretien télévisé accordé «dans l'une des résidences du régime» et diffusé ce lundi sur France 2, le président syrien s'est défendu d'avoir favorisé l'émergence de Daech (le groupe Etat islamique), d'avoir utilisé des armes chimiques ou «aveugles» sur sa population ou encore d'avoir fait tuer en 2012 le journaliste de la chaîne publique, Gilles Jacquier.
En revanche, Bachar al-Assad a déploré l'attitude à son égard du président François Hollande et accusé les Occidentaux d'avoir appuyé la révolte syrienne.
Pas de violence ni d'arme aveugle
«Est-il possible d'avoir le soutien de son peuple alors qu'on est brutal avec lui ?» a fait mine d'interroger l'interviewé, questionné sur les violences faites par son armée à ses opposants depuis l'insurrection débutée en mars 2011. Et Bachar al-Assad de poursuivre : «Il y a 23 millions de Syriens, comment peuvent-ils avoir peur d'une seule personne? Ça n'est pas réaliste!» Le président syrien l'assure, «ceux que vous appelez l'opposition, il s'agit de terroristes!»
VIDEO. Al-Assad accuse la France de soutenir les «terroristes»
Bachar al-Assad a beau admettre qu'il n'y avait au départ «pas que des jihadistes» dans les manifestations qui ont tourné au carnage, pas question de reconnaitre que le seul tort de certains était de demander plus de libertés. Le président syrien renvoie simplement le journaliste à «celui qui a pris une arme pour tuer le premier policier». Un «terroriste», tranche-t-il. «La liberté signifie-t-elle qu'on détruise une école?» insiste-t-il encore.
«Des terroristes se sont infiltrés en Syrie, avec l'appui d'Occidentaux, ont commencé à attaquer des civils et détruire des propriétés privées. Notre rôle est de défendre notre société», se défend le chef de guerre. Pour autant, Bachar al-Assad assure qu'il n'a utilisé que «des armes conventionnelles» pour repousser cette insurrection. Des barils explosifs, des armes aveugles ou chimiques? «Nous n'avons jamais entendu parler d'arme aveugle au sein de notre armée», assure-t-il. «Et c'est quoi les barils explosifs ?» poursuit le chef de Damas qui affirme n'avoir que «des armes qui visent les terroristes» puisque «à quoi bon tuer aveuglément? La guerre consiste à gagner le cœur des gens!»
La France soutient les «terroristes»
Quant au chlore, que l'organisation des droits de l'homme Human Rights Watch (HRW) pense avoir détecté, «nous ne l'avons pas utilisé, nous n'en avons pas besoin. Nous avons invité l'ONU a faire une enquête», se targue-t-il même. Mais selon lui, l'Occident lui en veut : «Comment peut-on établir un dialogue avec un régime qui soutient le terrorisme dans notre pays? (...) La France est devenue en quelque sorte un satellite de la politique américaine dans la région. Elle n'est pas indépendante, et n'a aucun poids, elle n'a plus aucune crédibilité.» A-t-il, comme certains observateurs le pensent, sollicité la France pour rétablir des relations? «Nous, nous n'avons rien à demander aux renseignements français, nous savons déjà tout sur les terroristes», répond le président syrien.
Dans un extrait de l'interview révélé plus tôt par France 2, al-Assad reconnaît qu'«il y a des contacts mais il n'y a pas de coopération» entre la France et la Syrie. «Nous avons rencontré certains responsables de vos services de renseignement», précise-t-il. Fin février, des députés français s'étaient rendus en Syrie et certains d'entre eux avaient rencontré Bachar al-Assad. Ce voyage a été condamné par François Hollande qui a regretté «une rencontre entre des parlementaires français qui ne sont mandatés que par eux-mêmes et un dictateur qui est à l'origine d'une des plus graves guerres civiles de ces dernières années, qui a fait 200 000 morts».
Le Parisien - 20 04 15
Source : Le Figaro – « Près de deux lieux de culte ou de sépulture chrétiens profanés chaque jour en France »
Le ministère de l’Intérieur a dénombré, en 2014, 807 atteintes aux lieux de culte et aux sépultures dont 673 à l’encontre de sites chrétiens.
Plus de 200 tombes saccagées, des dizaines de crucifix arrachés, des stèles brisées, des objets funéraires jetés au sol. Une «offense insoutenable», a condamné jeudi le premier ministre Manuel Valls, après la découverte, la veille, de la profanation du cimetière de Castres. Même précaution, chez François Hollande, pour souligner qu’il s’agissait de «tombes chrétiennes». Une façon de se rattraper, après les nombreuses critiques contre un gouvernement prompt à s’émouvoir des attaques concernant les juifs ou les musulmans, mais plutôt silencieux lorsque la foi chrétienne est insultée?
Des atteintes à des sépultures ou à des lieux de culte chrétiens, il y en a pourtant de plus en plus: près de deux par jour en 2014! La tendance est la même pour toutes les religions: les atteintes aux lieux de culte et aux sépultures, selon le ministère de l’Intérieur, augmentent régulièrement. «En 2014, on comptait 807 atteintes aux lieux de culte et aux sépultures dont 673 à l’encontre de sites chrétiens, détaille la place Beauvau. Sur les 216 atteintes à des cimetières, 206 concernaient des sites chrétiens. Sur les 591 atteintes à des lieux de culte, 467 concernaient des sites chrétiens.» Pour les sites israélites, le ministère a recensé des atteintes à 61 synagogues, un centre communautaire, 6 cimetières et 2 monuments aux morts en 2014 (contre 26 faits en 2013). Pour les sites musulmans, il note une légère diminution des profanations en 2014: 60 mosquées et salles de prières, ainsi que 4 carrés musulmans dans un cimetière ont été touchés (contre 75 faits en 2013).
Mais pour de nombreux chrétiens, les profanations d’églises ou de cimetière sont souvent occultées, en tout cas rapidement oubliées… «La profanation d’une église crée une forte émotion spontanée, mais qui ne dure pas forcément, constate Mgr Olivier Ribadeau Dumas, porte-parole de la Conférence des évêques de France (CEF). Il est extrêmement important qu’à chaque fois, une plainte soit déposée. Nous demandons aussi aux pouvoirs publics de manifester leur désapprobation. Il me semble essentiel que l’on protège ces lieux: ce ne sont pas de simples salles de réunion! Les dégradations sont une atteinte aux chrétiens, mais plus généralement à tous les Français.»
Crédit photo : Ameline via Flickr (cc)
NOVOPRESS
St-Martin-le-Beau: le FN tente la récupération par tvtours
St-Martin-le-Beau: le FN tente la récupération (vidéo ci-dessus)
Trois voitures ont été incendiées cette nuit dans cette petite commune de Touraine. Le feu s’est propagé à l’église, qui est ce matin à moitié détruite. 25 autres voitures ont été volontairement dégradées.
La nuit a été mouvementée, à Saint-Martin-le-Beau. Cette petite commune de Touraine a vu son église en grande partie dévastée par un incendie. En fait, trois voitures garées à ses pieds ont été volontairement incendiées. Le feu s’est propagé au bâtiment. Les deux tiers de la toiture sont détruits, ainsi que la moitié du bâtiment
Et ce n’est pas tout : selon la maire Angélique Delahaye, quelque 25 véhicules ont été vandalisés – pneus crevés. Des poubelles ont été incendiées, ainsi qu’une cabine téléphonique.
La maire dénonce « une volonté criminelle manifeste », et ne la comprend pas, elle qui dirige une petite ville sans histoire…
FDS