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  • Avez-vous un ami noir ?

    Micro-trottoir réalisé par François Durpaire

    NDF

  • L’immigration précipite la France vers le chaos

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    02/05/2014 – France (NOVOpress avec le Bloc Identitaire)
    L’immigration massive, encouragée par les gouvernements successifs, porte les germes de la déliquescence de notre société et de la guerre civile. La multiplication des actions de terroristes islamiques le démontre.

    L’attentat déjoué fortuitement de Sid Ahmed Ghlam dans deux églises en région parisienne n’est que le dernier en date d’une longue série. Il y a eu l’attaque contre Charlie Hebdo, bien sûr, mais aussi les attaques au couteau ou à la voiture-bélier en décembre dernier à Dijon et Nantes. Mohamed Merah (Toulouse et Montauban) et Mehdi Nemmouche, (musée juif de Bruxelles) sont encore dans toutes les mémoires. Un peu plus loin de nous, Tunis et Copenhague ont été récemment ensanglantées. L’Afrique, le Moyen-Orient et l’Asie Centrale font l’objet de véritables génocides à l’encontre de leurs populations chrétiennes…
    Rappelons aussi que l’État Islamique a menacé l’Europe de la submerger de 500 000 migrants, parmi lesquels se dissimuleront de nombreux terroristes, si elle intervenait militairement en Libye. Une menace qui a au moins le mérite de souligner que l’immigration est une arme, laquelle est déjà en train de précipiter l’Europe, et la France au premier plan, vers le chaos.

    Sid Ahmed Ghlam : faussaire, fiché pour terrorisme, laissé en liberté !

    La particularité du cas Sid Ahmed Ghlam est de démontrer, s’il en était besoin l’absurdité de la politique des gouvernements successifs vis-à-vis de l’immigration. Cet étudiant algérien arrivé en France en 2010 dans le cadre du regroupement familial et qui souhaitait mener le djihad en France était boursier, bénéficiaire d’une chambre dans un foyer étudiant du XIIIe arrondissement de Paris. Une bourse et un logement auxquels il ne pouvait normalement pas prétendre, car l’administration avait découvert en décembre 2014 que Sid Ahmed Ghlam avait falsifié des documents pour entrer à l’université !

     

    Pire, il était fiché pour terrorisme, entendu deux fois par les services de renseignement à cause de son désir de partir rejoindre l’État islamique. Selon Le Canard enchaîné, il aurait fréquenté la filière des « Buttes-Chaumont », à l’instar des deux auteurs de l’attaque contre Charlie Hebdo et aurait séjourné en 2013 et 2014 dans le quartier de la Croix-Rouge, à Reims, soit à quelques pas du domicile des frères Kouachi.
    Pourtant, aucune mesure n’a été prise à son encontre.

    Symptomatique d’une société en déliquescence est la présence aux côtés du terroriste algérien, de sa compagne, Jennifer, une Française de souche de 25 ans convertie à l’islam, « très radicalisée » selon les enquêteurs et portant la burqa. Le grand remplacement est aussi à l’œuvre dans les esprits de certains Français, avec pour conséquence la plus visible le risque djihadiste.

    Des chiffres alarmants

    Les chiffres communiqués par le gouvernement (et sûrement minorés) sont éloquents :

    • La France a déjoué cinq attentats depuis janvier.
    • 1573 Français, ou résidents en France, sont recensés pour leur implication dans ces filières terroristes.
    • 79 personnes ont été placées en garde à vue par la Direction générale de la sécurité intérieure (DGSI) depuis janvier. Soit une moyenne d’environ une personne en garde à vue toutes les trente heures.
    • On ne compte plus les caches d’armes de guerre découvertes dans les banlieues et l’usage quasi quotidien d’armes automatiques par les bandes ethniques. Le 2 mai encore, un adolescent de 14 ans a été abattu à Trappes au pistolet-mitrailleur, victime d’une guerre de gangs.
    • Tout cela, alors que dans le même temps entre 5 000 et 10 000 clandestins arrivent chaque semaine sur les côtes européennes.

    Alors que des groupes islamistes veulent transformer la France en terre d’islam par une violence de plus en plus exacerbée, qui glisse doucement du terrorisme vers la guerre civile, il est urgent de rompre avec l’utopie multiculturaliste et l’immigration de masse qui nourrissent ces phénomènes.

    C’est ce que préconise le Bloc Identitaire, qui explique que

    Seuls l’arrêt de l’immigration et une politique de remigration concertée pourront empêcher un basculement fatal.

    Une mesure prônée pour « préserver la concorde sociale, la paix civile et l’existence même des nations d’Europe et de notre civilisation ».

  • Voisine d’une famille rom relogée par la préfecture : « C’est infernal, je veux de la tranquillité »

     

    17h51

    Autre exemple d’une cohabitation délicate entre voisins avec cette habitante de la rue des Groges, à Saint-Benoît (Vienne). Ici aussi, sous couvert d’anonymat, elle dénonce le bruit et les incivilités quotidiennes de ses voisins.

     

    Il s’agit d’une famille rom avec sept enfants. Ils ont été logés dans cette habitation d’un bailleur social depuis deux ans par l’ancien secrétaire général de la préfecture. « Je m’en fiche qu’ils soient du voyage ou pas. Je veux de la tranquillité, s’énerve la voisine. Je travaille tous les jours entre 2 h et 14 h et je veux pouvoir me reposer tranquillement.

    Ils vivent dehors, parlent très fort, les enfants crient, ils mettent la musique à fond. C’est bien simple, je ne peux pas profiter de mes extérieurs. L’an passé, j’avais déjà eu des soucis. J’ai déposé plusieurs mains courantes mais rien ne change. C’est infernal, je veux de la tranquillité. Je demande à ce que les élus viennent constater par eux-mêmes. » Dominique Clément, maire de Saint-Benoît, n’a pas eu besoin de se déplacer. Quand nous l’avons interrogé, il était déjà au courant de cette affaire. « C’est un vrai sujet compliqué, soupire-t-il. Les enfants posent des problèmes d’incivilités. A l’école, l’un d’eux a une attitude très agressive. C’est une famille qui n’est pas habituée à rentrer dans le moule républicain. C’est un choc des cultures avec la voisine. »

    Source

    Merci à markan

    FDS

  • 1er mai 1776 : naissance des Illuminatis de Bavière

    1 mai 2015 par admin4  - CONTRE-INFO.COM

    Ce jour-là fut créé l’ordre secret des « Illuminés (ou Illuminati) de Bavière », prétendant ressusciter les mystères de Mithra, par le franc-maçon révolutionnaire Adam Weishaupt (né juif, baptisé puis éduqué par les Jésuites avant de changer encore) et cinq autres frères (dont le chanoine Rocca et Benjamin Franklin).
    Ils seront 2500, cinq ans après.

    Cette puissante secte occultiste a joué un rôle important dans la survenue et le déroulement de la Révolution française (selon l’abbé Barruel notamment).

    Selon certaines théories, l’ordre des Illuminés de Bavière qui a officiellement disparu en 1786 après une répression par les autorités du Sud de l’Allemagne, aurait survécu et se trouverait au sommet de la hiérarchie occulte qui travaille à l’avènement du nouvel ordre mondial.

    Source : T. de Chassey

    Pour se former et former son jugement sur ces questions, voir cette bibliographie.

  • Un patrouilleur français sauve 217 naufragés au nord des côtes libyennes

    http://www.leparisien.fr/international/un-patrouilleur-francais-sauve-217-naufrages-au-nord-des-cotes-libyennes-02-05-2015-4740809.php

  • XVe : messe dans la rue devant Sainte Rita murée

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    02 Mai 2015, 19h12 | MAJ : 02 Mai 2015, 19h15

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    réagir                                                       Paris (XVe), samedi. Les accès à l'église sont murés depuis mercredi. LP / Elodie Soulié

    Les défenseurs de l’église Sainte Rita (XVe), promise à démolition en raison d’un projet immobilier, ne rendent pas les armes. Les accès à ce lieu de culte construit en 1900 étant murés depuis mercredi, Mgr Samuel Pouhé, évêque gallican, célèbrera la messe ce dimanche matin à 10h30 dehors, devant l’église,au 27, rue François Bonvin (XVe).

     

    Une centaine de fidèles sont attendus à l’office. Patronne des causes désespérées, Sainte Rita est la seule paroisse de France à accueillir et bénir les animaux.

    Le Parisien

  • Un étudiant en médecine horrifié : « J’étais pro-choix, mais je viens de voir un bébé se faire déchirer membre par membre dans un avortement»

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    Il y a quelque temps, j’ai reçu un témoignage d’un étudiant en médecine qui a préféré ne pas laisser son nom. Il venait d’être témoin d’un avortement dans le cadre de sa formation. Profondément troublé, il a voulu en parler à quelqu’un. Il était hanté par ce qu’il avait vu.

    L’étudiant commence en disant qu’il était fermement dans le camp pro-choix avant d’assister à cet avortement :

     

    « Pour commencer, je dois dire que jusqu’à hier, vendredi le 2 juillet 2004, j’étais fermement pro-choix. Je suis un étudiant en médecine et, étant très scientifique, j’avais compris que la masse de cellules qui forme le corps du fœtus n’est généralement pas en mesure de survivre avant d’avoir passé le stade de vingt-quatre semaines dans l’utérus. Je suis aussi quelque peu libéral et je croyais que toutes les femmes devaient avoir le droit de choisir de ce qu’elles faisaient avec leurs corps et avec le corps de celui qui pourrait potentiellement grandir à l’intérieur d’elles ».

    L’étudiant avait entendu les slogans utilisés par les mouvements pro-choix. Il les a pris au pied de la lettre, croyant que le bébé à naître était « une masse de cellules » et non pas un être humain à part entière. Il a estimé qu’une femme « avait le droit de contrôler son corps » et n’a pas éprouvé d’empathie pour le minuscule bébé à l’intérieur d’elle. Il n’a pas cru en l’humanité de l’enfant ou en son droit à la vie.

     

     

    Alors, il a saisi l’opportunité d’assister à un avortement. À cause de ses croyances pro-choix, il ne s’attendait pas à être dérangé par quoi que ce soit dans ce qu’il verrait :

     

    « Cet été, j’ai été accepté dans un programme pré-médical à New-York, programme dans lequel on nous permettait de suivre les docteurs et de les observer pratiquer toutes sortes d’actes médicaux. Quand l’opportunité de voir un avortement s’est présentée, je n’ai pas hésité une seule seconde avant d’accepter l’offre. C’était un acte nouveau, précis, et excitant auquel je n’avais jamais assisté ».

    Il décrit alors avec exactitude ce dont il a été témoin dans la salle d’opération :

    « Quand je suis entré dans la salle, j’ai remarqué qu’elle était semblable à toutes les autres salles dans lesquelles j’avais déjà travaillé. Sur la table devant moi, j’ai vu une femme avec les jambes dans les airs, comme si elle était en train d’accoucher, bien qu’elle fût endormie. À côté d’elle, il y avait un plateau d’instruments pour l’avortement et une machine pour aspirer les tissus fœtaux de l’utérus. Les docteurs ont enfilé leurs habits et mis leurs masques, puis la procédure a commencé. Le col de l’utérus a été tenu ouvert avec un instrument métallique brut et un grand tube transparent a été inséré à l’intérieur de la femme. En quelques secondes, le moteur de la machine a démarré, et du sang, des tissus et des petits organes ont été aspirés et retirés de leur environnement. Une minute plus tard, l’aspirateur s’est arrêté. Le tube a été retiré. Collés au bout se trouvaient un petit corps et une tête à peine rattachée puisque le cou avait été broyé. Les côtes étaient formées et il y avait une mince couche de peau pour les couvrir, les yeux s’étaient formés et les organes internes avaient commencé à fonctionner. Le cœur minuscule du fœtus, de toute évidence un petit garçon, venait de s’arrêter à tout jamais. Le filtre de l’aspirateur a été ouvert, et les bras et jambes minuscules qui ont été déchirées du fœtus s’y trouvaient. Les doigts et les orteils commençaient à avoir des ongles. Les docteurs, fiers de leur travail, ont rassemblé les différentes parties du corps pour me les montrer. Les larmes me sont montées aux yeux lorsqu’ils ont enlevé le petit bébé de la table et jeté son corps dans un contenant pour déchets biologiques ».

    Puisque cet avortement a été effectué par succion, le bébé doit avoir été d’au moins treize à quatorze semaines, mais il était quand même assez âgé pour que son humanité soit évidente.

    Les avortements effectués lors du deuxième trimestre sont généralement faits par dilatation et évacuation, une procédure dans laquelle des forceps sont utilisés pour déchirer et broyer le bébé plutôt que l’aspirer.

    L’étudiant était hanté par ce qu’il avait vu :

    « Depuis hier à 10:30, je n’ai pas réussi à penser à autre chose qu’à ce que ce petit bébé garçon aurait pu devenir. Je ne pense pas que les gens réalisent ce qu’est un avortement avant d’en voir un pour de vrai. J’ai été torturé par ces images – tellement vraies et vives – pendant deux jours maintenant…. Et je n’étais qu’un spectateur.

    Jamais plus je ne serai pro-choix, et jamais plus je supporterai le meurtre d’êtres humains, peu importe le stade de vie auquel ils sont rendus. »

    Contrairement à la grande majorité des avortements, la mort de ce bébé a été pleurée. Quelqu’un a senti la tristesse et l’horreur rattachées à son décès. Chaque jour, des milliers de bébés comme lui sont aspirés hors de l’utérus de leurs mères. Ils sont rejetés par leurs mères et vus comme des déchets par leurs tueurs. La société permet à ces bébés de mourir silencieusement, sans reconnaissance ou compréhension de leur humanité. Ce petit garçon n’aura jamais de nom. Il ne respirera jamais une bonne bouffée d’air, n’aura jamais de petit chien de compagnie, ne regardera jamais un coucher de soleil, n’ira jamais se promener à bicyclette… Il n’éprouvera jamais toutes ces choses que vous et moi prenons pour acquises. Mais peut-être que ce bébé n’est pas mort complètement en vain. Sa mort tragique a révélé la vérité à ce jeune homme. Et vous aussi, lecteurs, connaissez maintenant les circonstances terribles entourant la mort de ce bébé.

    Peut-être que l’histoire de ce malheureux enfant peut vous motiver à devenir plus actif dans le mouvement pro-vie. Il y a beaucoup de choses que vous pouvez faire, même à partir de votre ordinateur. Partagez cet article sur Facebook. Soumettez votre adresse courriel pour recevoir régulièrement des nouvelles des groupes pro-vie. Faites des dons d’argent pour des organisations pro-vie ou pour des centres d’aide pour femmes enceintes et en détresse – tous les dons sont bienvenus. Envisagez d’aller à une clinique d’avortement pour essayer de parler aux femmes qui y entrent (avec respect et gentillesse). Votez pour des partis pro-vie. Parlez à vos proches des horreurs de l’avortement, partagez-leur cet article ou d’autres. Soyez patients et compréhensifs, soyez gentils, soyez respectueux, mais par dessus tout, soyez actifs. Faites quelque chose.

    ALTERMEDIA FRANCE - BELGIQUE

  • « Je détruis les micros des espions »

     

    Communiqué de Bruno Gollnisch
    Député européen et membre du bureau politique du Front National

    Il y a deux semaines, « Le Petit Journal » de Canal + diffusait frauduleusement une de mes correspondances privées. Ce 1er mai, une autre équipe de ce programme a cherché autour de moi pendant près d’une heure à capter tout aussi frauduleusement et à notre insu nos conversations privées à l’aide d’un micro-perche.

    La loi, les directives très précises du CSA, et la morale la plus élémentaire prohibent ces procédés. Je réponds toujours courtoisement aux micros des journalistes qui m’interrogent. En revanche, je détruis les micros des espions. À bon entendeur….

  • Ploërmel: la croix du pape devra quitter le domaine public suite à la plainte de la Libre pensée

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    18h53

    Le tribunal administratif de Rennes a donné raison à la Libre pensée et s’est prononcé en faveur du retrait de la croix de la statue de Jean-Paul II sur le domaine public de Ploermel (Morbihan).

    Saisi par la fédération de la Libre pensée morbihanaise le 26 mars dernier, il vient de rendre son jugement en délibéré. Il confirme le caractère illégal de son implantation en 2006 dans le centre-ville de Ploërmel.

    L’association demandait le déplacement de la statue pour être en accord avec la loi de 1905 sur la séparation de l’Église et de l’État. Le rapporteur public avait proposé d’enlever la croix et l’arche, «symboles ostentatoires de la religion». Le tribunal administratif a suivi sa proposition. [...]

     

    «Le tribunal s’est prononcé en faveur de la suppression de la croix», confirme Patrick Le Diffon, le maire de Ploërmel qui note qu’elle fait partie de l’œuvre. «Si on enlève la croix, c’est l’auteur qui peut nous attaquer…»

    Œuvre de l’artiste russe Zourab Tsereli, la statue est protégée par la loi sur la propriété intellectuelle et son auteur a fait savoir à l’ancien maire de Ploërmel, Paul Anselin, qu’il s’opposerait à toute modification de l’ensemble. [...]

    Source

    Merci à Stormisbrewing