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  • Ajar, 10 ans (Montpellier) : « J’aimerais bien rencontrer des Blancs, me sentir en France ».

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    22h11

    Les parents d’élèves du Petit Bard-Pergola, un quartier défavorisé dans l’ouest de Montpellier où vivent 2 000 habitants d’origine maghrébine pour la plupart, réclament la mixité scolaire et occupent depuis la mi-mars quatre écoles du quartier.

    (…)

    « Ici, on est comme dans un ghetto. Je connais déjà tous les enfants parce qu’on grandit ensemble. Moi j’aimerais bien rencontrer des personnes différentes de moi » confie Ajar, 10 ans

    (…) Midi Libre

    FDS

  • Italie : des clandestins protestent contre le choix d’un hôtel à cause de la présence de femmes mariées

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    22h28

    A peine arrivés dans leur nouvel hôtel, les clandestins refusent de descendre du bus car ils ne veulent pas rester dans un endroit où il y a des femmes mariées. L’hôtel choisit par la préfecture ne convenait pas aux clandestins et ils ont réussi à changer d’endroit.

     

    Quelques africains transférés de la Sicile à la Toscane et destinés à la province de Livourne ont fait des pieds des mains parce qu’ils n’appréciaient pas l’hôtel Campiglia Marittima.

    Les motifs de la protestation? Ils sont nombreux et assez fantaisistes. Notamment la présence de femmes mariées dans l’hôtel.

    A la descente du bus, les immigrés – des jeunes hommes âgés entre 20 et 25 ans et provenants de Gambie, Ghana, Zimbabwé et Kenya ont commencé à protester. Parmi leurs revendications, il y a en une avec des motifs ethnico-religieux : loger dans une structure où sont présentes des femmes mariées qui font partie d’un autre groupe de clandestins arrivés avant. Une proximité que leur religion ne permet pas.

    Mais ce qui gêne aussi les Africains, seraient l’aggravation de la logistique et de leur espace vital  : « Nous n’avons pas assez de place pour cuisiner de manière autonome. » Evidemment ce qu’ils étaient habitués à avoir quand ils se trouvaient en Sicile. (…)

    Source

    FDS

  • Un tveet du FNJ Génération Nations

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  • Un tweet de Marine Le Pen

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  • Un tweet de Marion Maréchal-Le Pen

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  • La reconnaissance du lion envers sa bienfaitrice

    La reconnaissance d'un animal  c'est vraiment incroyable....

     

     

     

    Souvenir de 5 ans resté présent.
     
     
    Une dame trouve un lion blessé très grièvement . Elle le ramène chez elle, le soigne et le nourrit. Une fois hors de danger elle s’occupe à ce qu’un zoo le reçoive afin qu’il soit en sécurité.
    5 ans après elle se rend visite à son ancien patient. Elle s’approche de la cage de  l’animal qui reconnait sa bienfaitrice  . . . tous les touristes croient à une attaque en règle. Voyez le déroulement par vous-même.
    Cette magnifique bête nous donne un  fichu  bon exemple de gratitude même après 5 ans depuis  son sauvetage.
                                          
    http://www.vitality101.com/Fun/lion-kisses-rescuer
     
     
    (merci  à Dirk)
     
  • Commissaire politique stalinien du Viêt Minh, BOUDAREL, le monstre français du camp 113

    « Dès le déclenchement de la deuxième guerre mondiale l’Indochine fut envahie par l’armée japonaise qui occupait déjà la Chine et qui avait proclamé en 1938 sa volonté d’éradiquer toute présence d’homme blanc en Extrême-Orient allant jusqu’à introniser, à son départ, le 2 septembre 1945, le gouvernement communiste Hô Chi Minh.

     

    Lors des hostilités avec la France, le Viêt Minh effectua de nombreuses prises d’otages, incluant des civils. Beaucoup de prisonniers militaires français passèrent dans des camps d’internement situés dans les régions sous contrôle indépendantiste et furent soumis à une tentative de « rééducation marxisante » par des commissaires politiques au nombre desquels des communistes étrangers et Français faisaient montre d’un zèle excessif… Ainsi le PCF, par la voix de ses responsables, Maurice Thorez, Jacques Duclos, le couple Joliot-Curie… joua un rôle essentiel, non seulement dans la conception, mais aussi dans l’exécution du lavage de cerveau.

    Le sort des prisonniers dans ces camps de rééducation fut longtemps méconnu du grand public. L’affaire Georges Boudarel contribua à la rappeler à l’opinion dans les années 1990.Militant du parti communiste français, chrétien progressiste et marxiste, Georges Boudarel naquit en 1926. En avril 1948, il s’embarqua pour l’Indochine comme professeur de philosophie et anima l’antenne indochinoise du PCF, le groupe culturel marxiste auquel Jean Chesneaux, l’historien communiste, appartient.

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    Le 17 décembre 1950, refusant d’être incorporé dans l’armée française et considéré comme « insoumis » puis déserteur, il rejoignit le Việt Minh et se rendit après une longue marche au Tonkin où, en 1953, il fut nommé commissaire politique dans un camp de rééducation de prisonniers, le camp 113.

    Situé près du village de Nam Nahm, à 25 km à l’ouest du kilomètre 32 de la RC2 (60 kms au sud de la frontière de Chine et 30kms au sud-ouest de Bac.Giang), ce camp, insalubre, connut très vite une intense activité mortuaire… Son cimetière débordait de cadavres que les grosses pluies d’automne déterraient. Les rats pullulaient et s’attaquaient aux mourants à l’infirmerie. Dès lors, la situation sanitaire devint telle qu’il fallut évacuer ce camp et le reconstruire 30 kilomètres plus à l’est, au nord de VINT-THUY, non loin de la RC2, près de LANG-KIEU.

    Quelque 320 prisonniers, survivants d’un triste bétail pensant, abandonnés à leurs délires, à leurs rêves et à leur rancœur, tous d’origine européenne, officiers, sous-officiers et soldats, croupissaient dans ce camp dans des conditions infâmes d’alimentation, d’hygiène et de prophylaxie. A l’infirmerie, véritable antichambre de la mort, des squelettes vivants agonisaient, vaincus par la faim, la maladie et rongés par la vermine, sous un essaim de grosses mouches vertes. Ils étaient, en effet, vidés par la dysenterie, minés par le paludisme, l’avitaminose, les ascaris, la peau rongée par les champignons de la dartre annamite, de la bourbouille et du hong-kong-foot. Parmi ceux qui n’avaient plus aucune réaction et qui allaient mourir le soir même ou dans la nuit, certains avaient les lobes d’oreilles et la base des narines entamés par les rats. C’était un spectacle affreux. Tous ceux qui étaient admis à l’infirmerie mouraient. Les agonisants attendaient la mort, les épuisés prenaient la place des agonisants, les sans-espoirs succédaient aux épuisés, les nouveaux arrivés comblaient les vides entretenant ainsi le cycle. Dans un endroit retiré, des latrines avaient été creusées où grouillaient des millions d’asticots qui donnaient naissance à des multitudes de mouches vecteurs de toutes les maladies, véritable « pont aérien entre ce lieu et les cuisines » selon le mot même de Boudarel. Le taux de mortalité variait entre 25 et 40 décès par mois, et même plus, selon les saisons.

    C’est en ce lieu sinistre que Boudarel, surnommé « Dai Dông », mit au point ses sévices chaque jour plus raffinés et excella dans le lavage de cerveau imprégné des doctrines du marxisme-léninisme et de l’internationalisme prolétarien.
    Dans ce « mouroir », sa spécialité : « La mise à mort sans toucher » consistait :

    - à abreuver de cours de « rééducation politique » des hommes blessés, malades, éreintés, affamés
    - à obliger les moribonds à se lever pour assister à ces séances, qui contribuaient à les achever
    - à exploiter la pratique clé la « critique et de l’autocritique » pour créer un détestable climat de méfiance, de discorde et de délation
    - à remettre au Vietminh des médicaments parachutés par la Croix Rouge Française et en les refusant aux malades abandonnés sans soins
    - à réserver aux évadés repris un sort qui menait à une fin quasi certaine
    - à établir lui-même la liste des « libérables », c’est-à-dire en s’attribuant le droit de vie et de mort
    - à pousser la cruauté jusqu’à renvoyer au camp des prisonniers déjà sur le chemin de la libération : Certains en mourront de désespoir
    - à détenir un record de mortalité, avec 1 à 8 décès par jour.

    Boudarel étant devenu le « conseiller technique » pour l’action psychologique, les chefs des 130 camps Việt Minh appliquaient avec zèle, sur ses indications, les séances de tribunal populaire destinés à juger ceux qui étaient considérés comme « fautifs ». Les prisonniers subissaient des traumatismes importants dus au viol psychologique de l’endoctrinement, des séances d’autocritique et d’encouragement à la délation.

    Ils furent, ainsi, victimes « d’agressions psychologiques découlant d’une doctrine monstrueuse, appliquée par un État pratiquant une politique d’hégémonie idéologique et d’intolérance active ». Tous les éléments du génocide constituant le crime contre l’humanité furent réunis, tel que le définit la Convention des Nations Unies du 9 décembre 1948 : « Atteintes graves à l’intégrité physique et mentale du groupe ; soumission intentionnelle de celui-ci à des conditions d’existence devant entraîner sa destruction physique totale ou partielle ».

    Par ailleurs, en dépit de leur extrême faiblesse, tous ceux qui pouvaient tenir debout participaient aux corvées et aux activités du camp. « Si pas travailler, pas manger ! » Telle était la devise du surveillant général.

    « Notre estomac est un chien enragé qui glapit, s’élance et se déchaîne, déchire les entrailles de ses dents »…

    Pour preuve de son implacable inhumanité et de la jouissance dont il devait probablement se repaître, Boudarel fit condamner à mort Jean CHAMINADAS qui commandait la 7ème Compagnie du 5ème Régiment Etranger d’Infanterie au motif d’avoir tenté trois évasions et tué une sentinelle lors de la dernière. Mais là ne s’arrêta pas son abjection… Il demanda au frère du condamné, Max CHAMINADAS, également prisonnier, de commander, en personne, le peloton d’exécution… ce que Max refusa, évidemment. Qu’à cela ne tienne : Jean fut exécuté, pour l’exemple, sous les yeux de ses camarades d’infortune. Aujourd’hui, sa dépouille (ou ce qu’il en reste) repose au mémorial dédié aux « Morts pour la France » implanté à Fréjus.

    Parmi les punitions – identiques à tous les camps- l’une des plus terribles était le séjour prolongé dans la sinistre « cage à buffles » sous une maison sur pilotis où le prisonnier, attaché à un poteau dans une eau putride sans pouvoir se protéger des piqûres d’insectes, était supplicié jusqu‘à la folie et la mort.

    Durant l’année de son activité au camp 113, Boudarel reconnut lui-même un taux de mortalité atteignant les 70 %. Sur les 320 prisonniers Français, 278 moururent de mauvais traitements et de torture physique et psychologique. Lorsqu’ils débarquèrent à Marseille, les survivants, squelettes ambulants ou morts-vivants portés sur civière, furent la cible des jets de boulons, de crachats et d’injures par des dockers communistes de la CGT.

    Inculpé de trahison Georges Boudarel fut condamné à mort par contumace en juin 1953. Après les accords de Genève, ce tortionnaire, bénéficiant de la loi d’amnistie gaulliste du 18 juin 1966, revint en France et fut aussitôt coopté au CNRS par ses amis communistes pour y préparer une thèse de troisième cycle d’histoire à l’université Paris VII Jussieu. Il devint maître de conférences à Jussieu et ces mêmes communistes et syndicalistes feront ensuite valider ses années « d’expérience » en Indochine pour favoriser sa carrière…

    Durant ces années, il fréquente assidument les milieux trotskistes, en particulier la ligue d’Alain Krivine et comptera parmi ses amis et « protecteurs » Gisèle Halimi, Suzan Sontag, Marianne Schaub, Laurent Schwartz, Marcel Kahn, Madeleine Rebérioux… tout le gratin de la gauche intellectuelle qui sera à l’origine de la création de la « Ligue Contre Révolutionnaire ».

    Le 13 février 1991, lors d’un colloque au Sénat sur le Vietnam auquel Boudarel participait, il fut reconnu et apostrophé par Jean-Jacques Beucler, ancien secrétaire d’État aux anciens combattants ayant lui-même participé à la guerre d’Indochine durant laquelle il avait été prisonnier pendant 4 ans dans le camp 113.

    « Vous avez du sang sur les mains. Votre présence à cette tribune est indécente ! » vitupéra Beucler.

    L’affaire fit grand bruit, d’autant plus que Boudarel adopta une attitude provocatrice, affirmant ne rien regretter et allant jusqu’à se moquer publiquement de ses anciennes victimes. D’autres témoignages furent déposés ensuite contre Boudarel qui fit l’objet en 1991 d’une plainte pour crimes contre l’humanité déposée par d’anciens prisonniers français du camp 113. Contre toute attente, articles et pétitions en faveur de Boudarel ne manquèrent pas dans le camp « progressiste » (Jean Lacouture, Pierre Vidal-Naquet…) et la justice rejeta l‘accusation de crime contre l’humanité portée par une association d’anciens combattants, au motif que les faits étaient couverts par la loi d’amnistie de 1966.

    Suprême dérision : Soutenu par l’ensemble de la gauche intellectuelle, il échappa également à toute sanction dans le cadre universitaire.

    A 65 ans, l’ancien commissaire politique du camp 113 put en toute légalité faire valoir ses droits à la retraite. Il mourra paisiblement dans son lit le 26 décembre 2003 à l’âge de 77 ans.

    « Et ton nom paraîtra dans la race future, aux plus cruels tyrans, une cruelle injure ! » (Racine)

    José CASTANO

    Contre-info.com

  • Robert Ménard face au peloton de la gauche et de l’UMP

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    Le jour même où l’immense majorité de l’Assemblée, gauche et « droite » confondues, vote une loi liberticide qui permet l’espionnage administratif des Français, le président de la République donne une leçon sur les principes de la République au maire de Béziers, Robert Ménard.
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    Faut-il en pleurer ? Faut-il en rire ? Le jour même où l’immense majorité de l’Assemblée, gauche et « droite » confondues, vote une loi liberticide qui permet l’espionnage administratif des Français, le président de la République, de Riyad, avec en fond un drapeau saoudien, peu suspect de symboliser la tolérance religieuse et encore moins républicaine, donne une leçon sur les principes de la République au maire de Béziers, Robert Ménard.

    Cette situation grotesque est révélatrice de la mixture qui est déversée jour après jour sur la tête des Français en ersatz d’information. Où notre médiocratie de politiciens et de journaleux foncièrement bêtes et méchants se plaît aux lynchages et aux exécutions sans jugement, où la mauvaise foi fondée sur les préjugés idéologiques et l’absence de travail conduit les mêmes à prendre les Français pour des imbéciles. Dans les deux hypothèses, l’intelligence des dirigeants ou des dirigés fait problème. La synthèse est évidente : le microcosme qui entend nous conduire est assez stupide pour croire que les Français le sont.

    Le procédé éculé est toujours le même. Une phrase sortie de son contexte va servir de détonateur. Un mot va condenser l’horreur de la pensée et aimanter les indignations et les condamnations. Ici, c’est le mot « fiche », dérivé en fichier, puis noirci en fichage. Peu importe qu’il n’ait pas été employé. Le glissement sémantique va transmuter une évidence banale en blasphème absolu. Comme la calomnie du Barbier de Séville, la dénonciation va s’amplifier d’heure en heure jusqu’à traîner l’accusé à la une de l’information où les commissaires politiques et les inquisiteurs le déclarent déjà coupable et condamné.

    La meute excitée aura tout le jour aboyé autour de la proie, les uns proclamant les valeurs de la République ternies par le crime, les autres hurlant aux jours sombres de notre Histoire, d’autres encore annonçant déjà le châtiment, la révocation du maire indigne. Le préfet, le procureur de la République, la rectrice se mobilisent à l’appel du Premier ministre, saisissant l’occasion de remettre le racisme au centre du débat et de faire oublier les trois années calamiteuses du règne de la gauche. La police fouille la mairie de Béziers, ainsi stigmatisée. La CNIL et le Défenseur des droits sont saisis. Une enquête est ouverte. Mais la « journaliste » Pulvar affirme déjà que la condamnation est « unanime ».

    Le maire de Béziers s’inquiète de la proportion d’élèves musulmans dans les écoles municipales. Cette donnée est révélée par les prénoms. Elle n’est nullement utilisée pour stigmatiser, mais pour savoir. Eh bien, en France, il est interdit de procéder à des statistiques fondées sur l’origine ou la confession des gens. Cette censure a l’intelligence de l’autruche ou l’hypocrisie du serpent.

    Ne soyons pas naïfs au point de croire qu’il s’agit de l’ouverture d’un débat. Non ! Il s’agit d’une tentative d’exécution d’un opposant de stature nationale, et à travers lui de l’attaque d’un parti qui perturbe le jeu politique et peut contrarier bien des carrières, bref d’une basse manœuvre politicienne. Le peloton réunit les mercenaires habituels de la gauche comme de l’UMP. Ils ont les mêmes intérêts. Ils travaillent aussi peu les uns que les autres, mais savent quand même répéter une leçon dont le contenu appartient davantage au réflexe qu’à la réflexion.

    Le coupable, c’est Ménard, le pelé, le galeux, qui contamine notre pays avec sa peste raciste. Il faut donc que le rectorat, qui ferait mieux de s’intéresser aux pédophiles présents dans le corps enseignant, la justice et la police, qui semblent avoir eu quelques difficultés à mettre hors d’état de nuire des islamistes « fichés », s’occupent prioritairement de lui. Pour avoir subi le même processus fondé sur l’ignorance ou la volonté de tromper l’opinion en desservant l’intérêt du pays, je souhaite qu’à force d’être rejouée, cette farce finisse par lasser les Français et leur ouvre les yeux sur l’état pitoyable de notre démocratie.

     
    BOULEVARD VOLTAIRE
  • Affaire Serge Atlaoui : 52% des Français favorables à la peine de mort

    17h36


    Alors que le sort du messin condamné à mort Serge Atlaoui se joue en Indonésie, un sondage montre qu’une majorité de Français est favorable à la peine de mort. En un an, cet indicateur progresse même de sept points, selon une enquête Ipsos.

    Les Français sont favorables à la peine de mort, en tout cas une majorité. Selon une enquête Ipsos Steria pour Le Monde, La Fondation Jean-Jaurès et Sciences Po, 52% des Français sont favorables à la peine capitale. (…)

    Source

  • Taubira grisée par le pouvoir: " Je suis en capacité de les écraser tous! "


    Taubira : « Je suis en capacité de les écraser... par Europe1fr

     

    E&R

     

  • Marine Le Pen invitée de PPDA sur Radio Classique - 07 05 15


    Marine Le Pen, invitée de PPDA (07.05.15) par radioclassique

     

    A écouter jusqu'à la fin

  • Seine-et-Marne : remis en liberté après avoir tenté d’assassiner une prostituée

     

    Marine Legrand | 06 Mai 2015, 20h12 | MAJ : 07 Mai 2015, 12h14

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    Info le Parisien
                                                        

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    Chevry-Cossigny, le 29 avril. Un homme de 22 ans, qui voulait depuis longtemps tuer une prostituée, en a poignardé une à six reprises le long de la D 471 en pleine relation sexuelle avec elle, à Chevry-Cossigny. La police vient de l’arrêter. (LP/Hendrick Delaire.)

    L’homme qui a tenté de tuer une prostituée de 47 ans en la poignardant, en plein acte sexuel, à Chevry-Cossigny, dans la nuit du 28 au 29 avril, vient d’être retrouvé. La police judiciaire de Melun l’a arrêté mardi matin. Le juge d’instruction l’a mis en examen ce mercredi après-midi pour tentative d’assassinat.

      

    Il s’agit d’un homme de 22 ans, qui rendait visite à son frère en Seine-et-Marne ce jour-là. Sur la route, il a croisé la camionnette de la victime, garée sur le bas-côté de la D 471. En pleine relation sexuelle avec sa victime, il a profité qu’elle lui tournait le dos pour la poignarder avec un couteau, au moins à six reprises.

    L’appel à la prudence du procureur

    Les policiers ont recueilli des témoignages, recoupé des faits, travaillé sur les relevés téléphoniques et a fini par retrouver le client. L’homme a reconnu les faits durant sa garde à vue et a justifié son geste « car il était contre la prostitution ». Surtout, il a avoué « avoir envie depuis longtemps de tuer une prostituée », confie une source judiciaire.

    Le parquet a demandé son placement en détention mais une juge des libertés et de la détention de Melun a décidé de le laisser libre sous contrôle judiciaire. « Une décision incompréhensible et dangereuse ! », tempête Bruno Dalles, le procureur de Melun, qui « appelle les prostituées de la région à la vigilance ». Il a fait appel du choix de la JLD.

  • Le marchand d'art Guy Wildenstein renvoyé en correctionnelle pour fraude fiscale

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    Il est soupçonné d'avoir dissimulé au fisc une partie de la colossale succession de son père Daniel, décédé en 2001.

    07 Mai 2015, 19h01 | MAJ : 07 Mai 2015, 20h54

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    Le marchand d'art Guy Wildenstein a été renvoyé en correctionnelle, soupçonné d'avoir dissimulé au fisc une partie de la colossale succession de son père Daniel, décédé en 2001, ont annoncé jeudi des sources concordantes.

     

    Sur le même sujet

    L'héritage de Daniel Wildenstein au coeur de l'affaire

     Le parquet avait requis ce renvoi en correctionnelle en janvier 2015.

    Il sera jugé pour fraude fiscale et blanchiment aggravé. Sa belle-soeur, Liouba, comparaîtra pour complicité de blanchiment aggravé et son neveu Alec Junior pour fraude fiscale, a précisé la source judiciaire. Deux trusts installés dans des paradis fiscaux, la Royal Bank of Canada Trust Company (Bahamas) et la Northern Trust Fiduciary Services (Guernesey), comparaîtront également pour leur participation à l'élaboration de la fraude fiscale présumée, tout comme trois conseillers de la famille, deux notaires et un avocat suisse.

    La fortune des Wildenstein, marchands d'art mondialement connus, est estimée à plusieurs milliards d'euros, composée en grande partie d'œuvres d'art, notamment des toiles de maître, et de biens immobiliers, comme un îlot aux Iles Vierges ou une immense propriété au Kenya où a été tourné le film «Out of Africa».

    Considéré comme «l'argentier» de la famille

    Selon une des sources, les enquêteurs considèrent Guy Wildenstein, qui réside aux Etats-Unis, comme «l'argentier» de la famille.

    Née d'un conflit familial, l'affaire avait connu à ses débuts un retentissement politique, Guy Wildenstein ayant été membre du Premier cercle, le groupe des riches donateurs de l'UMP. Décoré en 2009 de la Légion d'Honneur par Nicolas Sarkozy, il a été le représentant UMP de la circonscription de Washington au sein de l'Assemblée des Français de l'étranger.

    Le Parisien