Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

  • La Franc-Maçonnerie disséquée

    A voir absolument

    (merci à Dirk)

     

  • Découvrir ses origines ethniques via l’ADN, c’est possible avec 23andme.

    photo_adn.jpg enfant.jpg

     

     

    13/05/2015 – 08H00 USA (Breizh-info.com) – La société américaine 23andme propose aux internautes du monde entier de découvrir leurs origines, via l’exploration personnalisée de leur ADN.
    Aujourd’hui, un test génétique suffit pour connaître vos origines ethniques. Ce test s’appelle un test autosomal. Il s’agit d’analyser les chromosomes autosomaux d’une personne et de les comparer à des profils génétiques correspondant à des populations du monde entier.
    La société américaine 23andme.com propose un package unique contenant plusieurs analyses ADN dans le cadre de la généalogie génétique.
    Pour 145 euros environ, vous recevrez un kit à renvoyer à la compagnie américaine, qui se chargera d’analyser les données.

    Le site unadn.com fournit toutes les explications en français concernant les 5 analyses contenues dans le test :

    Ancestry composition – composition de l’ascendance:

    C’est la composition en pourcentage des origines ethniques d’une personne. 23andme.com a décidé de comparer les gènes des clients à des profils génétiques de populations datant de 500 ans avant l’avènement des moyens de transport intercontinentaux et d’une immigration soutenue dans les pays occidentaux.

    Ci-dessous la première carte correspond aux résultats d’une personne ayant des origines ethniques multiples. Nous avons choisi cette personne pour vous montrer la précision de la détermination des origines ethniques.

    Néanmoins, pour une personne européenne, le cadre de la carte se limite à l’Europe à cause de l’uniformité génétique des Européens. La carte numéro 2 illustre l’uniformité ethnique d’un homme anglais. Attention, il y a plusieurs groupes ethniques en Europe et la carte d’ascendance ne correspond pas toujours au pays de résidence de la personne.

    DNA relatives – Moteur de recherche de parents:

    Chaque client du service est enregistré dans une base de donnée. Un programme calcule la proximité génétique pour chaque client selon plusieurs critères: la parenté, la proximité ethnique, l’haplogroupe paternelle et l’haplogroupe maternelle. Ainsi, il est possible de trouver des cousins dans la base de donnée et de les contacter. Il y a déjà 800.000 personnes dans la base de donnée de 23andme.com

    Neanderthal DNA – Pourcentage d’ADN néandertalien:

    Toutes les personnes ayant des ancêtres européens ou asiatiques possèdent un certain pourcentage d’ADN provenant des Néandertaliens.

    Family tree – Outil d’arbre généalogique:

    Après avoir ouvert un compte client vous avez accès à un outil de création d’arbre généalogique pouvant intégrer vos parents.

    Paternal line et maternal line – Lignée paternelle et maternelle:

    La lignée maternelle est caractérisée par l’ADN mitocondrial. Il est transmis de mère en fille. Les hommes et les femmes possèdent un ADN mitocondrial. 23andme fournit l’haplogroupe mtdna d’une ancêtre sur la lignée maternelle. Notez que 23andme fournit également les données brutes et par la suite, il est possible de faire des recherches supplémentaires pour affiner le résultat fourni par 23andme.

    La lignée paternelle est caractérisée par le chromosome Y. Il est transmis de père en fils. Rappelons que les hommes sont les seuls à posséder un chromosome Y. 23andme fournit l’haplogroupe Y d’un ancêtre sur la lignée paternelle. Comme pour la Mtdna, 23andme fournit les données brutes des analyses génétiques pour affiner vous même votre haplogroupe.

    Pour commander le kit, c’est par ici.

    Crédit photo : Pixabay
    [cc] Breizh-info.com, 2015, dépêches libres de copie et diffusion sous réserve de mention de la source d’origine.

  • Wallerand de Saint-Just sur RTL

  • Les migrants affluent à la frontière franco-italienne

    http://www.lefigaro.fr/international/2015/05/15/01003-20150515ARTFIG00294-les-migrants-affluent-a-la-frontiere-franco-italienne.php

    XVMa6a4e6ca-fb17-11e4-8c21-c4edfd7ed674.jpg Migrants.jpg

  • Franz SCHUBERT Sérénade

  • Le business familial de Christiane Taubira – Cayenne c’est pas le bagne…

    http://fr.novopress.info/128640/le-business-familial-de-christiane-taubira-cayenne-cest-pas-le-bagne/

     

    Taubira.jpg

     

     

     

  • A Nantes, un tribunal fait inscrire à l'état-civil des enfants nés par GPA à l'étranger

    http://www.lefigaro.fr/actualite-france/2015/05/14/01016-20150514ARTFIG00146-gpa-la-justice-ordonne-d-inscrire-a-l-etat-civil-des-enfants-nes-a-l-etranger.php

     

    La gestation pour autrui est interdite en France, mais une circulaire validée par le Conseil d'État en décembre prévoit de faciliter la reconnaissance des enfants nés de cette façon à l'étranger

  • Jean RASPAIL, un écrivain si loin et si proche...

     

    JEAN RASPAIL  - Un écrivain si loin et si proche...


    métamag
    le 13/05/2015 

     

    Cinq chefs-d'œuvre de Jean Raspail, ainsi qu'un roman inédit et inachevé, viennent d'être réunis pour la première fois en un seul volume. C'est un événement littéraire : l'édition d'une vaste épopée servie par une plume magnifique qui nous permet de célébrer un écrivain d'exception, présenté par l'écrivain voyageur Sylvain Tesson. 

    Trois parties composent ce volume 

    Les deux premières illustrent les grands cycles romanesques de Jean Raspail : « La Patagonie », avec Le Jeu du roi, Moi, Antoine de Tounens, roi de Patagonie (Grand Prix du roman de l'Académie française) Qui se souvient des hommes…, et « Les confins », avec Septentrion et Sept cavaliers quittèrent la Ville au crépuscule par la porte de l'Ouest qui n'était plus gardée.

    La dernière partie est, quant à elle, constituée d'un seul ouvrage, inédit et inachevé, «La Miséricorde». On croise ainsi  un petit garçon rêvant d'un royaume et d'un roi de Patagonie, « par la grâce de Dieu et la volonté des Indiens de l'extrême sud du continent américain » puis, on rencontre un obscur avoué périgourdin, Antoine de Tounens, qui se fait conquérant et bâtit au loin, sous le nom d'Orélie-Antoine Ier, un royaume d'Araucanie et de Patagonie aux dimensions de son rêve ; enfin, c'est la vision des indiens Alakalufs, qui se nommaient eux-mêmes « les Hommes ». Dans ces trois livres, Jean Raspail célèbre des vertus qu'il habille en costume traditionnel patagon pour les préserver de notre médiocrité ambiante : le courage, la loyauté, la fidélité.

    Dans « Les confins » vivent donc des hommes libres, des hommes du refus qui, à l'étroit, quittent la Ville et partent vers l'inconnu, vers le Septentrion ou de l'autre côté du Fleuve, là-bas, au loin... Les deux livres racontent la même épopée, aux confins du réel et de l'imaginaire.

    Enfin, dans «La Miséricorde»,  ce roman inédit inspiré d'une histoire vraie, dominent là encore les notions d'honneur et de fidélité, mais aussi d'indignité et de rédemption. Jean Raspail se fait ici remueur de conscience, décrivant dans un « Post-scriptum » mais sans en révéler totalement le secret, la genèse de ce livre écrit entre 1966 et 2013. Une fois de plus les protagonistes de Jean Raspail, qu'ils soient laïcs ou serviteurs de Dieu, marqueront à coup sûr définitivement les esprits.

    Jean Raspail, Là-bas, au loin, si proche..., Robert Laffont, coll. ''Bouquins'', parution : 9 Avril 2015, format : 132 x 198 mm, nombre de pages : 1184, Prix : 30,00 €

     
    Imprimer cet article
    Envoyer à un ami
     
  • Un requérant togolais révolté dénonce le système suisse

    11h24

    Demandeur d’asile togolais qui vit actuellement au Foyer des Tattes, près de l’aéroport de Genève, Olivier Yoavi Mawussi Bossa a publié récemment à compte d’auteur le « Journal d’un exilé » (Genève, mars 2015).

    Ce livre raconte sa vie en Suisse depuis son arrivée en mai 2014: sa rétention à l’aéroport, son incarcération à Frambois puis sa « liberté » de requérant d’asile en attente.

    « Quand on se réunissait en prison, on se disait : ‘Si on pouvait commencer par éliminer les Blancs’, en première intention on est tous ensemble et on se dit la même chose. [...] Ces gens quittent les camps de rétention en tant que monstres, avec l’idée que si ils rencontrent un Blanc sur leur route, le Blanc est mort. »

  • Nouveaux programmes scolaires : détruire l’identité nationale – Par Guillaume Faye

    Najat-Vallaud-Belkacem-Credit-Parti-Socialiste-du-Rhone-Flickr-cc-partie-+.jpg

     

     

    14/05/2015 – FRANCE (NOVOpress avec Guillaume Faye)

    Les programmes scolaires revisités par Mme Najat Vallaud-Belkacem mettent l’islam en valeur et tentent d’abolir la transmission de la culture française et européenne. Cette entreprise, fort bien ciblée, est parfaitement corrélée au processus d’immigration de peuplement invasive, de colonisation et d’islamisation. Les nouveaux programmes prévoient qu’une partie de l’histoire de France sera facultative (chrétienté médiévale) mais l’histoire de l’islam (truquée, on peut le prévoir…) obligatoire.

    La logique islamisatrice
    On croit rêver : en effet, dans les nouveaux programmes du collège concoctés par la ministre de l’Éducation nationale, Mme Najat Vallaud-Belkacem, l’histoire de la chrétienté médiévale, des Empires byzantin et carolingiens ou de la période des Lumières devient facultative. En revanche, en 5e, l’étude des débuts de l’expansion de l’islam est… obligatoire ! Le Conseil supérieur des programmes (CSP), peuplé d’islamo-gauchistes, a parfaitement validé ces choix. Ils entrent dans le projet d’effacer progressivement le récit de la mémoire historique nationale française au profit de l’identité des ”nouvelles populations”, selon le souhait du think-tank Terra Nova. Pour l’essayiste Dmitri Casali « on veut gommer les racines chrétiennes de la France ». C’est vrai, mais ce constat est insuffisant, il faut aller plus loin encore. Il s’agit tout simplement d’islamiser (et d’arabiser) l’enseignement de la mémoire historique dès l’adolescence.

    Mais on cherche aussi à faire reculer dans les programmes tout ce qui pourrait heurter les musulmans – le christianisme, les Lumières, etc. « À croire qu’il ne faut pas heurter certaines sensibilités religieuses », remarquait pudiquement Hubert Tison, secrétaire général de l’association des professeurs d’histoire-géographie. Tout cela sous le prétexte d’« alléger les programmes » qui seraient trop chargés. En réalité, dans les collèges à forte proportion ou à majorité d’élèves musulmans issus de l’immigration, pour ne pas « créer de problèmes », on laisse aux professeurs le soin de faire l’impasse sur les sujets qui fâchent.

    En revanche, tous les élèves, même dans les classes sans musulmans, devront obligatoirement étudier l’histoire de l’islam ! On se doute qu’elle sera enjolivée et expurgée de ses sombres réalités – comme par exemple l’esclavagisme des Africains, les raids barbaresques, les persécutions d’infidèles, etc. Derrière cette démission, cette soumission à l’islam, on retrouve aussi les pratiques soft-totalitaires de l’Éducation nationale, adepte du bourrage de crâne idéologique. Parmi les enseignements obligatoires, on trouve la traite négrière transatlantique et les conquêtes coloniales présentées comme des agressions ; toujours le même objectif : culpabiliser l’histoire de France.

    Abolition et substitution de la mémoire
    Mme Najat Vallaud-Belkacem sait ce qu’elle fait. Avec la complicité des idéologues de l’Éducation nationale et la bénédiction de François Hollande, elle milite activement pour accélérer l’islamisation. En tant que féministe, adepte de la théorie du genre, égalitariste forcenée, elle semble ne pas percevoir l’insurmontable contradiction de sa position. Mais peu importe : pour elle, sans doute, la dépossession de l’identité française est prioritaire et corrélée à une volonté de procéder à une acculturation arabo-musulmane. Tout se passe comme si l’islam devait devenir, par force, « notre histoire », comme si nous devions l’incorporer dans notre mémoire. Cela correspond au dogme (de type stalinien) de l’idéologie dominante, maintes fois asséné en dépit de toute vérité historique, selon lequel « la France a toujours été un pays musulman » ou un pays d’immigration et de mélanges permanents, sans identité fixe. Un récent rapport sur l’intégration parle, sans rire, de la « dimension arabo- orientale de notre identité ». Le n’importe quoi, le mensonge historique, au service du fanatisme idéologique.

     

    Dans les nouvelles réformes de déconstruction de l’identité européenne de la France, on trouve également le torpillage de l’enseignement du grec ancien, du latin et de l’allemand, destinés à disparaître progressivement ou à devenir anecdotiques et marginaux. Et à cela, s’adjoint logiquement le renforcement des « enseignements de langues et de cultures d’origine » (ELCO). Il s’agit de faire apprendre les cultures et surtout les langues de leurs origines ethniques aux jeunes élèves issus de l’immigration, majoritairement l’arabe et le turc, qu’ils maîtrisent souvent mal ou pas du tout. Ces enseignements concernent aujourd’hui 92.500 élèves dont 87.000 dans le primaire, population scolaire en augmentation de 16% de 2010 à 2015. En parallèle, l’enseignement grammatical et lexical de la langue française est volontairement torpillé. Les deux entreprises sont logiquement liées.

    Il s’agit, outre la furie égalitariste et anti-élitiste du nivellement par le bas (notamment avec la suppression des classes bilangues), terriblement nuisible pour les classes modestes, de supprimer de l’enseignement non seulement l’héritage du christianisme mais aussi celui de la culture gréco-latine, pareillement reniés. Ethnocide culturel.

    Les idiots de la République
    C’est assez extraordinaire : la République renonce à l’intégration et à la francisation – encore plus à l’assimilation. Elle promeut le communautarisme ethnique et l’islamisation (tout en prétendant combattre l’islamisme !). En réalité, le pouvoir a pris acte des réalités démographiques et de l’immigration massive qu’il a favorisé depuis des décennies. M. Valls a déclaré le 5 mai 2015 devant les députés, fustigeant ceux qui s’opposaient à la réforme des programmes : « c’est une nostalgie que vous essayez de défendre, une nostalgie d’une France qui est celle du passé ». Autrement dit, la « nouvelle France » doit abolir la mémoire et l’identité de l’« ancienne France ». Les Français de souche doivent renoncer à leur identité et à leur ethnicité mais…. pas les immigrés allochtones ! Quant aux étrangers qui ont choisi l’assimilation française et européenne, ils sont tout autant méprisés.
    M. Valls a avoué par ailleurs que « le terme d’intégration ne veut plus rien dire ». Il lui préfère celui de « citoyenneté » Naïveté totale : la citoyenneté républicaine est totalement incompatible avec l’islam ! Et la vraie citoyenneté (voir Aristote) n’est possible qu’entre sociétaires qui possèdent les mêmes valeurs, la même mémoire ; autrement, c’est la rupture communautariste assurée avec, au bout, la guerre civile probable. Cette idéologie d’un angélisme crétin et, au fond, haineuse de l’identité européenne et française, a également été formulée par M. Sarkozy (mais, chez lui, par calcul politicien et non par fanatisme idéologique comme chez M. Valls) quand il a déclaré, repentant : « quand j’étais président de la République, je n’aurais pas dû parler d’identité nationale mais dire que je voulais défendre les valeurs de la République ». Quelle république ? Une future république islamique ?
    Il y a fort à parier que la droite, si elle revient au pouvoir en 2017, n’osera pas remettre en cause les mesures de démolition de Mme Vallaud-Belkacem.

    Vers l’inévitable affrontement
    La conscience nationale, les traditions autochtones sont donc traitées de « nostalgie » ringarde, voire criminelle, par les collaborateurs de l’immigration massive et de l’islamisation. En revanche, les « nouveaux Français » issus de l’immigration sont choyés comme jamais ; leur religion, leur culture, leurs langues sont mises en valeur et enseignées. Outre les nombreux privilèges, subventions, protections dont ils bénéficient par ailleurs. Ils sont flattés parce que leur nombre croissant fait peur. La tradition et la mémoire sont suspectes voire détestables quand elles concernent la France, son identité et son histoire ; mais elles sont formidables quand elles concernent les populations migrantes et, en particulier l’islam ; cet islam sur la véritable nature duquel on se bouche les yeux, soit par bêtise et ignorance, soit par pusillanimité et lâcheté.

    Tout cela est parfaitement antidémocratique puisque la majorité des Français refuse cette politique de capitulation et de soumission. Mais la démocratie n’est pas le bac à sable de l’idéocratie de la gauche idéologue ou de la droite capitularde. Cependant ces nouvelles mesures imposées par l’oligarchie à l’Éducation nationale sont la conséquence logique de l’immigration hors contrôle et du différentiel démographique intérieur : elle a pris acte, avec jubilation, qu’intégration et assimilation étaient désormais quantitativement impossibles. C’est aux Français de souche de s’adapter, de renoncer à eux-mêmes, à leur enracinement. Leur histoire est terminée, forclose. L’oligarchie (voir les analyses de Terra Nova) se dit et espère que dans pas si longtemps la véritable minorité visible, ce seront les Français de souche.

    Mais est-ce bien sûr que cette stratégie réussisse ? Pas certain. Car les oligarques à la tête de la République française ont négligé les effets dialectiques de leurs décisions. À toutes choses, malheur est bon. Autrement dit, en renforçant le communautarisme, notamment musulman (et en combattant par ailleurs l’islamisme et son terrorisme, contradiction absolue), les gouvernants renforcent par ailleurs la rupture polémique entre la France de souche et la « nouvelle population ». Ils confortent des identités hostiles les unes envers les autres, dans leur rêve « républicain » pacificateur. Ils préparent la guerre civile ethnique globale, qui impliquera évidemment, nécessairement l’islam, en Europe même. Ils jouent avec le feu comme des enfants avec des allumettes. Ceux qui ont créé le chaos, irresponsables, seront dévorés, comme les enfants de Saturne.

    Guillaume Faye

    Credits photo : Parti-Socialiste du Rhône via Flickr (CC)