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  • Présidentielle: 77% des Français ne souhaitent pas que Hollande se représente

    http://www.leparisien.fr/politique/presidentielle-77-des-francais-ne-souhaitent-pas-que-hollande-se-represente-22-05-2015-4794587.php

  • Selon Marine Le Pen, Valls étudie la question de l’interdiction du FN

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    La diabolisation du FN ne fonctionnant plus, il faut le supprimer. Et après ?

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    Marine le Pen l’a annoncé lors d’un bureau politique devant une quarantaine de personnes : « J’ai appris que Manuel Valls étudie la question de l’interdiction du Front national. Il a commandé une note juridique à ses services pour savoir si son interdiction est juridiquement possible. »

    Sous quels prétextes ? Prêt russe ? Financement douteux de l’association Jeanne ? Il nous semble que d’autres partis politiques épinglés pour bien pire sont encore bien vivaces. Pour des violences contre des journalistes, peut-être ? La violence de certains antifas à l’encontre de policiers a-t-elle jamais fait interdire le Parti socialiste ?

    Bref, on l’a compris : le peu qu’ils trouveraient sera repris jusqu’à l’abrutissement par l’ensemble des médias. Et s’ils n’ont décidément rien à se mettre sous la dent, la République – mais à d’autres époques, il est vrai – n’a pas toujours rechigné à faire preuve d’inventivité.

    Qui plus est, cela signifierait-t-il la révocation des maires élus sous la bannière Front national ? De tous les conseillers municipaux ? Peut-être même celle de Robert Ménard pourtant non encarté ? Celle des députés Gilbert Collard et Marion Maréchal-Le Pen ? Envisager de supprimer le parti politique de France qui arriverait en tête des élections présidentielles en 2017 – entre 29 % et 31 % selon l’IFOP, et entre 29 % et 33 % pour CSA -, Manuel Valls est-il fou ?

    Donc, la diabolisation du FN ne fonctionnant plus, il faut le supprimer. Et après ?

    Inutile d’imaginer descendre par millions dans la rue, le gouvernement n’interdirait pas son opposant politique pour autoriser des manifestations visant à le réhabiliter. Et quand bien même le PS – par cynisme – donnerait son accord, à quoi cela servirait-il ? À rien.

    Passer outre ? Quand on se rappelle les gazages à la Manif pour tous, le traitement des « mères veilleuses » à Rodez ou encore celui de David Van Hemelryck pour cause de dirigeable ressemblant à une quenelle, on hésite. Les Français frontistes, et ceux qui sont simplement attachés à la liberté d’opinion, ne le feront pas. Trop conscients, aussi, que le moindre dérapage justifierait alors précisément l’interdiction du FN.

    Que leur reste-t-il, aux sympathisants FN ? La possibilité de s’abstenir aux présidentielles de 2017 ? Cela ne sera plus le cas si le souhait de Claude Bartolone de rendre le vote obligatoire est exaucé. Il y a toujours la liberté de voter blanc ou nul, en dessinant la tête à Toto sur un bulletin, me direz-vous. Quelle liberté !

    Mais rien n’est joué. Les défenseurs des valeurs républicaines croient maîtriser les conséquences de l’interdiction du Front national ? Qu’ils se méfient quand même.

     
    BOULEVARD VOLTAIRE 
  • Les Irlandais aux urnes pour un référendum historique sur le mariage gay

    http://www.bvoltaire.fr/breves/les-irlandais-aux-urnes-pour-un-referendum-historique-sur-le-mariage-gay,178192

  • Ils l’avouent enfin : des terroristes se cachent dans les bateaux qui affluent vers l’Europe !

    http://www.bvoltaire.fr/videos/ils-lavouent-enfin-des-terroristes-se-cachent-dans-les-bateaux-qui-affluent-vers-leurope,178003

                           

    mais cela réveillera-t-il pour autant les dirigeants européens angéliques ?

     

    NdB: Ce n'est pas un scoop: toute personne normalement intelligente s'en doutait!

    Seul le faux pape qui à Lampedusa s'efforçait de culpabiliser les Italiens de souche et  l'Europe entière.

    Le mondialiste du Vatican avait tout faux et Marine Le Pen avait tout juste!

  • RÉFORME DU COLLÈGE : POURQUOI CETTE OBSTINATION ?

     

    RÉFORME DU COLLÈGE : POURQUOI CETTE OBSTINATION ? -  On ne veut pas changer les programmes, on veut changer de France

     


    On ne veut pas changer les programmes, on veut changer de France



    Raoul Fougax
    le 21/05/2015
    Quand on ne comprend pas, il faut aller à la réponse la plus simple. La théorie du rasoir d’Ockam est toujours ou presque la bonne. On a du mal à comprendre en l’espèce, l’entêtement du gouvernement socialiste en faveur d’une réforme des collèges qui provoque l’opposition de la droite mais aussi d’une large partie de la gauche sans oublier le corps enseignant. Donner des munitions à ses opposants et se couper d’une partie de son électorat, c’est politiquement stupide. On tente donc de passer en force pour vite tourner la page.

    La publication, mercredi, au Journal officiel du décret, qui énonce de grands objectifs, et surtout de l'arrêté, qui " fixe de façon autoritaire tout ", est ressentie " comme une provocation et une marque de profond mépris pour les professeurs qui étaient en grève" la veille, selon Frédérique Rolet, co-secrétaire générale du Snes-FSU, premier syndicat du secondaire. Cela "va rendre les suites très compliquées, il va falloir de la part du gouvernement un geste fort ", a-t-elle dit. Une intersyndicale se réunira jeudi matin et pourrait envisager, faute de changement, " une action nationale de type grève et manifestation ", a-t-elle prévenu.

    Le tempo gouvernemental a aussi donné l'occasion à l'opposition de redoubler de critiques. Appelant à une "manifestation nationale", le président du MoDem, François Bayrou, ex-ministre de l'Éducation, a dénoncé "un passage en force", qui a aussi "choqué" le patron du PCF Pierre Laurent. L'ex-Premier ministre François Fillon a raillé une "mauvaise" réforme faite de "désordre" et d'"improvisation", tandis que le député UMP Bruno Le Maire, en pointe pour exiger son retrait, a dénoncé "provocation" et "mépris" à la veille de son débat avec la ministre sur Europe 1 et iTÉLÉ.

    A Matignon, on assure toutefois que le timing de la publication des textes a été décidé "en parfaite adéquation entre le président de la République, le Premier ministre et la ministre" de l'Éducation nationale Najat Vallaud-Belkacem.

    La suppression des options latin-grec, remplacées par un enseignement pratique interdisciplinaire, et celle de la plupart des classes bilangues (deux langues dès la sixième) qui inquiète les professeurs d'allemand a été un signal d’alarme de la volonté de niveler par le bas. A la place, la réforme propose une deuxième langue pour tous en cinquième.

    Autres sujets d'inquiétude pour les enseignants: le pouvoir des chefs d'établissement dans le cadre de l'autonomie accrue accordée aux établissements et un grignotage des horaires des matières classiques à causes de l'interdisciplinarité (croisement de disciplines dans un même cours).

    En fait, on veut réduire la place des racines européennes  dans une éducation qui n’aime pas le mot national, pour permettre dans certains territoires, au cas par cas, l’arrivée de matières liées à la sensibilité des nouveaux publics des  collèges. Tout est fait comme toujours comme si la France devait être alignée sur les identités et possibilités de la Seine-Saint-Denis. C’est bien la prise en compte des bouleversements de l’immigration qui sous-tend toutes les politiques de la gauche. C’est encore plus vrai pour la ministre issue de l’immigration et rappeler  l’importance de son identité multiple dans ses convictions n’est pas du racisme mais de la prise en compte d’une réalité.

    On comprend bien qu’on aimerait interdire une clé pour expliquer les objectifs fondamentaux d’une réforme  qui s’inscrit dans une volonté politique d’un changement de la France par le formatage des collégiens. Mais cela passe bien sûr par l’abaissement des excellences et même les professeurs de gauche commencent à s’en rendre compte. Ils sont peut-être pour l’objectif politique, mais pas pour les moyens qui passent par la  négation de leurs croyances éducatives. Les enseignants ne peuvent accepter une négation de leur mission.

    Alors peut-être demain pas de brevet…. Boycott de l’examen.  Un examen qui ne sert certes plus à rien depuis longtemps, mais qui pourrait permettre une action de subversion contre une réforme subversive.
     
    Le président du groupe UMP à l'Assemblée nationale Christian Jacob a violemment interpellé le premier ministre Manuel Valls, lui promettant qu'il «paierait cher» le «passage en force» du gouvernement. «La brutalité en politique est l'arme des faibles. Et publier ce décret cette nuit est un acte brutal», a-t-il estimé. «Nous vous demandons l'abrogation de ce décret, et la tenue dans les plus brefs délais, d'un véritable débat démocratique. Ici, dans l'hémicycle, projet contre projet!», s'est-il emporté.

    La droite a trouvé un cheval de bataille…. Et ce dernier pourrait bien désarçonner la ministre trop obstinée.
     
    METAMAG
     
  • L’Allemagne est-elle responsable de la Seconde Guerre mondiale ?

     

     

     

    Reportage de la chaîne en ligne suisse et germanophone Medien Klagemauer TV, diffusé le 23 décembre 2014 et consacré aux responsabilités du déclenchement de la Seconde Guerre mondiale 

    E&R