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  • Doubs : prison ferme pour des… graffitis… pour « préserver l’image de la République » !

     

    Cinq membres d’un groupe « néonazi » de Haute-Saône, interpellés l’an dernier, ont été condamnés vendredi à Vesoul à des peines de prison ferme allant de 3 mois à 2 ans, tandis que deux autres ont écopé de 6 mois avec sursis. Ils ont été condamnés pour avoir organisé ou participé à un «groupe de combat» appelé «Blood & Honour C18», pour des dégradations de biens, la plupart par des tags, en Haute-Saône et dans le Doubs et pour «provocation» à la haine raciale ou à la violence.

    Ils avaient au départ été mis en examen pour «organisation et participation à un groupe de combat» et «association de malfaiteurs en vue de la préparation d’un délit puni de 10 ans de prison» mais ne nourrissaient en réalité, d’après les investigations, « aucun projet concret en dehors de leurs provocations ».

    Les peines sont lourdes, 18, 20 et 24 mois ferme, pour les trois leaders du groupe, âgés de 29, 30 et 44 ans, pour des graffitis finalement. Plus que ne prennent la plupart des violeurs et dealeurs, par exemple…
    L’explication est donnée par le président du tribunal correctionnel de Vesoul, Fernand Kato, et elle est très inquiétante pour tous les citoyens  : leurs comportements auraient été « quelque peu dangereux pour l’image de la République » !

    Avec un argumentaire aussi flou et idéologique, le Régime peut coller des années de prison ferme à ses opposants…

  • Italie - Ils me donnent de l’argent pour un immigré pendant que cinq compatriotes meurent de faim

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    25/05/2015 – MONDE (NOVOpress)
    Italie : Les maires ont l’ordre d’accueillir des clandestins et de leur servir café au lait, biscuits et confiture

    Les clandestins africains débarquent toujours plus nombreux et les maires ont de plus en plus de réticences à les accueillir. Aussi le ministre de l’Intérieur italien, Angelino Alfano – l’ancien dauphin de Berlusconi –, a-t-il décidé d’adopter la manière forte. Toutes les communes italiennes de plus de 300 habitants reçoivent désormais d’autorité leur quota du fardeau : un « réfugié » entre 300 et 1000 habitants ; deux « réfugiés » à partir de 1000 habitants ; six « réfugiés » à partir de quatre mille habitants, et ainsi de suite. Une circulaire du ministre, transmise par les préfets, donne aux maires des ordres minutieux, propres à leur causer des difficultés inextricables. Le quotidien Il Tempo a recueilli le témoignage, qui vaut pour beaucoup, de Gianni Scarabotti, maire de Mandela, une commune de 916 habitants dans une région sinistrée de la province de Rome.
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    Que vous demande la préfecture ?
    – De loger un réfugié dans une structure appropriée.

    Et votre mairie a une structure appropriée ?
    – Mais avec moins de mille habitants comment est-ce que nous pourrions avoir une structure appropriée ? Il n’y a même pas une banque, même pas un distributeur de billets : aucun établissement de crédit n’ouvre un guichet ici. Bien sûr que nous n’avons pas de structure appropriée.

    Et comment aller vous faire ?
    – Je vais devoir lui trouver un endroit… Lui louer une maison. Que sais-je ? Un studio.

    Combien ça coûte par mois un studio à Mandela ?
    – Plus ou moins 300 euros.

    Et qui paie ?
    – L’État. Dans la circulaire les communes sont informées qu’elles recevront un montant de 35 euros par jour pour le logement, trois repas, les vêtements, la blanchisserie, les services. Cela fait à peu près mille euros par mois.

    Et pour la nourriture ?
    – Je vais devoir passer une convention avec un restaurant local, je vais devoir m’organiser… Peut-être qu’avec 7 à 10 euros par repas je m’en tirerai. Comment est-ce que nous payons les vêtements ? Et le nettoyage, qui le fait ? Et puis il y a le problème du menu.

    Du menu ?
    – Eh oui ! Dans la circulaire, par exemple, il est dit que, au petit-déjeuner, nous devons servir du café au lait ou du thé, avec des biscuits ou des biscottes et de la confiture. Mais est-ce que nous devons l’apporter à l’immigré à domicile ? Et qui est-ce qui le lui porte ? Peut-être pourrions-nous passer une convention avec un bar où il puisse retirer son repas.

    Je comprends. Mais revenons au menu.
    – Supposons qu’arrive ici un musulman, nous devons lui préparer un menu adapté à sa religion. Le Ministère de l’Intérieur nous l’ordonne. Mais ici nous avons des sangliers, des porcs… Les musulmans ne mangent pas cette viande-là ! Les restaurants font de la cuisine locale. Il y a du porc ! Et qu’est-ce qu’ils doivent préparer comme menus de substitution ? Du poulet, du riz ? Pour ne pas parler de la langue. Si l’immigré ne parle pas anglais ou français, comment faisons-nous ? Nous ne sommes pas préparés, nous n’avons pas de personnel spécialisé.

    Il est impossible que l’immigré trouve un emploi ?
    – Euh… Je ne sais pas… Voyez, nous avons dans le village cinq compatriotes qui sont en situation de précarité. Ils ne travaillent pas. Chaque mois, la mairie leur donne un bon de 350 euros.

    Vous êtes en train de me dire qu’un immigré vit avec mille euros par mois et cinq Italiens avec 350 euros chacun ?
    – Exactement. Mais attention : pour l’argent que nous donnons à nos compatriotes sans travail, l’État ne nous rembourse par un centime. Au contraire, chaque année il retire des ressources aux communes. Mais le gouvernement nous donne l’argent pour le réfugié. »

    À ce stade, le journaliste estime urgent de faire préciser au maire qu’il n’est pas raciste. Il avait même organisé, dans sa commune de Mandela, un hommage à Nelson Mandela. Le maire récite consciencieusement sa leçon sur « ce symbole de la lutte contre le racisme et l’apartheid, exemple pour le monde entier, grande leçon pour l’Occident qui se prétend civilisé ». C’est bouleversant, bien sûr, mais ça ne règle pas le problème du petit-déjeuner à servir au clandestin tous les matins.

    Crédit photo : LPLT via Wikipedia (CC) = église San Vincenzo di Mandela, commune de Mandela, Italie
    David via Flickr (CC) = petit déjeuner

  • Disparition de Robert Chardon : Francis Gruzelle saisit la justice

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    25/05/2015 – FRANCE (NOVOpress)
    Toujours sans nouvelles du maire de Venelles, notre confrère Francis Gruzelle, éditorialiste sur ripostelaique.com, a déposé un avis de signalement de disparition de personne.

    Injoignable à sa mairie ou son domicile, introuvable dans les hôpitaux de la région, comptes Facebook et Twitter fermés, Robert Chardon semble avoir été « rayé de la carte » depuis ses déclarations-choc sur la nécessité d’interdire le culte musulman en France. Aux dernières nouvelles, il avait été interné en hôpital psychiatrique après ses déclarations, mais nul ne sait dans quel établissement le maire a été placé.

    Devant l’impossibilité de joindre le maire de Venelles ou même de trouver trace de lui, Francis Gruzelle a déposé un signalement de disparition de personne à Madame le Procureur de la République Dominique Moyal près le Tribunal de Grande Instance d’Aix-en-Provence.
    Espérons que cette démarche officielle sera suivie d’effet.

    Crédit photo : Robert Chardon, le 24 juillet 2012

  • Marseille 8ème - Un homme poignardé pour avoir porté secours à une jeune fille

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    Dimanche 24/05/2015 à 08H36 Marseille Tags : Marseille faits divers

     

     
    C'est à cet arrêt de bus - Michelet - que la terrible agression a eu lieu après que le jeune homme a tenté de défendre une jeune fille violemment importunée par deux jeunes majeurs. Photo Philippe Laurenson

     

     
     

    Cet homme de 27 ans avait décidé de ne pas baisser les yeux, de ne pas faire comme s'il n'avait rien vu de l'agression qu'était en train de subir une jeune femme d'une vingtaine d'années à l'arrêt de bus Michelet, sur le boulevard du même nom, dans le 8e arrondissement de Marseille. Alors vendredi vers 21 heures, Lamjed, un Français d'origine tunisienne qui attendait lui aussi un bus, est intervenu pour que les deux jeunes, âgés d'environ 18 ans, cessent d'importuner très agressivement leur proie qui venait déjà d'être abandonnée par une amie, terrorisée par leurs comportements.

    "Ils lui ont demandé une cigarette. C'est 8 fois sur 10 la méthode de ce genre de voyous en guise d'approche", expliquait hier un enquêteur. Cette intervention courageuse et louable - trop rare, sans doute parce que souvent dangereuse - lui a valu plusieurs coups de couteau dans le ventre. Les deux garçons armés de lames se sont acharnés sur lui.

    Grièvement blessé, Lamjed a été retrouvé par les marins pompiers , baignant dans une mare de sang. Il a d'abord été transporté dans un état très critique à l'hôpital mais, selon nos informations, sa vie ne serait plus en danger.

    Suivis à la trace... de sang

    Un équipage de policiers de la Bac a pu interpeller les jeunes hommes qui se sont rendus coupables de cette tentative de meurtre, dans l'enceinte de la station de métro Rond-Point du Prado. L'un d'eux s'était blessé à la main au cours de la rixe et les fonctionnaires ont donc pu les suivre à la trace... de sang. 

    Ces deux jeunes, qui seraient en situation irrégulière sur le sol français, sont actuellement en garde à vue à la brigade criminelle de la sûreté départementale qui a été saisie de l'enquête. "Dans la presse, vous vous faites écho des plus graves agressions, mais les blessures par coups de couteau sont légion à Marseille, continuait l'enquêteur, que nombre de jeunes en portent sur eux, c'est déjà grave, mais qu'ils s'en servent aussi souvent et facilement, c'est encore autre chose..."

    LA PROVENCE

     

  • HUMOUR ?

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    Ranson

  • SCHUBERT Ave Maria (en latin)

    Ajoutée le 8 juin 2012

    Ave María de Franz Schubert interpretada por Las Hijas de María, Madre de Nuestro Salvador.