Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

  • Panthéon : François Hollande glorifie Jean Zay, un homme qui vomissait le drapeau français

    27 mai 2015 par admin4  - Contre-info.com

    Le Panthéon, une magnifique église profanée par les Républicains, transformée en dépotoir…

    François Hollande a fait procéder aujourd’hui au transfert au Panthéon des cendres de quatre figures de la Seconde Guerre mondiale (décidément, quelle obsession !) : Germaine Tillion (complice du FLN !), Geneviève de Gaulle-Anthonioz, Pierre Brossolette (militant d’extrême-gauche, franc-maçon, mais aussi cadre de l’association antifrançaise « Ligue Israélite Contre l’Antisémitisme ») et Jean Zay.

    Ce dernier fut un ignoble ministre de l’Éducation nationale sous la IIIe République.
    L’entrée au Panthéon de cet homme qui haïssait la France est une vieille revendication de la secte maçonnique (qui se concentre toujours sur le ministère de l’Éducation…).
    Jean Zay était un laïcard acharné, un communautariste juif, un franc-maçon et un républicain accompli.
    Le Grand Orient de France (GODF) a multiplié ces dernières années les actions pour imposer cet individu au Panthéon. En 2007, le GODF avait publié une plaquette consacrée à ce sujet, et une loge juive avait adressé des exigences similaires à François Hollande en 2012. Cela n’a pas été long.

    Jean Zay, qui déshonore par son nom de nombreux établissements scolaires en France, fut un ministre particulièrement hostile aux valeurs patriotiques et traditionnelles, avant d’être condamné le 4 octobre 1940 pour désertion en présence de l’ennemi.
    Il est resté toute sa vie fidèle à la haine de la France et des Français qu’il exprimait dans un « poème » dont il faut rappeler la teneur.

    Il s’intitule Le Drapeau. Il traite du drapeau français.
    Pour cet apatride, le drapeau national français est décrit comme « cette saloperie-là », « cette saloperie tricolore », « cette loque », « cette immonde petite guenille », « cet ignoble symbole » « de la race vile des torche-culs ».
    Un drapeau que ce sale type avouait haïr « férocement » : « Oui, je te hais dans l’âme, je te hais pour toutes les misères que tu représentes […] Je hais tes sales couleurs, le rouge de leur sang, le sang bleu que tu voles au ciel le blanc livide de tes remords. »

  • Syrie : Daech exécute 20 hommes dans les ruines de la cité antique de Palmyre

    4807591_14-741973-01-02_545x460_autocrop.jpg

     

    27 Mai 2015, 16h44 | MAJ : 27 Mai 2015, 17h22

    Syrie : Daech exécute 20 hommes dans les ruines de la cité antique de Palmyre       
     
     
    réagir
    12
    C'est dans ce théâtre antique romain que les jihadistes ont tués 20 personnes accusées d'avoir combattu avec le régime de Damas. 

    La cité antique transformée en scène des massacres de Daech. Le groupe jihadiste État Islamique (EI) a exécuté  par balle mercredi, dans le théâtre romain de la ville antique de Palmyre, vingt hommes accusés d'avoir combattu avec le régime syrien, selon l'Observatoire syrien des droits de l'Homme (OSDH).

     
     

    Sur le même sujet

     


     
    VIDEO. Palmyre, cité vieille de plus de 2 000 ans, aujourd'hui menacée

    VIDEO. Palmyre, cité vieille de plus de 2 000 ans, aujourd'hui menacée

    VIDEOS. Syrie : Daech fait flotter son emblème sur le musée de Palmyre

    VIDEOS. Syrie : Daech fait flotter son emblème sur le musée de Palmyre



    L'EI les «accusait d'être des chiites et des Nossairi (terme péjoratif donné aux alaouites) ayant combattu avec le régime», a affirme Rami Abdel Rahmane, directeur de l'OSDH. Les alaouites, adeptes d'une branche du chiisme dont fait partie Bachar al-Assad, sont au pouvoir en Syrie depuis plus d'un demi-siècle, alors que la majorité du pays est sunnite, tout comme les membres de l'EI. «Le groupe a rassemblé une foule dans le but de montrer sa force sur le terrain», a-t-il ajouté.

    «Ils méprisent l'humanité»


    Interrogé par l'AFP, le directeur syrien des Antiquités Maamoun Abdulkarim a estimé que «si la nouvelle est vraie (...) utiliser les ruines romaines pour tuer des civils prouvent qu'ils méprisent l'humanité».

    Il y a deux jours, l'OSDH affirmait que l'EI avait exécuté au moins 217 personnes, dont des civils, depuis qu'il s'était emparé il y a neuf jours d'une partie de la province syrienne de Homs qui inclut Palmyre. Selon elle, cela concernait 67 civils, dont des enfants, et 150 membres des forces syriennes par des jihadistes de l'EI dans plusieurs endroits de la province de Homs depuis le 16 mai.

    D'après le directeur de l'Observatoire Rami Abdel Rahman, des familles entières ont été exécutées, dont des enfants avec leurs parents. L'armée syrienne a dans la foulée mené d'intenses raids aériens sur la ville.

  • Marion Maréchal-Le Pen : "Si nous gagnons, je serai bien présidente de la Région"

     

    Mercredi 27/05/2015 à 06H18 Marseille Tags : Marion Maréchal-Le Pen régionales Paca

    Succédant à son grand-père, Marion Maréchal-Le Pen croit en ses chances

     
     
     

    Après quelques hésitations, Marion Maréchal-Le Pen a confirmé hier à La Provencequ'elle serait bien la candidate du Front national aux régionales de décembre prochain. Explications.

    Pourquoi avez-vous décidé d'être candidate à la région Provence-Alpes-Côte d'Azur ?
    Marion Maréchal-Le Pen : Avant de me décider, je voulais m'assurer que Jean-Marie Le Pen ne s'immiscerait pas dans la campagne ; qu'il n'en ferait pas un sujet de conflit après l'escalade à laquelle on a assisté. Je voulais aussi m'assurer du soutien des cadres et des militants. J'ai eu le plaisir de constater que c'était le cas. J'ai donc tous les éléments pour être candidate.

    Vous y allez pour gagner ?
    Marion Maréchal-Le Pen : Bien sûr. Nous avons les cadres et les équipes pour y parvenir. Jean-Marie Le Pen a été pendant très longtemps le chef politique de notre parti dans la région. Je vais m'employer à mettre en avant de nouveaux visages, de nouveaux cadres, pour être à l'origine de l'éclosion de la génération politique de demain dans la région.

    Comment espérez-vous gagner alors que l'UMP est très forte dans des départements comme les Alpes-Maritimes, le Var et les Bouches-du-Rhône ?
    Marion Maréchal-Le Pen : Le combat va être long et difficile. Mais, pour une fois, avec la proportionnelle, le mode de scrutin n'est pas en notre défaveur. Avec lui, on a pu voir, notamment aux européennes, que le FN est le premier parti en nombre de voix dans la région. La dynamique est de notre côté, face à une gauche décrédibilisée et une UMP incarnée par M. Estrosi, dont la carrière politique est marquée par des retournements constants.

    L'UMP doit être rebaptisée Les Républicains, Nicolas Sarkozy l'a pacifiée. N'est-elle pas sur une nouvelle dynamique ?
    Marion Maréchal-Le Pen : Dans la région, elle a misé sur le mauvais cheval. J'aurais eu beaucoup plus à craindre de M. Ciotti que de M. Estrosi. Éric Ciotti, lui, a une pensée. Au contraire de Christian Estrosi qui fait souvent des déclarations contradictoires. Quant à Nicolas Sarkozy, il n'est pas innovant, il recycle des propositions anciennes qui ne peuvent pas convaincre des Français qui connaissent son bilan. Il essaye encore une fois de séduire les électeurs du FN. Mais cette fois-ci, ça ne fonctionnera pas.

    Si le FN devait gagner cette élection, vous seriez la présidente de la région ?
    Marion Maréchal-Le Pen : C'est la logique. Mais je tiens à insister sur le fait que je vais faire une campagne d'équipe, mettre en avant tout le futur exécutif. Non seulement je connais mes limites, mais je sais qu'un politique n'est pas omniscient et omnipotent. Je vais montrer que je suis entourée de personnes compétentes et loyales.

    Redoutez-vous la concurrence du mouvement politique que votre grand-père a annoncé vouloir former ?
    Marion Maréchal-Le Pen : En aucun cas. Il a précisé qu'il s'agirait plutôt d'une association qui n'aura pas vocation à présenter ou à soutenir des candidats.

    Depuis l'interview à "Rivarol" qui a mis le feu aux poudres, avez-vous eu l'occasion de le voir et de discuter avec lui ?
    Marion Maréchal-Le Pen : Je l'ai vu une seule fois, au sujet de la candidature en Paca et des différentes options pour une sortie de crise apaisée. Depuis, je l'ai revu au bureau politique mais pas en tête-à-tête.

    Souhaitez-vous sa présence à vos côtés durant la campagne que vous allez conduire ?
    Marion Maréchal-Le Pen : Je ne le lui ai pas demandé et je ne pense pas qu'il le souhaite. Ce qui m'importe le plus, c'est d'avoir la latitude nécessaire pour mener une campagne à ma façon, avec mes équipes. Sur ce plan, je crois que nous sommes en parfait accord.

    Ne craignez-vous pas que cette querelle de famille ait discrédité le FN en tant que force politique capable de diriger le pays ?
    Marion Maréchal-Le Pen : Ce n'était pas une querelle familiale, mais une crise éminemment politique. La dimension familiale de ce conflit est, si je puis dire, un dommage collatéral. Nous en étions arrivés à un tel point de désaccord qu'il devenait difficile d'échapper à cette crise et à la nécessaire explication de texte qui a suivi. Personne n'en est sorti grandi. Marine Le Pen, elle-même, souffre beaucoup de la situation. Elle souffre d'avoir dû prendre une décision difficile en tant que chef de parti et en tant que fille. Cela étant, elle a fait la démonstration de sa capacité à dissocier les obligations d'une présidente de parti politique et les aspects plus personnels.

    Florian Philippot souhaite que le titre de président d'honneur du Front national disparaisse. Êtes-vous d'accord avec lui ?
    Marion Maréchal-Le Pen : L'important, c'est que Jean-Marie Le Pen n'ait plus de fonctions exécutives au sein du mouvement. Si, dès le départ, il avait été cantonné à un rôle purement honorifique, ça ne serait pas arrivé.

    On entend beaucoup de critiques au sein du FN sur le rôle éminent que joue Florian Philippot auprès de Marine Le Pen. La ligne politique est-elle aussi clairement définie qu'il le suggère ?
    Marion Maréchal-Le Pen : La ligne politique est très claire, c'est celle qu'a fixée Marine Le Pen dans son programme présidentiel et qu'elle défend au quotidien. Il n'y a pas d'ambiguïté là-dessus.

    Vous n'avez pas de réticence vis-à-vis de Florian Philippot, qui est arrivé loin derrière vous aux élections internes et qui joue un rôle plus important que vous au sein des instances du FN ?
    Marion Maréchal-Le Pen : Il est arrivé quatrième, mais avec tout de même 70 % des voix, ce qui n'est pas un désaveu. Pour ce qui me concerne, il n'y a aucune concurrence avec Florian Philippot, plutôt une forme de complémentarité.

    Il s'est montré particulièrement sévère avec Jean-Marie Le Pen, alors que beaucoup de gens au FN sont encore très attachés à la personnalité et à ce que représente votre grand-père. N'est-ce pas un risque politique de vous couper aussi brutalement de Jean-Marie Le Pen que l'a fait Florian Philippot ?
    Marion Maréchal-Le Pen : Nous aurons un congrès extraordinaire au mois de juillet. Les adhérents auront la parole et ils choisiront de façon démocratique. Cela permettra de couper court à toutes les suspicions. Beaucoup de gens sont tristes de ce qui s'est passé et de la fin politique de Jean-Marie Le Pen, mais il y a toujours une unité derrière la présidente.

    Sur quels thèmes allez-vous faire campagne pour la Région ?
    Marion Maréchal-Le Pen : Notre programme détaillé sera dévoilé en septembre, mais je peux d'ores et déjà vous dire que nous ferons campagne à droite, sur l'économie, l'emploi, l'identité, la bonne gestion des deniers publics... Mais nous ferons aussi campagne sur des thèmes où on ne nous attend pas forcément.

    Une région peut-elle selon vous être gérée sans augmentation d'impôts, à l'heure où l'État restreint ses dotations ?
    Marion Maréchal-Le Pen : Oui, et nous en avons apporté la preuve avec les mairies que nous gérons. Certaines étaient quasiment en faillite et les impôts n'y ont pas augmenté pour autant. Nous avons simplement fait des choix qui nécessitaient du courage et la recherche d'économies auxquelles les élus précédents avaient beaucoup de mal à se résoudre.

    Du fait du programme économique du Front national, qui préconise notamment la sortie de l'euro, une région gérée par le Front national restera-t-elle attractive pour les investisseurs ?
    Marion Maréchal-Le Pen : Il ne vous a pas échappé qu'on ne pourra pas sortir de l'euro au niveau régional... Cela étant, je m'attends bien entendu à ce que nos adversaires en mal d'arguments politiques essayent une fois de plus de surfer sur les peurs, comme ils le font à chaque élection. Sauf que nous gérons aujourd'hui des exécutifs où nous démontrons que ces peurs n'ont pas lieu d'être.

    Dans les villes que le FN a gérées à partir de 1995, ça ne s'est pas toujours très bien passé sur le plan économique. À Vitrolles, notamment plusieurs entreprises ont préféré partir...
    Marion Maréchal-Le Pen : C'était il y a plus de 20 ans... Aujourd'hui, qu'en est-il ? Y a-t-il eu des départs massifs d'entreprises dans les communes gérées par le Front national ? Je ne crois pas. Y a-t-il eu des départs massifs de fonctionnaires ? Je ne crois pas non plus. Depuis 20 ans, le contexte politique a évolué et la place du FN dans la vie politique n'est plus du tout la même.

    Sur l'identité, ferez-vous de la surenchère sur les propos de M. Estrosi qui dénonce notamment une 5e colonne islamiste ?
    Marion Maréchal-Le Pen : Sûrement pas. Je n'ai pas besoin de cela pour convaincre les électeurs. J'ai une ligne politique et je m'y tiens. Je n'ai pas besoin d'en faire des tonnes pour dissimuler un bilan, comme M. Estrosi. Dans sa ville, il subventionne des associations clairement liées à l'UOIF (*), une branche des Frères musulmans avec une vision très radicale de l'islam. La mosquée de Nice est tenue par cette obédience et ça n'a pas empêché la mairie de lui accorder une subvention déguisée sous la forme d'un bail au montant dérisoire. Elle a d'ailleurs été condamnée par le tribunal administratif.

    Après la relaxe de deux policiers dans le procès sur la mort de deux adolescents d'origine immigrée en banlieue parisienne, vous aviez tweeté "la relaxe montre que la racaille avait mis par plaisir les banlieues françaises à feu et à sang". Vous le regrettez ?
    Marion Maréchal-Le Pen : Comme tout le monde, je suis triste qu'un accident ait provoqué la mort de deux adolescents. Mais je ne parlais pas d'eux. Je parlais des émeutiers qui ont pillé, cassé, brûlé, agressé pendant trois semaines, au point que l'état d'urgence avait été instauré pour la première fois depuis la guerre d'Algérie. Rien ne justifiait les agissements de la racaille, qui n'est que le terme trivial pour "délinquants".

    La justice a autorisé Nicoals Sarkzoy à rebaptiser l'UMP sous le nom de "Républicains". Ça vous gêne ?
    Marion Maréchal-Le Pen : Ça me réjouit. Ça concrétise l'admiration béate de Nicolas Sarkozy pour les Républicains américains, ses grands frères. Tout le monde voit bien que les valeurs républicaines défendues par l'UMP comme par les socialistes sont dévoyées, invoquées à tort et à travers. Ça ne trompe personne.

    (*) : Union des Organisations islamiques de France

    LA PROVENCE

  • Fils de France invite un islamiste UOIF qui fait l’apologie du djihad à son université de Printemps

    20h54

    Comme en 2013 et en 2014, cette année encore se tiendra l’Université de Printemps de Fils de France.

    Fils de France recevra, le député UMP Hervé Mariton aux côtés d’Hassan IQUIOUSSEN, imam, fondateur des Jeunes Musulmans de France (JMF).
    Hassan IQUIOUSSEN donne des conférences en France depuis près de 20 ans diffusées en vidéos. Il prodigue ses enseignements dans de nombreuses institutions et associations, et notamment dans le cadre de l’UOIF (Union des organisations islamiques de France).

    Pour le prédicateur, les bienfaits de la vie après la mort sont liés à l’engagement des musulmans sur cette terre. Dans sa conférence sur le thème de l’engagement, il commence par faire l’éloge des moujahidines (combattants de Dieu) qui ont conquis l’Espagne, l’Italie et la Sicile. La conquête armée de l’Europe est donc louée comme un Jihad positif pour l’expansion de l’Islam.

    Il ajoute par ailleurs : « Nous ne sommes ni marocains ni algériens, nous sommes des musulmans” […] “C’est ça notre identité, c’est ça notre nationalité, c’est ça notre être, c’est ça le plus important. Tout le reste est secondaire ».

     

    NdB: Nous, nous sommes Français de France  depuis toujours,  du temps où la France s'appelait la Gaule, et où ses forêts profondes inspiraientt la foi des druides. De ces forêts ont surgi des cathédrales chrétiennes où l'eau du baptême a coulé sur le front de Clovis... Notre terre nourricière aux belles moissons nous a donné notre pain quotidien et le soleil blanc de l'Hostie.  Nous sommes païens et chrétiens, et fiers de l'être . Nous sommes de Lascaux  et des plus hautes flèches de nos cathédrales qui touchent le ciel.

  • Belgique : le maire d’Anvers Bart De Wever (N-VA) menacé de mort s’il ne se convertit pas à l’islam (MàJ vidéo)


    Bart De Wever fait l'objet de nouvelles menaces de mort

    FDS

  • PACA: Marion twitte

    Capture.PNG Marion PACA.PNG

  • Hautetfort en maintenance

    Hautetfort a été en maintenance de 23h à minuit. Je n'ai donc pas pu poster de notes durant ce laps de temps. Désolée! 

    Gaëlle Mann