Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

  • FN: Florian Philippot demande une protection policière

    http://www.lefigaro.fr/flash-actu/2015/06/02/97001-20150602FILWWW00408-fn-philippot-demande-une-protection-policiere.php

  • Vol MH17 : le Boeing a été abattu par un missile russe

    http://www.leparisien.fr/faits-divers/vol-mh17-le-boeing-a-ete-abattu-par-un-missile-russe-02-06-2015-4826137.php

     C'est bien un missile russe Bouk qui a abattu le Boeing malaisien qui s'est écrasé en juillet 2014 dans l'est de l'Ukraine avec 298 personnes à son bord. Mais on ignore toujours s'il était aux mains de l'armée ukrainienne ou des rebelles prorusses.

    + 2 VIDEOS

  • Prof licencié pour propos islamophobes sur Facebook : "une attitude incompatible avec sa fonction"

    2131599.jpg Facebook.jpg

       

    02/06/15 à 12:13 - Mise à jour à 12:14

    Source : Belga

    Un professeur d'histoire du lycée Dachsbeck à Bruxelles a été démissionné d'office par la ville de Bruxelles pour avoir tenu des propos sur Facebook qui ont été jugés islamophobes, selon des informations de Sudpresse et de la Dernière Heure.

     

    © REUTERS

    L'histoire remonte à février 2012, quand un professeur d'histoire du lycée Dachsbeck à Bruxelles tient une conversation sur Facebook avec une de ses élèves. Ce n'est qu'en décembre 2013 que la mère de cette élève porte plainte auprès de la préfète du lycée contre le professeur, après avoir découvert la conversation en question. Dans cet échange révélé par Sudpresse, le professeur parle de religion et demande notamment à la jeune fille, au sujet de l'islam: "Pourquoi choisir la religion qui se caractérise par le plus haut taux d'analphabétisme et qui possède le plus grand nombre de pays sous-développés et arriérés?". Propos que la Ville de Bruxelles a jugés islamophobes.

    Après une procédure d'un an et demi émaillée d'une longue série d'auditions avec les différents pouvoirs organisateurs, période pendant laquelle l'enseignant a été complètement suspendu de ses fonctions, l'agent a finalement été licencié purement et simplement de l'établissement. Il y travaillait depuis 14 ans et n'avait eu, jusqu'à présent, aucun rapport négatif.

    Faouzia Hariche, Echevine de l'instruction publique à la ville de Bruxelles, contactée par nos soins, explique: "En général, lorsqu'un agent nommé de la Ville est suspendu de la sorte et qu'on le prive de contact avec les élèves, c'est que les propos tenus sont très graves. Il s'agit d'une rupture de confiance immédiate entre l'employeur et l'employé." L'échevine renvoie dans ce cas au code de déontologie des enseignants : "Que ce soit sur Facebook ou au téléphone, c'est le bon sens qui prévaut, un professeur garde sa casquette de professeur et se doit de connaître les limites de sa fonction. Dans ce cas, l'agent a clairement outrepassé les règles en vigueur."

    Sur Facebook, est-il permis de traiter son patron de tous les noms?

    Mais l'instruction publique peut-elle se baser sur une conversation - qu'elle soit privée ou publique - entre un enseignant et une élève pour prendre sa décision ? Etienne Wery, avocat spécialisé dans le droit des nouvelles technologies, avance que l'on ne peut pas se baser sur une conversation privée pour condamner une personne. "Dans une conversation privée sur Facebook ou limitée à quelques amis, c'est comme si l'on discutait dans son salon. Il est permis, par exemple, de traiter son patron de tous les noms. Il en va tout à fait autrement si les propos sont publiés directement dans un statut rendu public, ils sont alors considérés comme diffamatoires ou insultants et la rupture entre employeur et employé est consommée. C'est le cas dans 80% des dossiers en diffamation concernant Facebook. " Il ajoute : "Ici, on est plus dans un cas de figure où les propos tenus par ce professeur sont incompatibles avec sa fonction et qu'il est n'est plus considéré apte à la remplir ."

    Le professeur démissionné, de son côté, a introduit un recours contre la décision de la Ville.

  • Christian Estrosi renouvelle le voeu de protection de la ville de Nice à la Sainte Vierge

     

    FullSizeRender (1)

    Il l’a fait. Comme on peut le voir sur sa page Facebook, Christian Estrosi, député-maire (Les Républicains, ex-UMP) de Nice a renouvelé la demande de protection de la ville de Nice à la Sainte Vierge, le dimanche 31 mai 2015. Ce voeu solennel remonte à l’année 1832. Cette année, les élus niçois décidèrent, en effet, de l’adoption par la ville d’un voeu solennel afin d’éviter une épidémie de choléra-morbus. Ce voeu est renouvelé tous les ans par le maire de la ville. Une petite allusion à l’actualité des persécutions subies au Proche-Orient a été faite: « ce vœu de protection, je le formule aussi pour tous les chrétiens et non chrétiens qui subissent la barbarie et l’injustice ». On appréciera ce geste courageux qui démontre que des élus savent honorer l’identité chrétienne de leur cité. Bravo, Monsieur le Maire !

    Riposte Catholique

    NdB: Un geste purement électoraliste !

  • Jean-Marie Le Pen conteste en justice sa suspension du FN

    02/06/15 à 15:52 - Mise à jour à 15:52

    Source : Belga

    Le chef historique de l'extrême droite française, Jean-Marie Le Pen, a annoncé mardi avoir saisi la justice pour "contester son exclusion" du Front national (FN) souhaitée par sa fille Marine après des propos incendiaires.

     

    •        

     

    "Je conteste mon exclusion comme adhérent et donc l'interprétation extensive" des statuts "qui me prive de ma présidence d'honneur", a déclaré à l'AFP le vieux tribun, 86 ans. Il a précisé avoir assigné le FN devant le tribunal de Nanterre, à l'ouest de Paris, où est situé le siège du parti. Selon lui, une première audience devrait avoir lieu le 12 juin en sa présence.

    Jean-Marie Le Pen a cofondé le Front national en 1972, et l'a dirigé pendant près de 40 ans avant d'en confier les rênes à sa fille Marine en 2011. Depuis qu'elle est aux commandes, celle-ci tente de se défaire de l'image raciste et antisémite du parti pour conquérir le pouvoir.

    Malgré ses succès électoraux, qui ont notamment hissé le FN en tête des Européennes en 2014, cette stratégie de "dédiabolisation" ne plaît pas à Jean-Marie Le Pen, pour qui le parti risque de perdre son sel en se normalisant.

    En avril, il a provoqué la guerre avec sa fille avec de nouvelles déclarations incendiaires sur la Shoah, et en prenant la défense du "monde blanc", de "l'Europe boréale", ou encore du maréchal Pétain, qui a gouverné la France pendant la Seconde guerre mondiale en collaborant avec l'occupant nazi.

    Pour le faire taire, Marine Le Pen avait convoqué en mai le bureau exécutif du FN qui, réuni en formation disciplinaire, a décidé de suspendre le patriarche et de convoquer une assemblée générale dans les trois mois pour le priver de son titre de président d'honneur.

    LE VIF be

  • Que fait le ministre de la Culture devant cette souillure de Versailles ?

    Anish-Kapoor.jpg

    Anish Kapoor invite le chaos à Versailles

     

    INTERVIEW - À partir du 9 juin, l’artiste britannique présentera Rencontre dans son atelier londonien.

    Quartier de Camberwell, au sud-est de Londres. Bienvenue dans l'antre d'Anish Kapoor, 61 ans, un des plus célèbres artistes contemporains du monde. En 2011, il avait investi la Nef du Grand Palais avec Leviathan, une sculpture gigantesque en PVC rouge, à ce jour le plus beau succès de "Monumenta" avec 277.687 visiteurs. Le 9 juin, il s'installera à Versailles avec des œuvres inédites, conçues pour ce lieu du patrimoine. Il y a un mois, il faisait lui-même la visite à la presse de son atelier qu'il occupe depuis vingt-cinq ans, une bâtisse avec une impressionnante hauteur sous plafond, divisée en plusieurs espaces d'expérimentation. Peu à peu, le plasticien a racheté les hangars avoisinants, afin de stocker toutes ses pièces en cours de finition, de ses toiles organiques à la Francis Bacon, dégoulinantes de silicone, à ses miroirs réfléchissants qui inversent les motifs et jouent avec la 3D. Vingt-cinq assistants, en combinaison intégrale blanche, s'affairent. Les murs sont immaculés, les sols recouverts de taches de peinture. On se croirait sur une scène de crime.

    Lire aussi : la démesure d'Anish Kapoor au Grand Palais

    Comment comptez-vous vous emparer du château de Versailles?
    Mon travail n'a aucune vocation décorative. Je veux le faire dialoguer avec l'œuvre de Le Nôtre, qui a ordonné la nature pour l'éternité avec des perspectives géométriques parfaites. Poser des objets de-ci de-là ne sert à rien. J'ai eu l'idée de bouleverser l'équilibre et d'inviter le chaos. Tout en préservant l'intégrité de ce lieu historique : voilà la principale difficulté. Je me suis permis une incursion à l'intérieur, dans la salle du Jeu de Paume, là d'où est partie la Révolution française, où ont été prononcés les mots "liberté, égalité, fraternité", un symbole du pouvoir encore imprégné d'une formidable tension. Face au tableau de David, j'ai placé un canon qui tire 5 kg de cire, une matière évoquant des corps en bouillie, dans un coin de la pièce. Un symbole phallique évident pour une installation controversée qui interroge sur la violence de notre société contemporaine. La présidente de Versailles, Catherine Pégard, fait preuve de courage et de générosité, car c'est une provocation.

    Et dans les jardins?
    Face au château, il y aura une mystérieuse sculpture en acier rouillé de 10 m de haut, qui pèse plusieurs milliers de tonnes et avec des blocs de pierres tout autour. Là encore, à connotation sexuelle : le vagin de la reine qui prend le pouvoir. Un projet ambitieux mais pas si démesuré que ça à l'échelle de Versailles. Plus loin, deux gros miroirs et un nouveau bassin, creusé spécialement pour l'exposition. L'eau sera agitée par un vortex, pour créer un mouvement perpétuel. Et dans le bosquet de l'Étoile, on trouvera un énorme cube en bois percé de tunnels, que le public pourra emprunter. La tonalité générale de ma démarche est sombre, je l'admets. À l'entrée de mon atelier, j'ai épinglé la une d'un journal mettant en garde contre le sentiment anti-islam qui se développe en Angleterre et ailleurs. Quand je vois des œuvres d'art et des monuments réduits en poussière par des terroristes, une tragédie motivée par le cynisme, je me demande sur quelle planète on vit. En détruisant le passé, impossible de comprendre le présent. Il ne faut pas fuir ses responsabilités.

    Cette exposition représente-t-elle un défi?
    Celui de tout installer en moins d'un mois. Si je me mets à réfléchir, c'est mort. Je fonctionne à l'instinct, mais ma vision doit avoir du sens. L'angoisse monte. Je dois accepter de ne pas savoir à l'avance, de prendre des risques en réalisant des performances pour me réinventer. Mon objectif a toujours été d'agrandir l'espace et de regarder au-delà. Je suis né à Bombay, puis j'ai été élevé à Dehradun, une petite ville située au nord de l'Inde. Au début, je me destinais à devenir ingénieur, comme les autres garçons de mon âge. Seulement je détestais les mathématiques. J'étais toujours en train de fabriquer des choses, pas si différentes de celles que j'imagine maintenant [Rires]. Mon père était dans la marine, on déménageait souvent. Par conséquent, mes "œuvres" finissaient à la poubelle. Je suis arrivé en Angleterre en 1973, j'ai intégré les Beaux-Arts. J'ai alors découvert comment puiser en moi les ressources nécessaires afin de développer ma créativité.

    Stéphanie Belpêche, envoyée spéciale à Londres (Royaume-Uni) - Le Journal du Dimanche

    dimanche 31 mai 2015

    Voir aussi: http://www.fdesouche.com/614335-art-contemporain-installation-dun-vagin-geant-dans-les-jardins-de-versailles