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  • Le ministère de l’Intérieur refuse une protection rapprochée à Florian Philippot…

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    L'évaluation des risques menée par l'Unité de coordination de la lutte antiterroriste (UCLAT) « n'a pas conclu à la nécessité de mettre en place un dispositif de protection rapprochée ». Et toc.

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    Accorder une protection policière à Florian Philippot, qui se sent menacé suite à la plainte du Qatar à son encontre ? « Niet », a répondu le ministère de l’Intérieur. L’évaluation des risques menée par l’Unité de coordination de la lutte antiterroriste (UCLAT) « n’a pas conclu à la nécessité de mettre en place un dispositif de protection rapprochée ». Et toc.

    Florian Philippot n’avait qu’à pas déblatérer sur le Qatar. Surtout, Florian Philippot n’aurait pas dû faire part publiquement de ses graves soupçons sur « une grande partie du système français, c’est-à-dire des élites “corrompues par une relation incestueuse (…) avec le Qatar et l’Arabie Saoudite” » estimant que « ces pays financent l’islamisme qui tue ». En outre, il a aggravé son cas quelques jours plus tard en affirmant l’existence de « pléthore » de « preuves », d’où les poursuites du Qatar pour… diffamation.

    Et Florian Philippot de twitter que « le Qatar ne me fera pas taire. Une dictature islamiste n’a pas à dicter aux Français ce qu’ils ont le droit de dire. » On comprend l’inquiétude du vice-président du Front national vis-à-vis de sa sécurité quand la plainte provient d’un pays qui emprisonne à vie ses poètes pour délit d’opinion. Et condamne à mort les homosexuels.

    Pas de protection pour Phillipot, donc. Mais, « oui, évidemment » pour Patrick Pelloux qui, depuis les attentats de janvier, bénéficie de cinq gardes du corps, dont un « statique » à faire le planton devant son domicile. Protection dont bénéficiait Charlie Hebdo depuis 2011, et qui perdure comme celle, notamment, de Riss. Pourtant, ils l’ont promis-juré, les Charlie : plus jamais ils ne s’en prendraient à Mahomet !

    C’est « niet » pour Phillippot, mais « oui, avec plaisir », pour Julie Gayet, qui — après les attentats — s’est vue gratifier, elle aussi, de deux gardes du corps supplémentaires, portant leur nombre à cinq. Comme Pelloux !

    Les motifs de la demande du vice-président du premier parti de France ? De la gnognote comparée à ceux qui permettent l’octroi de gardes du corps à tous les anciens présidents et Premiers ministres. Deux pour Valéry Giscard d’Estaing (depuis 34 ans), quatre pour le couple Chirac, un pour Fillon et un aussi pour… Edith Cresson ! Pour ne citer qu’eux.

    De la gnognotte pour l’UCLAT mais pas pour Philippot selon lequel le ministère de l’Intérieur joue avec sa sécurité personnelle alors qu’il est très exposé, expliquant être sous le coup « d’une fatwa judiciaire de la part d’un pays tout à fait trouble, tout à fait louche ».

    « On attend l’agression ? C’est ça qu’attend le ministère de l’Intérieur ? », questionne le bras droit de Marine le Pen.

    Réponse de la maire de Paris, Anne Hidalgo, qui s’empresse de prendre la défense de l’État incriminé : elle se dit « heureuse de cette collaboration avec le Qatar » et souhaite remercier l’émirat « de soutenir des choses qui m’importaient beaucoup, je pense au foot féminin », à « la lutte contre l’homophobie, le racisme dans les stades »« Nous travaillons main dans la main. »

    La « lutte contre l’homophobie » ? Sans rire ? Une chose est sûre, Anne Hidalgo, elle, n’aura pas besoin de protection policière…

     
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  • Ne laissons pas Kapoor abîmer Versailles ! (pétition)

    http://www.ndf.fr/poing-de-vue/08-06-2015/ne-laissons-pas-kapoor-abimer-versailles-petition?utm_source=feedburner&utm_medium=email&utm_campaign=Feed%3A+ndf-fr+%28Nouvelles+de+France%29#.VXczD7kw-M8

     

    J'ai signé la pétition.

  • Versailles : La « pure merde pour cons prétentieux » (Luc Ferry) de Kapoor ne réjouit pas les visiteurs du domaine de Versailles

    http://www.ndf.fr/nos-breves/09-06-2015/versailles-la-pure-merde-pour-cons-pretentieux-luc-ferry-de-kapoor-ne-rejouit-pas-les-visiteurs-du-domaine-de-versailles#.VXcxZLkw-M8

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  • Pour l’État islamique en Libye, seuls les musulmans peuvent émigrer en Europe

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    08/06/2015 – MONDE (NOVOpress)
    L’État islamique fait passer des tests de Coran aux immigrés clandestins pour l’Europe. Les chrétiens qui échouent risquent la mort.

    Depuis plusieurs mois, l’État islamique s’est mis à attaquer les caravanes de réfugiés érythréens qui traversent la Libye afin de s’embarquer pour l’Europe. Les musulmans sont autorisés à poursuivre leur voyage, les chrétiens sont retenus en otages et finalement, pour les hommes, décapités ou fusillés.

    Une nouvelle attaque a eu lieu mercredi 3 juin : 86 réfugiés érythréens ont été kidnappés par l’État islamique. Des prisonniers qui ont pu s’enfuir en sautant d’un camion ont alerté la journaliste suédoise d’origine érythréenne, Meron Estefanos, cofondatrice de la Commission internationale pour les réfugiés érythréens et animatrice d’une émission de radio très écoutée dans la diaspora.

    « Les militants de l’État islamique », a expliqué Meron Estefanos d’après ces témoignages, « ont demandé à tout le monde qui était musulman et qui ne l’était pas. Tous ont commencé par dire qu’ils étaient musulmans. Mais il faut connaître le Coran, et ils ne le connaissaient pas ».

    On se rappelle, en avril dernier, le drame des chrétiens jetés à la mer par leurs congénères musulmans. Cette sinistre séance de catéchisme coranique confirme, malgré les dénégations obstinées des immigrationnistes d’Église et d’État, que les terroristes poursuivent un projet systématique : inonder l’Europe de clandestins africains musulmans, rien que musulmans, et les plus fanatiques possibles.

  • Nicolas Sarkozy lié de manière éternelle à la communauté juive et à Israël

    http://www.egaliteetreconciliation.fr/Nicolas-Sarkozy-lie-de-maniere-eternelle-a-la-communaute-juive-et-a-Israel-33360.html

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  • Paris: évacuation musclée d'un nouveau camp de migrants

    http://www.leparisien.fr/paris-75/paris-75018/paris-les-crs-empechent-l-installation-d-un-nouveau-campement-de-migrants-08-06-2015-4844151.php

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  • Hollande contraint de justifier la virée football de Manuel Valls à Berlin


    L’explication de Hollande sur le voyage de... par BFMTV

     

    36 heures après le déplacement express du Premier ministre en Falcon d'Etat pour assister à la finale de la Ligue des Champions entre le Barça et la Juventus à Berlin, le voyage de Manuel Valls continue de faire tousser.

  • Trahison épiscopale : l’archevêque de Strasbourg inaugure une mosquée

    8 juin 2015 par Pierrot - Contre-info.com

    Ce triste sire n’en est pas à sa première trahison (voir iciet ici). C’est dans le plus grand syncrétisme que s’est déroulé l’inauguration de la mosquée de la rue de l’Ill. Comme en témoigne le torchon Les dernières Nouvelles d’Alsace « La vie de la mosquée de la rue de l’Ill a commencé avec une cérémonie interreligieuse et républicaine à haute valeur symbolique, vouée à rester dans les mémoires.« . Ce qui doit rester dans les mémoires se sont les noms des mécréants qui mettent sur un même plan la vérité et l’erreur. Ceux qui associent l’islam, la République et la sainte religion catholique.

    Trouvé sur l’Observatoire de l’islamisation : Ce n’est pas tous les jours qu’on inaugure une mosquée. Hier, on était le 4 juin 2015. On était aussi le 17 chaâban 1436, mois du ramadan selon le calendrier islamique, indique la plaque inaugurale dévoilée par le maire, Roland Ries, et le président de la mosquée, Chaïb Choukri.
    Inutile d’essayer de citer tous les invités, l’ACDR (association culturelle des Deux-Rives) n’a voulu oublier personne, conviant élus de toutes les collectivités, associations, paroisses, sans compter les anonymes qui avaient pris place dans la rue de l’Ill barrée à la circulation, face aux lignes sobres de la mosquée conçue par l’atelier ODM.

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  • Mort de Tarek Aziz. La vérité rend libre et la mort délivre

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    Tarek Aziz a quitté cette vallée de larmes dans l’indifférence universelle.

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    Tarek Aziz a quitté cette vallée de larmes dans l’indifférence universelle. Une mort opportune qui enveloppe d’un linceul de silence les crimes des vainqueurs.

    À la fin des fins, la mort a eu pitié de Tarek Aziz, soixante-dix-neuf ans, ancien vice-Premier ministre irakien sous la présidence de Saddam Hussein. Condamné à la pendaison, il attendait son exécution comme une délivrance qui ne vint jamais. Ses impitoyables bourreaux ne daignèrent jamais accéder à sa si légitime prière. Peut-être étaient-ils de farouches partisans des fins de vie difficiles ? Car la survie dans les conditions ignominieuses qui lui étaient faites fut bien pire que la corde*. Mais entre sadisme, lâcheté et calcul politique, il s’agissait, pour ses tortionnaires, d’attendre que le temps accomplisse les basses œuvres devant lesquelles ils se dérobaient.

    Tarek Aziz, ministre des Affaires étrangères du régime baasiste de 1983 à 1991, puis vice-Premier ministre en 1991 d’un Irak soumis à un mortel embargo (lequel fera, d’après les Nations unies, presque un million de victimes), et ce jusqu’au printemps 2003. Les Gis viendront le cueillir le 24 avril à son domicile où il les attendaient. Ces mêmes forces d’occupation, feignant d’ignorer l’oppressive culture orientale de la vengeance, le remirent au nouveau pouvoir chiite, comme il le firent pour l’ancien Raïs (Guide), sachant pertinemment quelle en serait l’immanquable issue. À Nuremberg, les vainqueurs avaient eu au moins le courage de juger et de pendre eux-mêmes leurs vaincus. Cependant, forts de leur expérience et pour éviter les lourdes sentences à venir du grand tribunal de l’Histoire, les gens de Washington jugèrent plus expédient de se défausser de leurs responsabilités sur le nouveau pouvoir chiite qui ne faillit pas, au moins en ce domaine.

    L’ancien chef de la diplomatie aura donc été condamné au moins cinq fois à la peine capitale. En octobre 2010, la sentence précise : pour « meurtre délibéré et crimes contre l’humanité » pour la répression contre les partis religieux chiites, ceci après l’attentat dont il est l’objet en 1979 à Bagdad, à l’université Al-Moustansiriya. Le Conseil de la Révolution adopte alors une résolution punissant de la peine capitale la simple appartenance au parti Al-Daawa et à l’Organisation de l’action islamique.

    Le Vatican aura, en vain, plaidé la grâce du condamné. Le président irakien [2005-2014], le Kurde Jalal Talabani, avait certes déclaré qu’il ne signerait jamais l’ordre d’exécution. Ce qui n’empêchait pas Tarek Aziz de demander, en 2006, au nouveau Premier ministre Nouri Al-Maliki de hâter son exécution en raison de l’insupportable dégradation de sa santé. 1 Tarek Aziz aura donc prié le Dieu de miséricorde, durant dix ans, du fond de sa geôle pour ne pas connaître l’ultime déchéance de la mort lente à laquelle ses juges l’avaient inexorablement condamné. Né de confession catholique en 1936, près de Mossoul, région aujourd’hui ravagée par l’État islamique, l’Assyro-Chaldéen Tarek Hanna Mikhaïl (Jean-Michel) Issa adhère très tôt à la doctrine du nationalisme arabe, le Baas, qui selon lui « associe le socialisme au panarabisme, liant ainsi l’homme à sa culture, à son vécu et à sa civilisation ». Idéologie conçue par le chrétien syrien Michel Aflak, dont la statue sera brisée à la chute de Bagdad. Après la défaite, à l’issue de la guerre israélo-arabe de juin 1967, l’année suivante, en juillet 1968, Saddam Hussein et Tarek Aziz, en charge de la presse, organisent le coup d’État qui portera le Baas au pouvoir. Un binôme inamovible jusqu’à la chute du régime vingt-quatre ans plus tard en mars 2003.

    Remarquons que notre chère intelligentsia n’en finit jamais de se lamenter sur le sort des résidents des « couloirs américains de la mort ». Ainsi, France Culture, service public, s’est par exemple fait une spécialité d’inlassablement attirer l’attention de l’opinion sur la situation d’Abou Jamal, condamné à mort en 1982 (sa peine a, depuis, été commuée), mais jamais un traître mot sur les inhumaines conditions de détention d’Aziz. Deux poids, deux mesures. Chacun sait que les assassins sont, par définition, réputés innocents, victimes d’erreur judiciaire, qu’ils sont d’une certaine façon le sel de la terre, et qu’à ce titre ils méritent aide et compassion. Leurs victimes, quant à elles, sont prédestinées à passer par pertes et profits.

    Notes:

    1. « Condamné à la peine capitale, c’est très malade qu’il attendait sa pendaison dans le couloir de la mort. Une sentence qu’il implorait de voir exécutée ces dernières années, tant son état de santé s‘était dégradé » (euronews).
     
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