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  • Isère : un deuxième cas possible d'Ebola détecté à Grenoble

     

    Un jeune migrant de 20 ans a été transporté  dans la nuit de dimanche à lundi vers le CHU de Grenoble car il présentait les symptômes d'Ebola. Avant d'arriver en Europe, il est passé, a-t-il assuré, par la Guinée et la Sierra Leone, deux pays touchés par le virus.

    15 Juin 2015, 15h27 | MAJ : 15 Juin 2015, 16h21

     
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    Un migrant a appelé les secours, vers trois heures lundi matin alors qu'il se trouvait en gare de Grenoble, révèle France Bleu Isère.

     
     

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    Cet homme de 20 ans présentait les symptômes de la fièvre hémorragique Ebola. Interrogé par les secours, ce jeune migrant parti du Congo a expliqué qu'avant d'arriver en France, il est passé par la Guinée et la Sierra Léone, très durement touchés par le virus.

    En arrivant sur place, les secours du SAMU ont mis en place un périmètre de sécurité devant la gare. Le migrant a ensuite été transporté vers le CHU de Grenoble à bord d'un fourgon spécialisé pour le transport des cas possibles d'Ebola. Le jeune homme qui présentait bien les symptômes du virus a passé une partie de la nuit au CHU.

    L'Agence régionale de santé de Rhône-Alpes (ARS) a été immédiatement prévenue par les médecins, conformément à la procédure anti-Ebola. Et en début de matinée ce lundi, le patient a quitté Grenoble pour l’hôpital de la Croix-Rousse, à Lyon : le centre régional habilité à traiter les cas d'Ebola.

     Le CHU de Grenoble a précisé dans un communiqué qu'un autre cas possible du virus, qui  a également été transporté dans un des Hôpitaux civils de Lyon (HCL), a été détecté le 14 juin dernier.

    LE PARISIEN

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  • Loi Macron : Valls engagera dès mardi la responsabilité de son gouvernement

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    Les députés, qui devaient examiner en seconde lecture la loi Macron, n'auront pas à se pencher sur le millier d'amendements déposés. Le Premier ministre Manuel Valls vient de décider de recourir dès ce mardi à l'article 49-3. En demandant à sa majorité de lui accorder sa confiance, il fera adopter le texte en bloc.

    J.Cl. | 15 Juin 2015, 07h11 | MAJ : 15 Juin 2015, 17h55

     

     
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    François Hollande et Manuel Valls vont à nouveau recourir à l'article 49-3 de la Constitution pour faire adopter sans vote à l'Assemblée nationale le projet de loi Macron sur la croissance et l'activité.

  • Marine Le Pen annonce la constitution d'un groupe au Parlement européen

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    Si Marine Le Pen disposait du nombre d'élus nécessaires (au moins 25) pour constituer un groupe au parlement européen, elle ne pouvait jusqu'à présent aligner que des députés de cinq nationalités alors que sept sont requises. Ce n'est plus le cas laisse entendre la patronne du Front national.

    15 Juin 2015, 21h18 | MAJ : 15 Juin 2015, 22h22

    La présidente du Front national, Marine Le Pen, a déclaré ce lundi par un communiqué qu'elle va créer un groupe au Parlement européen.

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    Elle annoncera mardi à Bruxelles lors d'une conférence de presse «la constitution du groupe Europe des Nations et des Libertés», indique-t-elle dans ce communiqué. «Je viens de déposer les statuts auprès de l'administration en vue de la constitution de notre groupe», s'est félicité dans un tweet son lieutenant européen, Ludovic de Danne.

    Si elle avait le nombre d'élus nécessaires (37), Marine Le Pen n'était jusque là parvenue qu'à rassembler ses alliés «historiques» que sont le Parti pour la liberté (PVV) du Néerlandais Geert Wilders, le Parti de la liberté autrichien (FPÖ), la Ligue du Nord italienne et le Vlaams Belang flamand (Belgique). Soit seulement cinq nationalités dans cette coordination, alors que pour former un groupe, il faut au moins 25 élus de 7 nationalités différentes.





    Plusieurs sources au FN interrogées lundi soir ont refusé de préciser de quels pays sont originaires les élus rejoignant le groupe. «Il y a des discussions jusqu'à la dernière minute», a rappelé un eurodéputé FN. Les frontistes assuraient régulièrement depuis quelques mois qu'il ne manquait qu'«un pays», le septième, pour constituer un groupe, car le sixième était «prêt à être déclenché».

    Marine Le Pen a indiqué que les élus manquants ne viendraient pas de Hongrie: «Je n'ai pas changé d'avis en un an», a-t-elle rappelé, elle qui a exclu de s'allier aux élus du Jobbik hongrois et de l'Aube dorée grecque, qu'elle considère trop radicaux. Une source proche de la présidente du FN a laissé entendre que deux eurodéputés polonais pourraient faire partie de ce groupe, car il y a «eu beaucoup d'évolutions» au sein du parti d'extrême droite polonais KNP, depuis l'éviction de son sulfureux ancien président, Janusz Korwin-Mikke. Le parti lituanien Ordre et justice fait aussi partie des hypothèses, tout comme les élus des Démocrates suédois.



     Outre une plus grande visibilité, d'éventuelles présidences de commissions ou de sous-commissions, un groupe donne l'assurance de recevoir entre 20 et 30 M€ de subventions au cours des cinq années suivantes, hors salaires et avantages des députés.