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  • Cazeneuve lutte contre l’immigration en créant plus de 10 000 places d’hébergement pour les clandestins

     

    Face à l’afflux de « migrants » en Europe et particulièrement ceux qui, après avoir été débarqués en Italie, prennent le chemin de la France, le gouvernement Valls vient de présenter une série de mesures.

    Dans le cadre d’un plan de « prise en charge des migrants visant aussi à lutter contre l’immigration irrégulière » (sic), le ministre de l’Intérieur, Bernard Cazeneuve et sa collègue au Logement, Sylvia Pinel, ont annoncé la création de 10 500 hébergements pour les clandestins : 4 000 places supplémentaires pour les demandeurs d’asile, ainsi que 5 000 places pour les réfugiés (au sein du dispositif « logement accompagné », qui permet un suivi par des travailleurs sociaux pour aider à l’insertion) et 1 500 places d’hébergement d’urgence pour les clandestins vivant dans des camps.

    Une initiative saluée par Pierre Henry, directeur général de France Terre d’Asile :

    « Nous avions réclamé un plan d’urgence pour l’hébergement et l’accueil des réfugiés et des demandeurs d’asile, nous avons une réponse. C’est une réponse d’ampleur et jamais mise en œuvre jusqu’à présent. Il faudra désormais suivre la mise en application de ce plan, qui demande la mobilisation de tous les acteurs sur l’ensemble du territoire ».

    Actuellement, 64 000 étrangers demandent l’asile par an en France ; moins de la moitié obtiennent une place au sein des CADA (Centres d’accueil pour demandeurs d’asile).

    E&R

     

  • VIDEO - Florian Philippot invité de Boursorama.com

    http://www.boursorama.com/actualites/florian-philippot-fn-j-ai-renonce-a-essayer-de-comprendre-pourquoi-jean-marie-le-pen-m-en-veut-a-ce-point-4e60fa9bcd909ccfb8810bba4b1a84e4

  • Royal en croisade contre le Nutella!

    http://www.leparisien.fr/economie/royal-en-croisade-contre-le-nutellla-un-depute-italien-exige-des-excuses-17-06-2015-4869395.php

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  • Selon un sondage, le Front National est le parti le plus crédible aux yeux des Français

     

     

    17/06/2015 – POLITIQUE (NOVOpress avec le bulletin de réinformation)

    D’après une enquête réalisée par Odoxa pour « Le Parisien », 9 Français sur 10 ont une mauvaise opinion des partis politiques.
    Mais le Front National est jugé le plus proche des Français et le plus à même de proposer des solutions efficaces. Le titre de l’article commentant ce sondage est évocateur : « Les Français et les partis politiques : le FN domine le match ».

    Le FN a longtemps été tenu comme un parti protestataire, suscitant davantage un vote de rejet des autres partis qu’un vote d’adhésion à son propre projet
    Or 22 % des sondés le jugent capable de proposer des solutions efficaces — devant les Républicains (17 %) et le PS (13 %).
    Le PS et les Républicains paient leurs échecs successifs, notamment face au chômage. En effet, le FN reste puissant sur ses thèmes historiques, l’immigration et la criminalité. Mais, en plus, l’accent mis sur les problématiques économiques et sociales semble clairement porter ses fruits.

    Ces éléments redessinent ils profondément et durablement l’équilibre des forces politiques et augurent ils des victoires électorales pour le FN ?
    D’après Gaël Sliman, directeur d’Odoxa, « La présence du FN à ce niveau, alors qu’une large majorité de Français le considère toujours à part du champ démocratique, bouleverse l’équilibre bipolaire habituel de la Ve République, au profit d’un système tripolaire ».
    Rappelons que ce mouvement n’a réellement un tissu d’élus locaux que depuis les municipales de 2014.

    Un an après, le bilan est bon, voire très bon comme le montre la récente réélection triomphale de Joris Hébrard à la mairie du Pontet
    Le Front National compte poursuivre sur cette lancée aux élections régionales : une ou deux régions emportées par le FN. En décembre, ce sera un bilan à présenter, en 2017 aux électeurs en gage de crédibilité. C’est sans doute pourquoi la caste politico médiatique et la justice concentrent leurs attaques sur le FN, dans l’espoir de perturber cette dynamique.

  • Le droit de ne pas… Par Renaud Camus

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    Et si ce que j’aime dans les églises, moi, c’est précisément qu’elles soient vides, qu’elle soient le lieu du vide, de l’absence, du retrait, du silence et parfois de la musique ?

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    Donc ce qui devait arriver est arrivé, puisqu’il est écrit que, à moins de tirer une bonne fois sur la nappe – ce dont je serais, personnellement, très partisan -, nous devrons boire jusqu’à la lie la coupe d’amertume : Dalil Boubakeur estime doucereusement qu’il faut commencer à songer à transformer les églises en mosquées…

    Bien entendu, il n’a parlé que des églises vides – ce qui, si l’on prend en compte les églises de campagne, est à peu près le cas de neuf sur dix d’entre elles, les quatre-vingt-dix-neuf pour cent du temps. À ce régime, nos amis musulmans ne devraient pas manquer de lieux de prière en effet.

    Et nos amis catholiques de se précipiter aussitôt dans le panneau. Vous ne voulez pas d’églises transformées en mosquées, demandent-ils ? (Et certes nous n’en voulons pas.) Eh bien vous n’avez qu’à les remplir ! Courbe la tête, fier Sicambre ! Jetez-vous au pied des autels !

    Ah mais permettez, permettez ! Je suis comme la Maryvonne de Rennes, moi : je veux avoir le droit d’aller voir ailleurs un moment sans qu’on me prenne aussitôt toutes mes petites affaires et mon toit ! Je revendique le droit de n’y être pas. Je revendique le droit de ne pas.

    Les chrétiens qui pour toute réponse à Dalil Boubakeur estiment que les Français n’ont qu’à aller à la messe tous les dimanches ou tous les jours de la semaine admettent implicitement que, si leurs objurgations à la pratique religieuse de masse ne sont pas entendues (or il est peu probable qu’elles le soient), il n’y a rien à opposer aux revendications musulmanes. En somme ils estiment que Maryvonne n’avait qu’à rester chez elle, au lieu d’aller courir le guilledou chez son « compagnon » à Saint-Domineuc. Niente Saint-Domineuc, nous expliquent-ils d’un air sévère, à Maryvonne et à moi. Leur raisonnement est exactement le même que ceux qui disent : le Grand Remplacement n’arriverait pas si nous faisions autant d’enfants que les Africains. Vous ne voulez pas du changement de peuple ? Reproduisez-vous comme des Maliens du Neuf-Trois ou bien, si trois femmes et dix-sept enfants vous paraissent un peu trop pour votre estomac délicat, contentez-vous du taux de reproduction de familles à grands frères, petits frères, moyens frères et ribambelle de sœurs qu’on s’embrouille un peu, sous tous ces voiles. V’z’êtes toujours là à dire ouais, c’est n’importe quoi, cette invasion, mais vous en avez fait combien, vous, d’mouflets, m’sieur Camus ? Hein ? Hein ? Hein ?

    Bon, je ne vais pas recommencer. Je trouve que la croissance démographique indéfinie est une folie, comme la plupart des autres croissances indéfinies ; et que si les vieux peuples européens, dans leur sagesse, pensent que mieux vaut la modérer, ou même y mettre un terme, voire l’inverser, ils ne perdent pas pour autant le droit à leur continent, bien au contraire, car ils ne témoignent que d’un beau souci de sa conservation, et des réserves en lui de silence, de campagne, et d’absence. Loin de moi de vouloir assimiler le modérantisme démographique et l’absentéisme ecclésial, mais je plaide dans un cas comme dans l’autre, contre la force brutale du nombre, pour les droits historiques, c’est-à-dire pour les droits tout court, pour le droit, ne serait-ce que le droit de propriété, qui n’est rien s’il ne comprend pas celui de n’en user pas.

    Et si ce que j’aime dans les églises, moi, c’est précisément qu’elles soient vides, qu’elle soient le lieu du vide, de l’absence, du retrait, du silence et parfois de la musique ? Qu’au cœur des villes et du tourbillon d’être et de parler, de bruire, de nuire et de nocer, elles offrent des réserves de non-être et d’abstention, de fraîcheur dans la chaleur de l’été, de pénombre dans l’excès de lumière, de hauteur dans la trivialité des jours, de beauté dans la laideur du monde, de civilisation et d’art dans l’hébétude qui gagne ?

    Chrétiens, mes frères, il n’y a pas de spiritualité que dans la foi. Il y en aussi dans le doute, le croiriez-vous, dans l’inassentiment, dans le défaut d’adhésion et de présence. Je n’irai pas jusqu’à dire que les églises appartiennent autant à ceux qui s’y rendent seulement quand elles sont vides qu’à ceux qui les emplissent quelquefois, mais je crois bien qu’elles sont aussi chères aux chrétiens de civilisation, de culture et d’éducation, fussent-ils athées ou juifs, voire musulmans, qu’aux chrétiens de conviction. Nous les aimons parce qu’elles sont notre patrie charnelle, nos morts, les images qui nous ont bercés, l’espace, le parfum et le son de notre appartenance au temps et à la terre, à cette terre-ci, à ce continent-, à cette nation chrétienne, romane et gothique dans l’âme. Et nous aimerions mieux mourir que de les voir livrées à d’autres mains, à d’autre cultes, à la botte, à la babouche ou aux pieds nus des conquérants. D’ailleurs il faudrait, pour que cela soit, que nous fussions morts. Est-ce que nous le sommes ? [Ici le narrateur se tâte.]

     
    BOULEVARD VOLTAIRE
  • Loudun attend "ses" migrants avec inquiétude

    Dans la ville, une pétition circule contre l’ouverture d’un centre d’accueil pour demandeurs d’asile.


     À l’image de cette petite ville de la Vienne, la «politique de desserrement de Calais» menée par le ministère de l’Intérieur envoie des dizaines de migrants aux quatre coins du pays. Sans donner le choix aux communes concernées, souvent rurales et touchées de plein fouet par la crise, comme Loudun.

     

    Une semaine après, les habitants de Loudun (Vienne) sont toujours sonnés par la nouvelle. Loin de l’actualité et des convulsions du monde, à l’abri d’une campagne typique de la ruralité aux couleurs de France, plus loin encore du ressac migratoire, ils se voient imposer l’accueil de 80 à 100 migrants depuis Calais, Lyon ou Paris, venus d’Érythrée, de Syrie, d’Irak ou du Soudan. Leur arrivée est prévue en septembre, après la réhabilitation d’un bâtiment de l’AFPA qui servait jadis de résidence aux stagiaires de cet organisme de formation professionnelle.

    Comme beaucoup d’autres communes, la petite ville de 7.000 habitants doit «prendre sa part» de demandeurs d’asile, selon la répartition prévue par le ministre de l’Intérieur, Bernard Cazeneuve, pour soulager la pression migratoire …

    (…) Le Figaro

  • Jacques Séguéla : « il faut habituer nos enfants au métissage »

     

    1h36

    Le face à face de Ruth Elkrief de ce lundi 15 juin 2015 a opposé Ivan Levaï (journaliste) et Jacques Séguéla, (publicitaire et consultant chez Havas). Ils se sont penchés sur l’instance de dialogue créée par le gouvernement afin de renouer avec l’islam de France.

     

    « Il faut que l’islam s’intègre comme les juifs l’ont fait avec le CRIF  » – Ivan Levaï

    « Demain tout sera mono-colore, il faut habituer nos enfants au métissage » – Jacques Séguéla

  • L’élitisme n’est pas une maladie

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     NDF

     

    Mort annoncé du latin, laxisme sur l’orthographe, recrutement des professeurs avec une moyenne de 4/20, refus des redoublements, disparition des références classiques et chrétiennes, vagin de la reine, les attaques contre la culture et l’intelligence fondent comme le cyclone sur la pauvre Jamaïque…

    Jules Ferry que le président Hollande avait symboliquement honoré le jour de son arrivée à l’Elysée doit bien se retourner dans sa tombe. Comment se peut-il qu’un parti de gauche trahisse autant le peuple qu’il assure pourtant défendre ? Une seule réponse nous semble possible. La culture est l’ennemi numéro un de l’idéologie de gauche. La droite a cru laisser un os à ronger à ses adversaires en lui abandonnant la culture au profit de l’économie. Elle oubliait que cet os n’était autre que son propre squelette, aujourd’hui attaqué jusqu’à la moelle.

    Depuis des décennies, les tenants du progrès ont creusé la tombe de l’excellence en menant une chasse systématique et violente à l’élitisme. Faisant, par un discours officiel lacérant, de ce nom un gros mot dangereusement capitaliste, ils ont peu à peu instauré le règne des médiocres. Car les bons d’aujourd’hui ne sont plus que les moyens d’hier. Refusant l’aristocratie, ce gouvernement des meilleurs, qu’ils ne parvenaient pas à rejoindre, ils ont imposé par la terreur la médiocratie comme forme unique de pensée.

    Au lieu de tirer ce peuple qu’il méprise vers le haut, ils l’ont maintenu des années durant dans la fange de laquelle ils ne parvenaient pas eux-mêmes à sortir. Trop conscients qu’au royaume des aveugles les borgnes sont rois, ils ont savamment réduit à la cécité la population en l’abêtissant. Car la culture rend libre et une élite cultivée n’a pas peur d’un peuple cultivé. A l’inverse un médiocrate, bien conscient de son insuffisance a peur de l’intelligence et de la lumière.

    Il est urgent de faire front à la médiocratie qui ne se maintient que par le totalitarisme de l’abêtissement des foules. Il est urgent que l’élite n’ait plus peur de l’excellence. Il est urgent qu’elle cesse de culpabiliser et de se cacher. C’est son devoir moral le plus grave et auquel elle doit concentrer toutes ses forces, toute son énergie et toute sa fortune.

    Contre le totalitarisme des médiocres, élites autoproclamées, il faut une révolution de la véritable intelligence, un sursaut de l’excellence, un réveil de l’élite de ce pays au service de tout le peuple.

    Ne pas le faire n’est rien moins que de la non-assistance à personne en danger.

    > Cyril

  • GROUPE BILDERBERG : Le cercle des élites disparues

     

    GROUPE BILDERBERG  - Le cercle des élites disparues

     



    Auran Derien
    le 14/06/2015
    Toute la finance mondialiste et leurs affidés sont là, au Bilderberg, ce jeudi 11 juin. Rien n’est plus sordide que cette réunion de responsables protégés de toute sanction, alors qu’ils sont responsables et coupables de toutes les guerres, de toutes les crises et des malheurs que subissent les peuples. Tous les pouvoirs -politiques, financiers, militaires et médiatiques- sont représentés.

    Bien entendu, les banquiers sont là, usuriers satisfaits. Ils sont répugnants et répugnent d’ailleurs de plus en plus. Les gens civilisés rient désormais de cette nigologie que plus personne ne prend au sérieux. Ils convoquent au « club des vampires » leurs affidés politiques, ceux qui leur amènent les agents des pays à dépecer. L’élite des BRICS (Brazil, Russia, India, China, South Africa) ricane. 

    Pour la France, les participants dont les noms apparaissent dans la liste publiée s’appellent entre autres Laurence Boone, l’ineffable patron de Castries (qui divisa par trois le cours d’Axa au milieu des années 2000 !), Catherine Pégard, chargée par Sarkozy de liquider ce qui peut rester de notre pauvre château de Versailles, victime collatérale de ce conglomérat antéchristique qui nous sert de politique culturelle… On ajoutera Nicolas Baverez, qui débuta dans une revue catholique et qui est aujourd’hui un madré membre du cabinet d’affaires Gibson, Dunn & Crutcher LLP cabinet occupé par de gros clients comme Apple ou Zuckerberg.
     
    Le grand basculement 

    Le grand basculement est en cours. Dans les deux à trois prochaines années, le groupe BRICS surpassera les Etats du G7. A voir une image du G7 se confirme la vision d’un club réuni sous la férule du parrain de la cour des miracles. L’involution européenne, depuis l’entrée en guerre des USA en 1916 a fini par s’accélérer, à mesure que les clefs de voûte, les élites aux postes essentiels qui assurent l’architecture efficace d’une nation, furent remplacées par les petits fonctionnaires sur lesquels on bute désormais partout en Europe, et dont certains viennent s’asseoir bien respectueusement autour du parrain Obama. 

    Le processus de basculement est très avancé. Vers 1820, les pays émergents pesaient en moyenne 70% du PIB mondial selon les estimations de Angus Madison. En 1913, ils ne pesaient plus que 40%, et en 1950 ils étaient tombés à 35%. La tendance s’inversa a partir de 1960. Autour de 2010, les anciens pays du tiers-monde étaient remontés à 50% du PIB mondial. La bureaucratie mondialiste estime qu’aux environs de 2025, soit dans 10 ans au maximum, ils seront revenus à quasi 70% du PIB mondial, sifflant la fin de cette énorme différence creusée par la révolution industrielle et annonçant l'émergence d’une meilleure diversité des capitalismes. Les marchands du Bilderberg sont condamnés à ne plus être confondus avec des élites, mais à apparaître dans leur réalité toute crue: des incompétents auxquels on préfèrera le monde des BRICS.

    Un seul thème, le butin 

    Barack Obama, serviteur consciencieux des "soviets de la finance", des congrégations multinationales et autres consistoires médiatiques continue le pillage de l’Europe, inauguré par ses prédécesseurs, achetant tout ce qu’il souhaite, hommes et entreprises, avec les dollars créés pour la circonstance. L’Europe doit disparaître, vaporisée et pastoralisée. 

    Le seul thème apte à les satisfaire est abordé sous tous les angles : interdire les relations entre l'Europe et la Russie, à l’avantage des firmes dominées par le club des élites disparues, comme en Iran, dont Peugeot fut éliminé brutalement. Dépecer les banques européennes, notamment Deutsche Bank dont les deux directeurs ont démissionné, remplacés par un gérant envoyé par la finance anglo-saxone ; la disparition de la banque est inéluctable, elle ne peut plus rien entreprendre depuis que son bilan est composé d'actifs pourris, sans valeur, que seule la BCE rachète, au moyen d’une gigantesque fabrication de monnaie qui ne sert jamais à investir. La production de fausse monnaie par la BCE sert aussi à bloquer les taux d'intérêt au niveau zéro pour que les obligations contenues dans le bilan de AXA ne s'effondrent pas en entraînant la chute de toute la maison.

    Mais le butin futur n’est rien moins que le résultat du traité transtlantique qui verra enfin les petits fonctionnaires de la communauté européenne réussir la vente du continent à l’empire américain. Il ne faudrait pas qu’un quarteron d'Européens de vieille souche, comme en Islande, décide de porter plainte contre les banques en fait contre le Groupe Bilderberg, et envoient en prison de si médiocres élites incapables de faire autre chose qu’engendrer la misère et ramener l’Europe et l’Occident à l’époque des cavernes.

    La « Homes Association of Iceland » (Association d’intérêt public pour la protection des droits des ménages islandais) a annoncé d'ailleurs le dépôt d’une plainte contre tous les dirigeants de toutes les banques d’Islande, pour fabrication de fausse monnaie. 
     
    METAMAG
  • « Les Françaises aux africains » sur un mur de Paris : l’AGRIF porte plainte !

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    L’association le M.U.R. (Modulable Urbain Réactif), financé notamment par la mairie de Paris et le Centre Georges Pompidou, vient de réaliser une grande fresque murale, d’une dimension de 3 mètres sur 8 mètres, situé à l’angle de la rue Saint-Maur et de la rue Oberkampf.

    Sur une représentation de jeune femme française figure l’inscription barrée : « La France aux Français » et en dessous, l’inscription « Les Françaises aux africains ».

    C’est là évidemment une revendication provocatrice de prédation sexuelle doublement raciste, d’abord à l’égard des femmes françaises ravalées au rang de butin et à l’égard des Français en général.

    « Les Françaises aux africains » ! C’est tout simplement un cri de domination barbare et d’appel au viol. Mais, qui le nierait, cette provocationpeut dialectiquement susciter à rebours une réaction exaspérée de racisme anti-africain.

    Les militantes et les militants de l’AGRIF, parmi lesquels sont des Français d’origine africaine, dénoncent cette provocation subventionnée doublement raciste et de mépris pour la femme !

    L’AGRIF va diligenter immédiatement la plainte qui s’impose.