Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

  • Esther Benbassa (EELV): "j'aime pas ce mot... de souche"

    à 6m43s
    « Ça devient un rejet de l’autre. De celui qui … j’aime pas ce mot, mais hélas je n’ai pas d’autre mot … qui n’est pas de souche »

    à 7m15s
    « Les Français sont anti-étrangers. Il y a une xénophobie montante, exprimée sans tabou »

    à 7m40s
    « Avant les gens avaient des tabous. Moi je préfère que les gens ne le disent pas ouvertement, oui! »

     

    Merci à vlcsnap

    FDS

  • Le discours complet de Marion Maréchal-Le Pen au Pontet le 5 juillet 2015

    Retrouvez mon discours de lancement de campagne, prononcé cette après-midi au Pontet :

    " Mes chers amis, Messieurs et Mesdames les conseillers municipaux, Messieurs et Mesdames les conseillers départementaux, Messieurs et Mesdames les conseillers régionaux, Messieurs et Madame Le Maire, Messieurs les sénateurs-Maires, Merci de venir ouvrir cette campagne avec nous dans cette ville symbolique du Pontet.

    Le symbole d’une triple victoire à travers notre jeune élu Joris Hebrard: aux municipales, aux départementales dès le premier tour puis aux municipales partielles, avec près de 60% des voix dès le premier tour de nouveau. Une ville symbole de la grande fracture, que l’on retrouve à l’échelle de notre pays, entre une caste politique au bilan déplorable, accrochée à ses prébendes, usant de polémiques artificielles contre nous, et de l’autre une population désireuse de changement et de renouveau. Des victoires qui rappellent que les indignations des plateaux de télévision ne sont pas celles de la rue.

    Ce succès il nous faut l’amplifier afin de faire taire définitivement des adversaires dont le seul argument de campagne consiste à nous traiter de bons à rien. Ces mêmes qui s’auto-proclament « bons gestionnaires », comme Renaud Muselier, tête de liste UMP dans les Bouches du Rhône déclarant : « Nous, nous sommes responsables, compétents, expérimentés. On a fait nos preuves ». Et quelles preuves ! En 5 ans, Christian Estrosi à la tête du conseil général a multiplié la dette par 7! Entre 2008 et 2012, l’encourt global de la dette cumulée de la ville de Nice et de sa métropole a augmenté de 80%. Et ces UMP n’ont rien à envier à leurs copains socialistes qui en 17 ans de gestion ont creusé une dette régionale de près de deux milliards d’euros pour un budget quasiment équivalent. Je vous épargne l’explosion des dépenses de fonctionnement, les projets fastueux et inutiles qui doublent voire triplent le prix de départ, les copinages.

    Marcel Pagnol aurait dit de ces élus qu’ « ils ne sont pas bons à rien mais mauvais en tout. »

    Vous remarquerez au passage que je continue de dire UMP, impossible pour moi d’appeler « républicains » des responsables politiques qui passent leur temps à trahir les valeurs de la République, au premier lieu desquelles la souveraineté populaire et la laïcité.
    Le dernier sondage en PACA qui nous place d’office en tête du premier tour explique certainement l’agressivité de Nicolas Sarkozy qui nous déclare, je cite : « une guerre à mort ». Une haine dont il épargne les socialistes, peut-être pour mieux négocier demain des accords de désistement. Adieu le « ni-ni », avec la montée spectaculaire de notre parti, l’ancien Président inaugure le « ni-Fn ». Il faut que les électeurs patriotes de l’UMP le comprennent : « la guerre à mort » c’est un message clair : plutôt les socialistes, communistes et écologistes que le Front National.

    Contrairement à eux, nous n’avons pas d’ennemis mais des adversaires, nous ne déclarons pas de « guerre à mort » contre des Français puisque notre souci est précisément de défendre ces Français, tous les Français.
    Dans cette campagne, je ne me bats pas contre quelqu’un mais pour la PACA. Qu’importe l’adversaire, Estrosi, Castaner, cela m’est égal, de toutes façons leurs promesses de campagne seront les mêmes pour les mêmes trahisons demain.
    Des promesses joliment enrobées dans des campagnes paillettes où il suffirait de réunir des personnalités connues pour faire sérieux. En cela Estrosi est bien l’élève du maitre Sarkozy. Marketing, communication, changement de noms, vote des motions, toujours le même sketch et la même chute. Ce n’est pas notre conception de la politique : la communication doit être au service de la politique et non la politique au service de la communication. Pas besoin de stars ou d’anciens ministres, les gens d’ici, les gens de la vraie vie seront les auteurs de notre programme. Leur compétence c’est leur vie ; leur légitimité c’est la pratique du quotidien ; leur mérite c’est d’être la France des oubliés qui a décidé de se faire entendre.

    Heureusement, ils ont le soutien de patrons de presse comme Bernard Tapie qui annonce que je n’ai aucune chance de gagner car trop jeune. Alors oui je suis jeune, je n’en ferai pas un argument de campagne car de 7 à 77 ans il n’y a pas d’âge pour aimer la France et se battre pour elle. Mais cette jeunesse je la revendique. Je la revendique comme un gage de liberté. Je ne suis pas prisonnière des logiciels passés, des arrangements secrets, des lobbys ou des habitudes.
    Je suis libre de poser un regard nouveau sur un fonctionnement sclérosé. Je suis libre de ne pas répondre aux sirènes de la bien-pensance qui considèrent que déverser des millions dans les mêmes quartiers suffirait à endiguer la violence, la délinquance et la radicalisation au prétexte que la pauvreté et le racisme seraient les véritables catalyseurs de la haine anti-française.
    Cette bien-pensance qui, dans un snobisme de l’entre-soi, voit dans l’art contemporain le plus laid et le plus outrancier, la seule culture qui vaille même si le peuple s’en désintéresse totalement. Cette bien- pensance qui considère qu’il suffit de créer un mille-feuille de subventions pour soutenir l’économie quand les chefs d’entreprise n’aspirent qu’à avoir la paix.
    Je ne dis pas aux Alpins, Niçois et provençaux que nous allons créer des emplois, je leur dis que nous allons tout faire pour leur faciliter la tâche dans cette création. La politique pour être efficace doit être la plus discrète et la moins contraignante possible. La région partenaire et non pas substitut, mais surtout la région rempart face à la politique gouvernementale qui favorise toujours les plus gros en abandonnant les TPE et PME noyées dans le délire administratif et fiscal.

    Les gouvernements UMP et socialistes ont, depuis des décennies, été incapables d’affronter le grand basculement de société, et peut-être même de civilisation, du 21ème siècle.
    - basculement économique de la mondialisation qui a fait de la France, de son industrie et de son agriculture la victime des pays émergents.
    - basculement géopolitique dans un monde multipolaire où nos gouvernants ont choisi des alliés au jeu trouble : Qatar, Arabie- saoudite, Turquie, ont détruit les nationalismes arabes laïcs, créant le chaos au Proche et Moyen-Orient. L’Etat Islamique ou la grossesse non désirée des Occidentaux, celle de Mitterand en Irak, de Sarkozy en Libye et en Afghanistan, celle d’Hollande en Syrie.
    - Basculement démographique inédit dans l’histoire du monde. Le remplacement continu d’une population par une autre qui importe avec elle sa culture, ses valeurs et sa religion. Une coexistence qui devient de plus en plus conflictuelle avec son lot de délinquance et de terrorisme. Des jeunesses qui se regardent en chiens de faïence sans ne plus rien partager. Des femmes de nationalité française qui se voilent, se cachent pour mieux nous cracher au visage ce que nous sommes : le pays et la civilisation qui honorent la femme. Celui de l’influence gréco-romaine, des déesses Athéna, Venus et Artémis ; celui de l’influence chrétienne et des saintes patronnes de France : Geneviève, Clothide, Mathilde et Radegonde reine des Francs, Jeanne d’Arc la guerrière de 19 ans ; le Pays des femmes de pouvoir : Blanche de Castille, Aliénor d’Aquitaine, Anne de Bretagne, nos abbesses et nos favorites : Diane de Poitiers ou la Pompadour, celui des femmes d’esprit : Olympe de Gouges, la Marquise de Sévigné et des scientifiques comme Marie Curie.

    La France où prospère aujourd’hui une idéologie totalitaire, guerrière, haineuse, celle de l’islamisme. « L’ampleur du phénomène et sa pénétration dans tous les milieux, avec la radicalisation des jeunes étudiants, des jeunes filles en particulier, indiquent que l’on pourrait basculer dans un phénomène de masse » selon les mots de l’ancien président de SOS Racisme Malek Boutih.

    Merah, Kouachi, Coulibaly, Salhi sont les enfants du regroupement familial, du droit du sol, de la repentance anti-française, de l’abandon de l’exigence d’assimilation au profit de la société multiculturelle. Ils sont le produit des choix politiques et des renoncements du RPR, de l’UMP et des socialistes.

    Face à ces périls, notre rivage méditerranéen et notre frontière avec l’Italie, nous placent en première ligne. Devrons-nous subir ? Non. Hors de question que notre région passe de la Riviera à la favella. Que ce soit en matière d’immigration clandestine ou de radicalisation, nous ferons tout ce qui est possible au niveau régional pour freiner ces phénomènes. Nous ne voulons pas de la PACA Black-Blanc-Beur mais de la PACA bleu-blanc –rouge.

    Quand la tête de liste écologique se rend dans les Hautes-Alpes pour aller visiter un centre de clandestins, nous irons parler de désenclavement et de développement économique.

    Quand Estrosi finance des associations rattachées à l’UOIF et donc aux frères musulmans dans sa mairie, nous leur couperons les vivres et ferons vivre les valeurs françaises.

    Quand Castaner applique les règlementations de Bruxelles en défendant la loi Macron, nous ferons de la région un atout de la Nation et non un élément de déstructuration de notre Nation comme le prévoit la réforme territoriale. Ils ont voulu donner plus de pouvoirs aux régions, favoriser leur autonomie politique, contourner l’Etat au profit d’une coopération UE- région.

    Eh bien soit, tout ce pouvoir nous le mettrons au bénéfice de notre Nation, de notre idéal, de nos valeurs et de notre identité.

    Frédéric Mistral, enfant de cette Région, comme Pagnol que je citais plus tôt, amoureux fou de cette terre et de sa langue disait : « Les arbres aux racines profondes sont ceux qui montent haut ».

    Le Comtat Venaissin et le comté de Nice ont choisi d’être Français, ils l’ont réclamé en criant leur amour de la France en 1791 et 1860. Nous avons encore besoin de leur passion et de leur fougue de jeunes Français pour réaffirmer cet attachement à ce que nous sommes.

    La Provence est une terre d’identité et de résistance. Résistance des princes provençaux face à l’invasion sarrasine, résistance face à la terreur révolutionnaire, face à la réforme protestante, face à l’occupant allemand, face au funeste projet de l’Union européenne en 2005. Soyez fidèles à ce que vous avez toujours été, avec nous résistez et ensemble gardons le cap : celui de la France… plein sud !

    Ils seront à mes côtés et mèneront cette campagne pour vous, ils seront vos têtes de liste dans chaque département. Je vous demande de les applaudir et de les encourager pour ces longs mois de campagne. Je les invite à me rejoindre à la tribune : Stéphane Ravier tête de liste des Bouches du Rhône, Jeannine Douzon, tête de liste des Alpes de Haute-Provence, Amaury Navaranne tête de liste des Hautes -Alpes, Olivier Bettati tête de liste des Alpes -Maritimes; Marc-Etienne Lansade tête de liste du Var."

     
  • Canicule : ces mœurs venues d’ailleurs (Présent 8390)

    Chard-Présent-3.jpg

    Partager sur Facebook Tweeter 

     

    06/07/2015 – FRANCE (NOVOpress)
    Vous, que faites-vous quand vous avez chaud ? Tout le monde n’est pas au bord d’une piscine hollywoodienne avec un mojito glacé.

    Au mieux la France qui se lève tôt fait des courants d’air au boulot, prend quatre douches par jour, s’achète un ventilo à 19 euros et si ça ne va vraiment pas s’allonge au frais sur le carrelage à côté du chat. Certaines populations de banlieue, elles, vandalisent les bouches d’incendie pour s’arroser. Dans quel pays pourri se croit-on autorisé à faire ça ?
    8390-Une
    Pour la seule journée de vendredi, une centaine de bouches d’incendie ont été prises d’assaut dans les villes de Lille, Roubaix et Tourcoing. Provoquant des centaines d’interventions des pompiers déjà débordés en cette période de canicule et dont plusieurs se sont fait caillasser. Le phénomène tribal a gagné la banlieue parisienne, s’est propagé à toute la Seine-Saint-Denis et au nord des Hauts-de-Seine. Avec des scènes surréalistes de femmes en boubous, d’autres voilées dansant autour du point d’eau, des jeunes en « gangsta shorts » qui interrompent la circulation et invectivent les automobilistes.

    « Ces moments d’euphorie rafraîchissante sont prétexte à laver les voitures, caillasser les bus, insulter et arroser les conducteurs des voitures qui passent » écrit Yann Compan, conseiller métropolitain de Lyon et conseiller municipal de Bron, sur son compte Facebook. Des « piscines sauvages » ont fait leur apparition au pied d’immeubles de Nanterre (Hauts-de-Seine). Le maire communiste d’Aubervilliers, Pascal Beaudet, a appelé au « civisme », énumérant dans un communiqué les « conséquences de ces importants geysers d’eau sur la voie publique :
     

    inondations, coupure d’eau dans les appartements, circulation impossible des voitures et bus. Mais aussi risques d’électrocution, accidents suite à la présence d’enfants sur la route, manque d’eau dans le cas d’un grave incendie.

    Jeudi en fin d’après-midi, un garçon de 11 ans a été blessé à la tête à Bobigny, éjecté par le violent jet de la borne sur laquelle il était assis… C’est, selon le président de Veolia, “15 millions de litres par heure” (payé par le contribuable solvable) qui partent ainsi au caniveau. Curieusement on n’entend protester ni Ségolène Royal ni les écolos qui nous font la leçon quand on ne ferme pas le robinet entre deux coups de brosse à dents.

    Caroline Parmentier

  • Marion Maréchal-Le Pen, casaque bleu-blanc-rouge

    20150706_1_1_4_1_0_obj9307335_1.jpg

     

    Lundi 06/07/2015 à 04H46 Avignon  
     
    En lice pour enlever la Région, la députée frontiste de Vaucluse s'est adressée à ses sympathisants rassemblés hier à l'hippodrome Roberty. Photo valérie suau

     

     
     

    C'est au Pontet, ville devenue désormais le symbole de la conquête, que Marion Maréchal-Le Pen a choisi de lancer hier sa campagne des Régionales, flanquée des ses cinq têtes de liste officiellement dévoilées hier : Stéphane Ravier (sénateur-maire de secteur de Marseille), Olivier Bettati (ancien élu de l'UMP dans les Alpes-Martimes), Jeannine Douzon, responsable de la fédé des Alpes-de-Haute-Provence), Amaury Navaranne (Hautes-Alpes) et Marc-Etienne Lansade, chef de file FN-RBM dans le Var. Côté tribunes, élus, cadres du parti, militants disciplinés venus de toute la région, drapeaux tricolores, La Marseillaise au bout des lèvres et les invariables "on est chez nous" repris en choeur pour ponctuer le discours d'une tête de liste réconfortée par le récent sondage qui la place en tête au premier tour.

    PUBLICITÉ
     
     
     
     
     
     

    Si elle ne s'y fie pas, Marion Maréchal-Le Pen veut croire en ses chances de décrocher la Région et motive ses troupes pour "amplifier le succès". Celui des scrutins précédents qui, en Paca, a fait naître deux sénateurs, une quinzaine de conseillers départementaux et une poignée de maires dont Joris Hébrard, élu maire du Pontet avec près de 60 % des suffrages au premier tour. Au Pontet, les cigales rythment son premier discours de chef de campagne aux sonorités identitaires. Le champ lexical choisi est sans ambiguïté : "La Provence est une terre d'identité et de résistance. Résistance des princes provençaux face à l'invasion sarrasine".

    Elle cite Pagnol, reprend des propos du député PS Malek Boutih, honore Aliénor d'Aquitaine, Marie Curie ou Jeanne d'Arc, mais évoque aussi Merah, Coulibaly, "enfants du regroupement familial, du droit du sol...". Puis elle approfondit ses propos sur ses thèmes traditionnels chers au parti frontiste. Dans le Sud en particulier, où son grand-père, Jean-Marie Le Pen, est conseiller régional sortant. L'immigration (et les bateaux de migrants), la sécurité, l'islam... "Il n'est pas question que Paca passe de la Riviera à une favela (...) Nous ne voulons pas de la Paca black-blanc-beur, mais de la Paca bleu-blanc-rouge". Elle pointe encore la violence des propos de Nicolas Sarkozy qui "veut faire la guerre à mort au FN" :"Ici, c'est fini avec le ni-ni, c'est désormais le ni-FN".

    Elle dénonce enfin les arguments de campagne de ses "adversaires", Christian Estrosi (LR) et Christophe Castaner (PS), des "mauvais en tout". Élue députée en 2012, Marion Maréchal-Le Pen est de nouveau en première ligne. Car pour elle, ce nouveau combat se situe bien au-delà de la présidence de la Région Paca.

    LA PROVENCE

  • Réaction de Marine Le Pen à la victoire du Non en Grèce

      Communiqués / 6 juillet 2015 / Étiquettes : , /  

    Communiqué de Presse de Marine Le Pen, Présidente du Front National

    La victoire du Non au référendum grec ce soir est la victoire du peuple contre l’oligarchie de l’Union Européenne ! C’est un Non de liberté, de rébellion face aux diktats européens qui veulent imposer la monnaie unique à tout prix, via l’austérité la plus inhumaine et la plus contre-productive. C’est un Non de liberté face à la propagande abjecte.

    Ce Non est donc une excellente nouvelle, qui montre que les peuples n’entendent pas se faire piétiner sans réagir par les tenants fanatiques de l’Union Européenne. C’est aussi l’espérance pour le contribuable français de ne plus avoir à sortir une nouvelle fois le chéquier pour verser quelques milliards supplémentaires dans le trou sans fond de la dette grecque et de l’euro.

    Même si elle enrage de voir son idéologie défaite, l’Union Européenne, ainsi que ses soutiens français du PS et de l’UMP, doit respecter le vote des Grecs et cesser son chantage mesquin.

    Ce Non du peuple grec doit permettre un changement d’approche salutaire. Les pays européens doivent profiter de cet événement pour se mettre autour d’une table, constater l’échec radical de l’euro et de l’austérité, et organiser la dissolution concertée de la monnaie unique, condition indispensable au retour réel de la croissance, de l’emploi et au désendettement.

    Ce soir un pays brise ses chaînes, un pays dit Non à l’eurostérité ! L’heureux effet boule de neige mènera demain d’autres pays vers cette même libération.
    La dissolution de l’union monétaire a commencé

  • Nuit du ramadan à l’Hôtel de ville de Paris : vous reprendrez bien un peu de communautarisme ?

      

    Communiqués / 6 juillet 2015 / Étiquettes : , , /  

    Communiqué de Wallerand de Saint Just, Secrétaire de la fédération FN-RBM de Paris

    450 invités, un buffet, des musiciens, le cadre prestigieux de la salle des fêtes de l’Hôtel de ville de Paris et la présence du maire Anne Hidalgo, à l’origine de ce rassemblement : La Nuit du ramadan à l’Hôtel de ville de Paris.

    Une telle mobilisation de moyens, et donc d’argent, publics pourrait servir à commémorer un grand événement de notre histoire, ou une victoire sportive de nos couleurs, mais il sert ce soir à organiser une très communautariste « nuit du Ramadan ».

    Qu’un élu de la République assiste à une cérémonie de caractère ouvertement confessionnel pose déjà en soi la question de la laïcité, mais qu’il en soit l’organisateur, le promoteur, et cela avec l’argent des contribuables, est un véritable scandale. Alors qu’ils mettent un soin particulier à l’appliquer au christianisme, dont on va jusqu’à contester le mot sur l’affichage publicitaire, les caciques du PS, Anne Hidalgo et Claude Bartolone en tête, mettent de côté le principe fondateur de laïcité dès qu’il s’agit d’Islam et réservent aux musulmans des privilèges exorbitants !

    De pose de première pierre à Montfermeil, en maitrise d’œuvre de la construction de mosquées dans le XVIIIe, jusqu’à cette soirée confessionnelle au cœur même de la maison commune de tous les Parisiens, on ne compte plus les appels du pied confessionnels des élus socialistes à l’égard des musulmans. Il faut avouer que le PS se doit de se conserver un semblant d’électorat et qu’à la vue de son bilan, tant en Ile de France que dans le reste du pays, il ne lui reste pas grand chose d’autre que le communautarisme.

  • LIVE. Euclide Tsakalotos nommé nouveau ministre des Finances

    http://www.levif.be/actualite/international/euclide-tsakalotos-nomme-nouveau-ministre-des-finances/live-normal-404069.html?lastUpdated=1436200020#liveBlog

     

    Le "non" aux propositions des créanciers de la Grèce l'a emporté au référendum organisé dimanche, par 61,31% contre 38,69% pour le "oui". Le ministre grec des Finances Yanis Varoufakis démissionne. Le président Poutine exprime son soutien "au peuple grec".

    + VIDEO et PHOTOS

  • Canicule à Pantin: "On est chez nous!"

  • Gabriel Fauré (1845-1924) - Pavane

  • Pour les régionales, Marion Maréchal-Le Pen met la pression sur Christian Estrosi

    Marion-Marechal-Le-Pen-veut-une-region-bleu-blanc-rouge_article_landscape_pm_v8.jpg

     

    Le Monde.fr | 05.07.2015 à 18h40 • Mis à jour le 05.07.2015 à 18h45 | Par Olivier Faye

                 

    Partager google + linkedin pinterest

     

    image: http://s2.lemde.fr/image/2015/07/05/534x0/4671420_6_6254_marion-marechal-le-pen-deputee-fn-du_ec9efb1c872868a7bf8614eb49848e3a.jpg

       Marion Marechal Le Pen, députée FN du Vaucluse, a lancé sa campagne pour les régionales dimanche 5 juillet au Pontet. PHILIPPE LAURENSON / REUTERS

    Marion Maréchal-Le Pen entame la tournée des stands installés dans les allées de l’hippodrome du Pontet (Vaucluse) : pipes de Cogolin, rosé gris cuvée « Marion », aïoli… La députée du Vaucluse est venue lancer, dimanche 5 juillet, sa campagne pour les élections régionales de décembre en Provence-Alpes-Côte d’Azur (PACA). Un attroupement se forme rapidement autour d’elle. « Olivier ! » Un homme hèle Olivier Bettati, tête de liste du Front national dans les Alpes-Maritimes, et transfuge de l’UMP. L’ancien adjoint de Christian Estrosi à la mairie de Nice est invité à accompagner la jeune femme dans sa tournée. Quitte à avoir une prise de guerre, autant l’afficher au maximum.

    En ce début de campagne, Mme Maréchal-Le Pen s’ingénie à faire pression sur Christian Estrosi, son adversaire des Républicains. Un sondage Ifop, paru jeudi 2 juillet dans Paris Match, la donne en tête du scrutin au premier tour, mais perdante au second face au maire de Nice, dans le cadre d’une triangulaire avec le socialiste Christophe Castaner. Les deux favoris des sondages ayant pour objectif de séduire le même électorat, la députée ne se prive pas de renvoyer M. Estrosi et le PS dos à dos. « Nos adversaires s’autoproclament bons gestionnaires. Mais en cinq ans, Christian Estrosi a multiplié la dette de Nice par sept, a fustigé la candidate, dans un discours prononcé devant une foule de près de 2 500 personnes. Ils n’ont rien à envier à leurs amis socialistes, qui ont eux creusé la dette régionale. Marcel Pagnol n’aurait pas dit qu’ils sont bons à rien, mais mauvais en tout. »

    Lire aussi : Marion Maréchal-Le Pen s’est imposée en nom propre

    « De la Riviera à la favela »

    Recruter Olivier Bettati, bon connaisseur des Alpes-Maritimes et du candidat des Républicains, participe de cette entreprise de déstabilisation. « Estrosi pensait qu’il n’aurait pas à faire campagne dans les Alpes-Maritimes, et qu’il pourrait tranquillement se promener dans le reste de la région. Eh bien, il devra revenir chez lui pour travailler le terrain », veut croire Marc-Etienne Lansade, maire de Cogolin et tête de liste du FN dans le Var. Pour la candidate, ce département devrait même constituer le point de bascule d’une éventuelle victoire.

    Dans son bref discours adressé aux « Alpins, Niçois et Provençaux », la députée du Vaucluse s’est efforcée de parler à toutes les droites. « La politique doit être la moins contraignante possible pour être efficace. Il est temps de changer, il en va de notre survie », a débuté cette libérale revendiquée. Puis elle a poursuivi en dénonçant « le remplacement continu d’une population par une autre, qui apporte avec elle sa culture, ses valeurs et sa religion », et en s’en prenant aux « femmes qui se voilent, qui se cachent pour mieux nous cracher au visage ». Et alors que la crise des migrants continue de secouer la Méditerranée, elle a prévenu : « Hors de question que notre région passe de la Riviera à la favela. Nous ne voulons pas de la PACA black blanc beur, mais de la PACA bleu blanc rouge. »

    « L’expérience, pas un argument suffisant »

    Alors que Jean-Marie Le Pen a estimé, jeudi 2 juillet, que sa petite-fille de 25 ans n’a « ni l’expérience ni le gabarit » pour diriger la troisième région la plus riche de France, la jeune femme a répondu en aparté aux critiques sur son âge. « C’est une question qu’il ne se posait pas quand il me poussait à être candidate aux législatives à 22 ans. Avoir de l’expérience et un bilan n’est pas un argument de campagne suffisant », fait-elle valoir.

    Lire aussi : Marion Maréchal-Le Pen investie par le FN en PACA pour les régionales

    Les listes qu’elle a constituées pour ces élections régionales sont à l’image de son discours. Outre l’ex-UMP Olivier Bettati, Amaury Navarranne, proche de Bruno Gollnisch et ancien de l’Œuvre française, un groupuscule d’extrême droite radicale, a été intronisé tête de liste dans les Hautes-Alpes. La candidature de l’ancien identitaire Philippe Vardon pourrait, quant à elle, être elle validée à la rentrée. « Le FN devient la maison commune des patriotes de droite », revendique Mme Maréchal-Le Pen.

     
    • Olivier Faye


    En savoir plus sur http://www.lemonde.fr/politique/article/2015/07/05/pour-les-regionales-marion-marechal-le-pen-met-la-pression-sur-christian-estrosi_4671421_823448.html#EOIEFBDXhwJKMUmw.99