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  • Tour de France. À Rennes, les jeunes des quartiers dans la roue du ministre, et ce qu'en pensent les Bretons de souche


    Tour de France : le ministre de la Ville à... par OuestFranceFR

     

     

    17h18

    Patrick Kanner, ministre de la Ville, de la Jeunesse et des Sports, a donné le départ de l’étape du Tour de France à Rennes avec une centaine d’enfants des quartiers prioritaires.

    En visite à Rennes le 20 avril, pour signer le contrat de ville, Patrick Kanner, ministre de la Ville, de la Jeunesse et des Sports, avait rencontré des jeunes du quartier de Bréquigny.

    D’une discussion informelle autour du Tour de France, ce jour-là, était née l’idée de les inviter à suivre le départ de l’étape.

    « L’engagement a été tenu », se félicitait le ministre, ce samedi matin, au moment de saluer la centaine d’enfants de Bréquigny et de Maurepas venus découvrir les coulisses du Tour à Rennes.

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    Rennes. Patrick Kanner invite des « jeunes des quartiers prioritaires » sur le Tour de France

     

    10/07/2015 – 08H00 Rennes (Breizh-info.com) – Le ministre de la Ville, de la Jeunesse et des Sports, Patrick Kanner,  en visite samedi à Lorient (pour signer un contrat de ville) puis à Rennes, a décidé d’inviter plusieurs dizaines de « jeunes des quartiers prioritaires » (sic) dans les coulisses du Tour de France. Il sera en compagnie de Jean-Yves Le Drian (en campagne ?), de Nathalie Appéré, maire de Rennes, de Christian Prudhomme et de Bernard Hinault avant le départ de l’étape entre Rennes et Mûr de Bretagne, à laquelle ne participera visiblement pas Manuel Valls comme nous l’avions annoncé.

    « Le Tour de France, compétition populaire par excellence, doit être ouvert à tous. Lors d’une visite à Rennes en avril dernier, le ministre a émis le souhait d’ouvrir cette étape aux jeunes des quartiers de la ville, afin qu’ils vivent eux aussi cette belle aventure. Engagement tenu : grâce à la mobilisation de la Ville de Rennes et d’ASO, de jeunes habitants de quartiers prioritaires rennais vont pouvoir découvrir les coulisses du Tour et seront sur la ligne de départ avec le ministre.» indique le communiqué adressé à la presse.

    Pour le grand public – et notamment pour les milliers de jeunes cyclistes bretons, majoritairement issus des campagnes bretonnes – il est tout simplement impossible d’obtenir une accréditation pour accéder au village départ.

    « C’est tout simplement dégueulasse » s’emporte Adrien, un cycliste de Paimpol qui roule en 2ème catégorie et que nous avons contacté pour avoir sa réaction : « Encore une fois, c’est de la démagogie pure et simple. Y a des milliers de jeunes dans nos campagnes qui rêveraient de voir leurs idoles et les coulisses du Tour. Mais il est vrai qu’ils passent plus de temps à bosser et à rouler sur un vélo qu’à se plaindre et à toujours demander aides et privilèges. ».

    Le matin même, certains chargés de communication de la Caravane du Tour nous confirmaient qu’ASO, la société organisatrice, posait énormément de soucis à la presse, mais aussi aux participants dans la Caravane, pour accéder aux coeur du dispositif du Tour de France. Mais avec les jeunes des quartiers, toutes les portes s’ouvrent par miracle …

    L’histoire ne dit toutefois pas si les protagonistes des affrontements entre bandes rivales intervenus ces dernières semaines à Rennes, bandes issues « des quartiers prioritaires » seront de la partie.


    [cc] Breizh-info.com, 2015, dépêches libres de copie et diffusion sous réserve de mention de la source d’origine.

    (merci à Dirk)

     
  • Les Etats-Unis à l'assaut des terres algériennes

    http://www.egaliteetreconciliation.fr/Les-Etats-Unis-a-l-assaut-des-terres-algeriennes-33954.html

  • Tout le monde a son bac! Bac 2015 : 87,8 % de réussite au final, 617 900 nouveaux bacheliers

     

    11 Juil. 2015, 17h10 | MAJ : 11 Juil. 2015, 17h23

     
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    Nouveau grand cru pour le baccalauréat : 87,8 % des candidats ont obtenu le précieux sésame pour cette année 2015 selon les chiffres quasi-définitifs fournis par le ministère de l'Education nationale après les dernières épreuves de rattrapage.

     

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    Ce taux est en légère baisse par rapport à 2014 (-0,1 point). Au total, 617 900 élèves sont désormais détenteurs du diplôme. 

    Dans le détail, le taux de réussite progresse de 0,6 point pour le bac général à 91,5 %, il est stable pour le bac technologique à 90,6%, et recule de 1,6 point pour le bac professionnel à 80,3 %. Au sein de la voie générale, le taux de réussite a atteint 91,8% en série scientifique (S), 90,6%, en série littéraire (L) et 91,2% en série économique et sociale (ES).

    La ministre de l'Education nationale Najat Vallaud-Belkacem a félicité dans un communiqué «les élèves et leurs enseignants pour ces très bons résultats de l'ensemble des voies du lycée». Les chiffres définitifs seront publiés après la session de remplacement de septembre, réservée aux candidats qui ont eu un empêchement en juin.

  • Les policiers français autorisés à porter barbe et tatouages mais sous conditions

     

    10/07/15 à 18:36 - Mise à jour à 18:36

    Source : Belga

    "Oui mais": les policiers français peuvent porter une barbe, si elle est "propre et bien taillée" et des tatouages s'ils ne sont "pas contraires à la déontologie", a-t-on appris vendredi de source syndicale policière.

     

    C'est à la suite d'une demande syndicale, faisant valoir la mode actuelle des barbes de deux ou trois jours chez les hommes, que l'administration a précisé ce qu'il est possible de faire et de ne pas faire.

    La barbe est autorisée pour les troupes "dès lors qu'elle est propre et bien taillée", a ainsi répondu l'administration, citée par le syndicat. Idem pour les tatouages qui ne "doivent pas être contraires à la déontologie" policière, ni "à caractère raciste, politique" ou "religieux". Et pas susceptibles de "provoquer des heurts avec la population".

    Le syndicat a demandé que des instructions en ce sens "soient données" précisément par les chefs de service, ce qui devrait être fait par circulaire, a-t-on précisé vendredi de source officielle.

  • Le Parlement grec autorise Tsipras à négocier avec les créanciers

    http://www.leparisien.fr/economie/en-direct-grece-les-propositions-de-tsipras-soumises-aujourd-hui-au-parlement-grec-10-07-2015-4933535.php

     

    NdB: Syriza sur le gâteau! Pour les mondialistes de l'UE!

  • Églises et mosquées : faux débat et vraie invasion

     

     

    10/07/2015 – TRIBUNE (NOVOpress)
    Transformer les églises en mosquées ? Ce n’est pas le danger le plus immédiat. L’abandon de nos lieux de culte et de notre identité charnelle l’est bien d’avantage, un péril que laisse soigneusement de côté le manifeste crypto-sarkozyste contre la proposition de Dalil Boubakeur. Par Flavien Blanchon.

    Que cherchait exactement Dalil Boubakeur en évoquant par avance, le mois dernier, la phase suivante de l’islamisation de la France – les églises transformées en mosquées ? Il a permis, en tout cas, aux fauteurs et collaborateurs de l’islamisation de se donner à bon compte des allures de résistants. Politiciens qui subventionnent la construction des mosquées, journaleux chantres du vivre-Ensemble, évêques qui souhaitent un bon ramadan, ont été nombreux à expliquer que, bien sûr, il fallait encore plus de lieux de culte pour les musulmans, mais que la transformation des églises n’était pas la bonne solution. Et le bon peuple droitard d’applaudir à tant d’héroïsme.

    La manœuvre a si bien marché que Valeurs Actuelles, le magazine de la récupération sarkozyste, vient de la relancer en publiant à grand fracas un appel à la défense des églises, signé des premiers par Sarkozy en personne, le même Sarkozy qui avait fait rentrer chez nous plus de musulmans que jamais et dont on sait la responsabilité criminelle dans l’actuel déferlement migratoire. Rien de plus plat et de plus terne, du reste, que ce manifeste dû à je ne sais quel écrivaillon chiraquien : quelle différence, de pensée, de sentiment, de style, avec l’appel jadis lancé pour les mêmes églises de France par Maurice Barrès ! Dans La grande Pitié des églises de France, Barrès, il y a juste un siècle, était allé avec sûreté aux vrais enjeux. Il avait su – alors que l’Église de France était certes autre chose que ce qu’elle est devenue – placer le débat sur son vrai terrain, non confessionnel, mais identitaire.

    Il défendait, à travers les églises, « la figure physique et morale de la terre française ». Le manifeste crypto-sarkozyste ne reconnaît à la France que « quinze siècles d’histoire et de géographie ». Barrès allait jusqu’à nos racines les plus profondes : appelant à « achever la réconciliation des dieux vaincus et des saints », à « allier le sentiment religieux catholique avec l’esprit de la terre », il lançait ce cri magnifique : « Tout le divin, à la rescousse ! » En notre temps même, le philosophe anglais Roger Scruton, dans des livres comme England : An Elegy ou Our Church, a su montrer comment l’anglicanisme traditionnel, comme religion nationale, était « l’enchantement de la terre anglaise ». Mais les sarkozystes ne savent pas ce que sont des racines : ils parlent, avec des métaphores dignes de Monsieur Prudhomme, d’« un enracinement mental dont nous avons tous besoin pour étayer notre citoyenneté » ; « cet héritage, selon eux, nous oblige, de quelque souche que nous provenions ». Comment leur demander d’avoir le sens ample, généreux, charnel, de la terre et des morts ?

    Je n’examine pas si Dalil Boubakeur avait entièrement tort de considérer que le culte musulman et celui qui est aujourd’hui célébré, hélas, dans les églises de France, sont des « rites voisins ». D’un point de vue strictement théologique, en raisonnant dans l’abstrait, on pourrait soutenir que la transformation d’églises en mosquées serait moins abominable que ne l’est, depuis plus de quarante ans, la célébration de ce que feu le P. Guérard des Lauriers – dont on peut penser ce qu’on veut, mais qui savait la théologie –, n’hésitait pas à qualifier de « pornographie théologale ; une dégradation, une chose immonde, une chose que l’on ne devrait pas nommer » – la nouvelle messe. Je n’entre pas dans ces discussions. Je laisse la théologie de côté. D’un point de vue identitaire, on ne peut évidemment que s’écrier, comme le faisait Barrès quand il était question de transformer l’église du village en salle de conférences pour « les sociétés philanthropiques » : « J’aimerais mieux qu’elle s’écroulât ». Oui, plutôt nos églises en ruines qu’aux mains des immigrés musulmans !

    Cette transformation en mosquées, qui est, logiquement, la prochaine étape, qui est dans l’ordre des choses si celles-ci continuent à aller du même train, n’est pourtant pas le danger le plus immédiat pour nos églises. Ce qui les menace d’abord, c’est l’abandon, le non-entretien délibéré, des années durant, pour pouvoir les démolir comme dangereuses ou trop coûteuses à réparer, les ravages aussi des bandes de pillards, de vandales et de sacrilèges, que les maîtres du pays laissent agir sciemment, dans une impunité calculée, parce que l’on n’est pas fâché, au fond, que l’on est même secrètement bien aise, de voir s’abolir les traces de l’ancien peuple français et de la religion indigène. Dans sa leçon inaugurale au Collège de France, le grand historien d’art Jacques Thuillier soulignait que « la Révolution française a brûlé en autodafé moins de tableaux qu’on ne le croirait de prime abord : il lui a suffi de laisser s’écailler, dans les églises désaffectées ou les dépôts hâtifs des œuvres qui, lorsqu’elles étaient antérieures au XVIIe siècle, arrivaient au moment où elles exigeaient pour survivre des soins délicats ». Le procédé est toujours le même.

    Le manifeste crypto-sarkozyste n’a pas un mot de cela. Il soutient au contraire, avec une extraordinaire impudence, que « les maires de nos communes rurales entretiennent tous leur église avec une sollicitude filiale ». Dormez tranquilles, catholiques de France, tant que votre église ne sera pas transformée en mosquée, vous n’avez rien à craindre.

    Les mêmes maires qui n’ont pas d’argent pour entretenir leurs églises en trouvent toujours pour subventionner des centres « culturels » islamiques, brader des terrains municipaux, organiser des nuits du ramadan. Paris donne l’exemple. On ne transforme pas l’église en mosquée : on laisse l’église se délabrer pendant que l’on construit une mosquée toute neuve. À en juger par certaines réactions à la provocation de Dalil Boubakeur, beaucoup de musulmans préfèrent cette formule. Et c’est ainsi que s’opère doucement, dans « la concorde civile » célébrée par les sarkozystes de Valeurs Actuelles, le Grand Remplacement.

    La vérité que l’on dissimule et que l’on obscurcit à dessein par ces diversions et ces faux débats, c’est que les mosquées sont par essence étrangères à la terre de France, qu’elles en altèrent, qu’elles en dénaturent ce que Barrès appelait « la physionomie architecturale ». Nous ne voulons pas de mosquées chez nous. Ni à la place des églises, ni à côté d’elles.

    Flavien Blanchon

  • Méthode lâche mais petite frayeur pour Jérôme Bourbon, directeur de Rivarol

     

     

    E&R

  • La trahison de Tsipras ?

     

    Les propositions soumises par Alexis Tsipras et son gouvernement dans la nuit de jeudi à vendredi ont provoqué la stupeur. Elle reprennent largement, mais non totalement, les propositions formulées par l’Eurogroupe le 26 juin. Elles sont largement perçues dans l’opinion internationale comme une « capitulation » du gouvernement Tsipras. La réaction très positive des marchés financiers ce vendredi matin est, à cet égard, un signe important.

    On sait par ailleurs qu’elles ont été en partie rédigées avec l’aide de hauts fonctionnaires français, même si cela est démenti par Bercy. Ces propositions résultent d’un intense travail de pressions tant sur la Grèce que sur l’Allemagne exercées par les Etats-Unis. La France a, ici, délibérément choisi le camp des États-Unis contre celui de l’Allemagne. Le gouvernement français n’a pas eu nécessairement tort de choisir d’affronter l’Allemagne sur ce dossier. Mais, il s’est engagé dans cette voie pour des raisons essentiellement idéologique. En fait, ce que veut par dessus tout M. François Hollande c’est « sauver l’Euro ». Il risque de voir très rapidement tout le prix qu’il a payé pour cela, et pour un résultat qui ne durera probablement que quelques mois. Car, ces propositions, si elles devaient être acceptées, ne règlent rien.

    Les termes de la proposition grecque

    Ces propositions sont donc proches de celles de l’Eurogroupe. On peut cependant noter certaines différences avec le texte du 26 juin, et en particulier la volonté de protéger les secteurs les plus fragiles de la société grecque : maintien du taux de TVA à 7% pour les produits de base, exemptions pour les îles les plus pauvres, maintien jusqu’en 2019 du système d’aide aux retraites les plus faibles. De ce point de vue, le gouvernement grec n’a effectivement pas cédé. De même, le gouvernement a inclus dans ce plan des mesures de luttes contre la fraude fiscale et la corruption, qui faisaient parties du programme initial de Syriza. Mais, il faut bien reconnaître qu’il s’est, pour le reste, largement aligné sur les demandes de l’Eurogroupe. Faut-il alors parler de capitulation comme le font certains ? La réponse est pourtant moins simple que ce qu’il paraît.

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