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  • Laxisme total pour les émeutiers du 14 juillet

    http://www.fdesouche.com/628397-hauts-de-seine-laxisme-total-pour-les-emeutiers-du-13-juillet

     

    NdB: Il y a tellement  d' "incivilités", d'agressions, de faits divers que je ne sais plus lesquels choisir, ne pouvant tous les signaler sur le blog...  

  • Intervention de Marion Maréchal-Le Pen sur le projet de loi sur le droit des étrangers


    20 juillet 2015 : MMLP sur le projet de loi... par Le_Salon_Beige

  • Le village d’Osve acquis par l’Etat islamique, en Bosnie, au cœur de l’Europe !

     

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    Le site britannique d’informations du Mirror vient de révéler l’existence d’un premier bastion de l’Etat islamique sur le sol européen, dans le petit village d’Osve, en Bosnie, qui pourrait notamment servir de camp d’entraînement.

    Selon le tabloïd, le groupe terroriste Etat islamique aurait déjà acquis secrètement plusieurs propriétés dans ce village isolé, situé à quelque 100 kilomètres de Sarajevo. Le journal révèle également que les services de sécurité bosniaques estiment que le groupe terroriste pourrait utiliser ce village comme base pour mettre en place des camps d’entraînement et y programmer des attaques terroristes en Europe occidentale.

    Le petit village d’Osve est bien adapté à cette entreprise en raison de son isolement, mais il présente un autre avantage stratégique de taille pour les djihadistes : il se situe à 9 km d’un autre village situé sur la côte méditerranéenne… Un accès dont se servent notamment les djihadistes pour rejoindre ou revenir de Syrie, d’Irak ou d’Afrique du Nord.

     

    12 hommes du village d’Osve, en Bosnie, sont partis rejoindre l’Etat islamique ces derniers mois
    Ce bastion djihadiste n’en est plus à l’état de projet : au cours des derniers mois, 12 hommes de l’Etat islamique entraînés à Osve seraient partis en Syrie. Cinq d’entre eux y seraient même déjà morts. Un expert en terrorisme local, Dzevad Galijasevic, a précisé aux enquêteurs du Mirror qu’un grand nombre de djihadistes étaient partis rejoindre la Syrie à partir de ce village, depuis le début de la guerre syrienne, il y a quatre ans.

    C’est une équipe d’investigation du journal Mirror qui est partie enquêter sur place : le village n’est pas répertorié sur les cartes GPS et il faut emprunter des petites routes sinueuses, sur lesquelles une voiture passe à peine, pour y parvenir. Du haut de la colline en revanche, la vue est parfaitement dégagée sur les alentours… Le village est idéal pour l’Etat islamique, toujours selon cet expert : « L’emplacement choisi de certaines des propriétés acquises se trouve sur une colline ; il n’y a aucune possibilité de s’approcher sans être vu. Il est clair que la source de la menace terroriste est précisément là. C’est une menace majeure. » « Il n’y a personne sur place qui ne soit prêt à répondre à un appel au djihad », assure-t-il.

    Des villageois confirment l’existence quasi certaine de camps d’entraînement à Osve, au cœur de l’Europe
    C’est un sympathisant bosniaque de l’Etat islamique aujourd’hui installé en Australie, Harun Mehicevic, qui serait devenu l’un des acquéreurs de plusieurs propriétés à Osve, et de deux hectares de terrain. Deux autres combattants partis en Syrie compteraient également parmi les acheteurs, ainsi qu’un leader musulman récemment arrêté par les services de sécurité de la Fédération de Bosnie-Herzégovine.

    Les témoignages des villageois semblent confirmer ce qu’avance le journal : « Nous entendons régulièrement des coups de feu provenant des bois, à chaque fois pendant des périodes prolongées. Cela arrive chaque semaine », a expliqué l’un d’eux, avant d’ajouter : « Cela m’inquiète d’élever mes enfants ici. Il serait peut-être temps de partir mais la maison est difficile à vendre. »

    Un camp d’entraînement de l’Etat islamique au cœur de l’Europe ?
    Dans le village, un grand nombre de personnes portent la tenue islamique ; quelques femmes portent même la burqa. Le guide et chauffeur des journalistes a insisté pour qu’aucune photo ne soit prise : « Nous devrions partir maintenant – notre présence commence à éveiller des soupçons. C’est un bel endroit, mais terriblement dangereux. Vous ne pouvez pas sous-estimer la menace. S’ils voient les appareils photo, l’enfer va nous tomber dessus. »

    Selon un rapport publié récemment en Bosnie, 156 hommes et 36 femmes du pays se seraient rendus en Syrie en 2013 et 2014. En janvier dernier, 48 d’entre eux revenaient en Bosnie, entraînés. La police antiterroriste a organisé un raid dans un village du nord du pays il y a cinq mois, en raison du signalement de la présence de drapeaux de l’Etat islamique flottant sur plusieurs maisons.

    Le rapport précise que la menace que représentent ces djihadistes ne concerne pas seulement la Bosnie, mais bien toute la région, à savoir l’Europe. Une menace d’autant plus réelle que la Bosnie s’avoue elle-même incapable d’y faire face.

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  • Les Russes rendent hommage à la famille du tsar, assassinée le 17 juillet 1918

     

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    La famille de Nicolas II avait été assassinée le 17 juillet 1918, et les Russes ont lancé une procession pour leur rendre hommage.

    Par ailleurs, la Russie a annoncé son intention d’inhumer enfin les restes d’une fille et du fils unique du dernier tsar Nicolas II, conservés depuis une décennie dans les archives d’Etat et dont l’authenticité a été officiellement établie.
    Le Premier ministre Dmitri Medvedev a pris cette décision qui concerne les restes du tsarévitch Alexeï et de sa soeur Maria, assassinés avec toute la famille impériale russe en 1918.

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  • GR - Le plan d’installation massive de clandestins en Europe


    La Hongrie construit un mur de barbelés pour refouler les migrants

     

    Une nouvelle victoire des partisans de l’immigration a eu lieu ce lundi avec l’accord conclu entre les 28 ministres des États membres de l’Union européenne en charge des questions d’immigration.

    Ainsi, il a été décidé de disséminer 54 760 clandestins, soit selon la novlangue mondialiste, « relocaliser » (c’est-à-dire soulager l’Italie et la Grèce de leur trop plein de réfugiés) 32 256 personnes et en « réinstaller » (implanter sur le sol européen) 22 504 autres. Seul bémol pour la Commission européenne : le principe des quotas n’a pu être adopté, le volontariat restant la base du mécanisme.

    Désireux de se soumettre pleinement aux exigences de la Commission européenne en matière migratoire (qui a l’espoir d’atteindre les 60 000 clandestins accueillis en 2015) et de pouvoir pérorer sur la « politique généreuse de la France », le gouvernement, via son ministre en charge de l’accueil des clandestins, Bernard Cazeneuve, a entrepris de faciliter le séjour des populations allogènes via un texte de loi qui prévoit la mise en place d’une carte pluriannuelle de séjour de 2 ou 4 ans visant à éviter aux étrangers, qui sont encore odieusement privés de cartes de résidents, d’harassants passages en préfecture ; d’un statut d’« étranger malade » ; d’une carte « étranger salarié » pour ceux qui n’auraient pas encore rejoint Pôle Emploi ; d’un « passeport talent » pour les artistes et les sportifs...

    Une loi bien laxiste, dans la tradition des gouvernements qui se succèdent depuis plus de 40 ans et qui permettra au pouvoir d’entretenir un « marqueur de gauche », aux Républicains de prendre des « postures de fermeté » et au Front national de faire oublier ses turpitudes internes...

    Autre nouveauté au sein de l’UE : la possibilité pour les pays riches de transférer à d’autres États plus pauvres une partie du fardeau. Ainsi, la Slovaquie a accepté de soulager Vienne de 500 clandestins en les accueillant et en prenant en charge leurs frais d’hébergement et de nourriture. L’Autriche assurera les frais de personnel et s’apprête à recevoir 70 000 nouveaux « migrants » en 2015, contre 28 000 en 2014.

    Le ministre de l’Intérieur autrichien, Johanna Mikl-Leitner, a salué « un grand signe de solidarité de la part de la Slovaquie », que son homologue slovaque, Robert Kalinak, a justifié en rappelant que son pays avait bénéficié du soutien de l’Autriche lors de sa demande d’adhésion à l’Union européenne et à l’espace Schengen, allant même chercher le souvenir des slovaques trouvant refuge en Autriche lors de la Guerre froide...

    Une nouvelle réunion doit avoir lieu avant la fin de l’année pour ré-évaluer le nombre de clandestins à disséminer au sein de l’Union européenne. Y sera notamment abordée la question de la multiplication des centres d’accueil où les « migrants » seront enregistrés et identifiés. Un centre sera établi à Catane, en Sicile, et ouvrira dans les prochaines semaines. Fidèle à l’humour belge, le secrétaire d’État à l’Asile et la Migration de ce pays, Theo Francken, a affirmé :

    « C’est très important pour nous car cela envoie le message aux migrants que ce n’est pas parce qu’ils sont arrivés en Europe que cela leur donne un ticket d’entrée ! »

    À noter que la Suisse a accepté de participer au dispositif, bien qu’elle ne fasse pas partie de l’Union européenne, mais uniquement de l’espace Schengen depuis 2008. Le Royaume-Uni, le Danemark et l’Irlande ont obtenu une dispense, ainsi que la Hongrie, qui a entrepris de transférer ses 4 camps de réfugiés permanents situés en ville pour des camps provisoires à la campagne et d’édifier un mur de protection afin d’empêcher les clandestins de pénétrer sur le sol hongrois via la frontière serbe (99 % des 80 000 étrangers entrés illégalement sont arrivés dans le pays par ce biais en 2015).

     

    L’édification du mur pour dissuader les clandestins et la protestation des bobos hongrois !

  • Serge et Beate Klarsfeld décorés par l’Allemagne

    Deux grands chasseurs sous l'Eternel

    Les chasseurs de nazis Beate et Serge Klarsfeld ont été décorés lundi de l’ordre du Mérite par l’ambassadrice allemande en France qui a salué leur action « hors du commun », « symbolique de la politique de réconciliation de l’Allemagne ».

    Le couple franco-allemand a été décoré de cette distinction suprême au Palais Beauharnais, résidence de l’ambassadrice à Paris, pour leur traque des criminels nazis et leur lutte contre l’antisémitisme, après la signature d’un décret par le président allemand Joachim Gauck.

    Susanne Wasum Rainer a ainsi vu en Beate, 76 ans, tailleur crème, « la militante passionnée qui monte au créneau ». Fille d’un ancien soldat de la Wehrmacht, elle s’est rendue célèbre en giflant publiquement en 1968 le chancelier Kurt Georg Kiesinger pour dénoncer son passé nazi.

    À ses côtés lundi, son mari Serge, 79 ans, costume charbon, est « l’archiviste scrupuleux, auteur des efficaces dossiers d’accusation ». Français né en Roumanie, il a échappé à la Gestapo en 1943 mais a vu son père raflé sous ses yeux avant d’être déporté à Auschwitz-Birkenau.

    Devant une cinquantaine de personnes parmi lesquelles le président du Conseil représentatif des institutions juives de France (Crif), Roger Cukierman, ou encore Arno Klarsfeld, leur fils, Susanne Wasum Rainer a salué leur combat :

    « Toute votre vie a été guidée par la volonté politique et morale d’empêcher les crimes nazis de tomber dans l’oubli et de lutter contre l’antisémitisme dans le monde entier. »

    Lire la suite de l’article sur i24news.tv

     

    E&R

  • La Hongrie érige une barrière pour empêcher les immigrés clandestins de passer


    La Hongrie commence à ériger une barrière anti... par lemondefr

     

     

    19/07/2015 – HONGRIE (NOVOpress)
    La Hongrie a commencé le 13 juillet à construire une barrière tout le long de sa frontière avec la Serbie pour empêcher les immigrés clandestins de la franchir. Pour le journal Le Monde, “c’est un mur de plus, une barrière plus précisément, qui s’érige entre l’Europe et le reste du monde” (sic).

    Les travaux de la nouvelle clôture ont commencé près de Morahalom, à 180 km au sud-est de la capitale hongroise, Budapest. Des dizaines de milliers de clandestins venus du Proche-Orient et d’Afrique empruntent la route des Balkans – Grèce, Macédoine, Serbie – pour tenter de passer ensuite en Hongrie, membre de l’UE et qui fait partie de l’Espace Schengen.

     

     

  • Livre juif : Les juifs algériens dans la lutte anticoloniale

    A La vitrine du Libraire, Actualités, Culture - le 19 juillet 2015 - par .   


    livre juif

    «Pour nous qui venions à peine d'avoir l'âge de raison en ces jours d’humiliation, ces années de jeunesse ont à jamais marqué notre vie et c’est pourquoi nous sommes fiers de l’injure qu’on nous lançait comme un opprobre: oui, nous sommes des juifs indigènes algériens... Et après? Vous n’aurez pas notre cœur contre un certificat de nationalité dont vous vous servez comme d’un couperet de guillotine. »

    Diffusées clandestinement durant la guerre d’indépendance, ces lignes ont été écrites en 1957 par des juifs algériens qui, nés citoyens français vers 1930, déchus de la citoyenneté française durant trois années et exclus de l’école sous Vichy, sont devenus des militants communistes algériens après la Seconde Guerre mondiale avant de rejoindre le FLN en 1956.

    De l’entre-deux-guerres à l’indépendance de l’Algérie, une petite minorité de juifs issus de familles autochtones ont suivi des trajectoires comparables, les déplaçant en quelques années des projets sociaux ordinaires de leurs parents – faire de leurs enfants de bons Français plus ou moins juifs – vers le projet politique inouï de s’affirmer Algériens. Bouleversant l’ordre du monde colonial par leurs prises de position politiques, par leurs sociabilités transgressives et jusque dans leur intimité affective, ces hommes et ces femmes ont engagé leur vie pour une Algérie décolonisée et socialiste dont ils seraient citoyens, participant pleinement – mais non sans difficultés dans leur confrontation avec le nationalisme algérien dominant – au mouvement national, aux épreuves de la clandestinité et de la répression durant la guerre d’indépendance, et aux premières années de construction de l’Algérie indépendante.

    Basé sur des entretiens biographiques menés avec 40 anciens militants, sur des sources privées et sur des fonds d’archives souvent inexplorés, cet ouvrage met en lumière les ressorts de ces trajectoires dissidentes en les articulant à une réflexion générale sur le rapport des juifs algériens à la question coloniale. Au prisme de cette entrée minoritaire, il s’agit aussi de construire une histoire par le bas des juifs d’Algérie, du communisme algérien et, plus généralement, de la société algérienne colonisée et nouvellement indépendante.

     

    Choix de Claude Layani

    ALLIANCE

  • C’était un 17 juillet : mort d’Henri Poincaré, un génie français, pillé par Einstein


    Henri Poincare VS Albert Einstein par Dean Mamas par Super_Resistence

     

    Ce brillant scientifique français s’est éteint le 17 juillet 1912.
    On le considère généralement comme l’un des derniers grands savants universels, maîtrisant en particulier l’ensemble des branches des mathématiques de son époque.
    Son œuvre, qui précède en réalité les principales découvertes d’Einstein (qui le pilla), concerne principalement les mathématiques pures, la physique et l’astronomie.

    Ci-dessus vous pouvez écouter une émission de Serge de Beketch en 1991, consacrée au pillage de Poincaré par Einstein, avec un spécialiste.

  • Les personnes en niqab systématiquement contrôlées dans la rue (au Gabon) 20/07/2015

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    20h53

    Désormais, les personnes qui portent le voile intégral (niqab) au Gabon seront systématiquement contrôlées pour des raisons de sécurité, a annoncé le ministère de l’Intérieur dans un communiqué rendu public le 15 juillet. La police devra procéder « à tout moment à l’identification de toute personne portant un voile intégral sur la voie, les services et espaces publics ainsi que les transports en commun », indique-t-on.

    Une décision qui n’est pas « une entrave aux libertés fondamentales individuelles », précise-t-on, mais dont l’objectif est de prévenir les risques d’attentats-suicides dont le groupe terroriste Boko Haram est souvent l’auteur au Nigéria, mais aussi au Cameroun ou au Tchad, pays voisins.

     

    Dernièrement, samedi 11 juillet, un kamikaze portant un voile intégral s’est fait exploser sur le marché central de N’Djamena au Tchad faisant 15 morts. Le Gabon, qui n’a pas de frontières avec ces pays touchés, veut ainsi renforcer les contrôles.

    En avril dernier, le Congo était le premier pays africain à interdire le port du niqab sur la voie publique, suivi en juin du Tchad.

    source

  • « Beaucoup de Dijonnais de souche sont exaspérés et se sentent envahis » (Mediapart)

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    18h32

    Dijon, capitale des ducs de Bourgogne au tourisme florissant avec son pôle culturel important dans l’est de la France faisait encore la fierté de ses résidents il y a quelques années qui vantaient sa qualité de vie, sa sécurité urbaine, ses transports, son CHU (classé l’un des plus performants en France), voit arriver massivement depuis 7 ans des populations étrangères et doit assumer simultanément une demande croissante de logements sociaux face à la pénurie d’offres dans le marché locatif privé.

     

    Devant l’afflux des demandes HLM, les bailleurs sociaux de Dijon (SCIC Habitat, Orvitis, Villéo et Dijon-Habitat) ont dû construire en hâte des centaines de logements en rachetant des terrains à vil prix sur la commune ou en agglomération (loi SRU), en expropriant de nombreux résidents de leurs maisons et en acquérant de vieux immeubles reconvertis ensuite en logements sociaux, sans réaliser les travaux de rénovation qui s’imposaient à ces constructions vétustes.

    Depuis les années 2008/2009, dans de nombreux quartiers de la ville (Mansart, Fontaine d’Ouche, Grésilles, Junot, Drapeau, Langres, Stalingrad, Bourroches, Greuze), les résidents dijonnais sont donc confrontés à une forte mixité sociale qui leur est imposée par ces bailleurs sociaux, par les élus locaux et aussi par la Préfecture (loi Dalo) avec souvent des conséquences désastreuses pour les dijonnais de souche.

    Un consensus commence à se dégager et toute stigmatisation mise à part, certains s’accordent à reconnaître que parmi ces nouveaux arrivants, beaucoup sont des cas sociaux au comportement de vie difficile et d’autres, venus d’horizons plus lointains, affichent un mode de vie perturbateur avec un sans gêne caractérisé.

    Ils prennent littéralement possession des lieux en produisant du vacarme, des nuisances de toutes sortes (tags, jets d’urines, poubelles et voitures incendiées, destruction des boites aux lettres, porte d’entrée ou caves, rodéos mobylettes, incivilités, vandalismes sur librairies et sur façades d’immeubles et même agressions), mais aussi des trafics de stupéfiants, corollaires de tous ces vandalismes avec des attroupements sporadiques et formation de bandes qui squattent les parties communes des immeubles HLM (halls, caves, parkings et jardins privatifs).

    (…) Selon les chiffres officiels (rapport 2014 de l’Observatoire national de la délinquance et des réponses pénales), la ville de Dijon affiche un taux de délinquance supérieur à la moyenne française et se porte au 41ème rang des villes dans le classement avec 63,53 infractions pour 1000 habitants.

    Dijon possède une caractéristique intéressante : en effet, le pourcentage de populations immigrées se porte à 9%, au-dessus de la moyenne nationale de 8.4%.

    Faut-il pour autant mettre en corrélation l’immigration responsable de la délinquance à Dijon ?, le débat est plus vaste et complexe qu’il n’y parait puisqu’il faut différencier les crimes des délits et cambriolages des simples incivilités ou dégradations des trafics de stupéfiants etc

    Mais au-delà de cette non-ingérence ou « passivité » des élus dans ces troubles urbains, se pose aussi en filigrane la question de la mixité sociale et de l’intégration de ces nouveaux arrivants dans les HLM collectifs, donc du « vivre-ensemble » : beaucoup de Dijonnais de souche sont exaspérés et s’estiment envahis, le Bien public Cote d’or tirait déjà la sonnette d’alarme en juillet 2013 : « Les personnes âgées ou avec des ressources modestes, locataires, en sont aussi les premières victimes, sans pouvoir déménager pour fuir les incivilités du quotidien […]».

    (…) Ces attroupements dangereux à répétition et ces incivilités + dégradations tendent à instaurer un climat relationnel délétère et même parfois une psychose générale dans certains quartiers dits sensibles, les bailleurs sociaux évoquent par euphémisme des ZUS (zones urbaines sensibles) pour les qualifier où ils ont évidemment peu de pouvoir d’interaction et ne traitent plus par lassitude les centaines de plaintes des locataires qui leur sont quotidiennement adressées.

    (…)

    Source

    Merci à JeanJacques