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  • L’Essonne, un département miné par l’explosion de la délinquance et de l’immigration

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    Source : SIEL
    (TRIBUNE) L’Essonne cumule les maux liés à la délinquance et l’immigration spécifiques aux départements urbains aussi bien que ruraux. Dans les deux cas, seul le FN et ses partenaires apportent des réponses crédibles.

    À l’image des autres départements de la grande couronne que sont les Yvelines, la Seine et Marne, les Yvelines et le Val d’Oise, l’Essonne est un département qui comporte une partie rurale et une partie urbaine.
    Paisible ? pensent donc les Parisiens depuis leurs tours d’ivoire et leurs cabinets dorés… Non, car il compte de nombreuses villes dont des quartiers sont les plus sensibles de France :

    - Corbeil-Essonnes, Évry et Grigny peuvent être sans amalgame classés comme zones de non-droit avec des quartiers où règnent les bandes et la délinquance : violences urbaines, fusillades ou règlements de comptes et trafic en tout genre.
    - Massy, Vigneux-sur-Seine, Les Ulis, Courcouronnes, Épinay-sous-Sénart et Étampe avec des quartiers sensibles très difficiles où il règne des faits de délinquance réguliers et de toute sorte.
    - Savigny-sur-Orge, Ris-Orangis, Athis-Mons, Fleury-Mérogis, Viry-Châtillon, Brétigny-sur-Orge, Juvisy-sur-Orge, Longjumeau, Montgeron-Draveil, Ste-Genevieve-des-Bois, St-Michel-sur-Orge, Chilly-Mazarin, Brunoy, Boussy-st-Antoine, Quincy-sous-Senart et Yerres sont des villes à quartiers sensibles à la délinquance régulière, trafic de drogue et toutes sortent de trafics.

    Ce classement est issu d’une compilation de sources du Ministère de la ville sur les 750 zones de non-droit que je détaille dans ma tribune parue dans NovoPress le 15 juin 2015.

    Les violences les plus récentes dans l’Essonne ont eu lieu aux Ulis les 13 et 14 juillet dernier.
    Cette délinquance se manifeste aussi par l’implantation sauvage un peu partout de camps de Roms : cf reportage d’i-télé qui minimise comme d’habitude le nombre de campements
    un tout dernier camp s’est implanté à Athis-Mons pas très loin de la gare de Juvisy… ou de caravanes de gens du voyage qui s’installent ou bon leur semble en toute illégalité alors que des aires ont été créées avec l’argent du contribuable, constamment dégradé par leurs occupants. Les exemples ne manquent pas dans l’Essonne pour illustrer ces occupations illégales….
    Ces villes sus-citées (hormis étampes) se situent dans le nord du département et bénéficient d’un bon réseau de transports en commun pour relier Paris alors que le sud Essonne rural en est partiellement dépourvu. Les fameux territoires oubliés de la République…

    Le Sud-Essonne épargné par la délinquance alors ? Pas du tout !

    C’est une autre forme de délinquance qui est caractérisée par de nombreux cambriolages principalement dans les exploitations agricoles (vols de métaux et de matériel)

    Mais aussi dans la population, si bien que de nombreuses petites communes rurales ont mis en place le dispositif « voisins vigilants » à défaut d’installer la vidéoprotection comme dans les villes de plus grande taille à l’exemple d’Étampes ou d’Angerville.

    Dans les villes, là où les logements sociaux et donc l’immigration sont les plus importants, perdurent les phénomènes de délinquance en bande avec émeutes urbaines ou braquages. Dans les petites communes dépourvues de la vidéoprotection, il s’agit principalement de délinquance itinérante.
    Pourtant, en analysant les scores du Front National, seul parti politique à proposer la tolérance zéro pour la racaille, on se rend compte que ce sont les territoires ruraux qui votent massivement pour les candidats du FN et leurs partenaires du Rassemblement Bleu Marine. D’où l’impact que l’implantation de tels partenaires, dont le SIEL, peut avoir sur l’augmentation de scores déjà élevés.
    Quelques exemples au premier tour des élections départementales de mars 2015 l’illustrent :
    Évry : 20.97 %, Corbeil : 24.52 %, Grigny : 20.13 % dans le Nord Essonne…
    À comparer avec : Breux Jouy : 31, 38 %, Etréchy : 32, 19 %, La Forêt le Roy : 33, 16 %, Angerville : 37,23 %, Marolles-en-Beauce : 40.57 %, Brières les Scellés : 41, 63 % ou encore Auvernaux : 56.56 % dans le sud.

    En analysant les scores on constate que le binôme FN-RBM arrive très souvent en seconde position au premier tour dans les cantons du sud-Essonne, et même dans certains villages en première position, la gauche ayant été balayée au premier tour (sauf dans le Canton de Dourdan où il y’avait la présence d’une liste « Divers-Droite » dissidente de l’UMP qui a permis à la gauche de se maintenir).

    Ainsi, dans le sud Essonne, dans les cantons d’Étampes, Dourdan et Mennecy, regroupant l’essentiel des villages français si chers à Marine Le Pen, le FN/RBM, et donc ses partenaires, sont bels et bien implantés dans l’électorat. La présence de candidats de terrain, arpentant leur terroir depuis des années, est nécessaire à notre victoire.
    Un vote qui est un vote pour la défense de notre Identité et de nos valeurs, un vote de clocher, au sens propre, refusant le communautarisme, exprimant le rejet des politiques qui, par pur électoralisme courtisent au grand jour l’électorat musulman en favorisant les constructions de mosquées, comme c’est le cas par exemple des « Républicains » à Étampes. Ainsi ni les « Républicains » ni le PS, parti pro-immigration massive depuis toujours, ne changeront les choses par leurs discours. Les électeurs attendent désormais des actes forts pour faire reculer l’immigration et la délinquance qui en découle. Y compris dans « nos campagnes » !

    Les élections régionales sont l’occasion pour le FN et ses partenaires, dont le SIEL, de montrer son ancrage massif dans l’électorat de ces départements de l’Ile-De-France et de constituer ainsi le maillage territorial nécessaire pour une implantation durable. À condition que ces territoires ruraux soient dotés de candidats les incarnant, et pas seulement dans les zones périurbaines proches de la petite couronne.

    Franck Guiot
    Ex- Maire adjoint d’Ormoy-la-Rivière (91)
Ex-UMP, membre du FN et adhérent du SIEL.

  • Vallauris: Deux policières écartées de la plage du roi d'Arabie Saoudite ! Le tweet de Florian Philippot

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                                  La villa du roi d'Arabie saoudite à Vallauris. - SIPA

    William Molinié (avec J.R.)

    Pas de femme assurant la sécurité sur sa plage. Le roi Salmane d’Arabie Saoudite aurait demandé, par le biais d’un émissaire, qu’une femme CRS chargée de la surveillance soit éloignée de la plage. « A la prise de service, la consigne a été passée de ne pas mettre de femmes sur la plage », explique auprès de 20 Minutes Sylvain Martinache, délégué Unsa-CRS pour la zone Sud, confirmant une information de Marianne.

    Selon nos informations, une autre policière, celle-ci issue du commissariat de Vallauris, avait été écartée dimanche matin du dispositif de sécurisation de la plage. En tout, trois « points » de sécurité mobilisent environ 40 CRS qui se relaient 24h/24. Les femmes sont donc affectées sur les deux autres postes en amont de la villa du roi, notamment à l’entrée, en bordure de la nationale et sur un passage piéton menant à la plage.

    Surveillance de la villa

    La recrue féminine appartient à la compagnie de CRS n°3. « C’est surprenant car nous n’avons eu aucune explication. Est-ce parce que le roi ou ses invités ne veulent pas voir de femmes assurant leur sécurité ? Est-ce parce qu’ils veulent se baigner à l’abri des regards des femmes ? », questionne Sylvain Martinache.

    « C’est assez choquant. Mais c’est de la diplomatie. Il y a tous les soirs près d’un millier de personnes dans cette villa. Ça fait vivre l’économie locale », conclut-il.

    Démenti du DDSP

    Selon Marianne, c'est un émissaire du roi qui a spécifiquement demandé à la policière en question de ne plus surveiller la plage. Cette version a été démentie par le directeur départemental de la sécurité publique des Alpes-Maritimes Marcel Authier. «La famille royale ou son entourage n'a jamais demandé à ce que soit écarté du dispositif un personnel féminin. Des femmes policières sont régulièrement envoyées sur ce dispositif, sans aucune remarque de la famille royale ou de son entourage. J'ai demandé à ce que le dispositif soit reculé lorsque le roi et sa famille viennent se baigner, pour protéger leur intimité», a assuré Marcel Authier.

    Sollicités par 20 Minutes, les services du ministère de l'Intérieur n'étaient pas joignables dans l'immédiat.

     

  • Florian Philippot : « Jean-Marie Le Pen a mille fois mérité de perdre son titre »

     

    28/07 | 16:00 | mis à jour à 18:11 | Par Gabriel Nedelec

    La cour d'appel de Versailles a donné raison à Jean-Marie Le Pen et a fait annuler le congrès postal organisé par sa fille pour l’évincer. Florian Philippot, le numéro deux du Front national prévient que « cette décision n’entrave pas la procédure disciplinaire toujours en cours à son encontre ».

     

     

    La décision de la cour d’appel de Versailles donne raison à Jean-Marie Le Pen. Comment le Front national compte-t-il faire face à ce nouveau revers ?

    Nous sommes toujours circonspects de voir la justice soutenir à bout de bras un Jean-Marie Le Pen qui par ses propos gravissimes  a mille fois mérité de perdre son titre. Quoi qu’il en soit, cette décision n’annule pas la volonté des 30 000 adhérents qui se sont exprimés, elle n’en fait qu’en suspendre provisoirement les effets. Cette décision n’entrave pas la procédure disciplinaire toujours en cours à l’encontre de Jean-Marie Le Pen.

     

    L’été est plus compliqué que prévu. Comment allez vous préparer les Régionales alors que Jean-Marie Le Pen semble décidé à faire valoir sa position au sein du parti, voire à présenter des listes dissidentes ?

    La campagne des régionales ne sera pas influencée par les outrances de Jean-Marie Le Pen. Dès la rentrée Marine Le Pen entamera une grande tournée des régions laissées pour compte par la réforme territoriale. Après ses très graves provocations il était nécessaire d’écarter Jean-Marie Le Pen afin de rendre le FN plus rassembleur. Certains électeurs nous faisaient part de leur réticence à voter pour nous à cause de ses propos. Et même si cette décision implique quelques mois d’action, c’est préférable à des années de parasitage avec des propos sur les chambres à gaz, Pétain, etc...

     

    Sauf qu’on entend parler ça et là de dissidence…

    Ces personnes sont très peu nombreuses et sont surtout des aigries qui n’ont pas obtenu de places sur nos listes aux régionales... Il était nécessaire de renouveler les équipes et de faire venir de nouvelles personnes, notamment de gauche et de droite, pour montrer notre force de rassemblement. Et puis, il y a toujours eu des listes d’extrême droite. En 2010, il y en avait dans quasiment toutes les régions. Elles font généralement 1%.

     

    Les résultats des départementales, lors desquelles vous n’avez finalement pas décroché de départements, ont-ils fait bouger les lignes économiques du parti, comme l’affirment certains de vos cadres ?

    Les départementales représentent la plus grande victoire du FN. Nous avions très peu de sortants et pourtant nous avons fait notre meilleur score historique. C’est une confirmation de la ligne politique et économique de Marine Le Pen. Bien sûr, des groupes de travail apportent et élaborent des idées en permanence. C’est nécessaire pour s’adapter à une situation qui ne va cesser de s’aggraver d’ici à 2017. Mais les grandes lignes resteront les mêmes. La campagne de 2017 sera préparée bien en amont car nous avons plus de moyens, d’élus et de réseaux. Cela nous permettra de voir ce que les gens pensent de notre projet, de faire des arbitrages et de le faire connaître. Mais ces arbitrages, qui seront avant tout politiques, n’interviendront pas avant 2016.

     

    Vous voulez ramener l’âge légal de la retraite à 60 ans et 40 annuités de cotisation Est-ce raisonnable ?

    Avant de demander des sacrifices aux Français, en repoussant encore et toujours l’âge de la retraite ou en ne remboursant plus les médicaments, il faut faire les économies là où elles n’ont pas été faites : dans la mauvaise dépense publique. D’abord mettons un terme à l’immigration massive qui nous coûte des milliards. L’asile c’est 2 milliards par an, l’aide médicale d’Etat réservée aux clandestins c’est presque 1 milliard d’après la Cour des comptes. Attaquons-nous aussi à la fraude sociale, à l’Europe à qui nous donnons 21 milliards par an alors que nous n’en recevons que 13 dont la PAC ! Et très rapidement, nous allons devoir aussi payer la réforme territoriale qui va coûter chère. Le nombre d’élus n’a pas baissé et ils vont être payés plus cher car les régions seront un peu plus grandes. Il va falloir déménager les administrations et partager les institutions pour qu’il n’y ait pas trop de perdants, notamment dans ces régions qui vont perdre leur capitale et leur préfecture. Quel coût ! Une fois ces économies réalisées et le modèle économique revu pour relancer la croissance, il est largement faisable de demander aux Français 40 ans de cotisations avec un âge légal de départ à la retraite à 60 ans. C’est hypocrite de repousser l’âge de la retraite alors que les seniors sont mis au chômage à 53 ans. Cela paupérise les retraités !

     

    Depuis la crise grecque, avez-vous changez de position sur l’Euro ?

    Non, au contraire. Comme nous l’avions dit, en s’obstinant à rester dans la zone euro, Alexis Tsipras trahit son mandat. L’opinion publique en tire un enseignement important : l’euro, l’austérité et la dévaluation interne des salaires et retraites sont un seul et même bloc. Il n’y a pas « d’Euro gentil »... Puisqu’on ne peut pas jouer sur la monnaie, on dévalue les salaires, les retraites et les droits sociaux. De plus, nous avons tous pu observer le coût démocratique de l’euro : avec cette monnaie plus de démocratie possible. Pour le Front national, c’est une victoire idéologique énorme.

     

    Dans votre programme sur la sortie de l’Euro, vous ne considérez pas réellement qu’une nation sorte seule. Pourtant vous avez poussé la Grèce dans cette direction.

    Une sortie de l’Euro doit se faire de manière concertée, même si je suis persuadé que la Grèce se serait à terme remise positivement, même d’une sortie brutale. Une sortie négociée lui aurait permis de dévaluer sa monnaie pour favoriser le tourisme et pour relancer ses rares industries, notamment les chantiers navals. L’accord trouvé avec la Grèce sera un échec, et il coûtera très cher aux Français. Inspirons nous de ce qui marche : la monnaie nationale, comme dans 95% des pays. L’euro est une anomalie. Une anomalie cela se répare.

     

    Quel est aujourd’hui le scénario de la sortie de l’euro que vous défendez ?

    Si Marine Le Pen arrive au pouvoir en 2017, elle proposera un référendum sur l’Union européenne, comme David Cameron. Dans le même temps, la France usera de sa force de pression pour négocier le retour à sa souveraineté législative. Les lois françaises doivent être supérieures aux directives européennes. Ce qui était le cas, jusqu’en 1989. Nous remettrons en question Schengen afin de maîtriser l’immigration et la criminalité internationale. Puis enfin nous demanderons le retour de notre souveraineté monétaire et budgétaire, tout en mettant éventuellement en place, même transitoirement, une monnaie commune de compte, sorte d’écu, afin de faciliter les échanges internationaux. Si nous y parvenons, cela signifiera que nous serons de nouveau dans une Europe des nations. Une Europe qui a donné naissance à Ariane ou Airbus. Si ce n’est pas le cas, alors nous appellerons à en sortir, via une dissolution concertée. Si c’est impossible, nous organiserons un retour à la monnaie nationale avec une Banque de France nationalisée, un contrôle des capitaux provisoire qui permettra un redressement rapide de l’économie française et enfin la perspective d’un retour de la croissance et de l’emploi.

     

    L’opinion n’est pas favorable à la sortie de l’euro. Ne craignez vous pas de rebuter un certain électorat, notamment chez les entrepreneurs ?

    La sortie de l’euro est très majoritaire chez les sympathisants Fn et chez un tiers de l’ensemble des français. Il y a un vrai mouvement de fond malgré la propagande servie à longueur de journée. Les économistes très critiques vis à vis de l’Euro, comme les prix Nobel Paul Krugman ou Joseph Stiglitz, ne sont pas beaucoup entendus sur les plateaux comparés à ce que j’appelle les économistes de banque. De plus en plus, les fondements idéologiques de l’euro, encore très solides dans la population il y a deux ou trois ans, sont lézardés. Il suffit d’un coup pour qu’ils s’effondrent. Il y a encore quelque temps, le discours des défenseurs consistait à dire que l’euro protégeait les économies. Ce n’est plus le cas. Aujourd’hui, ils reconnaissent son échec mais affirment que le coût d’une sortie serait insurmontable, ce qui est l’inverse de la réalité. L’euro ne tient plus que par son idéologie, c’est un veau d’or. Le signe que c’est bientôt fini !

     

    Les Echos

     

  • La justice confirme en appel la suspension du congrès postal du Front National

    http://www.leparisien.fr/politique/la-justice-confirme-en-appel-la-suspension-du-congres-du-front-national-28-07-2015-4974923.php

  • L'étonnante rencontre entre un shérif et un bébé hibou

    http://www.bfmtv.com/international/video-l-etonnante-rencontre-entre-un-sherif-et-un-bebe-hibou-904203.html

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    Craquant, le bébé hibou!

  • L'homme de Tautavel prend un coup de jeune

    http://www.francebleu.fr/culture/prehistoire/une-dent-vieille-de-560-000-ans-decouverte-la-caune-de-l-arago-2505305

    + PHOTOS, AUDIOS

     

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  • Européens, tous cousins !

    Deux chercheurs américains ont étudié les gènes d’un échantillon de 40 populations du continent européen. Leur verdict : tous les Européens d’aujourd’hui descendent des mêmes ancêtres. Voilà pourquoi.

    Prenez deux Européens d’aujourd’hui, même vivant dans des pays éloignés, par exemple un Finnois et un Français : ils ont toutes chances d’avoir de nombreux ancêtres communs ayant vécu il y a environ un millénaire. C’est ce que démontre une analyse des gènes de 2 257 personnes issues de 40 populations de l’ensemble du continent : Albanais, Anglais, Belges, Danois, Espagnols, Italiens, Macédoniens, Russes, Turcs, etc.

    L’étude, qui vient de paraître dans Plos Biology, a été réalisé par deux généticiens des populations, Peter Ralph et Graham Coop (université de Californie à Davis). Elle montre qu’à l’échelle des 3 000 dernières années, il existe un degré de parenté élevé entre les populations des différentes nations européennes, en dépit du fait que celles-ci soient des constructions récentes, amalgamant des groupes humains différents.

    Les deux chercheurs ont utilisé le génome complet des 2 257 individus étudiés. Ils ont recherché des segments d’ADN partagés par des individus différents. Le principe général est que deux individus qui ont un ancêtre commun peuvent partager un segment d’ADN hérité de cet ancêtre. Plus ce segment est long, plus l’ancêtre commun est récent. En analysant la longueur des segments d’ADN partagés par une paire d’individus, les chercheurs peuvent évaluer la distribution dans le temps de leurs ancêtres communs.

    Mélange de segments courts et longs

                  

    Pourquoi y a-t-il une relation entre le temps et la longueur des segments d’ADN partagés par une paire d’individus ? Pour le comprendre, il faut considérer la manière dont les gènes, et par conséquent l’ADN qui est leur support matériel, se recombinent à chaque génération. Le génome d’un individu donné se forme en mélangeant les gènes de ses parents, de sorte que son ADN est constitué de segments venant de sa mère et d’autres de son père. A la génération suivante, le mélange intègre de nouveaux segments d’ADN, et ainsi de suite.

    Ce processus se poursuit au fil des générations. De sorte que le génome d’une personne contient des segments de l’ADN de ses ancêtres, entrecoupés par les segments nouveaux introduits à chaque génération. Comme l’emplacement où les séquences d’ADN se modifient est différent à chaque fois, le résultat est que les segments conservés sont de plus en plus courts. Ainsi, des cousins germains au premier degré, qui ont des grand-parents communs, partageront des segments d’ADN plus longs que des cousins au deuxième degré ; ces derniers partageront des segments plus longs que des cousins au troisième degré, etc.

    Si un segment hérité d’un ancêtre s’est conservé au bout d’un grand nombre de générations chez deux individus, on peut évaluer l’ancienneté de cet ancêtre à partir de la longueur du segment. C’est ce qu’ont fait Peter Ralph et Graham Coop. Leurs calculs montrent que deux Européens de deux pays voisins ont entre deux et douze "ancêtres génétiques" communs ayant vécu au cours des 1 500 dernières années ; et ils en ont jusqu’à une centaine si on remonte un millier de plus en arrière.

    Des ancêtres communs

    Aussi étonnant que cela paraisse, tous les habitants de l’Europe qui ont vécu il y a mille ans et qui ont eu des descendants sont eux-mêmes des ancêtres de tous les Européens d’aujourd’hui ! Ou si l’on préfère, tous les Européens contemporains descendent d’un même ensemble d’ancêtres ayant vécu il y a mille ans.

    Les chercheurs ont cependant constaté que la répartition des ancêtres communs n’est pas homogène géographiquement : par exemple, les Italiens ont moins d’ancêtres génétiques communs entre eux et avec les autres Européens, et ont plus de liens avec des ancêtres remontant à 2 000 ans plutôt qu’à 1 000. Cette différence peut refléter un plus grand degré d’isolement géographique.

    Mais les chercheurs reconnaissent eux-mêmes que pour étudier finement une histoire aussi complexe que celle de l’Europe, il ne suffit pas d’analyser les gènes des contemporains. Il faudra aussi utiliser des ADN d’individus ayant vécu dans le passé, dont on peut dater l’ancienneté. Et sans doute faire appel à d’autres disciplines, comme l’archéologie ou la paléo-anthropologie.

    VOXEUROP

  • Censure: le blog "Révoltes en Europe" supprimé

    http://www.fdesouche.com/631499-censure-le-blog-revoltes-en-europe-supprime?utm_medium=twitter&utm_source=twitterfeed

  • Allemagne. Heurts entre extrême droite et contre-manifestants

    Samedi, 25 Juillet 2015
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    Rédaction
    International

    Des affrontements ont éclaté entre des membres d'un parti d'extrême-droite et des défenseurs du droit d'asile.


    Deux personnes ont été blessées dans des affrontements entre des militants d'extrême droite qui dénonçaient l'immigration et des contre-manifestants ce samedi à Francfort-sur-l'Oder, dans l'est de l'Allemagne à la frontière polonaise, a annoncé la police allemande.

    Vendredi soir, des incidents se sont également produits à Dresde, à près de 200 km de là, lorsqu'une centaine de militants du parti d'extrême droite NPD ont affronté des manifestants de gauche.

    L'Allemagne s'attend à recevoir en 2015 environ 450 000 demandeurs d'asile, contre 200 000 l'an dernier, et les autorités peinent à faire face à un tel afflux.

    Depuis le début de l'année, il y a eu plus de 200 attaques contre des centres d'hébergement pour réfugiés en Allemagne.

    source

    ouest-france.fr :: lien

    VOXNR

  • Photos: les clandestins envahissent la gare du Nord et le faubourg Saint-Denis

    http://www.fdesouche.com/631199-paris-les-clandestins-envahissent-la-gare-du-nord-et-le-faubourg-st-denis

  • Hongrie : le Premier Ministre Viktor Orbán déclare que la gauche perçoit l’immigration comme une opportunité de détruire définitivement les frontières et les identités nationales…

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    … et annonce que le mur anti-immigration sera terminé le 31 août 2015 au lieu de novembre 2015.

    Chaque été, le Premier Ministre hongrois Viktor Orbán se rend au rassemblement de Tusványos en Transylvanie (Roumanie), région qui compte une communauté hongroise importante. Il y tient habituellement un discours, très attendu.

    L’année dernière, Orbán avait déjà fait parler de lui à l’étranger en affirmant vouloir construire un État « illibéral ».

    Cette année, Viktor Orbán était attendu sur les questions migratoires, puisqu’une vague de clandestins sans aucun précédent entre en Hongrie via la Serbie depuis 2014 (plus de 130 000 clandestins ont franchi illégalement la frontière hongroise depuis l’année dernière), ce qui a décidé le gouvernement hongrois à construire un mur le long des 175km de la frontière hungaro-serbe.

     

    Orbán a notamment annoncé que le mur serait terminé le 31 août 2015, au lieu de novembre 2015 comme initialement annoncé. Cela s’explique par le fait que depuis l’annonce de la construction du mur, les vagues de clandestins se font plus nombreuses encore, avec l’entrée en moyenne de 1500 nouveaux clandestins en Hongrie chaque jour.

    Le Premier Ministre hongrois a livré plusieurs réflexions au sujet de la crise migratoire que connait l’Europe en ce moment :
    _ « Le véritable danger ne vient pas des zones de guerre mais des profondeurs de l’Afrique »
    _ «  Avec la désintégration des pays de l’Afrique du Nord, la ligne de défense qui protégeait l’Europe s’est évaporée »
    _ « Nous voudrions que l’Europe soit préservée pour les Européens »
    _ « La gauche perçoit l’immigration comme une opportunité de détruire définitivement les frontières et les identités nationales »

    Orbán a également aggravé son cas en affirmant qu’il y a un lien clair entre immigration et terrorisme, délinquance et chômage.

    NDF