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dans une bergerieLes luxueuses vacances des Sarkozy en Corse: 34 000 euros la semaine dans une bergerie bling-bling
G.L. | 29 Juil. 2015, 09h16 | MAJ : 29 Juil. 2015, 11h01
réagir186La location de l'Eddera, l'une des bergeries du domaine de Murtoli, est de 34 200 euros la semaine en août. (CAPTURE MURTOLI.COM.)Nicolas et Carla Sarkozy devraient séjourner cet été dans un somptueux domaine corse, qui pratique des tarifs allant jusqu'à 4 885 euros la nuit, croit savoir le «Canard Enchaîné».
Dans le domaine de Murtoli, situé entre Sartène et Bonifacio, 17 demeures et bergeries, donnant sur la mer, la montagne et le maquis, accueillent les visiteurs sur une surface de 2 500 hectares.
L'une d'entre elles, l'Eddera, peut accueillir jusqu'à 12 personnes. Elle dispose d'une piscine, d'un sauna et d'un hammam, à une minute à pied de la crique paradisiaque de Murtoli. Le tarif est (légèrement) dégressif : 34 200 euros la semaine en août, 61 700 euros les deux semaines, 90 500 euros les trois semaines, 116 600 euros les quatre.
Le «Canard Enchaîné» ne dit pas si l'ancien président et son épouse opteront plutôt pour une vue sur le maquis, le prix le plus bas en août étant nettement inférieur, 4 500 euros la semaine. Dans tous les cas, raconte l'hebdomadaire, Nicolas Sarkozy aurait affirmé à des proches que le propriétaire des lieux allait lui faire un prix d'ami.
Dans le viseur de la justice
Hasard du calendrier, toujours selon le «Canard», ce dernier, Paul Canarelli, devrait recevoir ce mercredi la visite de gendarmes, d'inspecteurs de l'Environnement et de représentants du préfet. L'Etat s'intéresserait au pompage supposé excessif de l'eau sur le domaine pour entretenir un green de golf, ainsi qu'à un permis de construire. Le 9 mars, le préfet de Corse a saisi le tribunal administratif et un mois plus tard, Paul Canarelli aurait refusé d'ouvrir aux autorités.
Dans un droit de réponse à un précédent article de l'hebdomadaire, Paul Canarelli oppose un démenti cinglant à la «prétendue inaccessibilité» de son domaine et «à l'impunité de son propriétaire» : «Les services de l'Etat ont toujours été consultés sur l'ensemble des projets de Monsieur Paul Canarelli, autorisés par une multitude de permis de construire et autorisations de travaux.»
Le domaine de Murtoli est déjà, depuis plusieurs années, l'objet d'un feuilleton judiciaire, Paul Canarelli et Anne de Carbuccia, épouse du milliardaire italien Alberto Tazartes, se disputant la propriété d'une tour fortifiée du XVIIe siècle. Après de multiples rebondissements, ce dossier est actuellement entre les mains d'une juge d'instruction parisienne.LE PARISIEN
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Fréjus : non, Mozart n'est pas assassiné!
Communiqué de presse de la Ville de Fréjus à propos de la participation des artistes du circuit des métiers d’art aux activités périscolaires :
Quelques individus en mal de polémique tentent, en cette période estivale, de relancer la vieille antienne de la culture mise à mal par le Front National. A les entendre, les artisans d’art Fréjusiens seraient obligés, l’an prochain, de passer leurs jours voire leurs nuits à garder des classes entières au mépris de leurs droits les plus fondamentaux. Bref, c’est Mozart, Gutenberg et Van Gogh associés qu’on assassinerait en ce doux mois d’été.
La réalité est beaucoup plus prosaïque. De quoi s’agit-il ? Depuis plus de 20 ans, la municipalité fréjusienne, adhérente de l’Institut National des Métiers d’Art, met à disposition 16 locaux au cœur du centre historique au profit d’artisans, à des tarifs exceptionnellement modérés. Un bénéfice pour ces artisans comme pour la ville, et une situation qui n’a aucunement été remise en cause par la nouvelle municipalité élue en mars 2014. Moyennant quoi, ces artisans bénéficient d’un prix de location au tarif de 2,5 €/m2 mensuels, alors que la moyenne se situe plutôt entre 10 et 20 €.
Si l’on prend la superficie totale de ces locaux, soit 793 m2, et un prix minimum de 10€/m2 pour une location en centre ville, on peut considérer que la ville, qui en outre assume les taxes foncières, subventionne indirectement ces artisans à hauteur de 80 000 €/an. C’est un minimum.
En contrepartie de ces tarifs très préférentiels, les artisans se sont notamment engagés, par convention, à « participer à la vie culturelle et artistique de la Commune à travers diverses manifestations, animations, rencontres, démonstrations, expositions de travaux réalisés ou en cours, développement d’actions pédagogiques organisées par la Ville. »
Dans le cadre de l’aménagement des rythmes scolaires, qui, rappelons-le, coûte de l’ordre de 400 000 € au contribuable fréjusien en cette année 2015, la Ville a donc sollicité, afin d’apporter aux enfants de primaire un éveil artistique, et conformément à la convention, certains artisans d’art pour animer des ateliers de découverte pour les enfants.
Et là, à la surprise générale, cette initiative de bon sens suscite un tollé de quelques uns, animés par des motifs qu’on ne saurait évidemment qualifier de politiques. Quoiqu’en y réfléchissant… Et ces quelques artistes de présenter une situation selon laquelle ils seraient littéralement exploités, seuls à gérer des hordes d’enfants turbulents à longueur de journée.
Il s’agit en fait d’assurer, dans des locaux municipaux ou dans leurs ateliers si ceux-ci le permettent, 1h30/semaine durant un trimestre, l’initiation artistique d’un petit groupe d’enfants encadrés par un animateur, ces activités rentrant dans le cadre des assurances RC existantes. Une animation ayant fait l’objet depuis plusieurs mois l’objet d’échanges entre la ville et les artisans d’art, et devant être finalisée pour la rentrée.
Le Maire de Fréjus s’est donc logiquement étonné de la réticence de certains devant cet apport à l’action pédagogique de la commune, somme toute très limité au regard de l’aide de laquelle ils sont ravis de bénéficier. Au final, beaucoup de bruit pour 18h d’interventions sur l’année, avec pour seul objectif de renforcer l’éducation artistique de nos enfants.
Ce qui semblait comme une légitime contrepartie devient aujourd’hui, pour quelques uns, un scandale d’État. On pourrait en sourire, si cela ne dénotait une mentalité bien étriquée pour de prétendus artistes, dont on aurait pu croire qu’ils seraient ravis de partager leur savoir avec des enfants et de redonner à la collectivité un peu de ce qu’elle leur alloue.
Blog de David RACHLINE, sénateur-maire de Fréjus
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Taubira propose que la conduite sans permis ne soit plus un délit
Les automobilistes roulant sans permis pourraient être passibles d'une amende de 500 euros, au lieu de passer devant le juge. La Ligue contre la violence routière crie au "désastre".
Conduire sans permis pourrait bientôt être passible d'une "simple" contravention. C'est l'une des dispositions contenues dans le projet de loi intitulé "la justice du XXIe siècle", que doit présenter Christiane Taubira ce vendredi en conseil des ministres, rapporte La Croix. Plutôt que de passer devant le juge, l'automobiliste pourrait donc se contenter d'une amende de 500 euros: un montant qui passerait à 400 euros en cas de règlement dans les 15 jours, et 750 euros si le paiement n'est pas effectué après 45 jours.
En cas de récidive ou de circonstances aggravantes (absence de ceinture, dépassement d'alcoolémie, etc.), la disposition ne s'appliquerait pas: elle serait même plus sévère qu'actuellement. "Ces faits continueront de constituer des délits, avec une peine de deux ans pour le défaut de permis, doublée par rapport à la peine aujourd'hui prévue", stipule le texte. Aujourd'hui, rouler sans permis est passible d'un an de prison et de 15.000 euros d'amende.
Taubira anticipe les critiques
Outre les conducteurs roulant sans permis, ceux qui n'auront pas d'assurance seraient eux aussi concernés par cette amende. Une façon de "déjudiciariser" ces deux délits. La chancellerie l'envisageait d'ailleurs pour tous les délits routiers, avant de reculer par crainte d'être taxée de laxisme.
Du côté de Christine Taubira, on anticipe les critiques: ses proches évoquent "une sanction plus rapide et systématique", en assurant que le montant de l'amende est plus élevé que la moyenne prononcée par la justice.
Sans surprise, ces arguments font bondir certaines associations qui promeuvent la sécurité routière. "Cette mesure est un désastre", dénonce Chantal Perrichon, présidente de la Ligue contre la violence routière. "C'est un très mauvais signal qu'on envoie. Christiane Taubira a un problème de logistique avec l'engorgement des tribunaux, mais elle ne tient pas compte des conséquences de sa décision: la comparution au tribunal peut faire office d'électrochoc, sans forcément passer par la prison. Le but est d'écarter ces conducteurs de la route pour qu'ils prennent conscience qu'ils sont dangereux". Pour elle, "le gouvernement a montré qu'il ne s'intéressait pas à la sécurité routière, or les chiffres sont mauvais. Il serait temps de s'y mettre".
BFMTV
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Invasion migratoire: reportage dans un village hongois frontalier avec la Serbie
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Le Daily Mail déconseille de voyager dans le Var...
Mercredi 29/07/2015 à 09H40Le Daily Mail, deuxième journal britannique en tirage, a découragé mardi ses lecteurs de venir en France, et plus précisément dans le Var. Le quotidien a titré : "Vous songez encore passer vos vacances en France ?". Avec une image d'agriculteurs pulvérisant du fumier sur des voitures en tête. Le journaliste attaque son papier en citant les tentatives de passage de l'Eurotunnel par les migrants à Calais, et les retards d'une heure qu'ont dû subir les touristes côté britannique.
"Les touristes affrontent embouteillages, barrages routiers, feux de forêts près des campings, 2.000 migrants dans le tunnel sous la Manche... et maintenant les agriculteurs pulvérisent du fumier sur les voitures", alerte le tabloïd.
Le Daily Mail pointe plus précisément du doigt les incendies dans le Var, où sept départs de feu ont été recensés lundi. Des touristes britanniques présents dans les campings évacués lundi témoignent dans l'article : "On nous a dirigés vers les sorties de secours – mais c’était le chaos total. Il y avait des milliers de personnes tentant de faire la même chose", déclarent-ils. Les évacués avaient pu réintégrer leur logement le soir même.
La Provence
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