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  • Rennes (35) : sorti de prison en février, un Guyanais de 28 ans écroué pour viol

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    Le canal St Martin (Rennes)

    21h55

    La semaine dernière, une étudiante avait été violemment agressée près du canal Saint-Martin. Vendredi dernier, les policiers du Raid ont interpellé un Guyanais de 28 ans.Il venait de purger une lourde peine pour vol à main armé et était sorti en février dernier de prison.

    La jeune femme promenait ses chiens, mardi 21 juillet, dans la soirée le long du canal Saint-Martin à Rennes. En rentrant chez elle, l’étudiante prend un raccourci et emprunte un chemin mal éclairé. C’est à cet endroit qu’elle a été agressée par un homme qui dissimulait son visage sous une capuche.

    L’agresseur, armé d'un couteau, a abusé de sa victime avant de lui dérober son sac à main. Il a ensuite pris la fuite. La police, alertée rapidement, a commencé le soir même, les investigations pour retrouver l’auteur de l’agression et du viol.

    Des éléments génétiques ont permis de retrouver la trace d’un suspect. Vendredi dernier, les hommes du RAID l’ont interpellé à son domicile, proche de l’endroit du viol. L’homme, originaire de Guyane, est âgé de 28 ans.

     
     

    Source

    Merci à Nevenoe

  • Où fait-il bon vivre en France? Dans les régions les plus catholiques

    http://www.fdesouche.com/632859-ou-fait-il-bon-vivre-en-france-dans-les-regions-les-plus-catholiques

  • Quelques minutes de détente avec le branle d'Ecosse

     

    http://www.festa.lt
    Branles d'Escosse performed by Lithuanian dance group Festa Cortese and Czech music group Remdih.
    2010 march Freienfels castle, Germany, 18th Knight tournament

  • Libye : allons-nous être contraints de soutenir Al-Qaida contre Daesh ? Par Bernard LUGAN

     

    En Libye, les interventions de l’Egypte, de l’Algérie et de la France, destinées à limiter les conséquences devenues incontrôlables de la guerre insensée déclenchée contre le colonel Kadhafi, deviennent de plus en plus problématiques. Pour cinq grandes raisons :

    1) Cette intervention était subordonnée à la constitution en Libye même d’une force « nationale » susceptible d’être appuyée. Or, le général Haftar a échoué dans sa guerre contre les islamistes.

    2) Plus que jamais, le principal objectif algérien en Libye est la fin du chaos en Tripolitaine afin d’assurer la sécurité de la frontière orientale. Englué en Cyrénaïque, le général Haftar n’a aucun pouvoir en Tripolitaine. Voilà pourquoi Alger traite actuellement avec les islamistes hostiles à Daesh qui contrôlent l’ouest de la Libye.

    3) L’Egypte se trouve prise au piège. Dans sa lutte à mort contre les islamistes et les Frères musulmans, elle dépend en effet du financement des monarchies sunnites du Golfe. Or, paniquées par le retour de l’Iran chiite sur la scène politique régionale, ces dernières ont décidé de se rapprocher de tous les mouvements sunnites, dont les Frères musulmans et Al Qaida, comme cela vient de se produire au Yémen. Nous sommes en présence d’une politique de simple survie dont le terme est imprévisible, mais qui bouscule l’échiquier régional. Pour deux raisons majeures :
    – Ce rapprochement a affaibli Al Qaida car plusieurs groupes sunnites qui y sont opposés viennent de se rallier à Daesh, notamment en Tunisie et en Algérie.
    – L’Arabie saoudite freine l’interventionnisme du général Sissi afin de ne pas affaiblir ses nouveaux alliés en Libye, ce qui favorise indirectement Daesh, nébuleuse sunnite qui ne la menace pas encore.

    4) Dans ce jeu d’échecs, la France est sur l’arrière-main, se limitant à éviter au Sahel une contagion venue de Libye. Or, tous les connaisseurs du dossier savent bien que sans une « pacification » de la Libye, l’opération Barkhane est bancale.

    5) La solution libyenne qui était tribale n’est plus d’actualité. Dans les zones conquises, Daesh, dont la force de frappe est composée de non Libyens, a en effet renversé le paradigme tribal en liquidant physiquement les chefs qui ne voulaient pas lui faire allégeance afin de terroriser les autres. En conséquence de quoi, les ralliements se multiplient…

    Face à cette situation, l’Egypte et la Tunisie ont décidé de se retrancher derrière deux lignes électrifiées. Cette illusoire défense va certes permettre à certaines firmes européennes de faire de fructueuses affaires, mais elle ne stoppera pas la gangrène.
    Alors, comme je ne cesse de le préconiser depuis des mois, il ne reste qu’une seule solution pour tenter, je dis bien tenter, d’empêcher la coagulation islamiste qui s’opère actuellement dans toute l’Afrique du Nord à partir du foyer libyen. Cette solution a un nom: Saif al-Islam, le fils du colonel Kadhafi actuellement détenu à Zenten. Lui seul est en effet en mesure de reconstituer les anciennes alliances tribales de Cyrénaïque, de Tripolitaine et du Fezzan détruites par l’intervention franco-otanienne. Or, cette solution est impossible puisque, dans l’ignorance bétonnée du dossier et aveuglée par ses principes juridiques européocentrés déconnectés des réalités, la Cour pénale internationale l’a inculpé pour « crimes de guerre ».

    Dans cette évolution vers le pire que connaît la Libye, poussés à la fois par l’Arabie saoudite et par l’Algérie, Frères musulmans, Al Qaida et diverses milices viennent de s’ « allier » contre Daesh.
    Dans cette guerre entre islamistes qui menace notre flanc sud, allons-nous donc être contraints de considérer Al Qaida comme un nouvel « ami »… ? Voilà le scénario apocalyptique auquel le sémillant BHL et l’éclairé Nicolas Sarkozy n’avaient pas pensé…

    > Bernard Lugan anime un blog.

    NDF

  • Interview de Vladimir Poutine à Saint- Pétersbourg le 27 juillet 2015

    Darius Rochebin, RTS-Info, interroge Vladimir Poutine,  Le 27 juillet 2015, à Saint-Pétersbourg, à propos des relations de la Russie avec l’Union européenne.
     
    Cette interview est en traduction simultanée.
     
    MEDIAS-PRESSE-INFO
  • Les socialistes, quand il s’agit des Saoudiens, ne font plus dans l’humanitaire

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    Ces parangons de vertu sont-ils depuis quelques jours devenus aphones, ont-ils par pudeur idéologique détourné leurs regards de nos rivages méditerranéens ?

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    Aminetou el Moktar, présidente d’une association humanitaire en Mauritanie, vient de révéler la scandaleuse traite des femmes dans son pays. La présidente de l’AFCF ne mâche pas ses mots, elle explique comment des adolescentes sont attirées loin de chez elles :
    « Certaines jeunes filles destinées au trafic sexuel sont victimes du mirage d’un travail à l’étranger, d’une bonne éducation dans la capitale. D’autres sont vendues par leurs familles en détresse. »

    Après des « livraisons humaines » venant des Philippines, d’Inde ou du Pakistan – livraisons qui, parfois, se terminaient par la liquidation pure et simple après séquestration et viol -, c’est au tour des Africaines subsahariennes d’être menacées.

    Mais, au fait, quel est donc ce pays qui pratique encore la traite des femmes en ce début du XXIe siècle ?

    Quel est ce pays qui, pourtant, depuis le 1er janvier 2014 siège au Conseil des droits de l’homme de l’ONU ?

    Quel est ce pays avec lequel le gouvernement socialiste n’a pas hésité à signer un pré-contrat d’armement de 3 milliards d’euros ?
    Bien évidemment, vous avez deviné, c’est le pays du roi Salmane ben Abdelaziz Al Saoud, âgé de 79 ans… C’est l’Arabie saoudite.

    Le pays de celui qui, depuis le week-end dernier, est en villégiature sur notre sol, dans sa majestueuse propriété de Golfe-Juan sur la commune de Vallauris, avec sa cour de près d’un millier de personnes. Celui qui a réservé pas moins de 400 chambres, pour le « noyau dur » de la suite royale, dans les palaces de la Croisette, à Cannes. Celui qui bénéficie de mesures de sécurité extrêmes interdisant l’accès au public du littoral voisin ainsi que toute navigation en mer sur une bande de 300 mètres. Ceci malgré une pétition contre la fermeture sur ordre du préfet de la plage publique de Mirandole, qui a recueilli près de 150.000 signatures.

    Celui qui mobilise sept ou huit policiers pour se relayer en permanence autour de la villa, sans compter les patrouilles mobiles et plusieurs bateaux stationnés en mer. Celui qui a enfin demandé qu’aucune femme ne soit incluse dans le dispositif qui assure la protection des environs de sa villa, d’après des sources syndicales policières.

    Et toutes ces mesures liberticides pour un État liberticide sans une seule allusion aux violations des droits de l’homme. Où sont ces socialistes qui explosent d’indignation et crient au déni de démocratie chaque fois que des patriotes veulent faire respecter les lois et coutumes de leur pays.

    Où sont ces socialistes qui se font un devoir et un honneur de participer en première ligne à la journée nationale des mémoires de la traite, de l’esclavage et de leurs abolitions ?

    Ces parangons de vertu sont-ils depuis quelques jours devenus aphones, ont-ils par pudeur idéologique détourné leurs regards de nos rivages méditerranéens ?

    On n’entend plus l’ancien et l’actuel secrétaire national du PS, messieurs Désir et Cambadélis, fustiger les dirigeants saoudiens comme ils ont fustigé le Premier ministre hongrois Viktor Orbán « qui fait honte à la démocratie » ou le président Poutine « qui devrait cesser d’intimider les démocrates ».

    Quant à Najat Vallaud-Belkacem, son mutisme enlève toute crédibilité à ses discours féministes.

     
    BOULEVARD VOLTAIRE