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  • TAUBIRA, MADONE DES CHAUFFARDS DE BANLIEUE

     

    TAUBIRA, MADONE DES CHAUFFARDS DE BANLIEUE - Dis moi qui tu privilégies, je te dirai qui tu es

     


    Dis moi qui tu privilégies, je te dirai qui tu es



    Jean Ansar
    le 02/08/2015
    modifié le 02/08/2015 à 20:40h
    Sacrée Christiane, toujours de bonnes raisons pour mettre la justice au service des désordres. On espère que pendant ses vacances guyanaises, un morceau de France, comme elle aimerait en voir partout, elle ne sera pas renversée par un conducteur sans permis.

    Mais bien sûr ce qui l’intéresse, ce n’est ni la France exotique ni la France profonde, mais une France qui serait une immense Seine-Saint-Denis aux couleurs de l’immigration qui, incontrôlée, doit continuer à l’être dans tous les domaines. Sa dernière idée qui risque d’être abandonné provisoirement, était tout de même sympa. Il s’agissait de supprimer le délit de conduite sans permis et sans assurance au profit d’une amende forfaitaire de 500 euros. Voila qui fera des économies, surtout là où l’on hésite à contrôler des conducteurs de quartiers sensibles comme un accélérateur, jugeant le permis inutile et coûteux, un truc de nantis pour empêcher les djeunes d’accéder  à la joie du volant.

    Le permis, une sorte de discrimination par l’argent non ?

    Cette idée , lancée en plein été la veille du plus grand week-end de chassé croisé est une provocation nouvelle de celle qui se croit tout permis… même le permis sans permis. Alors que l’on traque l’automobiliste en règle comme un délinquant, le délinquant lui devrait cesser de l’être. Ça, c’est de la justice de discrimination positive.

    Les réactions obligent cependant la garde des sottes (féminin de garde des sceaux non ?) à admettre que le société n’est peut être pas tout a fait prêt pour ce progrès taubirasque. Christiane Taubira s'est donc déclarée prête à renoncer au projet de sanction - est-ce bien le terme- de la conduite sans permis par une simple contravention si la société n'est pas favorable à cette mesure prévue par un des volets de sa réforme de la justice. La présidente de la Ligue contre la violence routière, Chantal Perrichon, a dénoncé sur France Info une "proposition extrêmement choquante" qui envoie un "mauvais signal".

    Christiane Taubira a fait valoir sur France Inter que cette mesure était "plus efficace, plus rapide, plus juste" et ne concernait que la première infraction. En cas de récidive, "il s'agira d'un délit", a-t-elle souligné. Quelle fermeté !
     
    L’idéal serait tout de même d’avoir sur nos routes, plutôt que ces banals touristes franchouillards , des hordes de  sympathiques migrants , nouveau nom des clandestins, sans papiers et sans permis prenant la route de Calais avec un ticket gratuit humanitaire pour le tunnel sous la Manche.

    Si Christiane quitte le ministère de la justice, un malheur peut toujours arriver, elle est prête pour celui des transports.


    NDLR : Au moment ou nous mettons en ligne cet article, nous apprenons qu'un accident s'est produit, ce dimanche, vers 1h24, sur la D17, au lieu-dit Route de La Chèze sur la commune de Rohan, (Morbihan). 14 jeunes se trouvaient dans la voiture. Quatre d'entre eux sont décédés.  Le conducteur, âgé de 17ans, ... n'avait pas le permis de conduire.
     
    METAMAG
  • Australie: les Témoins de Jéhovah ont caché de nombreuses plaintes pour pédophilie

    http://www.leparisien.fr/faits-divers/australie-les-temoins-de-jehovah-ont-cache-de-nombreuses-plaintes-pour-pedophilie-28-07-2015-4974643.php

  • Sanction disciplinaire: Le Pen convoqué le 20 août au FN

    http://www.leparisien.fr/politique/sanction-disciplinaire-jean-marie-le-pen-convoque-le-20-aout-au-fn-04-08-2015-4989865.php

  • De petits crustacé pourraient aider à résoudre le mystère du MH370

    http://www.levif.be/actualite/international/de-petits-crustaces-pourraient-aider-a-resoudre-le-mystere-du-mh370/article-normal-408767.html?utm_source=Newsletter-04/08/2015&utm_medium=Email&utm_campaign=Newsletter-RNBAVULV&M_BT=10384380009393

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    Balanes

     

  • Comment Internet a détruit nos vacances

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    À cause des iPad, des smartphones et des MP3, nos vacances sont devenues aussi lisses que le reste de l'année. La journaliste Ann Peuteman regrette les vacances d'antan où l'on pouvait mourir d'ennui, dépérir à cause du manque de l'autre ou encore se perdre dans les rues et dans nos pensées.

     

    © Reuters

    Généralement, on le faisait le deuxième jour. On avait trouvé nos marques à l'hôtel et on était alors certains qu'elles arriveraient avant notre retour en Belgique. Tous nos proches en recevaient une. L'envoi de cartes postales était l'un des rituels immuables des voyages de mon enfance.

    Aujourd'hui, nous ne sommes plus nombreux à le faire. Et pourquoi le ferait-on puisqu'on peut partager tous les détails de nos vacances minute par minute sur Facebook ? Le tout agrémenté de photos de la piscine, de la chambre et des lieux pittoresques que l'on vient de visiter. Plus besoin de faire l'effort de choisir avec amour LA carte postale ou de partir à la recherche de timbres ou d'une boîte postale. Un click suffit pour joindre nos amis pas encore tous virtuels. La carte postale n'est pas la seule chose qu'internet a enterrée. Plus besoin d'ennuyer les autres touristes pour faire une photo de famille. Un selfiestik et, hop, tout le monde peut faire risette.

    On oublie aussi la partie de Puissance 4, de Scrabble ou autres jeux de voyage. Ce rituel est désormais remplacé par le visionnage sur Smartphone des photos du jour avant d'éventuelles retouches et un post en bonne et due forme sur Facebook. Et tant qu'on est sur internet pourquoi ne pas réserver les tickets pour le lendemain ? Cela évitera de faire des files interminables devant telle ou telle curiosité touristique. Pendant ce temps les enfants jouent sur leur tablette et votre conjoint se perd dans la lecture du dernier roman sur sa liseuse. Aux oubliettes le choix cornélien du livre à emporter en vacances.

    Le GPS sauve le couple

    La préparation d'un voyage s'est aussi fortement simplifiée. Il n'y a pas si longtemps, les parents s'attablaient des semaines à l'avance autour de cartes pour déterminer le chemin le plus court ou cherchaient déjà des itinéraires bis en cas de bouchons. Maintenant, il suffit de brancher le GPS et de mettre un CD. Finies les disputes entre parents parce que papa venait de manquer un embranchement alors que maman ne s'y retrouvait momentanément plus sur la carte. Combien de couples auront été sauvés par cette invention ?

    À l'arrière du véhicule, c'est aussi beaucoup plus calme. Faire des mots avec les lettres de voiture ? Compter les voitures vertes ? Je vois ce que tu ne vois pas ? Pourquoi les enfants perdraient-ils encore du temps avec ça ? Aujourd'hui, les tablettes et lecteurs de DVD intégrés font passer le temps. Les bagarres "fraternelles" durant la longue route qui menait vers la France ou l'Italie ne sont, elles aussi, plus qu'un lointain souvenir.

    Des vacances trop courtes

    La révolution digitale sera donc venue à bout des vacances familiales où ils y avaient des tensions dans le couple, des enfants qui se disputent et des parents au bord de la crise de nerfs. Aujourd'hui, tout est lisse et parfaitement réglé. Et pourtant je suis souvent nostalgique de ce temps où l'on pouvait encore se tromper de route, faire la file durant des heures, entourés d'anglais et de Hollandais pour voir une attraction touristique et quand après à peine une semaine de vacances la maison nous manquait déjà tellement.

    Même si nos vies étaient déjà très organisées à l'époque, en vacances on pouvait au moins encore s'ennuyer à mourir, dépérir à cause du manque de l'autre ou se perdre dans les rues et dans ses pensées. Maintenant tout cela devient très difficile. Et c'est peut-être pour cela qu'aujourd'hui on soupire de plus en plus parce que les vacances étaient décidément vraiment trop courtes.

    Le Vif.be

  • Taubira ennemie de la sécurité publique ?

    http://fr.novopress.info/191164/taubira-ennemi-securite-publique/?utm_source=feedburner&utm_medium=email&utm_campaign=Feed%3A+novopressfrance+%28%3A%3A+Novopress.info+%7C+Agence+de+presse+ind%C3%A9pendante%29

    Taubira-Credit-Guillaume-Paumier-flickr-CC-partie-bis.jpg

  • Cisjordanie: un des principaux extrémistes juifs israéliens arrêté

    http://www.leparisien.fr/international/cisjordanie-un-des-principaux-extremistes-juifs-israeliens-arrete-03-08-2015-4988135.php

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  • Accident mortel dans le Morbihan: le conducteur de 17 ans avait bu et n'avait pas son permis

    http://www.leparisien.fr/faits-divers/accident-dans-le-morbihan-test-d-alcoolemie-positif-pour-le-conducteur-mineur-03-08-2015-4987555.php

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  • Paris : 200 clandestins occupent un lycée. (MàJ : pas d’expulsion envisagée par la Mairie )

    http://www.fdesouche.com/632507-paris-une-centaine-de-clandestins-occupent-le-local-de-ni-putes-ni-soumises

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  • Calais (62) : Des familles d’immigrés clandestins avec des enfants font leur apparition

     

                                                    

     

    Le phénomène semble s’amplifier. De plus en plus de mineurs font leur apparition à Calais parmi les migrants qui tentent de traverser la Manche. Il y a des adolescents livrés à eux-mêmes mais aussi des enfants en bas âge accompagnés de leur famille. La présence d’enfants montre une évolution dans le profil des migrants qui […]

     
  • Un virage qui se dessine sur l’immigration

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    Source : Nouvelles de France
    Une intéressante tribune de Jean-Gilles Malliarakis dans Nouvelles de France, montre les fissures de plus en plus importantes dans le mur du silence qui entoure le problème de l’immigration.

    Deux pages d’accueil successives sur le site internet du Figaro me donnent à penser que certains blocages sont en train de sauter.
    Le samedi 1er août, c’était : « L’immigration, principale préoccupation des Européens », avec à la clef une étude par sondage réalisée ce printemps pour le compte de la Commission européenne.
    Ce lundi 3 août au matin c’est : « Migrants : la Mairie de Paris se retrouve sous pression. »

    L’affaire de Calais, loin de Paris, loin des plages vacancières, loin de campagnes aujourd’hui encore ensoleillées, loin de Neuilly aussi, plus loin encore des palais nationaux, a longtemps semblé une affaire, désagréable certes, mais que nos technocrates et nos gendarmes allaient régler pendant que nous fermons les yeux.
    À Lampedusa, à Mytilène, aux confins de l’Espagne et du Maroc ? Que l’Europe du Sud se débrouille, nous ne voulons pas le savoir.

    D’excellents esprits viennent aussi nous assurer que, grâce aux immigrés devenus sémantiquement des « migrants », – avez-vous remarqué l’invasion des éléments de langage ? – nos retraites par répartition allaient être sauvées. Pure illusion, grossier mensonge.

    Et puis, aujourd’hui même à Paris, on découvre qu’un lycée désaffecté du 19e arrondissement a été envahi malencontreusement par des « chances pour l’Europe ». Ses occupants illégaux viennent compliquer l’existence tranquillement dépensière d’un des centres de pouvoir les plus infectés d’idéologie bien-pensante et socialo-communiste : l’équipe municipale Hidalgo. La voici obligée de protester par des mots absurdes : « Ce n’est pas en envahissant un équipement public qu’on trouve de l’hébergement », explique-t-on, si j’en crois Le Figaro au cabinet du maire. Accessoirement les mêmes bureaucrates ne nous expliquent pas comment « on » obtient gain de cause.


    On nous dit que « la Mairie de Paris refuse également de céder au “chantage inadmissible” des migrants du lycée Jean-Quarré, qui réclament l’aménagement d’un gymnase pour s’y installer. »
    « On réfléchit au fait de faire intervenir les forces de police » – réfléchissez, réfléchissez —, mais la situation est claire :

    le dialogue est pour le moment rompu. Une réunion de crise devrait se tenir ce lundi matin à la Mairie de Paris pour trouver une solution.

    Bien sûr, dira-t-on, c’est la version du Figaro, pas trop favorable à l’insupportable Hidalgo.
    Nous sommes certes assaillis de désinformation à jet continu. Mais cela, nous le savons aussi, de plus en plus, avec plus ou moins de conscience de cette dommageable intensité.

    La fin des euroscepticismes plus ou moins fabriqués, plus ou moins manipulés, des deux côtés de la Manche, n’est sans doute pas pour demain.
    Au moins la purulence grandissante de ce dossier a-t-elle permis à un nombre non négligeable d’Européens d’ouvrir les yeux : on observe dans toute l’Europe le même verrouillage idéologique, dans les salles de rédaction, dans les sacristies régimistes, dans les réseaux de pouvoir.

    On aura eu beau forger, ou réinventer, le concept supposé excommunicateur de « populismes » – pouah ! –, un mot qui désignait autrefois les démocrates-chrétiens – dans des régimes démocratiques, même imparfaits, c’est toujours l’opinion qui porte au pouvoir telle ou telle force politique. C’est aussi l’opinion, bonne ou mauvaise conseillère, qui fait évoluer les partis du système, et, s’ils n’évoluent pas c’est enfin l’opinion qui fait gonfler les voiles, plus ou moins éphémères, de partis concurrents, même factices.
    Ce qui s’est passé en France depuis 30 ans a été freiné, manœuvré par la rivalité Chirac-Mitterrand, les deux joueurs ayant fait l’un comme l’autre bon marché de l’intérêt du pays, et de l’opinion profonde du peuple, pour ne s’intéresser qu’à leur petit billard politicien.

    Ce temps n’est plus. Le billard post-mitterrandien du disciple Hollande ne lui arrive pas à la cheville. Celui des post-chiraquiens n’intéresse plus qu’eux-mêmes et les petits marquis des médias.
    Il paraît donc temps, en France et dans toute l’Europe, que les citoyens reprennent les mandats usurpés par la classe politique et captés par les technocrates, redéfinissent ce qu’ils attendent des institutions européennes, et construisent à nouveau, enfin, l’Histoire du continent.