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06 Août 2015, 09h55 | MAJ : 06 Août 2015, 12h59
Elle s'appelait Eva et son corps sans vie a été retrouvé lundi, enfermé dans une malle dans son appartement à Toulouse. Depuis l'enquête avance très rapidement.
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Hier, un homme s'est spontanément présenté dans les locaux de la police judiciaire de la ville rose.
Le jeune homme a précisé qu'il avait des éléments à communiquer sur la mort de la jeune femme de 23 ans. Son audition aurait permis de confirmer sa présence sur les lieux du crime. Il aurait également expliqué que cette affaire était liée au trafic de drogue.
Deux personnes «très directement soupçonnées»
Suite à ces révélations, deux autres personnes, un garçon et une fille, ont été interpellées, a révélé la Dépêche du Midi. Actuellement, les trois suspects, âgés d'une vingtaine d'années, sont auditionnés par la police judiciaire. Une quatrième personne, un jeune homme, a aussi été placé ultérieurement en garde à vue, a ajouté jeudi une autre source proche du dossier.
Cité par le journal, le Service régional de police judiciaire (SRPJ) de Toulouse confirme que deux d'entre eux seraient très directement soupçonnés d'être impliqués dans le meurtre et la tentative de faire disparaître le corps de la jeune femme qui était la locataire de l'appartement.
Selon les premiers éléments de l'autopsie, Eva serait morte d'une fracture du crâne.Son corps a été replié puis glissé dans une malle d'1m sur 60cm. Détail scabreux : pour éviter que l'odeur du corps en décomposition n'alerte le voisinage et ne soit découvert, le ou les auteurs du crime ont pris soin de calfeutrer la pièce à l'aide de ruban adhésif. Des bombes aérosols désodorisantes et des insecticides ont été retrouvés près de la malle.
Deux bouteilles d'acide chlorhydrique ont également été saisies, les policiers pensent qu'elles auraient pu servir à accélérer la décomposition du cadavre.
LE PARISIEN
Le site de la chaîne francophone israélienne i24news signale ces propos particulièrement détestables du rabbin Gentzi Gopstein. Les dénégations de l’intéressé sont vraiment pitoyables. Au moins, les jeunes Juifs inculpés dans l’affaire de l’incendie criminel de l’église de la Multiplication des Pains et des Poissons de Tabgha (Galilée), sont plus francs du collier…
Le rabbin israélien Gentzi Gopstein, une figure extrémiste du courant radical Lehava, a déclaré mardi denier [4 août] qu’il soutient les incendies d’églises lors d’un débat sur l’idolâtrie. L’organisation Lehava d’extrême-droite se bat contre l’assimilation et contre le prosélytisme. Selon une loi du Deutéronome, cinquième livre de la Bible hébraïque, il faut détruire l’idolâtrie existant sur la terre d’Israël. Cette loi était le sujet principal du débat organisé dans le Centre Wolfson d’études de religion juive à Jérusalem. Certaines autorités rabbiniques, dont l’érudit médiéval Maimonide, avaient à l’époque jugé qu’en raison de divers aspects de la pratique et la théologie chrétienne, le christianisme est une idolâtrie. Dans un enregistrement obtenu par le site israélien Kikar Hashabbat, le rabbin Gopstein répond positivement à la question de savoir s’il est pour ou contre l’incendie des églises. « Bien sûr [que je suis pour]… Maimonide a-t-il demandé de les détruire, oui ou non? L’idôlatrie doit être détruite. » Après la publication de cet enregistrement, Gopstein a publié un communiqué affirmant que ces déclarations ont été faites uniquement dans le cadre théorétique de la loi juive. « Ces allocutions ont été faites lors d’un débat sur les opinions de Maimonide sur la chrétienté. Au cours de ce débats, j’ai expliqué que selon Maimonide, l’idolâtrie doit être détruite”, peut-on lire dans ce communiqué. J’ai souligné à plusieurs fois que je n’appelais en aucun cas à entreprendre des actions mais que du point de vue de Maimonide, il incombe au gouvernement de mener ces actions et non pas aux individus. »
Source : i24news (6 août)
OBSERVATOIRE DE LA CHRISTIANOPHOBIE
Il y a 70 ans, Harry Truman donnait l’ordre de bombarder le Japon avec l’arme nucléaire ; probablement la décision la plus lourde de conséquences, prise par un seul homme, dans toute l’histoire de l’humanité. À l’approche de cette date anniversaire, l’institut de sondage YouGov a posé aux citoyens américains la question suivante : « Les États-Unis ont-ils eu raison ou tort de lancer deux bombes nucléaires sur le Japon ? » À 46 %, ils ont répondu « oui », à 29 % « non ». À l’heure où des milliers de leurs concitoyens s’émeuvent de la mort (ignoble) d’un lion au fin fond du Zimbabwe, le résultat de ce sondage semble incompréhensible. L’explication est sans doute à chercher dans la propagande officielle relayée par Washington dès le lendemain des bombardements, à savoir un mal nécessaire pour écourter la guerre et s’épargner un nombre encore beaucoup plus important de vies humaines. Ce qui est choquant, c’est qu’après tant d’années, le peuple américain puisse croire encore à cette fable. Peut-être est-ce parce que le crime est trop abominable pour être regardé en face ?
La vérité, qu’il n’est plus possible de contester – tant sont nombreux les documents de toutes origines, aujourd’hui déclassifiés -, est la suivante. Deux jours après la première bombe sur Hiroshima, le Premier ministre Kantarō Suzuki s’adressa aux membres de son cabinet pour leur dire : « Dans les circonstances présentes, il ne nous reste plus qu’à demander une capitulation sans conditions. » Le script de la réunion fut rendu public immédiatement mais cela n’empêcha pas, le lendemain, le largage d’une deuxième bombe. Le Japon « était incapable de soutenir une invasion au-delà du mois d’octobre et l’état-major américain le savait », rapporte Paul H. Nitze, sous-secrétaire d’État à la Défense, dans son livre From Hiroshima to Glasnost (p. 44-45). Il s’était « résigné à une reddition sans conditions bien avant août », insiste Ralph A. Bard, sous-secrétaire d’État à la Marine, (US News & World Report, 15 août 1960). Le Japon « était prêt à capituler, il était totalement inutile de le frapper avec cette chose monstrueuse », avoue le général Eisenhower interrogé par Newsweek, en novembre 1963.
Pour expliquer l’injustifiable, l’historiographie sur cet événement retient deux thèses. La première est résumée par le secrétaire d’État à la Défense, Henry L. Stimson, en ces termes : « Au département d’État, l’idée d’utiliser la bombe atomique comme une arme diplomatique (à l’adresse des Soviétiques) l’avait emporté. » Une thèse à propos de laquelle Paul H. Nitze (déjà cité) a eu cette phrase assassine : « Pour impressionner les Russes, il aurait été hautement symbolique de larguer les bombes sur une de ces îles désertes du nord de l’archipel (nippon) que Staline comptait récupérer après la guerre. » La seconde nous est livrée par le général de brigade Carter W. Clarke, à l’époque responsable du contre-espionnage : « C’était inutile et nous savions que c’était inutile, nous voulions utiliser des Japonais comme cobayes dans une expérimentation en grandeur nature », écrit-il dans The Decision to Use the Atomic Bomb (p. 359). Sans commentaires.
Il y a quelques jours, sur Boulevard Voltaire, Philippe Bilger qualifiait d’exemplaire la condamnation d’Oskar Gröning à quatre années de prison. Paul Tibbets, qui commandait l’Enola Gay duquel fut larguée la première bombe sur Hiroshima, lui, est mort en 2007 paisiblement, son uniforme bardé de décorations. Le premier s’était repenti, le second avait déclaré il y a quelques années : « Si c’était à refaire, je le referais. »
Fin 2013, le concept islamique de la kafala était introduit au chapitre de l’adoption sous le vocable « Recueil légal ». Pour faciliter son application dans la seule communauté musulmane, Christiane Taubira l’entérine fin octobre 2014 avec effet immédiat. La kafala figure, d’ailleurs, en bonne place en Algérie et au Maroc. Non seulement notre laïcité vole en éclats, mais ce qui pourrait paraître sympathique à première vue occidentalisée se révèle, dans la pratique, source d’abus et de souffrance pour les enfants dans les milieux radicaux.
« Il (Allah) n’a point fait de vos enfants adoptifs vos propres enfants » (Coran, 33 : 4). L’islam interdit l’adoption depuis que Mahomet épousa Zaynab, femme de son fils adoptif Zayd. Après s’être arrangé avec Allah pour justifier cet accouplement jugé incestueux, Mahomet mettait définitivement fin à la généreuse tradition bédouine d’adoption d’orphelins ou abandonnés ayant les mêmes droits que leurs frères et sœurs biologiques. En revanche, la kafala est « permise, voire recommandée », prescrit la fatwa du cheik Muhammad ibn Ibrahim. « Car il s’agit de bien traiter l’enfant, de lui assurer une bonne éducation religieuse, une orientation saine, et un enseignement utile ici-bas et dans l’au-delà. Cependant, l’on ne doit confier un enfant qu’à une personne connue pour son intégrité, sa piété, sa bonne conduite, son aptitude à sauvegarder les intérêts de l’enfant et son appartenance au pays d’origine de l’enfant. Ceci vise à empêcher qu’il l’emmène à un pays où son séjour risque à l’avenir de compromettre sa foi. »
Depuis des années, Maître Leila Bachir-Cherif, juriste française, dénonce les abus de cette pratique islamique, relevant au passage que le mot arabe « kafala », habituellement utilisé dans le jargon bancaire, immobilier ou commercial, signifie « caution » ou « garantie ». Maître Bachir insiste sur le danger pour les enfants qui y sont soumis dans les pays islamistes, particulièrement pour les petites filles. Outre le fait que la kafala est une disposition provisoire permettant la répudiation de l’enfant à tout moment et sans motif, si le recueillant-garant décède, l’enfant sera arraché à la veuve pour être légué, tel un vulgaire objet, aux héritiers du défunt. Contrairement aux filles biologiques d’une famille pratiquante, la fillette en kafala doit porter le voile en présence de tous les membres de sexe opposé, y compris ceux de la famille qui l’a recueillie. La femme n’étant jamais « majeure » en terre islamisée, la fille reste sous la coupe de son « garant » tant qu’elle n’est pas mariée, à perpétuité si elle ne convole pas. Bien plus grave, la kafala autorise le mariage de l’enfant (dès l’âge de 9 ans – majorité en islam) avec un membre de la famille qui l’a recueilli, y compris les enfants biologiques du couple recueillant. C‘est contraire à l’art. 366 de notre Code civil : « Le mariage est prohibé entre l’adoptant, l’adopté et ses descendants […] ; entre les enfants adoptifs du même individu… »
Nos lois, justement : afin d’accorder l’exequatur (force exécutoire à un jugement rendu à l’étranger) le juge français va « vérifier » si le tribunal islamique était « compétent ». Autant dire que si ce magistrat est lui-même musulman, ou simplement sous influence, c’est la charia qui pénètre notre Code civil. De plus, en cas de fatwa modifiant la loi islamique, il n’est pas exclu que des autorités musulmanes étrangères puissent intervenir pour en adapter le contenu !
Madame Taubira, si moi, Française catholique (ou juive ou athée), je veux accueillir un petit musulman du Maghreb en vue d’une adoption ? Je croyais notre République encore « laïque », mais voilà que la chancellerie pond onze pages discriminatoires au service de la seule communauté musulmane ! Le constat est sans appel : nous assistons, impuissants, à l’abandon progressif de notre souveraineté nationale au profit de l’islamisme.
48 organisations musulmanes demandent le retrait de la "décision illégale" sur l'abattage sans étourdissement. De son côté, M. Weyts (N-VA) a indiqué ne pas vouloir se laisser impressionner et s'en tient à sa décision, "menaces ou pas."
Dans une plainte officielle communiquée mercredi au ministre flamand du Bien-être animal, Ben Weyts (N-VA), 48 organisations musulmanes demandent à celui-ci de retirer d'ici le 1er septembre sa "décision illégale" sur l'abattage sans étourdissement, rapportent les quotidiens Het Nieuwsblad et De Standaard jeudi. Si M. Weyts ne s'exécute pas, "tous les dommages" devront être endossés par le ministre, avertissent les organisations. De son côté, M. Weyts a indiqué ne pas vouloir se laisser impressionner et s'en tient à sa décision, "menaces ou pas."
Que la communauté musulmane s'oppose à l'interdiction de l'abattage sans étourdissement n'est pas neuf. Elle avance des raisons religieuses pour justifier cette position, selon le communiqué. Les musulmans qui se plient à l'abattage avec étourdissement feraient partie d'une "tendance minoritaire". Les 48 organisations accusent M. Weyts de négligence, parce qu'il n'a pas pris de mesures pour augmenter les capacités des abattoirs agréés.
Dans ces établissements uniquement, l'abattage peut bien être réalisé sans étourdissement. En reconnaissant cette pratique comme une "tradition culturelle flamande," le ministre pourrait bénéficier d'une exception au règlement européen sur le bien-être animal, avance le groupe. Mais le ministre n'a pas l'intention de s'étendre sur les griefs de la communauté musulmane. "La Flandre doit prendre le bien-être animal au sérieux, d'autant plus lorsque la législation européenne en la matière est claire comme de l'eau de roche."
05 Août 2015, 19h59 | MAJ : 06 Août 2015, 00h26
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Une affaire «totalement réglée» a confirmé le Kremlin à l'issue d'un entretien téléphonique entre les deux présidents, d'autant que la France a déjà remboursé les avances payées pour ces navires, selon Moscou. Un préalable posé par le Kremlin pour l'éventuelle revente des deux bateaux de guerre.
Les deux hommes «se sont entretenus cet après-midi afin de confirmer que la France et la Russie sont parvenues à un accord pour mettre un terme au contrat signé en 2011 qui prévoyait la livraison de deux bâtiments de projection et de commandement (BPC) de type Mistral», selon le communiqué de l'Elysée.
La Russie «exclusivement remboursée des sommes avancées»
Dans un premier temps, les autorités russes jugeaient que la somme suggérée par la France était insuffisante. Paris proposait de rembourser 785 millions d'euros d'avances déjà perçues de Moscou, sur un contrat de 1,2 milliard d'euros. La Russie chiffrait le préjudice subi à près de 1,163 milliard d'euros. Pour justifier cette différence, Moscou mettait en avant les sommes dépensées pour la formation des 400 marins qui devaient constituer l'équipage des Mistral, la construction d'infrastructures spéciales à Vladivostok (Extrême-Orient russe), où devait être basé le premier Mistral, et la fabrication de quatre hélicoptères de combat.
C'est finalement l'hypothèse avancée par Paris qui semble avoir été retenue, puisque le communiqué de l'Elysée précise que la Russie sera «exclusivement et intégralement remboursée des sommes avancées au titre du contrat». Par ailleurs, «les équipements russes qui ont été installés sur les bâtiments seront restitués», poursuit la présidence française. Selon l'agence Tass, des experts russes devraient être envoyés en France en septembre pour démanteler et récupérer les équipements de communication à bord des deux navires.
Les deux présidents «se sont félicités du climat de partenariat amical et ouvert qui a marqué les négociations» et «se sont accordés sur le fait que, désormais, ce dossier était clos», conclut le communiqué de l'Elysée.
Un casse-tête pour Hollande
Le contentieux entre la France et la Russie avait placé la présidence française dans une situation inconfortable, tiraillée entre les intérêts économiques en jeu et sa volonté de pousser la Russie à infléchir sa position dans la crise ukrainienne. A l'automne dernier, François Hollande n'avait pas cessé de reporter le moment où il devait trancher.
Paris avait vendu à Moscou en juin 2011 le « Vladivostok » et le «Sébastopol», des navires de guerre polyvalents qui peuvent transporter des hélicoptères, des chars ou des chalands de débarquement et accueillir un état-major embarqué ou un hôpital. Le contrat de leur vente avait été conclu sous la présidence de Nicolas Sarkozy et évalué à près de 1,2 milliard d'euros. «Le Vladivostok», devait être initialement remis à Moscou à la mi-novembre 2014, tandis que le second, «le Sébastopol», devait théoriquement être livré à la Russie à l'automne 2015.
Cet accord met fin à huit mois d'intenses négociations entre Paris et Moscou. Elles avaient commencé après la décision prise par Paris fin novembre de reporter «jusqu'à nouvel ordre» la livraison du Vladivostok, alors que les Occidentaux multipliaient les sanctions contre la Russie, qu'ils accusent de soutenir les séparatistes pro-russes dans l'est de l'Ukraine, ce que Moscou dément.
L'Elysée a depuis lié la livraison de ces bâtiments construits à Saint-Nazaire (Loire-Atlantique) à une amélioration de la situation en Ukraine. La perspective d'une vente s'éloignant, il a alors fallu régler la question financière du contrat et des indemnités à verser à la Russie.
Moscou avait assuré le 31 juillet qu'un accord a été conclu avec Paris après huit mois d'âpres négociations sur le dédommagement. Une annonce démentie par François Hollande.
LE PARISIEN
(merci à Dirk)
Nous vous épargnons les images terribles.
Lu chez reinformation.tv :
« Le Center for Medical Progress, organisme américain, vient de publier une nouvelle vidéo dans laquelle on peut voir un cinquième dirigeant du Planning familial évoquer la vente d’organes de fœtus avortés, et même en l’occurrence de fœtus avortés « intacts ». Le doute n’est plus permis : en quelques jours, cinq responsables de l’organisation américaine reconnaissent, ne sachant pas qu’ils sont filmés, que le Planning familial vend des organes de bébés avortés, à des fins de recherche médicale… Ces vidéos sont le fruit du travail du journaliste d’investigation David Daleiden et de ses collaborateurs qui se sont fait passer pendant deux ans et demi pour les membres d’une fausse société, Biomax Procurement Services, qui aurait cherché à s’installer sur le marché des intermédiaires entre la recherche médicale et les cliniques d’avortement.
Dans cette dernière vidéo, c’est la directrice de recherche d’une antenne locale du planning familial, Melissa Farrell, qui détaille les activités – parfaitement illégales – de son organisation. Dans la vidéo de cette caméra cachée, la jeune femme explique comment elle « diversifie » les revenus du Planning familial en vendant des organes de fœtus avortés, et détaille l’activité monstrueuse de son laboratoire alors qu’elle est tranquillement à table.
Mais la vidéo ne s’arrête pas là : la caméra entre dans un laboratoire dans lequel des personnes sont précisément en train de démembrer des bébés avortés pour garder les parties qui pourront être vendus et que le Planning familial appelle pudiquement « tissus ». La vidéo montre sans détour une main ou un pied, parfaitement formés. Pensant s’adresser à un acheteur potentiel, l’une des blouses blanches commente son « travail » : « C’était un jumeau » d’environ 20 semaines…
Il prouve ainsi que les personnes impliquées dans ce trafic savent exactement ce qu’elles font.
Dans la vidéo, Melissa Farrell explique également comment les médecins avorteurs peuvent modifier la procédure d’avortement – en la rendant totalement illégale – pour obtenir des fœtus « intacts ».
David Daleiden détaillait le processus sur CNN : « Lorsque vous parlez de fœtus totalement intacts dans le contexte d’obtention de tissus de fœtus, ce sont des situations dans lesquelles aucun fœticide, aucun produit chimique ne peut être utilisé pour tuer le fœtus à l’avance puisque ces produits empoisonneraient les organes et les tissus. Dans ce cas, il s’agit d’une première preuve de cas d’enfants qui naissent vivants. » Et qui sont donc vendus puisqu’ils sont tués à la naissance, alors qu’un contrat est déjà sur leur tête.
Il ressort des vidéos que le Planning familial tire profit de son activité morbide, ce qui est totalement illégal. La dernière vidéo laisse peu de doutes à ce sujet puisque Melissa Farrell reconnaît qu’elle « diversifie » les revenus du Planning familial.
Mais l’argent est une question secondaire. Ce que montrent clairement ces images, c’est que les « tissus » vendus sont des mains, des pieds… Ceux de « jumeaux », ou tout simplement d’un petit homme que l’âge seul différencie de tout autre homme.
Certains Républicains ont hurlé au scandale, reprenant à leur compte l’indignation populaire réelle qui a suivi la publication de ces vidéos. Mais lundi, les sénateurs républicains ne sont pas parvenus à faire voter le projet de loi qui prévoyait de couper les fonds fédéraux attribués au Planning familial. 53 sénateurs seulement ont voté pour ce projet de loi, alors que le minimum requis pour l’adoption est de 60. La prochaine étape de la bataille sera donc à l’automne prochain, lors du vote du budget du gouvernement.
Et quand bien même les sénateurs auraient été plus de 60 à voter la fin du financement du Planning familial, Barack Obama avait promis un veto présidentiel, montrant une fois de plus son mépris du processus démocratique. Le président américain a affirmé qu’il ne laisserait personne remettre en cause le financement d’une organisation qui offre de « précieux services ».
Les « précieux services », ce sont 300.000 avortements par an, et le trafic de fœtus intacts ou démembrés. Que peut bien valoir la vie d’un innocent pour l’idéologie « progressiste » ? Rien.
Béatrice Romée »
(Photo EB - 4 août 2015)
On les appelle les Pénitents des Mées en raison de leur silhouette ; d'après la légende, ils représentent les moines de la Montagne de Lure qui ont été pétrifiés (au sens propre) par saint Donat au temps des invasions sarrasines pour s'être épris de belles jeunes femmes mauresques qu'un seigneur avait ramenées d'une croisade. (Wikipédia)
Addendum : Des djihadistes germanophones menacent l’Allemagne.
Dans une vidéo publiée mercredi, des djihadistes s’adressent en allemand à leurs «frères et sœurs» pour les encourager à les rejoindre.
Deux combattants djihadistes germanophones revendiquant leur appartenance au groupe djihadiste Etat islamique (EI) en Syrie ont menacé l’Allemagne d’attaques dans une vidéo diffusée mercredi 5 août.
Les deux hommes s’adressent, chose peu fréquente, en allemand à leurs «frères et soeurs» pour les encourager à soit rejoindre le territoire contrôlé par EI, soit à commettre des attentats solitaires en Allemagne et en Autriche en attaquant les «mécréants dans leurs propres maisons». (…)
Merci à JoeleRassis
Un djihadiste présumé membre de l’organisation Etat islamique a été arrêté mardi près de Stuttgart par la police allemande, après avoir échappé à un coup de filet en Espagne en juillet, ont annoncé mercredi les autorités espagnoles et allemandes. En cette hausse saison touristique, l’Espagne craint des attentats.
Ce Marocain de 21 ans résident en Espagne était « très actif sur les réseaux sociaux, jouant un rôle de recruteur en vantant les avantages de se joindre à l’armée des combattants » de l’organisation djihadiste, a indiqué mercredi le ministère de l’Intérieur espagnol dans un communiqué.
Il se faisait passer pour un réfugié
Le jeune homme a été arrêté dans un foyer de demandeurs d’asile de Ludwigsburg, une ville proche de Stuttgart (sud-ouest), où il se faisait passer pour un réfugié, sous une fausse identité, selon un communiqué conjoint du Procureur général de Stuttgart et de la police du Bade-Wurtemberg. Début juillet il avait manifesté l’intention d’aller combattre en Syrie avec l’Etat islamique, invitant ceux qui le suivent sur les réseaux sociaux à se joindre à lui.
Le djihadiste faisait l’objet d’un mandat d’arrêt européen émis par la justice espagnole. Il devait être présenté mercredi à un juge allemand. (…)
Merci à Alpine