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  • A Dieu Emmanuel Ratier

     

    Le journaliste d’investigation Emmanuel Ratier est retourné à Dieu mercredi 19 août dans sa 58e année. Archiviste d’exception, il publiait deux fois par mois une lettre confidentielle intitulée Faits & Documents, dont les auteurs du livre-enquête Les Frères invisibles, Ghislaine Ottenheimer et Renaud Lecadre, estiment qu’elle « fourmille d’informations sur la vie et les petits secrets des obédiences, mais aussi des organisations juives ». Emmanuel Ratier animait une fois par mois un « libre-journal » sur Radio Courtoisie. Depuis 2005, il possédait une librairie, l’une des dernières de droite nationale à Paris, la librairie Facta sise 4 rue de Clichy dans le 9e arrondissement de Paris.

    Diplômé du CFJ et passé par l’IEP de Paris, Emmanuel Ratier est l’auteur d’une magistrale Encyclopédie politique française, de très utiles Encyclopédie des pseudonymes et Encyclopédie des changements de noms (certaines élites éprouvent en effet le besoin de changer de nom pour qu’il fleure davantage le terroir…). Il a aussi publié Les Guerriers d’Israël, un ouvrage consacré au Betar, dans lequel il expose les liens ayant existé entre l’organisation et les autorités nazies et fascistes, le Betar ayant été la seule organisation juive autorisée jusqu’en 1938 en Allemagne, et jusqu’en 1941 en Italie. C’est en 2011, lors de la sortie de la 2e édition de son livre consacré au Siècle, Au cœur du pouvoir : enquête sur le club le plus puissant de France, qu’Emmanuel Ratier se fait connaître au-delà des cercles nationaux et nationalistes. Celui qui prend soin de ne pas se laisser photographier et filmer profite à plein des possibilités de buzzes d’Internet, noue des partenariats avec des sites de réinformation comme Novopress, et son amitié avec Alain Soral permet à ses travaux de voir leur diffusion exploser, son plus gros succès étant Le Vrai Visage de Manuel Valls (2014) qui en révèle de belles sur notre Premier ministre. A l’annonce de sa disparition ce mercredi, au moins deux fils de discussion ont été ouverts sur le forum généraliste JeuxVideo.com (ici et ), comme un symbole de la propagation de son travail dont nul ne peut contester la rigueur.

    Emmanuel Ratier n’était pas complotiste, il se laissait guider par la recherche de la vérité. « Je ne me considère pas du tout comme complotiste, c’est-à-dire que, d’après les informations dont je dispose […], je n’ai jamais trouvé aucun document récent, ou jamais eu d’entretien avec des personnalités haut placées, qui me permettraient de démontrer qu’il y ait une espèce d’organisation pyramidale, qui serait dirigée par un marionnettiste puissant qui aurait fait du monde un théâtre où il manipulerait les gens à sa guise. Je pense plutôt qu’il y a un système de cercles concentriques, avec des satellites autour, qui regroupent des gens puissants ou qui cherchent à avoir plus de pouvoir. Et bien sûr, et ça peut paraître une évidence, des groupes de pression et des lobbys », expliquait-il au Choc du Mois en septembre 2006.

    NDF

  • Grèce : Tsipras démissionne et annonce des élections anticipées

     E.W et M-L.W. | 20 Août 2015, 18h37 | MAJ : 20 Août 2015, 21h32

     
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    Le Premier ministre grec Alexis Tsipras a annoncé en direct à la télévision publique jeudi soir sa démission. Il serait favorable à des élections anticipées le 20 septembre. Le Premier ministre grec Alexis Tsipras a annoncé en direct à la télévision publique jeudi soir sa démission. Il serait favorable à des élections anticipées le 20 septembre.
    (CAPTURE D'ECRAN/ERT1.)

    Faute de majorité parlementaire, le Premier ministre grec Alexis Tsipras, issu du parti de gauche radicale Syriza, a annoncé en direct à la télévision jeudi soir sa démission et des élections législatives anticipées.

     

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    Elles pourraient avoir lieu le 20 septembre et raffermir sa base. Il n'a en tout cas pas perdu de temps. L'annonce intervient juste après le versement de 23 milliards d'euros dans le cadre du troisième plan d'aide à la Grèce.

    «Dans peu de temps je vais me rendre chez le président de la République (Prokopis Pavlopoulos, Ndlr) et présenter ma démission et la démission de mon gouvernement», a-t-il déclaré, ajoutant qu'il voulait «soumettre au peuple grec tout ce que j'ai fait (depuis son arrivée au pouvoir le 25 janvier, Ndlr), afin qu'il décide de nouveau».  «C'est vous qui allez juger par votre vote si nous avons bien mené la bataille, à l'intérieur comme à l'extérieur de notre pays». «La résistance de notre peuple peut donner l'exemple à d'autres peuples européens», a-t-il encore lancé alors que «nous continuerons à combattre pour atteindre ceux qui n'ont jamais payé leur part».  «Je vous laisse juger, en ayant la conscience tranquille pour avoir résisté aux pressions et aux chantages. L'Europe n'est pas la même après ce semestre difficile», a ajouté le Premier ministre.

    La tenue d'élections anticipées avait déjà été évoquée après les défections de plus de 30 députés de Syriza qui avaient voté, les 15 et 22 juillet, contre les premières réformes demandées par les créanciers de la Grèce.  La tendance, depuis, n'a fait que se confirmer. Le 14 août,  32 députés de ce  parti ont voté contre le troisième plan d'aide, onze s'étaient abstenus. Alexis Tsipras, dont le nombre de soutiens (en comptant ceux de son allié ANEL) est ainsi tombé à 119 sur 300 députés, ne pouvait pas rester dans cette situation.

    Un «pas décisif pour la normalisation de notre économie»

    Porté au pouvoir fin janvier avec une majorité de 36% des voix en s'engageant auprès de son électorat à mettre fin aux politiques de rigueur, imposées à la Grèce depuis le début de la crise en 2010 en échange de deux prêts successifs d'environ 240 milliards d'euros, Alexis Tsipras, 41 ans, a finalement cédé à la pression des créanciers, l'Union européenne (UE) et le Fonds monétaire international (FMI).

    «Je n'ai pas eu l'accord que j'espérais, mais cet accord est le meilleur que nous aurions pu signer», a-t-il avancé devant les caméras. «Nos créanciers auraient pu imposer leur volonté et nous mener au désastre», dit-il encore, estimant qu'ainsi «nous pourrons faire face à nos obligations en Grèce et à l'étranger». Il s'agit-là d'un «pas décisif pour la normalisation de notre économie, qui gardera notre société déterminée, calme, et debout».

    Par ailleurs, Alexis Tsipras souhaite l'implication d'un cinquième membre dans le groupe des créanciers : le Parlement européen, «seule institution européenne investie d'un mandat populaire direct». Il l'a redit jeudi soir à la télévision après avoir envoyé une lettre au président du Parlement de Strasbourg Martin Schulz. Une demande bien accueillie.

    Syriza se divise

    Le Premier minitre a critiqué les députés  Syriza qui s'étaient opposés à l'accord passé avec les créanciers sur le troisième prêt au pays, accompagné d'un nouveau train de mesures d'austérité.


    L'éclatement de Syriza a cessé d'être un tabou. Juste avant le vote du 14 août au Parlement, l'ancien ministre de l'Energie, Panagiotis Lafazanis avait appelé par déclaration écrite signée par d'autres membres de Syriza, à la «constitution d'un large mouvement panhellénique (...) de lutte contre le nouveau memorandum, l'austérité et la mise sous tutelle du pays».

    «La décision de Panagiotis Lafazanis d'annoncer aujourd'hui  (14 août, Ndlr) l'esquisse d'une nouvelle entité politique, concrétise sa décision très prévisible d'écarter son chemin de celui du gouvernement et de Syriza, avant même le congrès extraordinaire du parti» prévu en septembre, note t-on dans le camp gouvernemental.

    Les cinquièmes législatives depuis octobre 2009

    Les élections envisagées pour le  20 septembre seraient les cinquièmes élections législatives organisées en Grèce depuis octobre 2009. Dans la foulée de l'annonce de la proposition d'Alexis Tsipras sur ce nouveau scrutin, Martin Selmayr, chef de cabinet du président de la Commission européenne Jean-Claude Juncker a indiqué que des élections anticipées en Grèce, «pourraient conduire à un soutien élargi au programme du MES (mécanisme européen de stabilité), qu'Alexis Tsipras a récemment signé»».

    LE PARISIEN

  • Après son exclusion, que peut faire Jean-Marie Le Pen ?

    http://www.lefigaro.fr/politique/le-scan/decryptages/2015/08/20/25003-20150820ARTFIG00301-jean-marie-le-pen-exclu-du-fn-et-maintenant.php

  • Les origines et la fondation du Front National

    https://fr.wikipedia.org/wiki/Front_national_(parti_fran%C3%A7ais)#Le_r.C3.B4le_fondateur_d.27Ordre_nouveau

    A lire absolument !

  • Jean-Marie Le Pen est exclu du Front national

     

     
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    Après plus de trois heures de débat, ce jeudi, au siège du Front national à Nanterre, le bureau exécutif a pris la décision, "à la majorité requise", d’exclure Jean-Marie Le Pen comme membre du parti qu’il avait fondé. La direction lui reproche d’avoir multiplié les provocations depuis le début de la crise avec sa fille Marine Le Pen et d'avoir ainsi fragilisé la ligne et la stratégie du parti.

  • Agression à la maternité de Bordeaux : il refuse que sa femme soit examinée par un homme

     

    Publié le 19/08/2015 à 19h53 , modifié le 19/08/2015 à 19h56 par

    Un aide soignant a été frappé par le mari d'une femme enceinte voilée qui refusait qu'elle soit examinée par un homme

     

    Un aide-soignant de 34 ans a été frappé de deux coups de poings au visage par le mari d'une patiente. Les faits se sont déroulés le dimanche 9 août dernier, aux urgences de la maternité de l'hôpital Pellegrin de Bordeaux. L'homme et la femme, qui portait un voile sur les cheveux, sont arrivés vers 20 heures. Enceinte, la femme connaissait un problème et souhaitait être examinée. Mais pour des raisons religieuses, l'homme s'est opposé à ce qu'elle soit prise en charge par un soignant masculin.

     

     

    Alors qu'il était auprès d'une autre patiente dans une chambre, l'aide-soignant a entendu une voix masculine qui vociférait à l'accueil. Il est sorti et a vu une de ses collègues aux prises avec le mari de la femme enceinte. L'aide-soignant s'est approché pour tenter de calmer l'homme qui s'est alors tourné vers lui, menaçant.

    L'aide soignant l'a repoussé et a reçu en retour les deux coups de poings.  Il a déposé plainte et s'est vu reconnaître une interruption totale de trois jours par le centre d'aide en urgence aux victimes d'infraction de l'Institut médicolégal de Bordeaux.

    La plainte, pour violence, déposée au commissariat de Bordeaux, a été transmise à la brigade de gendarmerie de Libourne, lieu de résidence du couple.

    SUD-OUEST

  • Mort du dernier véritable journaliste Emmanuel RATIER

    http://quenelplus.com/a-la-une/mort-du-dernier-veritable-journaliste-emmanuel-ratier.html/comment-page-1#comment-243691

    Lire aussi les commentaires

  • Migrants de Calais: La guerre est déclarée aux réseaux de passeurs

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    Le Vif

    20/08/15 à 13:37 - Mise à jour à 13:58

    Source : Belga

    La France et la Grande-Bretagne ont affiché jeudi leur détermination commune à lutter contre les réseaux de passeurs qui aident les migrants et réfugiés à traverser la Manche, alors que l'Union européenne tout entière est confrontée à la plus grave crise migratoire depuis la Seconde guerre mondiale.

     

    Les ministres français et britannique de l'Intérieur, Bernard Cazeneuve et Theresa May, se sont retrouvés à Calais, dans le nord de la France, où convergent des milliers de réfugiés de toutes nationalités espérant achever leur périple européen en Angleterre, pour signer un accord renforçant leur coopération. L'accord prévoit notamment la création d'un "centre de commandement et de contrôle commun" de lutte contre les passeurs.

    "Il faut qu'un signal très fort soit envoyé ici à Calais qu'on ne peut pas passer la frontière que nous gérons en commun", a déclaré Bernard Cazeneuve, qui a visité avec son homologue britannique le site d'Eurotunnel, objet toutes les nuits de tentatives d'intrusion de migrants et réfugiés tentant le tout pour le tout. Si Calais "ne concentre qu'une petite part des flux migratoires qui arrivent en Europe, une action ferme et coordonnée de nos deux pays est cependant rendue nécessaire par la présence de milliers de personnes souhaitant gagner le Royaume-Uni, souvent au péril de leur vie", indique l'accord.

    De neuf à douze personnes, selon les sources, ont trouvé la mort ces dernières semaines dans la région de Calais en tentant de grimper dans des camions ou des trains-navettes empruntant le tunnel. Dans le même temps, plusieurs centaines de migrants se sont noyés en Méditerranée en tentant de gagner les côtes italiennes ou grecques. Selon l'agence européenne Frontex, chargée d'organiser la coopération des pays membres, 107.500 migrants et réfugiés sont arrivés aux frontières extérieures de l'UE, dont 21.000 sur les îles grecques rien que la semaine dernière.

    La Fédération internationale des sociétés de la Croix-rouge et du Croissant-rouge (IFRC) a déploré jeudi "l'indifférence générale" devant cette crise humanitaire et exhorté la communauté internationale à se "réveiller".

    Paris et Londres appellent une nouvelle fois l'Union européenne à traiter la question migratoire de façon "structurelle et globale", en distinguant les personnes "qui fuient la guerre ou sont victimes de persécutions" et "l'immigration économique irrégulière qui est sans issue en Europe".

    Désengorger Calais

    Si les deux situations se retrouvent à Calais, l'accord signé jeudi accorde la plus large place à la dissuasion et à la répression de l'immigration illégale. Le site d'Eurotunnel sera sécurisé, avec la création d'une "salle de contrôle intégrée" et des équipes de fouille opérant 24 heures sur 24 pour empêcher toute intrusion.

    Concernant la lutte contre les réseaux de passeurs, le "centre de commandement et de contrôle commun", basé à Calais, "aura pour tâche principale de collecter le renseignement et de coordonner les opérations menées sur le terrain pour lutter contre les activités criminelles de part et d'autre de la Manche", indique le texte de l'accord.

    Sur le plan humanitaire, l'accord prévoit d'"intensifier l'observation" des migrants pour "identifier les plus vulnérables et les victimes potentielles de la traite", notamment les femmes et les enfants, afin de les loger et prendre en charge à l'abri de "ceux qui cherchent à les exploiter". Les retours volontaires vers les pays d'origine seront favorisés, avec la mise en place de campagnes d'information et de programmes d'aide au retour. Quant aux demandeurs d'asile (dont un millier ont déjà été pris en charge et ont quitté Calais selon le texte), les capacités de traitement des dossiers seront augmentés. "Le gouvernement britannique apportera une aide (...) pour la mise en place d'hébergements dédiés, situés à une distance significative de Calais", l'objectif étant de désengorger la région où les conditions de vie des migrants sont précaires et les passeurs omniprésents. La Grande-Bretagne contribuera pour 10 millions d'euros sur deux ans à ces diverses mesures dont la mise en oeuvre reposera pour une grande part sur la France. Après la signature de l'accord, le ministre français devait se rendre à Berlin pour y rencontrer son homologue allemand Thomas de Maizière, qui a annoncé mercredi que son pays attendait cette année "jusqu'à 800.000 demandeurs d'asile", un record absolu pour ce pays de 81 millions d'habitants.

  • Impôts : Hollande promet de nouvelles baisses «si la croissance s'amplifie»

     

    19 Août 2015, 20h33 | MAJ : 19 Août 2015, 21h10

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    François Hollande a promis de nouvelles baisses d'impôts aux Français «si la croissance s'amplifie en 2016», dans une interview aux quotidiens régionaux du groupe Ebra à paraître ce jeudi («Le Progrès», «L'Est républicain», «Le Dauphiné libéré».

     
     

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    ..). Si tel est le cas, «nous poursuivrons ce mouvement (de baisse de la fiscalité) car les Français doivent être les premiers bénéficiaires des résultats obtenus», a déclaré le chef de l'Etat à la veille d'une visite en Isère et en Savoie.

    Ces baisses d'impôts pourraient ainsi intervenir aux abords de l'élection présidentielle de 2017, susceptible de voir François Hollande se représenter. «Je mesure les efforts qui ont été demandés aux Français en 2012 et 2013», souligne-t-il encore, rappelant qu'«une première baisse de la fiscalité en 2014 (...) avait concerné plus de trois millions de ménages» et qu'une deuxième «plus importante» avait bénéficié à «neuf millions de foyers fiscaux» cette année.

    Pas de taxe ou d'impôt de plus pour la transition énergétique

    Interrogé sur l'éventualité d'une nouvelle écotaxe, d'une surtaxe diesel ou de hausse des taxes sur l'électricité pour financer la transition énergétique, François Hollande l'assure : «Il n'est pas question de créer un impôt ou une taxe supplémentaire». «La transition énergétique ne doit pas être un prétexte pour augmenter les prélèvements», poursuit-il, insistant : «Je m'y refuse».

    Pour le président Hollande, «il n'est pas question non plus que des contribuables payent pour les gaspillages et les pollutions qui ne sont pas de leur fait». «Nous avons créé la contribution carbone qui s'applique à toutes les énergies fossiles (gaz, essence et charbon)» afin «de répartir la charge par rapport aux choix de consommation de chacun», rappelle-t-il cependant.

    «Les principes du pacte de responsabilité préservés»

    Le président de la République réaffirme par ailleurs que les 41 milliards d'euros de baisses de charges prévus par son pacte de responsabilité en faveur des entreprises seront maintenus, repoussant ainsi une revendication des frondeurs du PS qui souhaitent qu'une partie de ces allègements aille aux ménages.

    «C'est la condition pour permettre aux entreprises d'investir et d'embaucher», fait-il valoir. Pour autant, des éléments pourront évoluer à l'intérieur de cette enveloppe. «Cela sera discuté avec les partenaires sociaux», indique-t-il. François Hollande plaide à ce propos en faveur de «la stabilité dans les politiques conduites pour que les entreprises et les ménages aient confiance». «Par conséquent, les principes du pacte de responsabilité seront préservés», martèle-t-il.

    Au sujet des dotations de l'Etat aux collectivités locales, «nous devons (...) accentuer la péréquation (...) c'est-à-dire la solidarité», ajoute-t-il par ailleurs. Il s'agit aussi, selon lui, de «soutenir l'investissement public parce que c'est de l'emploi dans le BTP» en «modulant les dotations en fonction des investissements engagés».

    LE PARISIEN

    NdB: Comment une croissance nulle peut-elle "s'amplifier" ?

  • Calais : En raison des clandestins, la maire exige 50 millions de compensations économiques et menace de déposer plainte

     

    19h28

    Le ministre de l’Intérieur, Bernard Cazeneuve, rencontrera son homologue britannique Theresa May à Calais jeudi pour signer un accord de coopération, afin d’apporter une solution à la crise des migrants qui s’est aggravée ces dernières semaines.

     

    La maire de Calais en a profité pour envoyer un message aux deux ministres. « Je demande des compensations économiques puisqu’il y a un préjudice économique qui est dû à Calais« , a déclaré Natacha Bouchart. L’élue « Les Républicains » l’estime à 50 millions d’euros.

    « Je ne voudrais pas que la ville soit amenée à déposer plainte parce que nous sommes dans une situation de concurrence déloyale« , a ajouté la maire de Calais.

     

  • Suisse : le chef du FDP veut rapatrier les réfugiés

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    18h04

    Le chef de l’influent parti de centre droit FDP, Philipp Müller, estime, dans un entretien au journal Schweiz am Sonntag paru aujourd’hui, que les personnes réfugiées en Suisse pour fuir des combats devraient être renvoyées dans leur pays d’origine une fois que le conflit y a pris fin.

    « Les personnes déplacées par la guerre devraient encore être recueillies, mais uniquement avec l’objectif de les renvoyer plus tard d’où elles viennent quand la situation dans leur pays d’origine le permet« , déclare-t-il ainsi. « Les gens tentant d’entrer pour des raisons économiques doivent être refoulés« , estime-t-il par ailleurs, dénonçant le « chaos » qui règne sur l’île grecque de Kos, actuellement confrontée à un afflux de migrants.

    Pour Philipp Müller, trop de personnes ont obtenu le statut de réfugié permanent en Suisse ces dernières années, mentionnant spécifiquement celles originaires du Sri Lanka, où la guerre civile a pris fin en 2009, après 25 ans de violences. « Les demandeurs d’asile ne sont toujours pas renvoyés là-bas alors même que ce pays est devenu une destination touristique pour les Suisses. C’est absurde« , estime-t-il.

     

    Le Comité de l’ONU contre la torture a fait part cette semaine dans un rapport de sa préoccupation face au fait que la Suisse, où les élections fédérales sont prévues pour le 18 octobre, ne prend pas suffisamment en compte, selon lui, la situation dans le pays d’origine des migrants avant de les renvoyer chez eux.

    Source

    Merci à Reflexion25 et Stormisbrewing

  • GR - Amiens (80) : les policiers empêchés de contrôler un cortège de mariage algérien

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    20h25

    Les cortèges de mariages algériens créent de plus en plus d’incidents observe le Courrier Picard qui rapporte un cortège qui a particulièrement mal tourné samedi dernier.

    Un enquête a été ouverte afin d’identifier les participants de cortège. Cortège d’autant plus curieux que, d’après le Courrier Picard, aucun mariage n’était célébré ce jour-là à la mairie d’Amiens. *

    Ce phénomène s’est à nouveau illustré ce samedi 15 août. Un cortège composé de grosses cylindrées, de deux roues et d’un quad a sillonné la ville picarde, faisant des pointes de vitesse par endroits, « sans se soucier des passants ». A la place des cotillons, des jeunes –dont l’un encagoulé-, debout sur les portières, agitent le drapeau algérien.

    Vers 16 heures, l’un des scooters de cette bruyante équipée, à la plaque d’immatriculation masquée, a percuté une voiture à l’angle du boulevard Maignan-Larivière et de la rue de la République. Le Courrier Picard rapporte que le conducteur du scooter a alors craché à travers la vitre du passager avant de la voiture emboutie avant de s’enfuir.

     

    L’équipée a cependant continué lorsqu’un deuxième incident est survenu : les passagers de l’une des voitures du cortège, une Fiat 500, se sont amusés à circuler à contre-sens sur une voie très fréquentée, la rue Jules-Barni. Les policiers sont empêchés de contrôler la voiture par une bande de jeunes. La Fiat 500 s’enfuit également, drapeau algérien au vent.

    Source

    Merci à McBrain

    * C'est un imam qui les marie à la mosquée

  • USA - Un policier blanc se laisse massacrer par un Noir pour ne sembler raciste !

    http://www.fdesouche.com/636935-etats-unis-afin-de-ne-pas-passer-pour-un-raciste-un-policier-se-laisse-massacrer

    + PHOTOS et VIDEOS

     

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