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  • SNCF : billets gratuits pour les clandestins

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    14/10/2015 – FRANCE (Présent 8461)

    « Il s’agit d’une vraie politique d’humanité »… C’est par cette phrase, qui fera « sourire » nombre de ses usagers, que la SNCF justifie aujourd’hui sa décision de proposer des billets gratuits pour les milliers de clandestins qui déferlent sur notre pays.
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    Un véritable scandale, qui a éclaté à la suite de la publication sur les réseaux sociaux d’une note interne dans laquelle la direction demande à ses agents, en raison « du phénomène migratoire sans précédent [qu’ils rencontrent] actuellement », de proposer aux « migrants »… des « réservations à 0 euro » !

    Une décision vivement dénoncée par Robert Ménard et Marion Maréchal-Le Pen, mais totalement assumée par l’entreprise qui explique – très sérieusement – que sa « mission n’est pas d’entrer dans le débat politique », mais « de faire arriver les trains à bon port ». Ajoutant que, « quand une famille monte dans un train sans billet, on ne va pas la faire descendre à la première gare et la laisser dormir dans le froid ».

    C’est pourtant ce qui arrive régulièrement aux pèlerins de Lourdes, munis eux de billets, mais que la SNCF entasse lamentablement chaque année dans des trains complètement délabrés. Ainsi, en avril dernier, plus de 650 d’entre eux, pour la plupart handicapés, sont-ils restés bloqués des heures durant avec une climatisation en panne près de Talence à la suite d’une avarie. Au point que les pompiers ont dû intervenir pour évacuer une passagère qui avait fait un malaise…

    Franck Delétraz

  • Les elfes interrompent la construction d'une autoroute en Islande

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    23/12/13 à 16:20 - Mise à jour à 16:20

    Source : Le Vif

    En Islande, les elfes et autres créatures légendaires sont pris en considération par les autorités. Ainsi, la construction d'une autoroute a été interrompue jusqu'à ce la Cour Suprême d'Islande juge de son impact sur la population d'elfes qui vivraient sur le territoire.

     

    © Thinkstock

    La route doit relier Gardabaer, une ville en banlieue de la capitale Reykjavik, à la péninsule Alftanes, où le président islandais a sa résidence secondaire. Cependant, les défenseurs des elfes associés à des écologistes s'opposent au projet, car ils craignent que l'autoroute ne vienne déranger les petites créatures.

    Ce n'est pas la première fois que la construction de nouvelles routes est retardée par de telles protestations. Habituellement, le problème est résolu par la formulation suivante : "La question a été réglée en reportant la construction afin que les elfes vivant là aient le temps de déménager".

    Le terme islandais Huldufólk, le peuple caché, qualifie les elfes, les trolls et autres personnages invisibles qui vivent dans les montagnes et les rochers d'Islande. Les créatures de légende jouent un rôle très important dans le folklore de l'île. Selon une enquête réalisée par l'université d'Islande en 2007, 62 pour cent des habitants croient en effet "qu'il est possible que les elfes existent".

    Terry Gunnel, professeur spécialisé en folklore à l'université d'Islande, n'est guère étonné par ce chiffre. Il explique que l'Islande est particulièrement propice à ce genre de croyances : "C'est un pays où votre maison peut être détruite par quelque chose que vous ne pouvez pas voir, tel un tremblement de terre, où le vent peut vous faire tomber, où l'odeur de soufre s'échappe des robinets, où les aurores boréales font du ciel le plus grand écran de télévision au monde et où les sources chaudes et les glaciers parlent" a-t-il déclaré.

  • Alès: le maire ferme l'abattoir après la diffusion d'images chocs

    http://www.leparisien.fr/societe/videos-ales-le-maire-ferme-l-abattoir-apres-la-diffusion-d-image-choc-14-10-2015-5185511.php

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  • « L’islam est une religion avec laquelle nous souhaitons construire une société juste et fraternelle »

     

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    Le 3 octobre, Perepiscopus rapportait l’information selon laquelle le diocèse d’Auch finançait une mosquée. 5000 euros, ce n’est pas négligeable. Surtout qu’ils sortent de la collecte du denier de l’Eglise… Famille chrétienne s’est penchée sur l’affaire. Le Père Christian Delarbre, vicaire général, explique :

    « Ce don est une manière de montrer notre solidarité envers la communauté musulmane, que nous côtoyons, mais aussi de condamner fermement cet acte criminel. Ce geste a une portée symbolique : montrer qu’on est choqués, comme croyants, de voir qu’on s’attaque à un lieu de culte. L’islam est une religion avec laquelle nous souhaitons construire une société juste et fraternelle. »

    Qu’il aille expliquer cela aux chrétiens d’Orient : la société juste et fraternelle, ils ne la connaissent pas vraiment…

    Le diocèse précise qu’il a également donné 12 000 € à l’Œuvre d’Orient « pour les chrétiens persécutés ». Belle preuve de relativisme.

    Annie Laurent, spécialiste de l’islam, dénonce :

    « Si l’Église finance la reconstruction d’une mosquée, il y a un risque d’entretenir la confusion, le relativisme. Car le message coranique est orienté à discréditer les grands mystères chrétiens de l’Incarnation, de la Trinité, de la Rédemption, de la résurrection de Jésus, etc. »

    D’après elle, la notion de « liberté religieuse » est aussi en jeu :

    « Depuis Vatican II, la position de l’Église est d’affirmer la liberté religieuse comme un principe, mais pas de s’impliquer dans les affaires des autres religions. […] Il aurait été plus juste de s’en tenir à des paroles de sympathie envers les musulmans, c’est important, car ils sont nos frères en humanité ».

    C’est ce qu’a fait la Conférence des évêques de France dans un communiqué, condamnant « avec fermeté cet acte lâche et absurde ».

    RIPOSTE CATHOLIQUE

  • Roger Waters à Bon Jovi : «Vous êtes solidaires avec le colon qui a brûlé le bébé»

    http://reseauinternational.net/roger-waters-a-bon-jovi-vous-etes-solidaires-avec-le-colon-qui-a-brule-le-bebe/

  • Selon l'Insee, il y a 5 868 000 immigrés en France

    Posté le 13 octobre 2015 à 07h40 | Lien permanent |

     

     

    Logo_inseeL'Institut national de la statistique et des études économiques (Insee) vient de publier son dernier bilan démographique sur les «populations française, étrangère et immigrée en France depuis 2006»

    Un «immigré» désigne «une personne née de nationalité étrangère à l'étranger et résidant en France».

    Un «étranger» qualifie «une personne qui réside en France et ne possède pas la nationalité française». 

    • Au 1er janvier 2014, la France compte 65,8 millions d'habitants hors Mayotte: 11,6 % d'entre eux sont nés à l'étranger, 8,9 % sont immigrés et 6,4 % de nationalité étrangère
    • Entre 2006 et 2013, l'ensemble de la population résidant en France a augmenté de 2,6 millions de personnes, celle de nationalité française de 2,1 millions. Les immigrés, qui ne sont pas tous de nationalité étrangère, comptent 700.000 personnes en plus.
    • 1,6 million d'immigrés sont arrivés en France, 500 000 en sont repartis et 400 000 sont décédés en France».
    • La part de la population immigrée dans la population totale est passée de 8,1 % début 2006 à 8,9 % début 2014.
    • Au 1er janvier, le nombre d'immigrés atteignait précisément 5 868 000.
    • En 2013, 63 000 naissances, soit 7,8% des naissances en France, concernent des enfants dont les deux parents sont étrangers.

    Michel Janva

  • LA BÊTISE DANGEREUSE

     

    LA BÊTISE DANGEREUSE -

    Bernard Plouvier
    le 13/10/2015 

    Pour un État, pour une Nation, la franche bêtise, la sottise crasse installées au Pouvoir, ou dans ses apparences, c’est la ruine assurée pour une génération, voire davantage. C’est ce qui est arrivé à la France depuis 1976.
     
    Durant les années 1960, un certain patronat – celui des travaux publics, du textile et de la métallurgie – avait commencé d’importer des travailleurs extra-européens, en lieux et place ou en concurrence des Italiens et des Portugais, depuis que le « rideau de fer » soviétique avait tari l’afflux de travailleurs polonais. 

    Dans ces « golden sixties », tout se passait assez bien : les matières premières étaient bon marché, le plein emploi assuré et les immigrés maghrébins limitaient leur délinquance à des rixes internes, pour des raisons de politique exotique qui n’intéressaient personne. La ville de Roubaix, où l’auteur de ces lignes passait enfance et adolescence, était prospère en plus d’être un havre de paix sociale (sauf durant les chienlits électorales, où les communistes s’ébrouaient pour freiner leur déclin déjà évident).

    Vinrent le premier choc pétrolier (1973) et la navrante dénatalité des autochtones, évidente dès la première moitié de la décennie 70. En 1976, deux politiciens-liges du capital industriel et commercial français – le Président Giscard d’Estaing et son très ambitieux premier ministre Jacques Chirac – crurent intelligent de renforcer une consommation intérieure stagnante par le décret sur « le regroupement familial des travailleurs immigrés » (paru au JO le 29 avril), aussitôt comparé, par ceux qui avaient quelques connaissances historiques, au funeste Édit de Caracalla. Le 9 novembre 1994, ce décret fut « consolidé » dans sa capacité de nuisance.

    Entre temps, la situation sociale avait bien changé. Dès 1983, le cap des trois millions de chômeurs était franchi, on parlait de « délocaliser » les entreprises en des zones de plus bas salaires et de moindre protection sociale, le pays commençait à voir fleurir des zones de non-droit et les images d’émeutes raciales égayaient ou consternaient régulièrement les téléspectateurs. 

    L’An 2000, peut-être pour fêter l’approche du 3ème millénaire, de merveilleux démagogues, brouillés avec les règles les plus élémentaires de calcul du prix de revient, abaissèrent à 35 heures la durée de travail hebdomadaire, mais 35 heures payées 40 (l’on n’était déjà passé de 40 à 39 heures, dans les mêmes conditions, au début de l’ère Mitterrand). Officiellement, cette « loi de progrès social » avait pour but de « favoriser l’emploi »… alors même qu’elle accroissait les coûts salariaux des entreprises de 10% ! Le « peuple de veaux » (appellation d’origine gaullienne contrôlée) applaudit, puis s’étonna de voir grandir les chiffres du chômage. 
     
    En 2008, selon les statistiques officielles (volontiers « remodelées » : cela fut toujours considéré comme un privilège régalien), 10% de la population française était immigrée et 20% des « Français » étaient fils ou filles d’immigrés, les Africains – noirs et maghrébins – fournissant la moitié de ces deux lots.
     
    En cette année 2015, le chômage réel, en France, avoisine (ou dépasse légèrement) le niveau des cinq millions, l’économie planétaire se porte fort mal depuis les ignominies boursières made in USA de 2009 et 2011, la Dette de l’État obère les Finances publiques pour deux ou trois générations, les salaires (au moins pour les emplois à faible qualification) sont quasi-bloqués depuis une dizaine d’années alors que les prix alimentaires ont crû considérablement depuis l’introduction de l’euro, quant au terrorisme musulman, l’actualité des années 2014-2015 démontre à l’évidence qu’il est devenu une institution nationale, voire un objet d’exportation… en bref : tout va mal. Et l’on trouve naturel d’accroître encore le nombre d’immigrés d’origine extra-européenne, musulmans pour une écrasante majorité d’entre eux.
     
    La bêtise (apparente) des gouvernants est rarement gratuite. On peut même affirmer qu’elle est télécommandée par ceux à qui ce crime d’État profite. En revanche, la passivité et l’inertie des peuples sont énormes. Toutefois, il suffit d’une minorité pour faire éclater un monde de d’absurdité. Après tout, nos ancêtres se sont lancés dans le mouvement insurrectionnel durant les années 1789-1794, alors que la France se portait infiniment mieux sous le débonnaire Louis XVI qu’en Chiraquie, en Sarkozie ou en Hollando-Vallserie
     
    METAMAG