Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

  • Entretien avec Karim Ouchikh : Soutien à Orban !

    8475-Chard.jpg

     

     

    02/11/2015 – FRANCE (Présent 8475)

    Le SIEL (Souveraineté, Indépendance et Libertés) nous donne rendez-vous le 7 novembre devant l’ambassade de Hongrie pour manifester le soutien du peuple français à la politique anti-migratoire menée par Viktor Orban.
    Une nouvelle initiative du président du SIEL, Karim Ouchikh.

    Présent : « Le combat de Viktor Orban est le nôtre », dites-vous. On connaît l’ennemi, mais quelles sont nos armes ?
    Karim Ouchikh : Notre arme principale ? L’inquiétude de la classe politique. Ce sentiment anxiogène que nous devons susciter et entretenir en permanence dans l’esprit de nos dirigeants de l’UMPS,

    8475-Une

    lesquels doivent se persuader en effet qu’ils ne pourront bientôt plus contenir une colère populaire qui s’exprimera sous peu dans les urnes… Seule cette angoisse taraudant perpétuellement nos dirigeants, à Paris, mais aussi ailleurs en Europe, sera de nature, au-delà des échéances électorales, à peser sur les choix technocratiques européens concernant les « migrants » : cette pression populaire doit en somme neutraliser le sentiment d’impunité politique qui prévaut actuellement dans les couloirs de Bruxelles.
    De ce point de vue, il nous faut mobiliser tous azimuts, dans les médias bien sûr, mais aussi dans la rue afin de faire entendre la colère des peuples européens. C’est dans le cadre de cette stratégie maîtrisée de montée des tensions politiques que s’inscrit le rassemblement du 7 novembre prochain à 15 heures devant l’ambassade de Hongrie, que le SIEL organise à la fois pour soutenir à la politique d’indépendance nationale de Viktor Orban, mais aussi pour résister à l’invasion migratoire actuelle.

    Présent : Comment expliquez-vous que les pays de l’Est fassent preuve de plus de résistance à l’invasion que l’Occident ?
    Karim Ouchikh : La capacité de résistance des pays de l’Est plonge ses racines dans l’histoire particulière de cette partie de notre continent. Les peuples d’Europe de l’Est ont été protégés du double phénomène de sécularisation et de mondialisation : tout au long de sa riche histoire, le défunt empire austro-hongrois a su d’abord conserver intacte la diversité culturelle et religieuse des peuples dont les pays de l’Est sont aujourd’hui les héritiers ; la guerre froide fut ensuite une période inédite, éminemment paradoxale, à la fois privative des libertés fondamentales pour les ressortissants de ces pays, mais aussi protectrice des vents mauvais véhiculés par le matérialisme occidental, qui a fait tant de mal de ce côté-ci de notre continent.
    Ces ressorts historiques fondent ainsi une disposition d’esprit particulière, largement partagée parmi les peuples de l’Est européen : une conscience claire de leurs singularités culturelles et des atouts spirituels de leur héritage chrétien, qui s’accompagne d’une volonté farouche de préserver leurs identités séculaires face aux assauts des flux migratoires. Un élan vital que ne partagent guère les peuples d’Europe occidentale…

    Présent : Le 7 novembre, devant l’ambassade de Hongrie, qui seront les intervenants ?
    Karim Ouchikh : Au moment où je réponds à vos questions, la liste des intervenants n’est pas encore totalement bouclée. Elle le sera en milieu de semaine et vous en serez aussitôt informés.

    Présent : Pensez-vous être reçus par l’ambassadeur de Hongrie, ou est-ce impensable ?
    Karim Ouchikh : Au regard de mes contacts actuels, cela n’est pas à exclure, d’autant que j’ai eu l’occasion de m’en entretenir avec lui lors de notre rencontre le 18 octobre dernier, sous l’Arc de Triomphe, en compagnie de M. Lazlo Köver, président de l’Assemblée nationale de Hongrie, à l’occasion de la commémoration du 59e anniversaire de la Révolution hongroise de 1956. Toutefois, je suis pleinement conscient que l’ambassadeur de Hongrie, comme tout représentant officiel d’un État étranger en France, est tenu d’observer une obligation de neutralité à l’égard des affaires intérieures de notre pays. Ajoutons enfin que M. l’Ambassadeur György Károlyi n’est pas à l’abri de pressions politiques prévisibles émanant du Quai d’Orsay…

    Présent : Le 24 septembre s’est tenue une première manifestation, devant l’ambassade d’Allemagne. Regrettez-vous le peu de mobilisation concrète contre l’invasion migratoire ? La situation ne justifierait-elle pas l’équivalent d’une Manif pour tous ?
    Karim Ouchikh : Réunir près de 1 500 personnes un jeudi soir, sous la pluie, sans pouvoir compter sur la présence de nos compatriotes provinciaux qui m’avaient exprimé, nombreux, leur impossibilité de se rendre dans la capitale en milieu de semaine, fut à l’évidence une réussite politique, pour moi comme pour beaucoup de commentateurs politiques. Notons également que cette manifestation, qui s’est déroulée paisiblement, n’avait reçu le concours d’aucun autre parti politique et n’avait bénéficié, en dehors des médias patriotes, d’aucun écho de la part de la presse. En outre, il faut bien admettre malheureusement que notre famille politique a perdu l’habitude, ces dernières années, de battre le pavé pour exprimer ses opinions, à la différence de la gauche qui n’hésite jamais à occuper le terrain à la moindre occasion. Avec d’autres, je veux rompre avec cette frilosité politique en prenant l’habitude de clamer haut et fort nos convictions sur des sujets que nous estimons vitaux pour la France et pour notre peuple : nos compatriotes l’expriment devant moi, d’ailleurs, chaque jour.
    S’agissant de l’invasion migratoire actuelle qui menace les fondements mêmes de notre civilisation, il appartiendra au SIEL, avec d’autres forces politiques, de mobiliser régulièrement les Français en les invitant à affirmer avec force leur hostilité au processus accéléré de substitution de peuples qui s’opère sous nos yeux ces derniers mois. En un mot comme en cent, une initiative pérenne, de type Manif pour tous, devra s’organiser rapidement, en liaison avec d’autres mouvements européens, pour faire échec à l’anéantissement programmé de notre civilisation qui est à l’œuvre avec ce terrible chaos migratoire qui frappe le continent européen.

    Propos recueillis par Samuel Martin

  • 218 000 clandestins ont traversé la Méditerranée en octobre: un record

    bareau_migrants2.jpg

     Partager sur Facebook Tweeter

     

    03/11/2015 – EUROPE (NOVOpress avec le bulletin de réinformation)

    218 000, c’est le nombre de clandestins à avoir franchi la Méditerranée en octobre. Ce chiffre, enregistré par le Haut-Commissariat de l’ONU pour les réfugiés, est un « record mensuel » et vient battre le précédent record de 172 843 arrivées en septembre.
    Ce nombre, en constante augmentation malgré les mauvaises conditions météorologiques, témoigne d’une accélération rapide du processus migratoire auquel l’Europe doit faire face.

    Le Haut-Commissariat de l’ONU pour les réfugiés prévoyait l’arrivée de 700 000 clandestins avant la fin de l’année, ils sont déjà plus de 744 000. L’institution va donc devoir revoir ses chiffres à la hausse et, alors que la colère populaire commence à sérieusement gronder partout en Europe, les gouvernements européens vont peut-être enfin se pencher sur des solutions efficaces et responsables.

  • Pierre Lellouche : « Un réfugié politique en France a droit à 700 euros par mois »

     




    22
     
    Download PDF

    Invité de Jean-Jacques Bourdin sur BFMTV et sur RMC lundi matin, Pierre Lellouche a alerté sur la montée prévisible du Front National si le gouvernement persiste dans la préférence étrangère : « Un réfugié politique en France a droit à 700 euros par mois. Il a une priorité au logement. Il a droit aux transports gratuits. Toutes sortes de choses auxquelles la famille modeste ici n’a pas droit », a déclaré le député Les Républicains

    (NDF)

    Ce commentaire pour compléter:

    jejomau

     

    Pierre Lelouche est en dessous de la vérité. C’est 770 e
    S’il a des enfants, il faut prendre en compte les allocs donc :
    – un couple de réfugiés + 1 enfant touchera : 924e
    – avec deux enfants : 1079
    – avec trois enfants : 1300 e
    etc…
    Bien sûr on rajoutera la gratuité des transports, les allocations logement autour de 500 à 700 e dans la banlieue parisienne (permettant d’avoir un logement grtos) + la quasi-gratuité de l’eau + edf-gdf… et SURTOUT ne pas oublier l’approvisionnement dans les épiceries dites « solidaires » où ils sont orientés par les assistantes sociales… Une famille de trois enfants peut se nourrir pour le mois en déboursant ainsi réellement …. 24 EUROS/MOIS seulement tout en stockant chez elle toutes sortes de nourritures qu’elle revend au black !!!!!!

    Calculez : ce qu’ils touchent, c’est du NET !!!!

  • Samedi 7 novembre: Manifestation en soutien à Orban et contre la submersion migratoire

    Partager sur Facebook Tweeter 

     

    02/11/2015 – FRANCE (NOVOpress avec le bulletin de réinformation)

    C’est une date à noter dans vos agendas, samedi 7 novembre à 15 h, le SIEL, parti politique allié au Rassemblement Bleu marine, invite tous les patriotes à dire NON à la politique d’accueil inconsidérée des immigrés clandestins. Le président du parti Karim Ouchikh a déclaré :

    Nous devons soutenir Viktor Orban, son combat est le nôtre. Comme la Hongrie, la France, doit restaurer ses frontières, comme la Hongrie la France doit conserver son identité.

    Le RDV est donné devant l’ambassade de Hongrie située 5 Square de l’Avenue Foch, 75116 Paris

  • Bernard Cazeneuve : « sans les juifs de France, la République serait amputée de cette part d’elle-même la plus sensible et la plus vivante»

     

    Bernard Cazeneuve, ministre de l’Intérieur intervenait dimanche à la sixième convention nationale du Crif.

    Invité par le Conseil représentatif des institutions juives de France afin de conclure par une allocution sa 6ème convention nationale, Bernard Cazeneuve a déclaré notamment :

    « Je voudrais dire ma confiance en l’avenir à tous les juifs de France, promettre de toute la force de ma volonté que la République les défendra sans faillir, comme l’ont clairement montré toutes les décisions prises depuis un an. La République les défendra parce que sans les juifs de France, la République serait amputée de cette part d’elle-même la plus sensible et la plus vivante. »

    Médias-Presse-Info

     

  • Digne : deux attaques de loup tuent 13 brebis


    Deux attaques de loup cette nuit à Digne par LaProvence

     

    Samedi 31/10/2015 à 16H00 Digne-les-Bains  

    Deux éleveurs ont été victimes de la bête jeudi soir, aux portes de Digne

     
     
     "Celle-là, elle est complètement dévorée. Regardez, il ne reste que la tête et la peau. Celle-ci, ils l'ont juste égorgée et puis elle... Ils ont juste joué avec". Pascal Frison est dépité. En colère. Dans la nuit de jeudi à vendredi, cet éleveur du Gaec les Olivettes, a été victime d'une attaque présumée de loup sur trois de ses 282 brebis, à seulement un kilomètre du Pigeonnier, à Gaubert. Autrement dit, aux portes de Digne.

    "Je m'en suis aperçu vers 10 heures, en allant récupérer le troupeau. J'ai cherché les bêtes. Elles étaient toutes dans un coin, stressées. Et puis j'ai vu la première brebis, totalement mangée", confie l'homme au bord des larmes. Un voisin avait bien entendu durant la nuit quelque chose se tramer. "Vers 23 h 30, il a entendu du bruit et les brebis s'agiter. Mais il pensait que ce n'était que les sangliers. Il y en a beaucoup par ici". Le pré, dans lequel les bêtes étaient parquées, est pourtant clôturé avec du fil de fer. "Elles ne sont pas en liberté. Mais pensez-vous, ils passent au-dessus", indique Pascal Frison.

     

    Même son de cloche pour Étienne Debayle, au Gaec de la Molière, sur la commune du Chaffaut. Dans la même nuit, cet éleveur a retrouvé 10 de ses 300 brebis attaquées. Toutes sont mortes, cinq autres ont été blessées. "Il ne s'agissait que de jeunes et des brebis laitières. Ce sont des bêtes qui ont de la valeur", regrette l'éleveur qui n'en est pas à sa première attaque. Déjà au printemps, le loup avait frappé deux fois chez lui, au bord de la Bléone. 13 brebis avaient été dévorées à ce moment-là. "On ne sait plus trop quoi faire. Je ne pensais pas qu'il allait attaquer là, en bordure de route. Cette nuit, je vais rapatrier mes bêtes sur l'exploitation, les faire dormir dedans. Mais ça ne pourra pas durer parce qu'à un moment, je manquerai d'herbe".

    Pour Pascal Frison, qui tient l'exploitation avec ses autres frères, il faudra trouver un chien patou avant la nuit. "Avant, on pouvait s'occuper de nos bêtes. On passait notre vie derrière nos moutons. Aujourd'hui, ce n'est plus possible. Notre vie se résume à de la paperasse, admet l'homme. J'en ai ras-le-bol que tout le monde se fiche de nous. On n'est plus à l'abri, même chez nous. C'est le début d'un calvaire. Vous allez voir que d'autres attaques vont se produire dans peu de temps. D'ici la fin de l'hiver, on ne sera plus tranquille".

    Après l'entrée en vigueur le 1er juillet dernier d'une autorisation de prélever des loups, dix-huit ont été abattus sur le territoire français. Le maximum autorisé quant au prélèvement de ces animaux bénéficiant du statut d'espèce protégée, est de trente-six loups sur l'ensemble du territoire.

    LA PROVENCE