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  • La publicité et la téléréalité, commando de choc de l’idéologie du métissage

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    Camille Galic., journaliste, écrivain, essayiste.

    ♦ La famille idéale française est-elle désormais composée (ou recomposée) d’un couple blanc/noir engendrant des enfants métis ? C’est ce que l’on pourrait déduire des publicités encombrant les pages de nos magazines, l’espace public et les écrans de télévision — dont Patrick Le Lay, ancien PDG de TF1, disait qu’elle servait à vendre aux annonceurs « du temps de cerveau humain disponible ». Le serpent se mordant ainsi la queue.


    C’est dans les années 80 de l’autre siècle que commença l’épidémie, avec les pubs du confectionneur italien Benetton montrant de

    banque postale

    Banque postale

    belles blondes avec des Blacks. Elles avaient à l’époque fait causer, parfois scandalisé, mais en tout cas provoqué l’envol des ventes de tricots (d’ailleurs très quelconques), ce qui était le but recherché. D’où le subit engouement des fabricants de chaussures, de meubles (Ikea) ou de lunettes (Générale d’optique) pour de telles réclames.

    Machine à décérébrer

    Et puis les institutionnels s’y sont mis. La RATP, la SNCF, les banques — notamment la Banque postale —, les opérateurs de téléphone tel Orange mais aussi les collectivités. Le journal municipal de Bordeaux, ville dont le prince est Alain Juppé, affichait à sa une un couple pie en 2014, et Essonne Info, organe du conseil départemental de ce département, se penche avec compassion sur les couples mixtes, ces amoureux qui seraient toujours mis « au ban public » par les méchants racistes alors que leur éternelle idylle est une pierre (précieuse) jetée dans le jardin des nuisibles.

    Rien d’étonnant à ce que le phénomène prenne toujours plus d’ampleur. La publicité est un très

    Bordeaux

    Bordeaux

    important média d’influence comme il ressort du chapitre 15, intitulé « La publicité au service de la diversité », de l’étude sur « Les médias en servitude » éditée par Polémia*. Il y était justement souligné que, depuis le succès des campagnes United Colors of Benetton, les « créatifs », et en particulier ceux de l’agence Publicis de Maurice Lévy, grand prêtre autoproclamé de la « mondialisation heureuse », avaient « reçu ordre de multiplier dans les publicités (pour les parfums, les couches-culottes, les vêtements… ou EDF) les gays ou les «minorités visibles» et de valoriser les dynamiques cadres de couleur afin de les imposer comme modèles — et partenaires idéaux ».

    Ce qui fait de la publicité « un rouage de la gigantesque machine à décérébrer et à dénationaliser » avec sa perpétuelle exaltation de la race noire — qui, elle, existe au contraire de la race blanche et qu’elle est même censée faire rêver puisque tout sportif ou mannequin noir est par définition « sublissime » dans les magazines féminins en extase devant le « charismatique » Yannick Noah, marié successivement à trois blondes, ou la « ravissante » ancien ministre Ramatoulata (dite Rama) Yade, épouse de Joseph Zimet, fils d’un chanteur yiddisch et nommé par François Hollande patron de la Mission sur le centenaire de la Grande Guerre.

    Une « priorité absolue » pour Sarkozy : le Grand Mélangement

    Générale d'optique

    Générale d’optique

    Certes, la publicité n’est pas le seul donneur d’ordres — du Nouvel Ordre mondial qui s’est juré d’éradiquer nations, traditions et lignées. Les politiques aussi se sont aussi faits avec enthousiasme les apôtres du Grand Mélangement. Seize ans après SOS Racisme et son fameux slogan sur la France sommée de « marcher au mélange, comme les mobylettes », le discours prononcé le 17 décembre 2008 à l’Ecole polytechnique par le président Sarkozy constituait une ode délirante au « métissage d’Etat ». Ode dont il est bon de rappeler quelques extraits puisque, évincé de l’Elysée en 2012, Nicolas Sarkozy brûle d’y revenir après s’être fait élire président des Républicains, et que nos compatriotes sont connus pour avoir la mémoire courte.

    « L’objectif, disait alors devant la future élite du pays celui qui était chef de l’Etat,

    Benetton

    Benetton

    c’est relever le défi du métissage ; défi du métissage que nous adresse le XXIe siècle. Le défi du métissage, la France l’a toujours connu et en relevant le défi du métissage, la France est fidèle à son histoire. D’ailleurs, c’est la consanguinité qui a toujours provoqué la fin des civilisations et des sociétés, jamais le métissage. La France a toujours été, au cours des siècles, métissée. » Et si elle a su produire « un discours universel, c’est parce qu’elle-même, la France, se sent universelle dans la diversité de ses origines ».

    Pour qu’elle puisse poursuivre sa mission, martelait le chef de l’Etat, « je veux une mobilisation de tout l’appareil de l’État, de toutes les administrations et de tous les ministères. Et l’État doit être exemplaire et il ne l’est pas  […] J’espère que vous avez compris que je m’impliquerai personnellement dans ce chantier qui est pour moi absolument prioritaire et que j’y consacrerai toute mon énergie. »

    Comme on aurait aimé qu’en cette année 2008 où la crise commençait à dévaster notre pays, et dans les années qui suivirent,

    Ikea

    Ikea

    l’Elyséen ait consacré « toute son énergie » à d’autres objectifs sans doute moins médiatiques mais autrement prioritaires ! Mais après tout, lui-même ne se sent pas congénitalement, consubstantiellement français comme en témoigne son aveu de 1999 à Philippe de Villiers (« Tu as de la chance, toi tu aimes la France, son histoire, ses paysages. Moi, tout cela me laisse froid… »). Et sans doute pensait-il en outre s’acheter la bienveillance de l’Intelligentsia et de la Mediaklatura avec cet ahurissant plaidoyer pour une politique volontariste visant à faire de notre pays un Brésil européen. Sans compter qu’enfant typique d’un siècle décadent, il était lui-même esclave de la pub’ — voir son goût pour le bling-bling, le Fouquet’s et les Rolex endiamantées chères aux rappeurs avant que Carla ne l’initie au charme discret (encore qu’exorbitant : entre 40 000 et 150 000 euros) des montres Patek Philippe.

    La télé melting-potes ou la nouvelle American way of love

    Aux Etats-Unis, la publicité métisseuse est omniprésente et relayée par le cinéma (« Devine qui vient dîner ce soir », avec l’African-American Sydney Poitier), l’opéra (la décision du « MET » de New York d’imposer le baryton Simon Estes comme le « Wotan noir » de la Tétralogie wagnérienne), et surtout par cette autre machine à pétrir la matière humaine qu’est la téléréalité : série diffusée depuis 2007 et très suivie, « l’incroyable [et hélas réelle] famille Kardachian » est un véritable concentré des déviations de notre époque : folles de shopping et dictant la mode, trois des cinq filles, en commençant par la célébrissime Kim — épouse du rappeur Kanie West qui va lui donner un deuxième enfant et dont le contrat vient d’être renouvelé pour 50 millions de dollars par la chaîne E ! —, ont un compagnon noir. Ainsi que la mère, Chris, dont le second mari (blanc), l’ancien champion olympique Bruce Jenner, vient, lui, de changer de sexe à l’âge de 60 ans pour devenir Caitlyn, ce qui lui vaut de figurer en bonne place des « Femmes de l’année » dans le magazine Glamour !

    On le voit, tout y est, y compris le plus glauque, et le résultat de ce matraquage peut réjouir tous les zélateurs du métissage: les lois

    Kim Kardashian Kanie

    Kim Kardashian Kanie

    ségrégationnistes qui avaient interdit les mariages interraciaux dans nombre des Etats de l’Union jusqu’en 1967 sont bien oubliées et le nombre de ces unions a fait un bond de 15 points en trente ans comme le signalait, évidemment pour s’en féliciter, Radio France internationale le 6 juin 2010.

    Inévitables sur Internet et notamment sur le moteur de recherches Yahoo !, très appréciées des annonceurs, les coucheries black and white de la vomitive famille Kardachian sont diffusées dans le monde entier et notamment chez nous (dès novembre 2008 sur MTV France et MTV Idol1, à partir d’octobre 2011 sur Direct Star et de juillet 2014 sur NRJ 12).

    Conjugués à ceux de la publicité, les effets de cette téléréalité délétère, évidemment imitée de ce côté-ci de l’Atlantique (voir « Secret Story » sur TF1 et même « L’Amour est dans le pré » sur M6, qui a réussi à trouver un agriculteur noir et un autre homosexuel en quête d’âme sœur) ont fait leur œuvre. N’oublions pas non plus l’interminable série melting-potes de France3, « Plus belle la vie », qui pourrait basculer sur TF1.

    La France interdisant les statistiques ethniques, contrairement aux Etats-Unis et à la Grande-Bretagne, on ignore le nombre des unions interraciales et celui des enfants mulâtres. Tout ce que l’on sait, par un rapport publié en 2006 par le très officiel Secrétariat général du comité interministériel de contrôle de l’immigration, est que les unions mixtes — terme très vague fondé non sur la race mais sur la nationalité et s’appliquant à nombre de cas de figures, y compris ceux d’Africains naturalisés allant chercher femme au pays ou d’un Français épousant une Russe — représentaient alors « 28% des mariages célébrés ou transcrits dans notre état civil ». Mais le spectacle de la rue est édifiant quant à l’augmentation des familles bicolores et les psychologues scolaires sont de plus en plus confrontés au mal-être d’élèves métis et aux problèmes qui en résultent, aussi bien pour l’enfant que pour l’institution. Problèmes assez sérieux pour qu’une association comme MéTIS-EUROPE s’emploie à « regrouper les professionnels et toutes les  personnes s’intéressant aux traitements des troubles psychologiques qui se manifestent  par des troubles du comportement ».

    Une situation angoissante pour l’équilibre de la société et l’avenir de la natio francorum, certes métissée et enrichie mais, jusqu’à une date récente, exclusivement d’éléments celtes, latins et — à dose homéopathique — slaves.

    Comme on comprend que les fossoyeurs condamnent avec tant de virulence le sursaut de survie identitaire encore timide, mais réel, qui se fait jour dans notre pays !

    Camille Galic
    5/11/2015

    Note : http://www.polemia.com/pdf_v2/media-servitudes.pdf
    http://www.polemia.com/la-boutique/

    Correspondance Polémia – 8/11/2015

    Image : Publicité pour et par le département de l’Essonne

  • Alsace-Lorraine-Champagne-Ardenne: le FN en tête au premier tour, selon notre sondage

    Alsace-Lorraine-Champagne-Ardenne: le FN en tête au premier tour, selon notre sondage

    BdV

    NdB: Attention: les sondages indiquent la tendance, ils ne prédisent pas la victoire.

  • Manifestation de soutien à Viktor Orban

    Hier, le SIEL (Souveraineté, indépendance et libertés) organisait une manifestation à Paris devant l’ambassade de Hongrie pour apporter son soutien au Premier ministre Viktor Orbán.
    Les manifestants étaient rassemblés autour de ce slogan : « Contre le chaos migratoire et pour l’indépendance des nations. »

    Charlotte d’Ornellas était sur place.

    BdV

     

     

     

     

  • Viktor Orbán accuse les élites gauchistes et George Soros d’être à l’origine de l’invasion migratoire. Soros confirme.

     




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    « Ce n’est pas un hasard si des milliers de gens sont transportés chaque jours vers l’Europe. C’est un complot des élites gauchistes qui veulent détruire les États nationaux en imposant aux Européens leur mode de pensée. » Viktor Orbán ne mâchait pas ses mots lors d’une conférence organisée à Budapest vendredi dernier par des organisations proches du Fidesz. Le matin, dans son interview hebdomadaire sur Radio Magyar, le premier ministre a directement accusé le milliardaire juif américain d’origine hongroise George Soros d’inonder de dollars les ONG gauchistes et les prétendus défenseurs des droits de l’homme européens et américains qui collaborent avec les passeurs turcs pour faire venir les centaines de milliers de colons musulmans. Il a aussi pointé du doigt sans la nommer la chancelière allemande Angela Merkel, en faisant remarquer que ce n’était pas correct d’inviter tous ces gens dans son pays puis de chercher à les répartir entre les autres nations.

    « C’est sans doute George Soros qui incarne le mieux le mode de pensée des militants occidentaux. M. Soros utilise ses milliards pour promouvoir sa propre vision du monde dans plus de cent pays. Il finance un réseau mondial de fondations, d’initiatives, de projets et de partenariats pour promouvoir sa vision particulière d’une Union européenne élargie et d’un monde sans frontières », a expliqué Orbán. Il a également qualifié la décision prise à Bruxelles de distribuer les immigrants entre les pays membres de « solution libérale, mais non démocratique », prévenant qu’à terme les élites politiques ne pourront pas ignorer la volonté des peuples européens.

    Les ONG droits-de-l’hommistes et les passeurs ont été mis sur un pied d’égalité dans le discours du leader hongrois, car c’est ensemble qu’ils aident les immigrants à franchir les frontières en toute illégalité. Leur but ? Soutenir tout ce qui affaiblit les États-nations. Viktor Orbán a encore précisé le rôle de la finance internationale : « ce qui prend forme, ce sont les rêves troubles de quelques grands financiers, d’activistes et de fonctionnaires qui n’ont été élus par personne et qui pensent en dehors du concept d’États-nations. ». Ou encore : « Nous sommes face à un complot, une trahison, et nous devons nous tourner vers la démocratie, vers le peuple. »

    Ce n’est pas la première fois que des responsables de la majorité qui gouverne la Hongrie depuis 2010 pointent du doigt l’Américain George Soros. Début octobre, le député du parti chrétien-démocrate allié du Fidesz István Hollik avait affirmé lors d’une conférence de presse que le milliardaire progressiste en « coopération avec les organisations internationales et hongroises, fournit un soutien financier pour une immigration clandestine sans limite ». Hollik avait alors suggéré que Soros était derrière le guide de l’ONG gauchiste allemande Welcome to Europe qui « encourageait les immigrants à ne pas coopérer avec les autorités hongroises et à refuser de se laisser prendre leurs empreintes digitales » (voir ici et ici pour en savoir plus sur ce guide distribué en Turquie par les amis de Soros). Ces accusations faisaient suite aux propositions de Soros qui voudrait que l’Union européenne accueille au moins un million de « réfugiés » chaque année et leur donne 15 000 € par an chacun. Le député en a profité pour nommer plusieurs ONG hongroises financées par George Soros qui font tout pour gêner le travail des autorités hongroises face aux clandestins.

    Le milliardaire américain a répondu au premier ministre hongrois en confirmant son rôle et sa volonté de faire tomber les frontières. Pour lui, ses fondations « philanthropiques » et leurs milliards de dollars défendent les valeurs européennes et ce ne sont pas les « réfugiés » qui posent problème, mais les frontières.
    Voir ici sur Réinformation TV pour en savoir plus sur la réponse de George Soros.

    Il est d’ailleurs caractéristique que George Soros et ses amis soutiennent, comme c’est si souvent le cas au sein de la gauche progressiste, à la fois l’islamisation de l’Europe et le programme du lobby LGBT. L’Open Society Institute de George Soros était par exemple actif en Estonie lorsque le parlement voulait faire passer en force les unions civiles et l’adoption pour les homosexuels (voir ici). L’argent des fondations américaines a aussi coulé à flot pour faire gagner le oui au « mariage gay » en Irlande cette année (voir ici en anglais), et cet argent a contribué à une campagne très déséquilibrée. George Soros est encore accusé par ses détracteurs et par la Russie d’avoir financé la révolution du Maïdan en Ukraine.

    En ce qui concerne la Hongrie, le financier américain a promis il y a déjà longtemps de tout faire pour renverser Viktor Orbán. Le problème, c’est qu’il semble avoir une grosse influence sur l’administration du président Barack Obama. Un Barack Obama qui s’inquiétait publiquement en septembre 2014 de l’état de la démocratie en Hongrie (il ferait mieux de s’inquiéter de la montée du totalitarisme gay dans son propre pays !). Il y a un an, le chargé d’affaires américain (les USA sont restés très longtemps sans même avoir un ambassadeur à Budapest), Andre Goodfriend, participait à des manifestations contre un projet du gouvernement hongrois pour taxer Internet. Proche du leader socialiste Ferenc Gyurcsany (devenu un riche oligarque à la faveur de la transition à l’économie de marché et rendu célèbre dans le monde entier par l’enregistrement où on l’entendait dire, alors qu’il était premier ministre, que lui et ses amis avaient menti sans arrêt aux électeurs), ce même Goodfriend avait lancé des accusations de corruption non étayées à l’encontre de la Hongrie. Ensuite, les USA ont annoncé avoir interdit d’entrée sur le territoire américain six hauts fonctionnaires hongrois désignés comme corrompus par Goodfriend, en faisant beaucoup de bruit autour de leur décision. Pour étayer leurs accusations, les Américains n’ont produit qu’un document sans cachet ni signature portant des accusations floues et dont certains passages sembleraient avoir été piochés dans un rapport de l’organisation Human Rights First dont le plus gros donateur n’est autre que… le financier américano-hongrois George Soros.

    Le plus inquiétant dans l’attitude des États-Unis vis-à-vis des nations européennes et dans l’influence de gens comme George Soros sur le gouvernement américain, c’est que cela ne changera pas forcément en cas de victoire républicaine. En effet, lorsque la productrice de séries télévisées Colleen Bell à été choisie par Obama pour le poste d’ambassadeur à Budapest en novembre 2014 (pour remplacer le chargé d’affaires que le gouvernement hongrois ne voulait plus voir), le sénateur républicain John McCain, lors des auditions de Mme Bell au Sénat américain, a décrit la Hongrie comme un « pays sur le point d’abandonner sa souveraineté à un dictateur néofasciste qui couche avec Vladimir Poutine ».

     

    Le SIEL nous propose d’aller manifester notre soutien à la politique anti-migratoire de Viktor Orbán le 7 novembre à 15h devant l’ambassade de Hongrie.

    Voir ici à ce propos l’interview avec le président du SIEL, Karim Ouchikh, dans le journal Présent

    NDF

  • Cop21 : travailleurs détachés, fermeture des frontières, le pouvoir face à ses contradictions

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    07/11/2015 – FRANCE (NOVOpress)
    200 « travailleurs détachés » sur le chantier de la Cop21, les frontières « fermées » pour protéger le raout écolo, mais ouvertes à tous les vents migratoires, le sommet sur le climat s’annonce comme un concentré des contradictions et reniements de la « gauche » au pouvoir.

    À l’occasion de la Cop21, les frontières seront contrôlées du 13 novembre au 13 décembre, a affirmé Bernard Cazeneuve. Tous les moyens de transport sont concernés : ces contrôles s’effectueront aux points de passage frontaliers routiers, ferroviaires, maritimes et aériens.
    Outre le côté ridicule de la mesure sécuritaire (terroristes de tout poil, il vous suffit d’entrer en France avant le 12 novembre et d’attendre tranquillou, Airbnb vous fournit des chambres d’hôtes discrètes), le symbole est symptomatique de ce qu’est devenue la « gauche » au pouvoir : servile avec les puissants, elle bafoue le droit de ses modestes citoyens, qui auraient été en droit d’entendre

    La France va fermer ses frontières pendant quelques semaines

    à propos de la crise migratoire qui frappe l’Europe et menace la survie de la civilisation européenne.
    Mais bon sang, mais c’est bien sûr, ils s’en moquent, de la civilisation européenne ! et même sans employer de grands mots, ils se tamponnent aussi, nos hommes de « gauche », du modèle social français, avec ses trop nombreuses rigidités, certes, mais qui protégeait tout de même le travailleur modeste. Grâce à l’Europe de Bruxelles, tous ces « archaïsmes » sont bien heureusement à ranger au rayon des mauvais souvenirs. Ainsi avec la directive européenne ultralibérale de 1996, qui officialise le dumping social et la concurrence déloyale, on peut se payer des sommets mondiaux à moindres frais.
    C’est pour cela que près de 200 travailleurs détachés venus d’Europe de l’Est sont employés sur le chantier de la Cop21 au Bourget, en Seine-Saint-Denis, alors que les organisateurs de la conférence s’étaient engagés à employer prioritairement la main d’œuvre locale. Un salarié venu de Slovaquie a expliqué qu’il ne touche que 70 € pour des journées de 10 à 12 heures.

    Bref, droit, social, droit des peuples tout cela c’est bon pour les discours que plus personne ne croit. Le changement, de « gauche » en « droite », c’est maintenant.*
    * mais rassurez-vous, l’inverse est également vrai

  • Une boîte noire de l'A321 a enregistré un bruit à la dernière seconde

    http://fr.sputniknews.com/international/20151107/1019361632/a321-bruit-boite-noire-egypte.html

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