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  • Premières rencontres du Carrefour de l’horloge : entretien avec Henry de Lesquen

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    12/11/2015 – PARIS – (NOVOpress) À l’occasion des premières rencontres du Carrefour de l’horloge qui se tiendront à la maison de la chimie samedi 14 novembre (cliquez ici pour vous inscrire) et dont le thème est “Patrie et libertés : penser autrement pour redresser la France”, NOVOpress a souhaité s’entretenir avec son président, Henry de Lesquen.


    NOVOpress - Le Club de l’Horloge devient le Carrefour de l’Horloge, simple changement de nom ?

    Henry de Lesquen - C’est un changement dans la continuité. Le Club de l’Horloge, cercle de pensée politique créé en 1974, continue sous un nouveau nom pour manifester sa volonté de renouveau. Nous avons pris comme devise une belle formule de la tradition indo-européenne mise au jour par le professeur Jean Haudry : “Pensée, parole, action”. La pensée doit commander la parole, qui doit guider l’action. Cela signifie que nous n’entendons nullement nous départir de ce qui fait depuis toujours notre vocation essentielle, le développement d’un corps doctrinal pour la droite. Mais nous allons améliorer la diffusion de nos idées, la rapidité avec laquelle elles pénètrent la société. Nous nous adaptons à l’univers du numérique, qui est pour nous une grande chance. Avec Internet et les réseaux sociaux, nous pouvons atteindre directement un large public diversifié, dont beaucoup de jeunes enthousiastes, sans être occultés par les media du système.

    Nous n’entendons nullement nous départir de ce qui fait depuis toujours notre vocation essentielle, le développement d’un corps doctrinal pour la droite.

    NOVOpress - Le Carrefour de l’Horloge s’est fixé pour objectif de rassembler la droite. Sur quelles valeurs ? De où à où sur l’échiquier politique actuel ?

    Henry de Lesquen - Non seulement nous pensons que le clivage droite-gauche n’est pas dépassé, mais nous l’avons démontré… Depuis ce que Paul Hazard a appelé la crise de la conscience européenne et qu’il a daté de la période 1680-1715, la gauche, expression idéologique de l’utopie égalitaire, s’est imposée dans le champ métapolitique. La droite réunit tout ce qui s’oppose à la gauche. Nous n’avons pas d’ennemi à droite. On ne peut cependant concevoir d’action politique commune qu’avec ceux qui acceptent la démocratie et qui veulent, comme nous, rendre au peuple le pouvoir dont l’oligarchie cosmopolite l’a dépouillé.

    La gauche a profondément évolué depuis trente ans. Elle s’est éloignée de son pôle collectiviste, avec la chute du communisme, pour devenir radicalement cosmopolite. Le cosmopolitisme, voilà l’ennemi ! Il veut détruire à la fois les frontières matérielles entre les peuples, grâce à l’immigrationnisme et au libre-échangisme, et aussi les frontières morales que constituent valeurs et traditions, d’où le mariage homosexuel, la théorie du genre, le non-art dégénéré, l’abolition de la peine de mort… Les valeurs et principes susceptibles de rassembler la droite, nous les avons mises en exergue des premières rencontres du Carrefour de l’Horloge, qui auront lieu samedi prochain 14 novembre à Paris : ce sont la patrie et les libertés. Formulation incontestable et rassembleuse. Pour nous, au cœur de la nébuleuse idéologique qu’il faut regrouper, il y a un noyau doctrinal : le national-libéralisme. J’ai pu en tracer les linéaments sur Internet grâce à un groupe de militants dévoués, compétents et dynamiques, qui ont créé le site lesquen2017.com.

    La gauche a profondément évolué depuis trente ans. Elle s’est éloignée de son pôle collectiviste, avec la chute du communisme, pour devenir radicalement cosmopolite.

    NOVOpress - Patrie et libéralisme semblent parfois antinomiques à de nombreux observateurs politiques. Les échanges débridés et massifs ne se font-ils pas au détriment de la souveraineté du pays ? Faut-il commencer par recouvrer sa souveraineté pour retrouver la liberté d’expression gravement mis en cause en France ou plutôt « forcer » la chape de plomb liberticide pour permettre aux forces politiques qui ont la France au cœur d’agir ?

    Henry de Lesquen - Nous croyons au contraire que la liberté des individus est une richesse pour la nation. La France ne sera économiquement forte que si elle garantit le droit de propriété et restaure la liberté d’entreprise. Cependant, il faut appliquer la préférence nationale dans tous les domaines, non seulement aux hommes, mais aussi aux marchandises. On sait depuis Frédéric List qu’un certain protectionnisme favorise la création et l’innovation. C’est ce que l’on peut appeler le syndrome des Galapagos : lors de son voyage autour du monde, Darwin a découvert que les espèces de pinson s’était multipliées sur cet archipel parce qu’il était isolé du continent… Il y a en économie des effets de groupe et de voisinage, fondés sur une identité partagée. C’est pourquoi le cosmopolitisme, fourrier d’une mondialisation débridée, appauvrit l’humanité en étouffant sa créativité.

    S’agissant de la souveraineté, la première des mesures à prendre est de rétablir la primauté de la loi française sur le droit international. Mais le rétablissement de la liberté d’expression par l’abrogation des lois liberticides (loi Pleven de 1972, loi Gayssot de 1990 et autres lois antiracistes) ne doit pas tarder. Du reste, il faut également affirmer la liberté de discrimination, tout aussi fondamentale.

    NOVOpress - Quelle place pour notre identité dans tout cela ?

    Henry de Lesquen - La souveraineté est une idée creuse si elle n’est pas fondée sur une identité préservée. Il ne suffit pas à cet égard de défendre et de promouvoir la langue française, bien que ce soit très nécessaire, il faut aussi et surtout rétablir l’unité de la nation en combattant l’islamisation de la société et sa mélanisation, c’est-à-dire l’explosion des populations de race congoïde (noire), car la France est un peuple de race blanche, comme l’a dit excellemment le général  de Gaulle dans ce passage qu’a cité Nadine Morano. D’où l’importance d’engager le plus tôt possible une grande politique de réémigration.

    La souveraineté est une idée creuse si elle n’est pas fondée sur une identité préservée.

    NOVOpress - Vous avez réuni un plateau original de personnalités de droite. Quels seront les thèmes de leurs interventions ? Pouvez-vous nous donner quelques détails pratiques pour nos lecteurs qui souhaiteraient participer à cette rencontre ?

    Henry de Lesquen - Nous nous retrouverons samedi prochain 14 novembre à la Maison de la Chimie (28 rue Saint-Dominique, Paris 8e) autour du thème général “Patrie et libertés, penser autrement pour redresser la France”). Il y aura huit intervenants : Charles Beigbeder (“Liberté d’entreprise et enracinement”), François Billot de Lochner (“La liberté d’expression”), Eric Branca (“La comédie du pouvoir autour de la question de la souveraineté”), Ivan Blot (“La démocratie directe”), Christian Harbulot (“La France est-elle encore une puissance ?”), Henry de Lesquen (“Rassembler la droite”), Julien Rochedy (“L’Etat contre le peuple”), Christian Vanneste (“Comment défendre l’identité nationale ?”). Christian Vanneste ouvrira les débats à 10 heures. Je les conclurai.

    Les premières rencontres du Carrefour de l’Horloge sont ouvertes à tous. Entrée libre. Inscription en ligne ou sur place. Accueil-café à 9 h 30, début des rencontres à 10 heures, fin à 18 heures. Trois tables rondes, pour que les interventions soient suivies d’un large débat avec les participants. Venez nombreux !

  • L’immigration bactérienne

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    12/11/2015 – FRANCE (Présent 8481)

    Discours « immonde et puant » aux yeux de Sandrine Rousseau (EELV), « honteux, scandaleux et condamnable » pour Natacha Bouchart (LR), « xénophobie » qui « vire à la folie » selon François Lamy (PS)… Pour avoir osé énoncer une évidence, la présidente du FN fait aujourd’hui l’objet d’un lynchage politico-médiatique aussi scandaleux qu’hypocrite.
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    À l’origine de cette nouvelle polémique, une mesure qui figurerait dans le programme de Marine Le Pen, publié mardi dans un supplément de La Voix du Nord sur « Les propositions des candidats aux régionales pour la santé et l’environnement ». Selon ce texte le FN, constatant que « les centres hospitaliers régionaux font face à la présence alarmante de maladies contagieuses non européennes liées à l’afflux migratoire », affirmerait vouloir « éradiquer toute immigration bactérienne ».
    Gale, tuberculose…

    Il n’en fallait pas plus pour que les chiens de garde de l’antiracisme sortent illico l’artillerie lourde et fustigent en chœur le lien sacrilège établi entre immigration et maladies. Un concert pitoyable, au sein duquel la palme du crétinisme revient au maire LR de Calais, Natacha Bouchart, celle-là même qui pleurait en octobre pour qu’on lui envoie l’armée, et qui est allée jusqu’à déclarer : « Moi, ça me rappelle très clairement les camps d’extermination, la condamnation des juifs, les chambres à gaz » !

    Face à ce déchaînement, Marine Le Pen a expliqué mardi qu’il s’agissait en fait « d’une erreur de copié-collé » de la part du FN et qu’« immigration bactérienne » avait été écrit à la place d’« épidémie bactérienne ». Cependant, comme le soulignait très justement Sébastien Chenu, tête de liste FN dans la Somme, « il n’en est pas moins vrai qu’il existe une problématique sanitaire dans les camps de migrants à Calais ». Chacun, en effet, a encore en mémoire l’épidémie de gale qui a ravagé l’un de ces camps l’an dernier, au point de contraindre les autorités d’en détruire les baraques insalubres.

    Recrudescence des cas de gale, mais aussi de tuberculose, dont le Haut Conseil de la santé publique a enregistré une hausse de 10 % depuis 2002. Selon l’Institut national de veille sanitaire, près de 5 000 cas auraient ainsi été comptabilisés en 2013. En tête des départements les plus touchés ? La Seine-Saint-Denis, selon l’Agence régionale de santé. L’ARS, qui soulignait par ailleurs que « les personnes d’origine étrangère sont aussi surreprésentées (56 %) », et « parmi elles une majorité sont nées en Afrique (62 %) ».

    Interrogée par RFI en août dernier, le Dr Véronique Vasseur, chef de service du centre d’accès aux soins de santé de l’hôpital Saint-Antoine, a même expliqué : « On a eu une résurgence, effectivement, des maladies de la pauvreté. » Et, s’alarmant de la situation des migrants arrivés d’Erythrée ou du Soudan, elle ajoutait : « Nous avons énormément de réfugiés depuis un ou deux ans. »

    Franck Delétraz

    NOVOpress

  • Cent mille Polonais, principalement des jeunes, ont manifesté leur patriotisme le 11 novembre à Varsovie

    http://www.ndf.fr/nouvelles-deurope/12-11-2015/cent-mille-polonais-principalement-des-jeunes-ont-manifeste-leur-patriotisme-le-11-novembre-a-varsovie#.VkUDDZWFOM8

    + VIDEO

    NDF

  • Migrants : l'UE débloque 1,8 milliard pour l'Afrique

    http://www.leparisien.fr/international/migrants-l-union-europeenne-debloque-1-8-milliard-pour-l-afrique-12-11-2015-5270177.php

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  • La Question du jour

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    Le Parisien

  • Pays-Bas: Wilders veut fermer les frontières pour arrêter l'invasion islamique

    http://www.fdesouche.com/667391-pays-bas-wilders-veut-fermer-les-frontieres-pour-arreter-linvasion-islamique

    VIDEO

  • VIDEOS - Calais: troisième nuit d'affrontements

    http://www.fdesouche.com/666773-calais-62-violences-entre-migrants-et-forces-de-lordre-16-policiers-blesses

  • Régionales : Valls favorable à la fusion des listes « républicaines » en Nord-Picardie. «Il faut assumer l’UMPS» (MàJ)

     

    20h37

    Manuel Valls prépare le terrain et les esprits depuis plusieurs jours. [...] Avec la proposition d’une fusion, il garde sous le boisseau l’hypothèse du retrait des listes de gauche, que redoutent tous les élus locaux. La manœuvre a pour but de reporter sur la droite la responsabilité morale de faire barrage à l’extrême droite.

    « Compte tenu du danger Le Pen, il faut assumer l’UMPS, l’UMPS c’est l’équivalent chez les autres pays européens des grandes coalitions », explique-t-on dans l’entourage du premier ministre.

    Celui-ci cite souvent le cas de l’Allemagne, où Angela Merkel résiste à la montée de l’extrême droite en s’appuyant habilement sur une alliance de circonstance avec les sociaux-démocrates du SPD. Ce faisant, il commence à construire sa posture de l’entre-deux tours : celle du responsable politique qui aura tout tenté pour empêcher le FN d’arriver au pouvoir, face à une droite présentée comme irresponsable. [...]

    source


    Décidé à tout faire pour empêcher Marine Le Pen de prendre la région Picardie-Nord-Pas-de-Calais – celle où le Front national est selon lui le plus dangereux – le Premier ministre Manuel Valls affirme à qui veut l’entendre qu’il ne faut « rien exclure ».

    Certes, il reste pour l’instant prudent : il dit attendre (avec impatience) les futurs sondages pour voir si la tête de liste PS Pierre de Saintignon décolle ou non et considère de toute façon que seuls les résultats du premier tour des régionales permettront de fixer définitivement une stratégie. Mais en attendant, Manuel Valls préfère anticiper et lancer le débat plutôt que de devoir improviser au soir du 6 décembre.

    Valls doute par ailleurs que le retrait de l’une au l’autre des listes, de droite ou de gauche, serait la bonne parade pour éviter une victoire de la patronne du FN. D’autant que le PS ou LR pourraient en se retirant s’exposer à une « double peine » : n’avoir aucun élu pendant six ans dans une région qui serait néanmoins dirigée par le FN. Il penche donc pour la fusion des deux listes républicaines entre les deux tours.

    « C’est extrêmement difficile mais la question de la fusion, il faudra la poser », confie le Premier ministre à ses visiteurs.

    source

  • La Chanson de Craonne

    E&R